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 - La limite est la seule frontière que l'on décide de se mettre - Aleyna & Maëlys

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MessageSujet: - La limite est la seule frontière que l'on décide de se mettre - Aleyna & Maëlys   - La limite est la seule frontière que l'on décide de se mettre - Aleyna & Maëlys EmptyJeu 8 Mai - 11:39

Aleyna & Maëlys
«Vis pour ce que demain a à t’offrir et non pour ce que hier t’a enlevé»




Je n'étais pas du genre à m'inquiéter facilement. Mais cela faisait plusieurs jours que je n'avais pas la moindre nouvelle d'Aleyna et que je ne parvenais pas à la joindre. Et ça, ce n'était pas tout à fait normal. A vrai dire, j’avais tendance à m’inquiéter plus facilement dès qu’il s’agissait d’elle. Elle était en quelques sortes une petite sœur, une protégée, pour moi… Son histoire me rappelait un peu la mienne. Enfin, surtout son rapport à la danse. Je me revoyais, quelques années auparavant, lorsque j’avais du arrêter le patinage. Sauf que contrairement à elle, je n’avais pas eu le choix. Mais le fait était qu’elle ne voulait plus re-danser, ce que je trouvais, personnellement, vraiment dommage. Même si j’avais eu exactement la même attitude. Mais avec le recul, je réalisais que  j’aurais aimé qu’on me pousse à dépasser ma peur de remonter sur la glace, qu’on m’encourage à reprendre le patinage. J’aurais sans doute fini par le faire… Sauf que maintenant, après presque 10 ans sans patiner, je ne me voyais vraiment pas m’y remettre. Et je ne voulais pas que les choses prennent la même direction avec elle. Je m’étais donc mis en tête de tout faire pour l’inciter à danser à nouveau et surmonter ses craintes. Elle le pouvait, j’en étais certaine ! Et je l’avais donc prise sous mon aile. Parce que, de toute façon, son histoire m’avait touché. Alors, si je pouvais l’aider, même un tout petit peu, j’allais le faire. Surtout que j’avais vu, le matin même, une annonce pour une audition de danse. C’était parfait. L’occasion idéale pour Aleyna de reprendre la danse et retenter sa chance. C’était une superbe opportunité qui pouvait lui ouvrir de nombreuses portes… Alors je n’allais pas la laisser passer à côté de ça.

Après un nouvel appel – auquel je n’eus pas de réponse – je décidais de filer chez elle. C’était de loin la meilleure solution pour la voir et la convaincre de tenter le coup. Ce serait sans doute plus efficace que de simples échanges par sms ou un appel. Et puis, elle était peut-être en train de passer à côté de quelque chose, voire en train de rater sa vie… Si c’était son rêve, elle devait tout faire pour le vivre jusqu’au bout. J’en savais quelque chose… Après tout, avant cette foutue chute, j’avais fais – et remporté – de nombreuses compétitions… De toute évidence, je ne m’en sortais pas trop mal et me destinais même à une carrière dans le patinage artistique… Le destin en avait juste décidé autrement. Mais les choses n’étaient pas encore jouées pour elle… Tout pouvait encore changer. Cela ne dépendait que d’elle. Ainsi, je pris la route et rejoignais le quartier où elle vivait, espérant lui faire entendre raison. Une fois devant chez elle, je frappais quelques coups à sa porte, espérant qu’elle serait là et qu’elle ouvrirait. Parce que, clairement, si ce n’était pas le cas, j’allais vraiment m’inquiéter. Elle semblait parfois tellement fragile que j’aurais peur qu’elle ait pu faire une bêtise. Mais non… ne pensons pas à cela ! Il n’y avait aucune raison pour qu’elle agisse ainsi… J’attendais donc sagement devant la porte qu’elle vienne m’ouvrir. Et puis, même si je n’arrivais pas à la faire changer d’avis, passer un moment ensemble, entre amies, ne pouvait que nous faire du bien !



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MessageSujet: Re: - La limite est la seule frontière que l'on décide de se mettre - Aleyna & Maëlys   - La limite est la seule frontière que l'on décide de se mettre - Aleyna & Maëlys EmptyDim 11 Mai - 23:02





la limite est la seule frontière que l'on décide de se mettre


Assise en tailleur sur mon canapé, je fixe la télé devant moi. Une série débile est en train d’être diffusée. Cela ne m’intéresse même pas. En réalité, je m’en fiche totalement. De toute manière, plus rien ne m’intéresse en ce moment. J’ai l’impression de vivre au ralentit. Cela fait des mois que je ne dors que deux heures par nuit. Le reste du temps je fais des cauchemars. J’imagine l’accident de mes parents. Je rêve que mon frère est lui aussi décéder. Cela me perturbe tellement. Je n’ai plus de nouvelle de Maël depuis plus de six mois. Nos parents sont morts et lui il a littéralement disparu de la surface de la terre. Il me manque tellement. Enfin. Je n’en sais trop rien dans le fond. Parce que plus les jours passent, plus je me dis que je le déteste en réalité. Il n’avait pas le droit de me laisser seule de cette manière. J’avais cruellement besoin de lui. J’avais besoin de l’entendre me dire que tout ira bien que l’on finira par s’en sortir tous les deux. Aujourd’hui je suis là. Toute seule dans la maison que nous avons occupé tous ensemble auparavant. Je sais que je devrais vendre cette maison, mais je n’y arrive pas. C’est chez moi ici. Alors même si la chambre de mes parents et celle de mon frère sont désormais des endroits condamnés, je n’ose pas vendre. Ce serait perdre la dernière chose qui me rattache à mon ancienne vie. Cette vie où je me sentais tellement heureuse. Je dansais pour vivre et ma famille était tout ce qu’il y avait de plus important pour moi. Aujourd’hui tout est flou. Je ne sais plus vraiment quoi faire de ma vie. Je me sens perdue. Je fixe encore la télé jusqu’à ce que mon téléphone ce mette à vibrer sur la table basse. Je pense à l’ignorer, mais je me dis que cela pourrait être Mathéo. Alors j’attrape le mobile et regarde l’écran. Un texto de la part de Saoirse. Saoirse… Cela doit bien faire un mois que je ne l’ai pas vu. J’ai connu la jeune femme il y a de cela quatre ans. Elle a ouvert un disquaire en ville et je me souviens m’être presque ruée dans sa boutique le jour de l’ouverture. J’avais envie de faire des découvertes musicales et mon dieu. Je n’ai jamais été déçue avec tout ce qu’elle a pu me proposer. Au fur et à mesure, on a commencé à devenir amie. Aujourd’hui je peux facilement dire qu’elle est ma meilleure amie. Mais depuis quelques temps, je la rejette quelque peu. Et ce soir je fais exactement la même chose. Je ne veux pas la voir. Je veux rester seule.

Je me remets à zapper devant la télévision. Il y a vraiment que des trucs débiles de nos jours. Je crois que je vais aller me coucher. Il ne me reste plus que cela à faire de toute manière. Enfin… Je ne dors qu’une ou deux heures par nuit. Jamais bien plus. Je fais toujours des cauchemars. Tous plus pire les uns que les autres. Alors je préfère encore regarder les débilités qui défilent dans ma télé. J’allais jeter la télécommande quand j’entends que l’on sonne à ma porte. Je soupire, mais on sonne de nouveau. Je n’ai pas envie, mais bon… Je crois que je n’ai plus le choix, il va falloir que j’aille ouvrir. Je passe une main dans mes cheveux et je finis par ouvrir la porte pour me trouver face à : « Maëlys ?! » Qu’est-ce qu’elle vient faire là ? Franchement, je n’ai plus envie de sortir ce soir. « Qu’est-ce que tu viens faire là ? »

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MessageSujet: Re: - La limite est la seule frontière que l'on décide de se mettre - Aleyna & Maëlys   - La limite est la seule frontière que l'on décide de se mettre - Aleyna & Maëlys EmptyLun 19 Mai - 21:48

Aleyna & Maëlys
«Vis pour ce que demain a à t’offrir et non pour ce que hier t’a enlevé»




Même si la situation d’Aleyna me rappelait ma vie à un certain moment, ce n’était vraiment pas comparable. Je n’avais pas perdu d’être cher. J’avais simplement du arrêter la danse à cause d’une mauvaise chute… Alors que ce qu’avait vécu Aleyna était dix fois pire. Mais malgré tout, je pensais à ce que j’avais vécu. Avec le recul, je regrettais que personne ne soit venu me secouer, me pousser à passer outre ma peur de remonter sur la glace… Les années s’étaient ainsi écoulées. Et plus de 10 ans après, c’était désormais totalement exclu, pour moi, de patiner à nouveau. Et je ne voulais pas qu’il en soit de même pour la jeune femme. Certes, ce qu’elle vivait était loin d’être simple… Mais j’étais certaine que la danse pouvait l’aider à surmonter cela. Beaucoup de personnes se réfugiaient dans une passion, lors de difficultés… Et ça les aidait généralement à aller mieux. J’avais donc la ferme intention de pousser Aleyna à se reprendre en main. Parce qu’il était clair qu’il y avait un certain laisser-aller, qui pouvait toutefois s’expliquer. Mais ce n’était pas la solution. Et j’étais là pour le lui faire comprendre et la faire réagir. Pourtant, cela risquait de ne pas être tâche aisée. Je n’étais personne pour elle… Une amie tout au plus. Etait-ce suffisant pour l’influencer et lui redonner goût à la vie ? Pas sûr du tout. Mais je ne pourrais le savoir vraiment qu’en essayant. Je n’avais de toute manière rien à y perdre. Et j’avais vraiment envie de la faire sortir de cette mauvaise passe. Ou du moins, de lui apporter autant que possible mon soutien…

Ainsi, après plusieurs jours sans nouvelles de sa part – et ayant eu vent d’une audition de danse à venir – j’avais décidé de venir directement chez elle. C’était osé et culotté, mais qu’importe ! Si cela pouvait faire avancer les choses, ça me convenait ! « Maëlys ?! » Je souris doucement, voyant bien qu’elle semble surprise de me voir. Et pas spécialement enjouée… Cela ne s’annonçait vraiment pas simple. « Salut Aleyna ! » lançais-je avec un grand sourire, espérant qu’elle n’allait pas me refermer la porte au nez. Au moins, elle m’avait ouvert et semblait aller bien. Du moins, pas de quoi m’inquiéter outre mesure, malgré le fait qu’elle ne donnait aucun signe de vie jusqu’à présent. « Qu’est-ce que tu viens faire là ? » Elle semblait vraiment sur la défensive et je n’aimais pas trop ça. J’avais vraiment peur qu’elle n’apprécie pas ma démarche, voire même qu’elle devienne encore plus renfermée et distante. Manquerait plus que ça, tiens ! « J’ai essayé de t’appeler à plusieurs reprises et comme tu ne répondais pas, je commençais à m’inquiéter. J’ai juste voulu m’assurer que tu allais bien… Et éventuellement passer la soirée avec toi… Ca te changerait un peu les idées, je crois… » répondis-je en redoutant sa réaction. De toute façon, c’était pour elle. Qu’elle accepte ou pas ma présence, cela ne changerait rien pour moi. J’espérais juste arriver à rendre sa vie un peu plus agréable… « Comment vas-tu ? Je ne te dérange pas au moins ? » demandais-je après coup, affichant toujours un doux sourire. J’espérais trouver les mots pour la rassurer et l’aider autant que possible. Que ce soit en la poussant à reprendre la danse, ou simplement par un soutien amical. Cela pouvait peut-être suffire à lui faire sortir la tête de l’eau. Car, quoi qu’il en soit, ce qu’elle vivait devait être affreusement difficile et douloureux, et je ne pouvais pas rester insensible à cela.


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