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MessageSujet: → living young and wild and free   → living young and wild and free EmptyMar 27 Mar - 19:05

→ living young and wild and free 784812tumblrm1iyajfzmS1rsto6oo1500

Seule au milieu du parc, l’appareil photo en main, j’observe le monde qui m’entoure, un sourire idiot coller aux lèvres. Je viens de passer la journée en compagnie d’Ethanaël et je me sens comme sur un petit nuage. Jusqu’à présent rien de bien nouveau sous le soleil je vous l’accorde, enfin si, il y a bien quelque chose qui a changer entre nous. Nous sommes officiellement en couple. Autant dire que cela est vraiment nouveau et pas très habituel pour moi. J’ai vraiment l’impression d’être regarder en permanence, mais en fait je m’en fiche car au fond Ethanaël me rends heureuse. Il est vraiment persuader que tout peut marcher entre nous, je dois avouer que contrairement à lui il me reste quelques zones d’ombres et elle me concerne plus particulièrement. Avant lui, j’étais du genre volage et comment dire… Pas qu’un peu. J’avais pour l’habitude de passer mes soirées dans les bars miteux de la ville pour finir au fond du lit d’un homme que je connaissais que depuis trois heures. Il m’est arriver de me taper un homme marié ou même des gars légèrement plus vieux que moi. Autant dire que je n’avais pas réellement une très bonne réputation en ville. Tout le monde dit à Ethanaël de ce méfier de moi, que je pourrais le tromper en moins de cinq minutes etc. C’est donc en pensant à cela que je finis par remballer tout mon matériel de photo afin de rentrer chez moi. Ce soir, je me retrouve seule pour la première fois depuis une semaine étant donner qu’Ethan doit ce rendre a son entraînement. J’ai penser à l’accompagner avant de recevoir un texto de Devon, un ami que je m’étais fait dans un des bars que j’avais l’habitude de fréquenter. Enfin ami… Cela reste tout de même un grand mot. On ne cesse de s’envoyer des piques, mais je dois avouer que j’apprécie plutôt bien sa compagnie. Nous convenons alors d’un rendez-vous dans notre bar préférer à vingt et une heure précise.

C’est donc quelques heures plus tard, que je me retrouve dans la rue. L’air frais commence à s’abattre sur la ville et il faut avouer que cela fait du bien après une journée aussi chaude que celle-ci. J’ai pris le temps de me laver les cheveux et d’enfiler une jolie robe noire. Pas trop sexy non plus. Et oui maintenant je suis en couple et c’est bien la première fois que je sors avec ce statut derrière moi. Je dois avouer que cela me fait réellement bizarre. Ce soir, je ne dois draguer personne, même si j’ai bu. Bon après tout cela n’est pas difficile à tenir, mais avec Devon et c’est pari pourri je commence à craindre le pire franchement. Enfin. Me voilà donc devant notre bar chéri. Je pousse la porte et tout les regards ce posent sur moi. On me connaît plutôt bien ici et tout le monde sait que quand je suis là, on est assurer de passer une bonne soirée. Autant dire que je risque de les décevoir ce soir. Oh et puis tant pis, je suis bien avec Ethanaël et j’ai pas l’intention de tout faire foirer. Bref. D’un coup d’œil je balaye l’intérieur de la salle et finis par apercevoir la silhouette de Devon. Je me dirige rapidement vers lui et dépose une main sur son épaule. « Salut le plus moche ! » lançais-je avant de planter un rapide baiser sur sa joue. Je finis par prendre place en face de lui avec mon plus grand sourire. « Tu me le paie ce verre, parce que j’ai vraiment soif là tu vois et puis oh… zut j’ai oublier mon portefeuille » dis-je en riant.
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Devon S. Griffinth
Devon S. Griffinth
staff → les habitués du café
Côté coeur : Marié sous les douches d'Ikea (enfin, à Vegas) avec Celio
Job : Présentateur d'un talkshow
Age : 26 ans
Célébrité : Darren Criss
Age : 31
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MessageSujet: Re: → living young and wild and free   → living young and wild and free EmptyDim 8 Avr - 19:41



C’était encore la course aujourd’hui. Ce soir je suis peut-être dans un bar de Town Square dans l’Oregon, mais il y a à peine quelques heures j’étais encore à New York en train d’enchainer tournage de SNL et interview pour Billboard. Et si je n’avais pas reçu de message de ma camarade de bar je serais surement en train de siroter un verre sur la terrasse de mon appartement de la Grosse Pomme en charmante – mais surement inconnue – compagnie. Mais à la place j’avais attrapé le premier vol pour Portland et me retrouvais peu de temps après à attendre ma très chère Celio. Ne me demandez pas d’où venait ce surnom, je n’en avais pas la moindre idée. Mais la jeune femme avait un nom tellement compliqué que j’avais trouvé le premier surnom débile du coin, et c’était resté. Depuis notre rencontre c’est autour de ce genre de chose que notre relation gravite. Surnoms idiots, paris à la con, de quoi égayer nos soirées quand l’un ou l’autre en avait besoin. C’était le cas ce soir vu la demande de la demoiselle. Quel bon ami j’étais d’avoir traversé tout le pays pour ne passer qu’une simple soirée en sa compagnie. Il fallait que je pense à lui faire remarquer dès qu’elle serait là.

En attendant je patientais calmement dans notre bar fétiche, repensant à mon séjour express à New York. J’avais beau adorer ma vie actuelle, elle était tout sauf reposante. Des journées entières dans les studios de Good Evening Oregon, de longues soirées à filmer le talkshow, des heures d’avion pour rejoindre la côte Est, à nouveau des journées entières dans les studios de SNL, quelques minutes de sommeil dans l’appartement que je ne m’étais pas résolu à vendre, et encore un avion pour rejoindre Town Square. Voilà mon rythme depuis l’année dernière. Entre tout ça j’accumule les interviews, les producteurs de spectacle qui demandent que je les rejoigne dans leur show, et toujours énormément d’autres offres dont je finis par oublier la nature. Ces dernières vingt-quatre heures, j’avais reçu trois offres différentes de spectacles à Broadway. Chacun des refus que je dus opérer me brisait un peu plus le cœur. Mon Dieu que j’aimerais pouvoir tout faire ; être partout à la fois. Mais j’étais déjà trop fatigué pour avoir le courage de faire d’autres choses. Et pour oublier que je n’étais pas superman il fallait que je boive et m’amuse ce soir. Chose que je serais capable de faire que lorsque Silo’ passerait cette foutue porte de bar.

Je n’avais même pas besoin de me retourner pour comprendre que mon « invitée » venait d’arriver. Il suffisait de voir tous les regards se tourner vers l’entrée et d’écouter les sifflements des hommes les plus en manque. Pathétique. Sa présence fut confirmée lorsque je sentis un baiser sur ma joue, et que j’entendis les remarques de mon amie. Elle ne perdait pas son temps la petite. J’adorais ça. « Salut le plus moche ! » lançait-elle en arrivant. « Salut la plus bête ! » répondis-je aussitôt. « Tu me le paie ce verre, parce que j’ai vraiment soif là tu vois et puis oh… zut j’ai oublier mon portefeuille » Je riais et avant de répondre quoi que ce soit, faisais signe au serveur le plus proche de venir prendre notre commande. Avant qu’il n’arrive vers nous, je me retournais vers Siloë et reprenais enfin la parole. « Tu peux te gratter pour que je paye quoi que ce soit. T’as qu’à montrer tes seins au barman, je suis sûr que tu auras toutes tes consos gratuites. » dis-je accompagné d’un clin d’œil avant que le fameux employé du bar arrive vers nous. Je dictais ma commande à ce dernier et attendais que Silo fasse de même. Il repartit enfin et je pouvais reprendre mes idioties. « Il y a des rumeurs bizarres et complètement irréalistes qui disent que miss Celio n’est plus sur le marché. Les infos sont déformées jusqu’à New York et j’ai mal compris, ou alors t’es encore plus dingue que ce que je croyais ? » lançais-je à moitié ironiquement. Je me doutais que mes soi-disant informations n’étaient pas erronées, mais j’étais juste ébahi par un tel fait et rêvais d’avoir plus de détails sur le sujet. Quoi de mieux que le lancer avec humour ?


Dernière édition par Devon S. Griffinth le Dim 22 Avr - 0:58, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: → living young and wild and free   → living young and wild and free EmptySam 21 Avr - 11:36

→ living young and wild and free 505994tumblrlsj657SoVp1qh6u6yo1500

Ce soir j’ai bien l’intention de profiter de ma soirée en compagnie de mon très cher ami Devon. Ce gars, je l’ai connue dans un bar, il y a déjà quelques mois. Au départ, je dois l’avouer, je le trouvais extrêmement mignon. Non pas que cela est changé d’ailleurs, parce qu’il faut avouer qu’avec son sourire en coin il est capable de faire tomber n’importe quelle nana. Enfin. La première fois où j’ai passé une soirée en sa compagnie, je n’avais qu’une seule idée en tête : le ramener dans mon lit. Puis au fur et à mesure je me suis rendue compte que ce serais peut être une erreur, car pour une fois, je m’entendais réellement bien avec un homme. Il me draguais quelque peu, mais sans plus et on rigolait bien. La soirée avait été rythmé par les paris stupides et autres blagues en tout genre. Oui cela avait été plutôt musclé. Et depuis rien n’avais changé. On ce voit assez rarement étant donné qu’il ne cesse de faire des allers-retours entre New-York et Town Square, mais lorsqu’il est en ville, je suis sûre de passée une excellent soirée en sa compagnie. Toujours dans le même bar bien évidemment, sinon ce ne serais même pas amusant. Et c’est donc ainsi que ce soir, j’ai rendez-vous avec lui. Bon je ne lui avais pas réellement laisser le choix en même temps. Cela faisait pas mal de temps que l’on ne c’était pas vu et il commençais sérieusement à me manquer le petit. Comme toujours, j’arrive en retard à notre lieu de rendez-vous et le trouve déjà attabler seul dans son coin, comme un pauvre petit canard. Rapidement et avec un grand sourire collés aux lèvres, je me dirige vers lui. « Salut le plus moche ! » lançais-je alors tout en plantant un baiser sur sa joue. « Salut la plus bête ! » rétorqua-t-il aussi vite que l’éclair. Et bien les hostilités étaient lancer ma foi.

En riant, je lui fait remarquer que je n’ai pas mon portefeuille et qu’il va devoir me payer un verre. Bien sûr, c’est un pur mensonge, mais j’adore le faire tourner en bourrique et je sais qu’il ne peux jamais me refuser ce genre de chose, d’ailleurs sans rien dire, il fait signe au serveur qui viens prendre notre commande. Comme à chaque fois, je prends un verre de vin. « Tu peux te gratter pour que je paye quoi que ce soit. T’as qu’à montrer tes seins au barman, je suis sûre que tu auras toutes tes consos gratuites. » me lança-t-il un fois que le serveur était parti. L’espace de quelques secondes, je fais ma choquée, portant ma main à ma bouche, mais je ne peux m’empêcher de rire de nouveau. Il est tout de même pas croyable celui-là ! « Hum… Je suis pas sûre que ça puisse marcher, parce que mes seins, il les as déjà vu ! » lui répliquais-je alors. Avec Devon je ne me cache pas. Il connaît ma réputation dans la ville et sais que je suis passé dans pas mal de lit, maintenant il sait que cela comprends également celui du gentil barman.

« Il y a des rumeurs bizarres et complètement irréalistes qui disent que miss Celio n’est plus sur le marché. Les infos sont déformées jusqu’à New York et j’ai mal compris, ou alors t’es encore plus dingue que ce que je croyais ? » me dit-il alors ironiquement. Je vois que les nouvelles vont vite par ici, je soupçonne Fawn d’avoir vendu la mèche et hausse les épaules. Après tout autant qu’il soit au courant, pipelette comme il est je suis sûre que ce sujet le passionne déjà, même s’il ne sait rien. « Je dois être plus dingue que ce que tu croyais dans ce cas ! » lui dis-je alors laissant planer encore un peu le doute, même s’il doit ce douter du nom de l’heureux élu. Le serveur reviens alors vers nous et dépose nos verres. J’attrape le mien et en bois une légère gorgée avant de continuer, voyant qu’il voulait absolument en savoir plus. « Je me suis mise avec Ethanaël. Tu te souviens de lui ? Le grand sportif, brun, enfin mon meilleur ami quoi. » lui dis-je alors en souriant de plus belle. Pourvue que je ne fasse pas trop amoureuse transie non plus. « Mais comment une patate comme toi as pu savoir cela ? » lui demandais-je alors.
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Devon S. Griffinth
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MessageSujet: Re: → living young and wild and free   → living young and wild and free EmptyDim 22 Avr - 0:54



Il n’y avait rien de plus génial que mes soirées avec Siloë. La jeune femme avait le don pour parler et rire avec moi sans la moindre retenue, ce qui était rarement le cas avec mes autres amis. Avec elle je pouvais être sûr de pouvoir raconter mes pires expériences sans qu’elle se moque, juge, ou aille le crier sur tous les toits. A la place elle irait plutôt me raconter ses propres conneries, sans oublier au préalable de se moquer de moi tout de même. Amie, mais pas faux-cul. Elle ne refusait jamais un bon fou rire, et moi non plus. Cette soirée ne faisait pas exception et j’éclatais de rire lorsque la jolie brune répondit à ma proposition d’exhibitionnisme au bar. « Hum… Je suis pas sûre que ça puisse marcher, parce que mes seins, il les as déjà vu ! ». Et voilà un nom que je pouvais ajouter à ma liste de « hommes qui ont couché avec Celio » que je lui offrirai le jour de son mariage histoire de bien déprimer son futur mari. Parce que oui, un jour je comptais bien assister à son mariage avec un vieux qu’elle aurait épousé pour l’argent pendant qu’elle continuerait d’alimenter cette liste dans son dos. J’y crois ! « Comme je suis… PAS étonné. De toute façon, qui n’a pas vu tes seins dans cette ville à part moi ? » finis-je par répondre, l’air faussement outré. Et à la fois un peu déçu, parce que fut une époque moi aussi j’aurais bien aimé avoir la chance de voir Silo’ sous un autre angle que celui d’amie bourrée de bar. Mais je tendais à croire qu’on avait une si… forte relation seulement parce qu’on n’était pas assez con pour coucher ensemble et gâcher ça. Après tout c’est difficile d’apprécier d’entendre parler des frasques sexuelles des personnes avec qui on a déjà passé une nuit torride, n’est-ce pas ? Voilà pourquoi on était restés que bons amis. Ce qui ne m’empêchait pas de me rincer l’œil à chaque fois que j’en avais l’occasion, et de tenter de temps à autre un petit rapprochement corporel. Le tout, en sachant que ça n’irait pas plus loin.

En parlant frasque sexuelle, je lançais le sujet qui me turlupinait depuis que j’avais mis les pieds à New York quelques jours plus tôt. Même à l’autre bout du pays, je me tenais au courant des potins de Town Square, le premier concernant la possible monogamie de Siloë. Elle répondit enfin à ma question : « Je dois être plus dingue que ce que tu croyais dans ce cas ! ». Je riais en haussant les sourcils, surpris de sa réponse. Moi qui pensais cela impossible d’être plus dingue que ce que j’avais pu voir. Le serveur revint enfin et j’acceptais mon verre en attendant une réponse plus honnête de la part de mon ami. Elle ouvrit enfin la bouche lorsque j’en prenais une première gorgée. « Je me suis mise avec Ethanaël. Tu te souviens de lui ? Le grand sportif, brun, enfin mon meilleur ami quoi. ». J’avalais ma gorgée de travers et commençais à cracher mes poumons en entendant le fin mot de l’histoire. C’est ce que j’avais cru entendre depuis la Grosse Pomme, mais en avoir la confirmation me faisait encore plus mal au cul. Je toussotais encore une dernière fois avant de finalement reprendre la parole, effaré par ce que je venais d’entendre. « T’es pas sérieuse j’espère ? Ethan ? De tous les mecs de cette putain de ville tu le choisis lui ? Même le barman Monsieur ‘’J’ai déjà vu tes seins’’ serait mieux que lui ! » dis-je en montrant du doigt le fameux serveur dont on parlait depuis tout à l’heure. Je secouais la tête, toujours aussi surpris par cette information, et reprenais. « Ce mec est une simple boule de muscle plus intéressé par le sport qu’il ne le sera jamais de toi. Les seules fois où je l’ai vu il m’a parlé comme à un chien. Et encore, on est généralement plus gentil avec. ». J’aurais tellement pu dire plus de saloperies sur lui, mais je me retenais. A la base je n’avais rien contre, bien sûr que non. J’avais toujours été le genre de mec à aimer tout le monde jusqu’à ce qu’on se comporte comme un enfoiré avec moi. Ce qu’Ethanaël avait fait. Je ne sais pas s’il était tout simplement con ou jaloux de moi, mais il avait été d’un irrespect sans précédant les rares fois où l’on s’était côtoyés. J’avais pris toutes les critiques possibles : physique, sexualité, attitude, goût. Rien de ce que je pouvais être, et aucune de mes convictions n’étaient à son goût. J’avais vite compris qu’il ne servait à rien que j’essaye d’être bon ami avec lui. Voilà pourquoi j’étais tellement dégouté d’entendre qu’il était en couple avec la seule personne que je ne voyais jamais vouloir se caser. Quitte à le faire, autant que ce soit avec un mec bien.

Je me retenais d’en dire plus, parce qu’après tout c’était le choix de Celio et elle avait bien le droit d’essayer la monogamie avec qui elle voulait. Du moment qu’elle savait que j’étais contre, que je pensais que c’était une mauvaise idée, et qu’elle n’aurait jamais mon approbation, tout irait bien entre nous. Et je me refusais d’entendre parler de leur vie de couple. J’en vomirais. Et les seules choses qui avaient le droit de me faire vomir était l’alcool ou la grippe. Les histoires de Silo’ n’en faisaient pas partie. Finalement, elle me reposa une nouvelle question. Cette fois-ci, moins choquante et qui emmènerait moins à la discorde entre nous deux. « Mais comment une patate comme toi as pu savoir cela ? » La patate t’emmerde, elle a ses sources. Non plus sérieusement les innombrables réseaux sociaux où je me trouvais m’avaient donné des brides d’informations qui, mises ensemble, avaient formé cette rumeur. Je suppose que d’autres personnes auraient pu m’en parler, mais je n’avais discuté avec personne sauf Siloë durant mon séjour à New York. Et après tout, vu le « scoop », ça n’allait jamais rester secret très longtemps. « La patate a mis un micro et des caméras chez toi, ça lui permet de savoir tout ce qu’il s’y passe. D’ailleurs je ne savais pas que tu faisais dans les plaisirs solitaires aussi. Plus de barman à te mettre sous la dent – ou sous la couette – que tu t’amuses seule ? » dis-je ironiquement pour adoucir l’atmosphère quelque peu tendue depuis que j’avais parlé de l’erreur monumentale que faisait Silo en essayant de se caser avec le dernier des imbéciles.
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MessageSujet: Re: → living young and wild and free   → living young and wild and free EmptyDim 29 Avr - 13:16

→ living young and wild and free 651821tumblrlubayjobaF1r31p20o1500

« Comme je suis… PAS étonné. De toute façon, qui n’a pas vu tes seins dans cette ville à part moi ? » me répondit-il de façon tout ce qu’il y a de plus spontané. Remarque qui me fit rire immédiatement. Je crois que désormais plus personne n’est étonné de quoique ce soit me concernant. J’ai ma réputation. Des fois, elle peut tout de même être assez compliquée à assumer, mais au final je vis avec. Après tout, personne ne m’avais mis un couteau sous la gorge pour faire ce genre de chose. Enfin. Je sais parfaitement que tout comme moi, Devon avait déjà eu des idées quelques peu déplacées à notre sujet. En même temps, je ne compte plus le nombre de fois où je l’ai remarqué en train de loucher dangereusement sur mon décolleté et je pense que dans quelques heures lorsque l’alcool aura bien fait son effet il ne me parlera plus en me regardant dans les yeux si vous voyez ce que je veux dire. « Rigole, mais y a plein de gens qui ont pas vu mes seins ! Quant à toi, ça peut s’arranger mon chou.. » ajoutais-je alors tout en haussant les sourcils. Je ne sais pas du tout pourquoi je viens de lui dire cela, mais vu la suite de la conversation il ne va plus trop pouvoir ce faire des idées.

Puisque oui, du manière assez rapide, il me demande de confirmer les certaines rumeurs qu’il a pu entendre lorsqu’il était à New-York. Evidemment il avait dû entendre ça. Ca a déjà fait le tour de la ville en moins de deux jours alors, à l’heure qu’il est, tout les Etats-Unis doivent être au courant désormais. Le sujet de ma nouvelle monogamie l’intrigue sincèrement et je sais que de toute façon à lui je peux tout lui dire. Je sais d’avance qu’il ne va pas aimer, mais je suis carrément incapable de lui mentir. Il est pratiquement le seul réel ami que j’ai ici et je ne peux pas lui mentir sur ma vie, oui ça ce n’est pas réellement envisageable. Je finis donc par lui avouer que je suis désormais en couple avec mon meilleur ami, Ethanaël. Et sans que j’y comprenne quoique ce soit, je le vois s’étouffer avec son verre. Je lui tape doucement sur le dos tout en ajoutant : « Ca t’étonne à ce point-là ? ». Mais je sais bien qu’en réalité le problème n’est pas là. Il reprend lentement sa respiration et en attendant de pouvoir parler me fixer de son grand regard brun tellement expressif. « T’es pas sérieuse j’espère ? Ethan ? De tous les mecs de cette putain de ville tu le choisis lui ? Même le barman Monsieur ‘’J’ai déjà vu tes seins’’ serait mieux que lui ! » me dit-il d’un seul coup. Je m’attendais à une réaction de ce genre et n’est donc pas du tout surprise, malgré tout, je ne m’attendais pas à ce qu’il me dise cela enfin de cette façon. Sans que je ne puisse ouvrir la bouche, il enchaine. « Ce mec est une simple boule de muscle plus intéressé par le sport qu’il ne le sera jamais de toi. Les seules fois où je l’ai vu il m’a parlé comme à un chien. Et encore, on est généralement plus gentil avec. ». Au moins ça à le mérite d’être clair. Je dois avouer que je ne sais pas du tout pourquoi ils ne peuvent pas s’encadrer les deux là. On avait passé une soirée ensemble une fois, dans le bar où travaille Ethanaël, et depuis ils ne peuvent plus s’encadrer. Ils m’énervent parfois ce n’est pas possible. « J’ai jamais été aussi sérieuse Devon ! Je sais que tu ne l’aime pas, mais moi je l’aime bien. Ca paraît dingue, mais je suis bien avec lui… » avouais-je alors l’incitant en même temps à garder pour lui tout ce qu’il pouvait penser au sujet d’Ethanaël.

« Je sais que ça te plaît pas, mais t’inquiète pas mon petit chou, je viendrais toujours écumer les bars avec toi ! Enfin quand tu seras dans le coin. » lui dis-je tout en haussant les sourcils comme pour éviter de trop s’étaler sur le fameux sujet de mon couple qui apparemment ne lui plaît pas du tout. Bon je sais parfaitement pourquoi, donc on ne s’avancera pas plus sur le sujet. Malgré tout je ne peu m’empêcher de rire tout en avalant une gorgée de mon verre. « Et toi alors ? C’est quand que tu nous ramène une Madame Griffinth ? » lui demandais-je alors en gardant mon grand sourire. J’ai presque envie d’exploser de rire. Je n’ai jamais vu Devon en couple et j’ai un peu de mal à l’imaginer avec une fille de façon tout ce qu’il y a de plus stable. Cela ne fait pas très longtemps que je le connais et pourtant je peux déjà affirmer qu’il n’est pas du tout fait pour ça.

Finalement, je finis par lui demander comment il a pu savoir que j’étais en couple alors qu’il était à New-York la plus grande partie de son temps. C’est d’ailleurs assez agaçant parfois. Je ne prévois jamais ce que je vais faire de ma journée et parfois j’ai envie de le voir comme ça sans raison et il finit par me dire qu’il n’est pas ici. Je dois avouer que parfois ça me tape légèrement sur le système. Enfin. « La patate a mis un micro et des caméras chez toi, ça lui permet de savoir tout ce qu’il s’y passe. D’ailleurs je ne savais pas que tu faisais dans les plaisirs solitaires aussi. Plus de barman à te mettre sous la dent – ou sous la couette – que tu t’amuses seule ? » me dit-il alors de façon assez ironique ce qui me fit, de nouveau, sourire. L’humour. Cela était la base de notre amitié et ce depuis le début. Je crois que je n’ai jamais été très sérieuse en sa compagnie. Les blagues et les paris ça nous connaît plutôt bien. Sa réponse pourrait en choquer plus d’un, mais moi pas réellement. « Ah c’est donc à toi la petite caméra au-dessus de ma télé ? » lui dis-je alors en riant doucement. « On est jamais mieux servie que par soi-même mon petit ! Et puis maintenant c’est finis les multiples amants… Je sais, ce n’est pas du tout crédible, mais bon va falloir que je me calme. » dis-je alors en haussant les épaules.

« Mais parlons peu, parlons bien. Avant une heure, tu dois aller récupérer le numéro de cette femme ! » lui dis-je alors tout en me postant à côté de lui pour lui indiquer la fameuse victime. Il s’agissait d’une femme d’une cinquantaine d’année, qui aurait pu être ma mère. Une couguar entouré par trois jeunes hommes d’une vingtaine d’année. Autant dire que j’ai hâte de voir comme il va nous faire tout cela.
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Devon S. Griffinth
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MessageSujet: Re: → living young and wild and free   → living young and wild and free EmptyMer 6 Juin - 23:48


Je recevais le choc de ma vie en entendant la confirmation du couple Ethan/Siloë. « Ça t’étonne à ce point-là ? » me demandait-elle alors que je m’étouffais. Question rhétorique, je ne prenais pas la peine d’y répondre et expliquais plutôt en quoi je trouvais cette union ridicule et sans lendemain. La principale raison étant qu’Ethan était le dernier des connards et que Celio méritait beaucoup mieux. Mais bon, mon avis ne semblait pas l’atteindre plus que ça vu qu’elle tentait de me raisonner et de m’expliquer la situation. Je faisais semblant de ne pas écouter et regardais ailleurs. « J’ai jamais été aussi sérieuse Devon ! Je sais que tu ne l’aime pas, mais moi je l’aime bien. Ça paraît dingue, mais je suis bien avec lui… » me racontait-elle. Je comprenais bien qu’elle était attachée à lui, et c’était tout à son honneur. Mais il ne fallait hélas pas qu’elle s’attende à mon approbation. J’avais peut-être l'air du grand frère qui essaye de protéger la vertu de sa petite sœur en lui trouvant un homme bien qui la traitera telle une princesse, mais peu importe. On avait beau avoir l’air de simple « potes de bar », pourtant j’avais un profond attachement pour la jolie brune et je savais au plus profond de moi qu’elle méritait mieux. Après, si ça la rendait heureuse… Je ne dis mot, évitant de redire une autre vacherie sur son imbécile de nouveau copain. Elle continua. « Je sais que ça te plaît pas, mais t’inquiète pas mon petit chou, je viendrais toujours écumer les bars avec toi ! Enfin quand tu seras dans le coin. » Je souris à cette information et levais mon verre comme pour fêter ça. C’est vrai qu’au fond j’avais peut-être peur de simplement perdre mon amie maintenant qu’elle se lançait dans une relation sérieuse et monogame. Niveau relationnelle on se ressemblait assez avec la jeune femme. On aimait bien profiter de notre jeunesse en écumant les bars à la recherche de notre prochaine conquête. Je m’attendais à ce qu’on finisse nos vieux jours toujours célibataires à draguer les autres vieux dans la maison de retraite. Et voilà qu’elle changeait nos plans et se casait. Quelle horreur. Ça aurait pu me donner envie de réfléchir à ma propre situation et me donner envie de me poser avec quelqu’un moi aussi… Mais du tout. Surtout quand je savais que la relation dans laquelle Silo se lançait était aussi vouée à l’échec.

Bien sûr le sujet changeait rapidement et se dirigeait vers moi comme je l’avais prévu. « Et toi alors ? C’est quand que tu nous ramène une Madame Griffinth ? » Combien de fois j’avais droit à cette question ? Elle venait rarement de la miss Hurtlake, mais le reste de mon entourage semblait toujours surexcité à l’idée de me voir trouver la femme de ma vie. Je me plaisais à leur rappeler que rien ne garantissait que ce serait une femme et pas un homme. « Et pourquoi pas un autre Monsieur Griffinth plutôt ? » demandais-je en sirotant mon verre, légèrement provocateur. « Vous êtes tellement insupportables vous les femmes que si un jour je devais choisir quelqu’un avec qui partager le reste de ma vie, ce serait très probablement un homme. » continuais-je, sûr de moi. Je disais simplement ça pour faire la conversation, mais au fond j’avais le sentiment que c’était vrai. J’adorais les hommes, et j’adorais les femmes. Mais à la longue je savais avec qui je m’entendais le mieux, dans la vie comme au pieu. Et si jamais, au grand jamais, la folie me prenait un jour de vouloir devenir monogame, ce serait très certainement avec un homme. Enfin sauf si Celio se rendait finalement compte qu’elle était folle de moi et qu’elle voulait m’épouser. Là ce serait l’exception à la règle, parce qu’on était tellement identique, et nos enfants seraient tellement parfaits que je ne pouvais pas me permettre de louper cette occasion. Ce serait un crime contre l’humanité.

Nous finissions par parler des informations qui m’avaient mené jusqu’à la rumeur de son couple. Et là commençait un large délire où peu de personne aurait pu rentrer dedans. Heureusement pour nous, nous avions le même cerveau et communiquions très bien dans ce genre de contexte. « Ah c’est donc à toi la petite caméra au-dessus de ma télé ? On est jamais mieux servie que par soi-même mon petit ! Et puis maintenant c’est finis les multiples amants… Je sais, ce n’est pas du tout crédible, mais bon va falloir que je me calme. » Je riais en la voyant rentrer dans mon jeu, et faisais semblant de verser une larme en l’entendant parler de sa monogamie naissante. « Fais-moi penser d’enlever la caméra, je n’ai pas envie de tomber sur vos ébats sexuels à toi et à l’autre. » lançais-je avec sérieux avant de reprendre plus ironiquement : « Par contre dès que c’est terminé fais-moi signe que je la rebranche. ». J’accompagnais mes paroles d’un clin d’œil, et finissais mon verre d’une traite.

Et là, la soirée commençait vraiment lorsque ma compagne me lança un magnifique défi. « Mais parlons peu, parlons bien. Avant une heure, tu dois aller récupérer le numéro de cette femme ! ». Je dirigeais mon regard vers la femme en question, et éclatais de rire en la voyant. De toutes les personnes de la pièce il avait fallu qu’elle me propose la seule cougar déjà entourée de pleins de mecs. Je m’humectais les lèvres, lançais un large sourire à Celio, et répondais fièrement : « Challenge accepted ! » . Je regardais encore quelques instants ma proie, et réfléchissais à l’angle à adopter pour réussir ma mission. Elle avait beau être bien entourée, elle ne semblait pas plus charmée que ça par ses compagnons. Je n’avais qu’à montrer que j’avais quelque chose en plus.

Je me levais finalement de ma place, déposais un baiser sur les cheveux de Siloë et me dirigeais vers la cougar qui n’attendait que moi. Je sentais le regard de la jeune femme dans mon dos lorsque j’atteignais enfin ma victime. « Excusez-moi, mais qu’est-ce qu’une magnifique femme comme vous fait entourée de jeunes hommes aussi peu charismatiques ? Laissez-moi vous offrir un verre. » lançais-je avec toute la franchise et la fierté que j’avais. Les hommes étaient bouche bée devant si peu de respect pour eux, et la femme avait haussé les sourcils, surprise. J’eus à attendre quelques secondes avant qu’elle ne daigne réagir à mon offre en me tendant la main pour que nous nous éloignions des autres. J’avais déjà gagné son attention. Je commandais deux verres au bar, et dirigeais ma nouvelle compagne vers une petite table proche du bar, mais tout de même à proche distance de Silo pour qu’elle puisse admirer à quel point je rendais honneur à sa mission. Très rapidement, la cougar me fit remarquer qu’elle me connaissait, qu’elle m’avait vu à la télévision. J’adoptais le profil de l’homme qui était lassé de n’être reconnu que pour son image à l’écran et voulait que le monde apprenne à le connaitre pour qui il était vraiment. Mais au lieu de parler de moi comme elle s’y attendait, je préférais rediriger la conversation vers elle. Plusieurs minutes s’écoulèrent où elle me raconta qu’elle s’ennuyait à Town Square et que les belles rencontres se faisaient rares, du moins jusqu’à mon arrivée. L’affaire était dans le sac. Hélas voilà bien dix minutes que j’avais quitté ma compagne initiale et je sentais le besoin de m’éloigner de cette femme ou sinon je finirais très certainement abusé dans la chambre d’hôtel la plus proche. J’attendais qu’elle finisse son histoire, et prenais la parole poliment : « Aussi charmante cette conversation peut-elle être, je suis à l’origine venu avec mon amie là bas, et la pauvre n’a pas votre beauté et ne peut hélas pas espérer qu’un jeune homme vienne lui tenir compagnie. Je me dois de retourner à elle. Cependant, vous pourriez me donner votre numéro et je promets que je vous réserverai un soir à vous et vous seule pour que nous puissions… faire plus ample connaissance… » demandais-je, gentleman. Elle m’écrivit en gros sur l’avant-bras son numéro, et je pouvais retourner à ma table, la tête haute.

Je me posais devant Siloë, et attendais de recevoir mes applaudissements tant mérités.
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MessageSujet: Re: → living young and wild and free   → living young and wild and free EmptyMar 26 Juin - 16:27

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« Mais parlons peu, parlons bien. Avant une heure, tu dois aller récupérer le numéro de cette femme ! ». Et la soirée pouvait enfin commencer ! C’est une sorte de rituel entre nous, dès que l’on ce retrouve uniquement tout les deux et particulièrement lorsque c’est dans un bar, on ce lance des défis. Cela commence toujours gentiment comme le mien par exemple, mais en général plus les heures défilent, plus les défis deviennent débiles. Pour preuve, la dernière fois, je me suis retrouvée obliger à monter sur le bar pour entamer une danse plutôt sexy. Enfin obligé. Il ne me met pas un couteau sous la gorge non plus, mais je déteste tellement perdre qu’il sait parfaitement que je ne refuserais jamais rien. Et la danse sur le bar n’est pas forcément le truc le plus tordu qu’il a réussi à me faire faire. Je dois avouer que moi aussi je me lâche de temps en temps. Et ce soir, je veux absolument le voir draguer cette charmante femme couguar. Il finit par accepter et ce lève de sa place, plus décidé que jamais ce qui me fait doucement rire. Discrètement, je change quelque peu de place afin de pouvoir observer mon ami. Je cache mon sourire derrière mon verre tandis que Devon tente une première approche. Je dois avouer que le spectacle vaut le détour. Le beau brun détonne carrément aux côtés de cette femme qui doit avoir bien plus de la quarantaine et qui fait les yeux doux à des pauvres idiots d’une vingtaine d’année. Trop loin pour entendre la moindre conversation, je ne perds tout de même pas une miette de ce qui se déroule sous mes les yeux. Un blondinet viens s’asseoir à mes côtés, mais je ne lui prête pas tellement attention ce qui semble le déranger quelque peu. « Je suis accompagnée ! » lui dis-je tout en lui indiquant d’un signe de tête Devon en train de faire des ronds de jambes à cette femme. L’homme à mes côtés me regarde bizarrement et s’en va en marmonnant visiblement déçu de ne pas avoir attiré mon attention. Et alors que je haussais les épaules, Devon revint vers moi un immense sourire sur les lèvres. D’un seul coup, il pose son avant bras devant moi et j’aperçois un numéro de téléphone écrit au marqueur. Je ne peu m’empêcher d’exploser de rire et dépose un baiser sur la joue de Devon. « Je t’admire ! » lui dis-je alors entre deux éclats de rire. Il avait brillamment gagné son pari.

A la suite de cela, je lui lance un nouveau pari débile, décider à ne pas être le seul dans cette histoire, il me fait enchaîner les verres m’accompagnant par la même occasion. Le patron du bar semble plus heureux que jamais de nous voir dans son établissement ce soir et finis même par nous offrir une tournée. Les heures, les fous rires, les verres et les paris stupides s’enchaînent sans que l’on s’arrête. Certaines personnes nous regardaient bizarrement tandis que d’autres s’amusaient de notre énergie folle. Je ne sais pas quelle heure il est désormais, mais je sais que j’ai quelques verres de trop dans le sang. Ma démarche ce veut moins assurer et je parle de plus en plus fort. Devon quand à lui est a moitié mort. Avachis sur sa chaise, il a la tête posée sur la table un verre toujours serré dans sa main. Je l’entends fredonner une chanson et décide de le réveiller. Je le taquine gentiment avant de poser une main sur sa cuisse, proche de son entre jambe, ce qui a le don de le faire émerger. « Hé Devon, j’ai une question ! » lui dis-je alors pour le faire bouger, réagir, enfin n’importe quoi. J’ai pas envie de voir ma patate s’endormir sur la table d’un bar et puis la soirée est pas fini bordel. Mais il ce fait tout de même un peu long à la détente, voir très long même. Je me rapproche alors de lui et pose ma tête sur son épaule avant de venir lui murmurer : « J’ai dit, j’ai une QUESTION. ». Oui quand je suis bourrée j’ai tendance à parler fort, voir un peu trop fort même, mais au moins il ce relève. Bon entre temps, il m’a foutu un coup, mais je suis un peu trop imbibée pour prendre conscience de la douleur et puis de toute façon, j’ai cette stupide question qui me reste en tête et je veux absolument lui poser. Je le regarder ce passer une main sur le visage et me dévisager comme si j’étais soudainement devenue une femme étrange à la peau verte. Et pendant qu’il porte son verre à ses lèvres, je me décide à poser ma fameuse question. « En vrai, tu préfère être pris ou prendre ? » lui demandais-je d’un seul coup, faisant bien entendu allusion à ses tendances sexuelles. Il ne lui en faudra pas plus pour littéralement cracher ce qu’il venait d’avaler et s’étouffer avant de me jeter un regard surpris, ce qui a le don de me faire exploser de rire. J’avoue que je ne sais pas du tout pourquoi je tiens à savoir ça, mais avec Devon nous sommes du genre décomplexé. Je sais qu’il couche avec des hommes et pour tout dire je m’en fiche totalement, tant qu’il est heureux moi ça me va, mais on a jamais réellement parlé de ça alors que moi je lui raconte constamment ce que je fais avec mes conquêtes. C’est avec un sourire fière que je finis par lui dire « Bah quoi c’est HYPER important, je veux savoir moi !!! ». Je suis grave.

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