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 Teenagers (flashback) - ft Shawn Anderson

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MessageSujet: Teenagers (flashback) - ft Shawn Anderson   Teenagers (flashback) - ft Shawn Anderson EmptyLun 3 Fév - 20:30




Teenagers.


They said all teenagers scare the living shit out of me
They could care less as long as someone'll bleed
So darken your clothes or strike a violent pose
Maybe they'll leave you alone, but not me.


La plupart des ados trouvent le lycée totalement génial, et se rappellent avec plaisir les années qu’ils ont passés coincés entre quatre murs, à idolâtrer le quaterback ou la pom pom girl qui vont invariablement finir roi et reine du bal de promo. Ca, c’est pour la majorité. Le petit problème, c’est que ça implique une minorité. Les intellos, les matheux, les coincés, les nerds. Et moi.
Pour moi, le lycée est un instrument de torture moderne le plus efficace et le plus vicieux qu’on ait jamais inventé. A côté, les supplices les plus raffinés des chinois ressemblent à des vacances en cinq étoiles par rapport à ce que consiste mon quotidien. Le lycéen déteste ce qui sort de la norme. Il se veut ouvert d’esprit mais crache sur tout ce qui ne lui ressemble pas. Sans même se poser la question du « pourquoi » on ne lui ressemble pas. Différence = mal, un point c’est tout. Et c’est facile d’être normal quand on a pas d’autre souci que de savoir ce qu’on va faire le week-end suivant, ou si on va avoir une rallonge d’argent de poche pour s’acheter le dernier jean à la mode. Que le dîner est servi quand on rentre le soir, que ses darons s’inquiètent des notes du trimestre. Ils crachent quasiment tous sur ça, mais moi j’en rêve. Je rêve d’une vie normale, parce que ça serait synonyme de paradis pour moi.

Ma vie à moi ? Une telenovela qu’on pourrait trouver ridicule de l’extérieur, mais j’en suis un des personnages principaux. Ma mère est connue comme le loup blanc dans le coin, toxico et alcoolo, et surtout, sac à emmerdes. Elle nous a officiellement abandonnés il y a des années, et c’est tante Milly qui s’occupe de nous. Sauf que ça aurait été trop beau. A intervalles irréguliers, histoire qu’on ne puisse pas prévoir, mais toujours au plus mauvais moment, elle débarque pour taper des scandales, ou du fric, ou parfois les deux. Et ma tante n’arrive pas à lui dire non, se laissant toujours persuader, et lui donne l’argent des alloc dans l’espoir que c’est pour se sevrer, changer. Que des conneries. Ma mère est pourrie jusqu’à l’os, et à cause d’elle mes frangins et moi on doit se démerder avec rien. Si on a de la chance, c’est deux repas par jour. Si on en a pas ben… rien. Ou ce qu’on aura réussi à piquer ou récupérer. Certains vont aux entraînements d’équitation ou de natation, moi je compte les overdose de ma mère. Les fois où les flics l’ont ramassée bourrée dans la rue, j’en passe et des meilleures. Donc pas de blé = fringues pourries que je glane comme je peux, réputation de ma mère = je fais pitié. Cocktail gagnant pour vivre un lycée en or.

Chaque jour je m’y traîne, subissant les insultes et les moqueries. Alors je me suis fait une carapace. J’ai les cheveux bleus pour faire chier, pareil pour les fringues trop grandes que je prends au surplus de l’armée. Quitte à ne pas se faire accepter, autant le jouer à fond. Et afficher une façade de porte de prison, histoire de dissuader les autres de me parler. Pas de contacts, pas d’emmerdes.

Et ce matin, comme pour pas changer, je me traîne jusqu’à la prison officielle de tout mineur qui n’a pas encore fini ses études. Encore une nuit où j’ai dû dormir deux heures à tout casser, avant que toute la baraque commence à résonner de cris et que je tente tant bien que mal de rassurer les petits qui commençaient à flipper. Les heures passent, lentes, ennuyeuses, mais au moins c’est calme. Enfin, ça pourrait l’être si je me faisais pas jeter une boulette de papier, ou une gomme, de temps en temps. Comme on jette des cacahuètes aux singes. Je ne relève même pas, et subis le chapelet de douceurs à la cafétéria. Enfin, pendant que je passe à côté pour que les autres ne voient pas que j’ai rien à bouffer, comme souvent. L’alien, le monstre… pourtant, le peu de variantes m’étonne toujours.

Heureusement j’ai mon coin. Le toit du gymnase. J’ai réussi à avoir la clef du concierge, en échange du piratage de l’ordi de ce dernier pour avoir un accès illimité à son site porno préféré. Je m’allonge sur les tuiles plates, regarde les nuages et me sens enfin tranquille, du rock violent dans les oreilles. Ca aussi je l’ai eu chez le concierge : trouvé dans les vestiaires, en contrepartie d’un virus à éradiquer. Mon meilleur job, car depuis je ne le quitte plus. Sans ça je deviendrai folle. Mais bon, mon répit est de trop courte durée et je dois déjà retourner en enfer. Je tente de faire profil bas pour ne pas rajouter plus d’emmerdes sur le dos de tante Milly. C’est déjà une sainte cette bonne femme.

Enfin la cloche sonne, mes devoirs sont faits et je sors de là, casque sur les oreilles, pour retourner au pays des Bisounours qu’est ma maison. Comme d’habitude je passe derrière le gymnase pour couper par le stade, et m’épargner dix minutes de marche inutile. Sauf qu’au moment où je tourne au coin, je les vois, le groupe de primates pour qui m’emmerder est le passe-temps préféré. QI d’une huitre, mais popularité à son maximum.


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MessageSujet: Re: Teenagers (flashback) - ft Shawn Anderson   Teenagers (flashback) - ft Shawn Anderson EmptyMer 5 Fév - 18:30

Teenagers (scare the living shit out of me)


« Hey Hamilton ! Les genoux de ta mère vont mieux ? Parce qu'avec c'que j'lui ai mis hier, les brûlures doivent l'emmerder ! »

Et hop, rendez-vous chez le dirlo. En même temps, il l'a cherché ce sale con. Qu'il me traite de tarlouze, qu'il s'amuse à me chouraver mes affaires dans les vestiaires et me force à me balader à poil pour les récupérer, inondés, dans les douches, qu'il m'enferme comme un connard dans un placard qui pue la javel parce que « ça me désinfectera », okay. Passe encore. Je lui défonce les tibias, mais passe encore. Mais qu'il parle de ma mère, ça non. Alors oui, je lui ai fait bouffer ses dents, je lui ai sûrement pété une côte, et il pourra plus s'asseoir sans repenser au point auquel je lui ai fait remonter son caleçon dans le cul. Sûr, maintenant je vais finir exclu, mais ça valait carrément le coup. J'ai tellement l'habitude de passer voir le vieux que j'y fais même plus attention, à deux doigts de poser mes pieds sur son bureau alors que je sais qu'il me hurle dessus dès que je le fais. J'acquiesce à tout ce qu'il dit, et même s'il voit bien que j'écoute pas un broc de ce qu'il piaille, il continue, comme si ça allait changer un truc. Il appelle encore une fois mes parents, qui travaillent et peuvent donc pas venir me chercher, et finit par me dire de dégager, comme quoi je serai mieux ailleurs, dans un endroit « pour les élèves comme moi », ceux qui posent problème d'après lui. Comme si moi j'causais des emmerdes. Okay, je suis peut-être pas le mec le plus calme du monde. Mais c'est pas moi qui les cherche, toutes ces conneries. « Vous n'êtes pas censés y répondre ». Mon cul ouais. J'aimerai bien l'y voir tiens, ça serait fun.

Encore dans l'enceinte du lycée, je sors mon paquet de clopes, ma coupure à la lèvre se rouvrant dès que j'y pose une dent, le sang collant au papier de la cigarette éteinte. Je traîne un bon moment du côté du stade, capuche rabaissée sur le crâne et sur ma mini-crête dont le vert commence à délaver. A une heure à peu près normale, quand je sais que mes parents vont pas tarder à rentrer à la baraque et que ça va encore chauffer pour ma gueule, je finis par me lever des gradins, attrape mon sac par l'une des lanières qui menace de lâcher au moindre coup sec. Et c'est là que je les entends. Les mêmes rires à la con qui résonnaient dans les couloirs juste avant que j'éclate l'autre abruti. Les mêmes insultes graveleuses lâchées devant chaque nana, juste pour les rabaisser. Les mêmes remarques de merde qui nous suivent en permanence, tant qu'on est dans cet enfer qu'est le bahut.


« Alors Davis, on s'promène ? C'est pas un peu risqué ? Il pourrait t'arriver plein de trucs, tu sais. »

Putain, quelle bande de merdeux. Même pas besoin de voir leur tronche pour savoir quel sourire ils affichent, celui du connard qui se prend pour un crack parce qu'il emmerde quelqu'un « de plus faible » quand il est en groupe, alors qu'en un contre un il finit gueule dans le pavé. Je pense qu'ils remarquent même pas que je me pointe derrière eux sans un mot, trop occupés à bousculer la miss. Même de loin, je peux direct donner au moins une des raisons pour laquelle ils viennent se défouler sur elle. Les cheveux teints d'une couleur autre que naturelle, c'est un arrêt de mort signé. Mes lèvres s'étirent en un sourire sanglant, littéralement, et un coup rapide en arrière de la tête fait tomber ma capuche.

« Jenkins, c'qui est arrivé à Jock McDouche c'matin a pas suffi ? T'es jaloux et tu veux bouffer ma semelle aussi ? »
« Eh bah Hamilton, ça vient défendre sa p'tite amie ? C'est p't'être pas une bonne idée d'vous laisser niquer, vous imaginez les gamins après ? On va avoir une génération de tarés, ça craint à mort ! P't'être qu'on devrait régler l'problème maintenant, ça aiderait pas mal... »
« Tu comptes causer encore longtemps, tafiolle, ou tu viens t'comporter en homme ? Allez, ferme ta gueule et viens t'battre, p'tite merde. On a pas fini c'matin, tu t'es barré avant. »

A la teinte rouge que prend sa face et aux veines sur son front, je crois que j'ai marqué des points. Les autres sont derrière lui, prêts à sauter aussi, et je sais parfaitement que je vais finir au sol, mais j'en ai un peu rien à foutre sur l'instant. Je sais aussi que je suis pas forcément en état de me battre encore aujourd'hui, mes phalanges sont en sang, ma main me tue toujours. La plupart des gens pensent que mettre une droite fait mal qu'à celui qui la prend, mais frapper un crâne, ça défonce.

Le reste est assez flou, trop habitué à ça pour vraiment faire la différence entre chaque fois où c'est arrivé. Tout ce qui ressort, c'est le fait que le sang tâche la pierre, ça et pas mal de bave aussi, ce qui est pas étonnant avec les coups qu'ont été échangés. Et avec un dernier coup de pied dans les côtes et un crachat qui m'évite de peu, ils se barrent en lançant des insultes toujours peu originales, me jurant qu'ils reviendraient, que « c'est pas fini, Hamilton ! Tu vas chialer ! ». Mouais.

Un rire franchit mes lèvres, et ça mélangé avec une toux assez forte me secoue tout le corps. Je suis sûr que quelqu'un d'extérieur à la scène penserait que j'ai des spasmes, mais sur le coup je me sens juste bien, même si je sais que je vais douiller comme un chien dès que mon adrénaline sera retombée.


codage par palypsyla sur apple-spring
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MessageSujet: Re: Teenagers (flashback) - ft Shawn Anderson   Teenagers (flashback) - ft Shawn Anderson EmptyJeu 6 Fév - 12:52




Teenagers.


They said all teenagers scare the living shit out of me
They could care less as long as someone'll bleed
So darken your clothes or strike a violent pose
Maybe they'll leave you alone, but not me.


Mon cœur bat plus vite alors que je vois cette bande de macaques en train de se tirer une clope derrière le gymnase, histoire de jouer aux grands. L’esprit grégaire basique du troupeau de bœufs. Je rentre la tête dans mes épaules et presse le pas, histoire de me barrer au plus vite.

- Eh Davies, si je te file dix dollars, tu fais comme ta mère et tu me suces ?

C’est trop, je peux pas laisser passer. Je veux pas jouer les terreurs, mais il faut que j’ouvre ma gueule.

- Demande plutôt ça à Lawson, ton petit copain, je suis sûre que tu rêves de lui faire le coup de la savonnette sous les douches après l’entraînement !
- Espèce de petite pute !
- C’est celui qui dit qui est, trou du cul !


Je sens qu’ils se rapprochent, et une main attrape la poignée de mon sac à dos pour me tirer violemment en arrière. Je tombe sur les fesses, et remarque que le troupeau de macaques m’entoure, avec un sourire malsain. Merde. Je jette un coup d’œil autour de moi mais il n’y a personne, à part ces connards. Je commence à avoir vraiment la trouille, le genre de trouille qui donne envie de vomir.

- Eh ben tu fais moins ta maligne Davies ! T’as intérêt à retirer ce que t’as dit, et tout de suite…
- Oh Lawson, je suis désolée que tu aies bandé mou la fois où Kirsty et toi vous vouliez vous envoyer en l’air…
- Espèce de…


Il se penche vers moi pour me frapper, mais j’ai du cul, j’ai mes rangers aux pieds. Je lui assène un bon coup dans les bijoux de famille, et je profite du fait qu’il s’effondre en avant pour trouver une issue et commencer à courir comme une tarée après avoir attrapé mon sac. Sauf que ces connards n’aiment pas qu’on s’attaque au macaque en chef, et quelques mètres plus loin, je me fais rattraper alors que j’essayais de retourner vers le lycée. Il me plaque contre le mur du gymnase, et deux commencent à me tenir les bras. Je sens que je vais me prendre une dérouillée sévère, un des meilleurs remèdes contre la grande gueule. Je vois son poing qui se serre et qui s’avance pour me porter un coup. Heureusement, j’ai de bons réflexes et j’arrive à bouger ma tête, le laissant frapper le béton. Calloway pousse un juron en se tendant le poing, et en sautillant sur place. Je souris, fière de mon exploit, mais je ne vois pas venir le coup de Coolson. Une gifle phénoménale qui fait siffler mon tympan droit et péter ma lèvre. Connard. Calloway repasse à l’attaque, rejoint par Lawson, qui a réussi à se remettre debout.

Petite salope, il est temps de te donner une leçon !

Il s’approche de moi, agrippe mon t-shirt et le déchire d’un coup sec. Là les choses tournent vraiment mal. J’essaie de me dégager mais ces connards sont nombreux, et forts en plus. Je suis coincée. Je sens une paire de mains qui commence à se poser sur ma poitrine, et à la palper sans douceur. Je serre les dents.

Eh ben c’est que t’es bien foutue, sous tes fringues pourries ! Ca serait dommage qu’on en profite pas !

Des rires gras se font entendre, alors que le type se rapproche de moi, ses mains se promenant sur mon corps. J’ai la nausée. Putain, à cause de ma grande gueule, je vais me faire passer dessus par la moitié de l’équipe de foot pour ma première fois. Génial. Je commence à trembler comme une feuille, et je suis prête à rendre les armes, voire à supplier, quand une voix se fait entendre. Je ne sais pas qui c’est, mais ce type vient juste de me sauver la vie. Comme si on avait agité une cape rouge, les deux bovins se tournent vers lui, alors que les deux autres restent à me plaquer contre le mur. J’entends un nom, « Hamilton ». Pas dans ma classe. Mais qu’est-ce qu’il fout là ? Les connards lui sortent des saloperies, j’en prends aussi pour mon grade, et il commence à frapper sur le premier. Ceux qui me tiennent ne savent plus trop quoi faire, et je profite de ce qu’ils soient paumés pour foutre un coup de boule dans la tête du premier, qui se recule, un peu sonné. Et en passant, lui aussi à droit à un sonnage de cloche entre les jambes. Un est out, vautré sur le sol comme une loque. Le suivant arrive à me retourner une droite, mais je lui rends la pareille. Et un coup d’œil rapide m’informe qu’il y a un vieux bout de tuyau le long du mur, paumé entre les hautes herbes. Je plonge en avant pour le choper, et je frappe le connard en plein dans le plexus. Il tombe en arrière, le souffle coupé. Je tourne alors la tête vers mon sauveteur, mais Lawson et Calloway sont à deux sur lui, et il ne peut pas lutter.

Je fonce sur eux comme une furie, j’en frappe un dans le dos, et l’autre dans les genoux. Putain qu’est-ce que ça fait du bien ! Quand ils comprennent qu’ils sont en sous-effectif, ils plient bagage en boitillant et gémissant. Hamilton est vautré sur le sol, en mode loque. Je me mets à genoux devant lui et je mets enfin un nom sur un visage. Il est plus vieux que moi, et a le même genre de look que moi, en version moins pourrie. Je l’ai croisé une fois ou deux, mais sans faire attention. Je pose ma main sur son épaule.

Wow mec… t’es mort? Tu… tu vas bien?

Je retourne vers mon sac pour en sortir une bouteille d’eau, que j’ouvre et j’en fais couler sur ce qui reste de mon tshirt. Avec, je lui tamponne légèrement le visage.

Je… merci. Ces… ces connards étaient… prêts à… bref. Mais pourquoi t’as fait ça ? T’es maso ou un truc du genre ? C’est ton kiff de prendre des baignes de la part de connards finis à cause d’une nana qui sait pas fermer sa gueule ?

Il commence à émerger, à sourire à mes conneries. Je lui fais boire un peu d’eau, et je l’aide à se relever.

Moi c’est Rose au fait… Rose Davies… mais tout le monde me connaît comme la fille de cette pute de Delinda Davies… Et toi, c’est Hamilton hein ? Eh tu vas pas mourir hein?

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