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 Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé.

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MessageSujet: Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé.   Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé. EmptyLun 1 Avr - 11:47


Quand on pardonne, on aime. Et quand on aime, la lumière divine descend sur nous... intothewild





Notre peur la plus profonde n’est pas d’être inapte, notre peur la plus profonde est d’avoir un pouvoir extrêmement puissant. C’est notre propre lumière et non notre noirceur qui nous effraie le plus. Nous déprécier ne servira jamais le monde et ce n’est pas une attitude éclairé de se faire plus petit qu’on est en espérant rassurer les gens qui nous entourent. Nous sommes tous conçus pour briller comme les enfants. Cette gloire n’est pas dans quelque uns elle est en nous et si nous laissons notre lumière briller nous donnons inconsciemment aux autres la permission que leurs lumières brillent. Si nous sommes libérés de notre propre peur notre présence suffit alors à libérer les autres. coachcarter

«Les êtres humains ont besoin de beaucoup de choses pour se sentir vivant : la famille, l’amour, le sexe. Mais la seule chose essentielle, c’est d’être en vie. Il nous faut un cœur palpitant... Lorsque notre cœur est menacé nous réagissons de deux façons. Ou nous fuyons ou nous nous battons. Il y a une expression pour dire ça : le combat ou la fuite. C’est instinctif. Nous ne pouvons pas le contrôler... En sommes nous capable ? » greysanatomy. Un nouveau départ. Un pardon. Tout ça était bien présent dans la tête de la jeune maman. Elle venait de mettre les pieds à l’aéroport. Elle était de retour à Town Square après quelques mois d’absence. Elle se sentait bien. Cette ville lui avait manqué. Elle avait qu’une envie voir leurs doux visages. Elle avait voyagé et pourtant le cœur n’y était pas. Elle avait vu Paris, Londres, Shanghai ou en encore Rio mais elle avait trouvé ça tellement subtile comparé à toute la beauté qu’elle aurait pu voir s’ils étaient venus avec elle. Théa avait maintenant 5 mois. C’était honteux que sa mère ne connaisse pas tout à propos d’elle. Il faut avouer.. La vie avait été dure. Elle c’était trouvé tellement nulle en tant que mère qu’elle avait préféré fuir. Isaac. Ça avait toujours été lui et elle contre le monde entier. Le fait que les choses avaient bien changé. Elle finit par sortir de l’aéroport après avoir pris un bon chocolat chaud. Le chocolat chaud.. C’était un de ses trucs avec Sophia. Elle se souvenait qu’en revenant d l’école l’hiver leur mère leur préparait toujours un bon chocolat et les jumelles avaient pris pour habitude de toujours en boire. Il y avait tellement de choses qu’elle voulait le faire avec sa sœur aujourd’hui. Et peut-être que ce voyage était aussi une manière de dire au monde entier qu’elle vivait sa vie pour elle. Etre mère à 25 ans ce n’est pas forcément ce qu’elle avait imaginé. Elle c’était vu voyager et vivre une vie palpitante comme elle lui avait promis et le fait d’être une mère lamentable l’avait encouragé à partir. Elle finit simplement par appeler un taxi. Elle y montait et finit par admirer le paysage qui s’offrait à elle. Elle était là et se disait qu’elle avait eu tort sur toute la ligne. Avoir peur c’est normal. Fuir ça l’ai beaucoup moins. Elle imaginait bien que son ex compagnon n’allait pas l’acceuillir avec les bras ouverts mais elle allait accepter les conséquences de ses actes. La vie était ainsi faite. Au bout de quelques minutes, ils arrivèrent à l’adresse demandée. Elle donnait alors un billet au chauffeur avant de sortir et de se récupérer sa valise. Son destin se jouait là maintenant. Elle se trouvait en face de ce bar qui contenait bien trop de souvenirs selon elle. Elle restait là immobile regardant ce dernier. Isaac devait être là au vu de l’heure. Elle finit par prendre son courage à deux et par traverser. Elle arrivait alors au bout de quelques secondes devant la porte. C’était une mauvaise idée. Elle avait envie de faire demi-tour. Elle ne voulait pas voir la haine dans ses yeux. Il avait toujours été tellement aimant que ça allait la déstabiliser de le faire avoir tant de méchanceté à son égard. Son cœur battait tellement fort. Elle restait là comme immobile.

Après un moment d’hésitation, elle finit par ouvrir cette dernière. Ces talons résonnant dans tout le bar. Un des employés se trouvait dans la salle, il la regardait comme si il voyait un fantôme. Elle lui fit un simple hochement de tête comme pour dire bonjour. Isaac était là derrière le bar. Il glissait un simple : « Désolé mais le bar est fermé. » Il était dos à elle et ne pouvait pas la voir. La posture imposante qu’il possédait n’avait pas changé d’un poil. Elle le fixait comme si elle voulait voir chaque parcelle de son corps. Elle ne voulait rien oublier. Elle essayait de garder en mémoire les meilleurs moments. Elle voulait que ces derniers restent intact car elle savait que ce qui allait suivre ne serait pas beau. Tenant sa valise comme si il s’agit de vie ou de mort.. Elle restait là comme impossible de prononcer le moindre mot. Elle était bloquée tout simplement. Effrayé et à la fois excitée. C’est ça l’amour comme lui avait confié ce vieil homme. Le jeune père finit par se retourner pour lui faire face et il semblait comme figé sur place. Il n’avait pas les yeux remplit d’amour et les seuls mots qu’elle puisse sortir était ceci :

•« Je suis désolé… Je suis désolé… »



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MessageSujet: Re: Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé.   Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé. EmptyLun 1 Avr - 13:03





Isaac-Casey & Isobel



« Malèa, tu peux t’occuper de Théa cette après-midi, je dois aller régler deux-trois trucs au bar. » Ma petite sœur apparaît dans mon champ de vision et vu le classeur qu’elle a entre les bras ainsi que le sac à dos jeter sur ses épaules je connais déjà sa réponse. Malgré tout je l’écoute attentivement. « J’ai cours je suis désolée Casey. » Casey. Je déteste qu’elle m’appelle comme cela. J’ai toujours détesté que l’on m’appelle comme cela, mais Isobel avait réussi à en faire une habitude. Cela ne me dérangeait pas lorsqu’elle le faisait, puisqu’elle était la seule à pouvoir le faire sans que je m’énerve. Désormais qu’elle est partie cela m’énerve encore plus. Je lance un regard noir à ma petite sœur qui ne perd pas une minute pour s’excuser en baissant le regard. On ne va donc pas épiloguer là-dessus. Bref. Elle s’excuse encore un peu, m’embrasse, embrasse sa nièce et disparaît. Bon. Me voilà donc tout seul avec ma fille et l’obligation de me rendre sur mon lieu de travail dans l’heure qui suit. Théa me regarde avec ses petits yeux tout en jetant son doudou sur le sol. Je rigole quelque peu et me rapproche d’elle. « Pas le choix ma chérie tu va devoir venir avec papa. » Dans le fond, ce n’est pas vraiment une corvée voir pas du tout. Mais je préfère travailler sans ma fille dans les parages, car elle finit toujours pas me détourner de mon objectif. La dernière fois, je me suis retrouver à la regarder dormir pendant des heures alors que je devais gérer tout un tas de papiers administratifs. Un instant je pense à Emma, ma meilleure amie, mais me souviens qu’elle doit sans aucun doute travailler cette après-midi. Tant pis. Je termine de m’habiller, enfile son petit manteau à ma fille, l’installe dans son cosy et finis par sortir de l’appartement. Malgré l’arriver du printemps, l’air est encore frais à l’extérieur. Je remonte la fermeture du manteau de Théa et en fait de même avec le mien. On s’installe dans la voiture direction le Fitzgerald.

J’adore venir bosser. Je n’aurais jamais pensé devenir barman. Mon père voulait que je reprenne son entreprise. Ayant toujours été en conflit avec mon paternel, j’ai toujours refusé de suivre ses traces. Au Lycée, je n’aimais pas spécialement les études et par conséquent je n’ai tenu que trois mois à l’université malgré le fait qu’Isobel me soutenait totalement. A l’époque je bossais déjà dans ce bar pour payer le loyer. Je n’étais qu’un petit serveur, mais Léon – le propriétaire – avait décidé de m’embaucher à temps plein. En quelques mois il m’a appris tout ses secrets, un an après il était mort me léguant toute son affaire. Je n’ai pas hésité très longtemps avant de reprendre le bar. J’ai juste changé le nom et la décoration également, mais j’ai tenté de garder le même état d’esprit. Désormais l’affaire marche du tonnerre. Mon bar est désormais le repère des jeunes et j’adore être ici les vendredis soirs. Malheureusement il est assez difficile d’être à la fois barmen et jeune papa. Depuis la naissance de Théa, j’ai ralentit le rythme. Je suis ici que quelques soirs par semaines et je ne reste jamais jusqu’à la fermeture. Sinon je viens ici l’après-midi comme aujourd’hui. Je m’occupe des commandes, des papiers et de tout le reste. Les deux jeunes que j’ai engagé eux s’occupe du service et ils bossent merveilleusement bien. Tant mieux pour moi d’ailleurs. Enfin. Me voilà donc arriver à destination. Comme toujours Tomas est déjà là en train de ranger la salle. J’étais vraiment tombé sur une perle rare en l’engageant. « On va avoir de la compagnie cette après-midi. » lui dis-je tout en posant le cosy de Théa sur le comptoir. La petite fille est en train de faire la discussion avec son doudou. Enfin cela revient à pousser quelques cris de temps en temps avant de rigoler. Elle est juste adorable comme cela. Je lui fais un bisou et commence à ranger mon bar. Je nettoie les bouteilles, fait la liste de ce qui nous manque et m’attaque à la machine à bière qui manque de pression ces derniers temps.

Le temps file rapidement, Théa c’est endormie et je suis en train de compter la caisse lorsque quelqu’un entre dans l’établissement. « Désolé, mais le bar est fermé. » dis-je sans même prendre le temps de me retourner, il reste que quelques heures avant l’ouverture et j’ai encore pas mal de chose à faire. Au bout de quelques minutes, je fronce les sourcils n’ayant pas entendu la porte s’ouvrir de nouveau. Je me retourne et pose mon regard sur une jeune femme que je connais que trop bien. « Isobel… » Je suis bouche-bée. Déstabilisé et… En colère. Qu’est-ce qu’elle vient faire ici ? Elle s’excuse et je secoue la tête. Ce n’est pas possible. Elle a disparue pendant plus d’un mois, m’abandonnant en laissant une simple lettre et la voilà désormais dans mon bar. D’un seul coup, mon regard ce tourne vers Théa qui dors paisiblement dans son cosy. Je fais signe a Tomas d’arrêter ce qu’il est en train de faire. Il me dit qu’il sera là pour le service tout à l’heure, je le remercie et il sort. Tout en restant derrière mon bar, je fixe de nouveau Isobel. « Sors d’ici maintenant ! » Mon ton est plus froid que je n’aurais pu l’imaginer. Je l’aime c’est certain… Je l’aime toujours sinon mon cœur ne s’affolerait pas de cette manière en la voyant ici. La demoiselle ne bouge pas et son regard ce pose sur sa fille. Oh non. Même pas en rêve. Elle l’a abandonné, je la laisserais ne pas revenir aussi facilement. « Je t’ai demandé de sortir Isobel ! Tu n’as rien à faire ici. » Absolument rien. Je veux qu’elle s’en aille c’est tout… « Et puis tu es désolée de quoi, hein ? D'être partie sans rien dire ? De nous avoir abandonner ? De l'avoir abandonner elle ? » dis-je tout en montrant la petite fille d'un signe de tête. « J'en veux pas de t'excuser ! »

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MessageSujet: Re: Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé.   Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé. EmptyLun 1 Avr - 14:03


Quand on pardonne, on aime. Et quand on aime, la lumière divine descend sur nous... intothewild





Notre peur la plus profonde n’est pas d’être inapte, notre peur la plus profonde est d’avoir un pouvoir extrêmement puissant. C’est notre propre lumière et non notre noirceur qui nous effraie le plus. Nous déprécier ne servira jamais le monde et ce n’est pas une attitude éclairé de se faire plus petit qu’on est en espérant rassurer les gens qui nous entourent. Nous sommes tous conçus pour briller comme les enfants. Cette gloire n’est pas dans quelque uns elle est en nous et si nous laissons notre lumière briller nous donnons inconsciemment aux autres la permission que leurs lumières brillent. Si nous sommes libérés de notre propre peur notre présence suffit alors à libérer les autres. coachcarter

Le pardon, c’est difficile à obtenir en sachant parfaitement le mal qu’on a pu faire autour de nous. Isobel c’était dit qu’elle ne reviendrait jamais.. Qu’Isaac trouverait une femme qui mérite d’être avec lui parce sincèrement il méritait mieux qu’une fille cassé et amochée par la vie qui ne pense qu’à elle. Elle avait merdé et bien. On ne pouvait pas lui en vouloir. Elle avait choisi la facilité et c’était dommage. Au fil du mois qui venait de s’écouler, elle c’était rendu compte de la chance qu’elle avait eu ces deux merveilleuses personnes dans sa vie. Elle regardait ce bar comme si elle ne l’avait jamais quitté. Isaac y avait mis tout son cœur. Elle l’avait soutenue. Il avait fait le choix de ne pas aller à l’université et ça lui avait réellement réussit. Elle aimait cet endroit et ce qu’il en avait fait. Il était fort et intelligent contrairement à ce qu’il pouvait penser. Elle avait le cœur qui battait tellement fort. Elle le voyait là, et elle se disait qu’elle était tout simplement toujours éperdument amoureuse de lui et qu’elle ne se voyait pas avec quelqu’un d’autres. Ils avaient été amoureux pendant 5 longues années et elle ne comptait pas s’arrêter là à cause d’une stupide erreur de jeunesse. « Isobel… » Glissait-il alors en se retournant. Il n’avait rien dit de plus. Il semblait bien plus perdu qu’elle à ce moment-là. Il avait raison. Il devait se demander ce qu’elle faisait là et pourquoi elle venait retourner le couteau dans la plaie. Il ne dit rien de plus. Il restait là comme choqué sur place et elle ne savait pas si il fallait qu’elle parle ou pas. Il fit signe au jeune homme qu’il pouvait s’en aller. Il valait mieux qu’il ne soit pas témoin de ce qui allait suivre finalement. Elle savait qu’il était loin d’être heureux qu’elle soit de retour. Mais elle ne s’attendait certainement pas à ce qui allait suivre. « Sors d’ici maintenant ! » ajoutait-il. Il était froid. Bien trop à son gout. Elle n’avait jamais imaginé qu’il s’adresse à elle comme ça. Elle voulait juste récupérer sa vie et sa famille. Et visiblement ça allait prendre du temps. Elle ne dit rien restant silencieuse et ne bougeant pas d’un pouce. Elle restait là sans bouger. Elle ne voulait pas partir. Et même si il la détestait, elle préférait être près de lui plutôt que loin que lui. Ce mois avait été tellement dur qu’elle se fichait qu’il la regarde méchamment. Elle voulait juste le voir, sentir l’odeur de son parfum, voir ses yeux si profonds. Elle se fichait du reste.

C’est alors que son regard se posa sur la petite. Elle semblait dormir paisiblement. Elle avait bien grandit. Elle semblait si adorable. Elle semblait si belle et elle se souvenait parfaitement qu’elle possédait les yeux de son père. Elle sentait la honte sur elle. Comment avait-elle put fuir alors que sa fille semblait si adorable. Isaac avait bien vu qu’elle avait mis son regard sur cette dernière et visiblement ça ne lui plaisait pas du tout. Il ne voyait que son point de vue. Elle l’avait abandonné. Et il n’avait pas tort. Mais elle avait ses raisons bien que ça soit des raisons plus que stupides. « Je t’ai demandé de sortir Isobel ! Tu n’as rien à faire ici. » Ajoutait-il une nouvelle fois plus que froid à nouveau. Elle en avait la chair de poule. Il n’avait jamais été comme ça avec lui. Elle respirait alors simplement essayant de prendre sur elle. Elle ne voulait pas s’énerver parce que c’était elle la fautive dans l’histoire. Elle finit par reprendre :

•« Je ne compte pas partir. Il faut qu’on parle. Et je ne compte aller nulle part tant qu’on ne l’aura pas fait. »

Elle parlait calmement. Elle ne voulait pas s’énerver. Elle était là pour se faire pardonner et pour récupérer sa famille. Bon sang, elle n’avait qu’une envie c’était de déposer ses lèvres sur celle du jeune homme. Cette distance qu’ils mettaient entre eux lui faisait mal. Réellement. « Et puis tu es désolée de quoi, hein ? D'être partie sans rien dire ? De nous avoir abandonné ? De l'avoir abandonner elle ? » Disait-il encore plus énervé. Elle baissait la tête un moment comme si elle savait qu’il avait raison. Mais que pouvait-elle bien faire ? Elle avait merdé, elle le savait très bien. « J'en veux pas de t'excuser ! » ajoutait-il une nouvelle plus calmement. Elle restait là tapant du pied tellement cette conversation lui faisait du mal. Elle prenait sur elle pour ne pas laisser couler une larme. Elle restait calme et elle reprit simplement et sincèrement.

•« Je sais que tu es en colère. Et que tu veux rien entendre venant de moi mais… J’ai merdé d’accord ? Et je sais. J’ai pris la fuite parce que.. Parce que j’ai eu peur et que je pensais être une mauvaise mère. Chose qui a été prouvé parce que j’ai fui simplement. Je ne suis pas revenue pour qu’on se dispute. Je veux juste me faire pardonner.. Je t’aime toujours.. Je vous aimes l’un comme l’autre plus que vous ne pouvez l’imaginer. »


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MessageSujet: Re: Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé.   Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé. EmptyLun 1 Avr - 17:22





Isaac-Casey & Isobel



La revoir ici c’est juste… Blessant. Incroyablement blessant même. Elle est partie sans rien dire et désormais elle est là dans mon bar comme si de rien était. Je me sens mal d’un seul coup. Mon corps tout entier me cri d’aller près d’elle, de l’embrasser et de la prendre dans mes bras. Mon cœur lui m’interdit de faire ne serait-ce qu’un pas. Violement je me remémore le jour où je me suis levé et où j’ai trouvé une simple lettre sur la table de la cuisine. Elle ne voulait pas être mère, c’est elle même qui l’avait écris. Elle m’avait berné pendant plusieurs moi pour mieux me quitter par la suite. Elle a mise au monde notre fille pour mieux l’abandonner cinq mois plus tard. Quelle mère pourrait faire ça à son enfant ? Je pensais qu’elle était heureuse, que notre vie de famille lui plaisait. Oui elle avait du mal avec Théa de temps en temps, mais être parent ça s’apprends. Tout simplement. La vie n’est jamais facile, sinon on passerait notre temps à fuir et ce serait bien la merde d’ailleurs. Choqué, je suis obligé de me répéter plusieurs fois qu’il faut que je respire. Je lâche l’argent que j’ai entre les mains et pose de nouveau mon regard sur la jeune femme lui ordonnant de sortir de cet endroit. Je suis froid et distant. Je veux lui montrer que sa présence ne m’atteint pas. Je voudrais qu’elle croie que je suis passé à autre chose, même si c’est un affreux mensonge. Je ne l’ai pas oublié et je ne suis pas aller voir ailleurs depuis son départ. Parce que secrètement au plus profond de moi je ne cessais d’espérer pour qu’elle revienne un jour. Ce jour est enfin arrivé et je suis plus perdu que jamais. Isobel semble choquée par la manière que j’ai de m’adresser à elle. Une nouvelle fois je hausse le ton et lui demande de sortir d’ici lui rappelant qu’elle n’as rien à faire ici. « Je ne compte pas partir. Il faut qu’on parle. Et je ne compte aller nulle part tant qu’on ne l’aura pas fait. » Cette fois j’hallucine. Surtout reste calme Isaac. Reste calme. Je pose mes mains à plat sur le comptoir et regarde la jeune brune de manière intense. Non elle ce moque pas de moi, elle a sérieusement envie de parler. « Je n’ai rien à te dire moi ! » Absolument rien. Ce n’est pas moi qui suis parti. Moi je l’aimais c’est tout. Sans doute un peu trop vu la manière dont je me suis fait avoir.

Contrairement à moi Isobel reste étrangement calme. Elle tient sa valise comme si cette dernière allait s’envoler et surtout elle ne me lâche pas du regard. Enfin presque. Ses yeux ne cessent de faire des allers-retours entre Théa et moi. Je ne veux pas que notre fille nous vois nous disputer, mais elle dort paisiblement et je me dis que toute manière elle est bien trop petite pour comprendre ce qui ce passe autour d’elle. Je repose mon regard sur la jeune femme et lui fait savoir que je ne veux pas de ses excuses. Je m’en fiche totalement. Pour moi elle est partie et c’est tout ce que je retiens. « Je sais que tu es en colère. Et que tu veux rien entendre venant de moi mais… J’ai merdé d’accord ? Et je sais. J’ai pris la fuite parce que... Parce que j’ai eu peur et que je pensais être une mauvaise mère. Chose qui a été prouvé parce que j’ai fui simplement. Je ne suis pas revenue pour qu’on se dispute. Je veux juste me faire pardonner... Je t’aime toujours... Je vous aime l’un comme l’autre plus que vous ne peut l’imaginer. » Non, mais je n’y crois pas. Elle veut que je lui pardonne ce qu’elle a fait ? C’est complètement absurde. Je ne comprends pas pourquoi elle vient ici pour me demander cela. Elle a cru quoi ? Que j’étais naïf à ce point ? Que j’étais un idiot ? Je sens la colère monter en moi et ma mâchoire se serre de plus en plus. Je fais le tour du bar pour aller me poster plus près de la jeune femme. « Si tu m’avais réellement aimé, si tu l’aimais réellement tu ne serais pas parti sans rien dire ! On c’est toujours tout dit ou tout du moins moi je t’ai toujours tout dit, tu aurais pu m’en parler ! Tu crois que je n’avais pas peur moi ? Etre parent ça s’apprends, mais pas en prenant la fuite ! » J’ai tellement haussé le ton que j’ai finis par réveiller Théa qui ce met tout de suite à pleurer. Comme à chaque fois, cela me brise le cœur. Isobel fait un pas en avant et je lui lance un regard noir. Qu’elle n’y pense même pas. C’est sa fille c’est vrai, mais c’est moi qui m’occupe d’elle tout les jours depuis son départ.

Sans lâcher Isobel des yeux, je me dirige vers ma fille qui sanglote en ce frottant les yeux. Je la détache et la prends rapidement dans mes bras. Elle vient poser sa petite tête sur mon torse et s’accroche à mon tee-shirt. Je lui caresse doucement le dos et la berce quelque peu. « C’est rien mon bébé, papa est désolé il ne voulait pas crier comme ça. » lui dis-je tout doucement pour la calmer. Mais Théa ne fait plus réellement attention à moi. Elle a remarqué sa mère de l’autre côté de la pièce et la fixe en silence. Je me demande si elle la reconnaît ou pas. Sans doute pas. Enfin je n’en sais rien. La petite ce remet à sangloter et je continue à la bercer tout en me dirigeant de nouveau vers Isobel. Au contact de ma fille je me suis calmer et dans le fond j’aimerais entendre ce qu’elle veut réellement me dire. « Tu m’as fait beaucoup de mal en partant Isobel… Je sais même pas si tu arrive à t’en rendre compte… » lui dis-je de manière beaucoup plus calme. Entre temps, Théa s’amuse à poser sa petite main sur ma bouche et je lui souris tendrement. Encore une fois, je me demande comment elle a fait pour abandonner un petit bout aussi mignon et empli d’innocence. « Je ne pourrais pas te pardonner, mais… Enfin pourquoi revenir maintenant ? »

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MessageSujet: Re: Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé.   Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé. EmptyLun 1 Avr - 21:22


Quand on pardonne, on aime. Et quand on aime, la lumière divine descend sur nous... intothewild





Notre peur la plus profonde n’est pas d’être inapte, notre peur la plus profonde est d’avoir un pouvoir extrêmement puissant. C’est notre propre lumière et non notre noirceur qui nous effraie le plus. Nous déprécier ne servira jamais le monde et ce n’est pas une attitude éclairé de se faire plus petit qu’on est en espérant rassurer les gens qui nous entourent. Nous sommes tous conçus pour briller comme les enfants. Cette gloire n’est pas dans quelque uns elle est en nous et si nous laissons notre lumière briller nous donnons inconsciemment aux autres la permission que leurs lumières brillent. Si nous sommes libérés de notre propre peur notre présence suffit alors à libérer les autres. coachcarter

Se disputer. Isobel et Casey ne le faisait presque jamais. Ils avaient longtemps sut faire avec leurs problèmes. La jeune maman et le jeune papa était bien différent et ils avaient toujours sut faire avec les différences de l’un et de l’autre. Ils s’entendaient tellement bien et aujourd’hui tout était différent. Elle savait très bien qu’il ne voulait pas la vouloir et il lui montrait tellement bien qu’elle en était hyper perturbée. Elle voyait qu’il essayait bien de ne pas trop crier et pourtant il ne pouvait s’empêcher de lui montrer un bon nombre de mépris. Elle était fatiguée de se disputer. Elle allait lui dire. Lui expliquer. Mais il ne voulait. Il fallait qu’ils parlent. Qu’ils crèvent les abcès. Il faut le dire, la jeune femme avait merdé. Elle avait préféré mettre en avant sa petite personne plutôt que de prendre soin de ses proches. Casey avait toujours fait l’inverse. Il l’avait toujours fait passer elle avant tout… Même quand il travaillait comme un acharné dans ce bar. « Je n’ai rien à te dire » ajoutait-il simplement. Elle n’aimait pas le voir aussi distant avec elle. Bon sang, elle était follement amoureuse de lui. Il était aveugle ou quoi ? Nan, il était simplement en colère et il ne voulait pas l’écouter. Mais elle ne comptait pas lâcher l’affaire. Elle allait se battre quoiqu’ils puissent en penser. Elle ne voulait pas abandonner. Elle voulait juste récupérer les gens les plus importants dans sa vie. Elle restait donc là percher sur ses talons et dans son blouson bien chaud. Et elle reprit simplement.

•« Tu n’auras pas besoin de parler. Tu as juste besoin d’écouter. S’il te plait… »

Elle restait là comme le suppliant de bien vouloir. Elle essayait tant bien que mal de ne pas crier ou pleurer. Tenir sa valise comme une malade lui permettait de mettre toute sa frustration dans quelque chose. Comment peut-on regarder l’homme qu’on aime et se dire qu’il vous déteste plus que tout au monde ? C’est quelques choses d’invivable. Elle voulait retourner en arrière. Elle voulait avoir une belle vie avec ceux qu’elle aime. Elle ne pouvait pas s’empêcher de se dire que si elle avait pris d’autres décisions tout ceci aurait été différent. Casey et elle s’aimerait et toute la souffrance qu’elle pouvait voir dans ses yeux ne serait pas présente aujourd’hui. Elle se trouvait donc là à lui dire tout ce qu’elle avait sur le cœur et regardant l’homme qu’elle aime et sa fille. Elle semblait tellement adorable. Elle avait envie de prendre soin d’elle. Elle avait envie d’enfin devenir une vraie petite maman. Elle voulait être heureuse et amoureuse comme avant. Il finit par faire le tour du bar et elle remarquait bien que son visage avait changé. Il était loin d’être content. Il était en colère et ça se voyait. « Si tu m’avais réellement aimé, si tu l’aimais réellement tu ne serais pas parti sans rien dire ! On c’est toujours tout dit ou tout du moins moi je t’ai toujours tout dit, tu aurais pu m’en parler ! Tu crois que je n’avais pas peur moi ? Etre parent ça s’apprends, mais pas en prenant la fuite ! » Criait-il alors. Elle restait là. Les reproches étaient justes ou presque. Elle était donc là prenant sur elle pour ne pas crier non plus. Elle ne voulait pas céder à la tentation de se mettre encore plus de mauvaises choses sur le dos. Après quelques secondes elle reprit la parole :

•« Tu crois que je vous aimé pas ? Tu crois que j’ai fait semblant pendant tout ce temps ?! J’ai essayé de t’en parler. Mais tu ne comprenais pas. Tu t’en sortait si facilement. J’avais beau essayer toute la journée, rien ne marchait. C’est parce que je l’aime que je suis partie. Elle méritait une vraie mère douée et tu méritais quelqu’un de mieux que moi.. Bon sang, j’étais toujours était cette intello insociable. Tu étais heureux de devenir père. Tu avais pas les mêmes peurs que moi… Je sais que j’ai fait une erreur.. Mais quoique tu penses j’ai jamais cessé de vous aimer.. »

C’est alors que la petite se mit à pleurer. Il faut avouer qu’ils n’avaient pas été très discrets. Les cris l’avaient probablement réveillé et il faut l’avouer la jeune Isobel avait envie d’aller la consoler. Elle avait alors envie de faire un pas en avant mais le jeune homme lui fit signe de ne surtout pas y aller. Elle ne méritait pas de porter sa propre fille bon sang, mais elle était vraiment nulle. Il semblait tellement à l’aise avec la petite Théa. La jeune mère aurait tellement aimé pouvoir dire qu’elle aussi était douée. Mais ce n’était pas le cas. Elle se trouvait là simplement incapable de bouger, les regardant l’un comme l’autre si proches. « C’est rien mon bébé, papa est désolé il ne voulait pas crier comme ça. » lui glissait-il alors que la petite se calmer. Elle posait alors son regard sur la jeune mère. Elle se trouvait là sans rien dire. Peut-être l’avait-elle reconnue. Elle aurait réellement aimé que cette dernière sache qu’elle était sa maman. Elle avait les yeux grands ouverts et bons sang quelle était belle tout comme son père. Elle était folle d’eux et avait fait une erreur. Une grave erreur. « Tu m’as fait beaucoup de mal en partant Isobel… Je sais même pas si tu arrives à t’en rendre compte… » Glissait-il alors. Elle savait très bien qu’il avait souffert. Elle avait souffert elle aussi de cette séparation. Elle voulait se rattraper aujourd’hui. « Je ne pourrais pas te pardonner, mais… Enfin pourquoi revenir maintenant ? » glissait-il alors. Il méritait la vérité. Il méritait de tout savoir. Mais parler de tout c’était impossible. Elle avait peur qu’il n’y croit pas ou qu’il lui en veuille tout de même encore. Elle reprit simplement :

•« Je sais que tu as souffert. Je suis désolé d’avoir juste laissé une lettre mais.. Je me voyais mal te le dire en face parce que je savais que tu m’aurais fait changer d’avis. Je sais que c’est impardonnable… D’accord.. Tu mérites de savoir. Je me trouvais à Paris. Cette ville c’est juste magique et j’ai discuté avec ce vieil homme. Bon sang, ça faisait un mois que je voyager et que j’étais malheureuse. Lui raconter notre histoire.. Mon histoire ça permit de mettre un point finale à cette culpabilité que j’ai d’être vie et pas elle.. Je voulais vivre une vie qu’elle aurait vécue et être maman ce n’est pas ce qu’elle aurait fait. Alors je suis partie voyager, vivre une vie de nomade comme elle aurait voulut. Mais enfin de compte, je sais qu’elle voulait que je vive une vie que j’aime. Et la vie que je veux et que j’aime c’est d’être auprès de vous.. Vous êtes ma famille et c’est tout ce qui compte. J’avais 17 ans et j’ai perdu ce que j’avais de plus cher. Je ne veux pas que ça recommence aujourd’hui à cause de ma stupidité. Alors que tu me crois ou non. Je vous aimes plus que tout et je compte pas à abandonner. J’ai commis une erreur et je compte bien la réparer. »


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MessageSujet: Re: Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé.   Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé. EmptyJeu 4 Avr - 15:06





Isaac-Casey & Isobel



« Tu n’auras pas besoin de parler. Tu as juste besoin d’écouter. S’il te plait… » me dit-elle tout en plantant son regard dans le mien pour la première fois depuis que la conversation à démarrer. Juste écouter… Je ne sais même pas si j’ai réellement envie de l’écouter. Elle est partie. C’est la seule et unique chose qui me reste en tête, je n’arrive pas à passer au dessus de cela. Je ne pourrais jamais oublier le jour où j’ai vu qu’elle était partie. Cela m’a tout simplement brisé le cœur. Isobel est ma première petite amie sérieuse. La première femme que j’ai réellement aimé et malgré tout ce qui a pu ce passer, elle reste la mère de ma fille. C’est elle qui m’a offert le plus beau cadeau qui puisse exister : notre petit bébé. Enfin. Ce n’est pas cela qui va faire taire ma colère. Je lui en veux. Je lui en veux réellement d’être partie et surtout je doute. Je me dis qu’elle m’a peut être menti pendant tout ce temps. Qu’elle ne m’aimait pas réellement, qu’elle ne voulait pas de ce bébé et que c’est tout simplement pour cela qu’elle est partie. Je me laisse envahir par mes émotions et sans réellement le vouloir je me mets à crier. Enfin je finis par hausser le ton, chose que je n’ai jamais faite avec Isobel. On a eu des disputes, mais jamais à ce point là. Mais aujourd’hui cela m’importe peu. Je veux juste qu’elle comprenne à quel point je lui en veux et a quel point je la tiens responsable de mon malheur. Je lui dis tout ce que j’ai sur le cœur, sans réellement réfléchir non plus. Je me fiche de la blesser pour le moment, je veux juste qu’elle comprenne ce que je ressens. « Tu crois que je vous aimais pas ? Tu crois que j’ai fait semblant pendant tout ce temps ?! J’ai essayé de t’en parler. Mais tu ne comprenais pas. Tu t’en sortais si facilement. J’avais beau essayer toute la journée, rien ne marchait. C’est parce que je l’aime que je suis partie. Elle méritait une vraie mère douée et tu méritais quelqu’un de mieux que moi... Bon sang, j’ai toujours été cette intello insociable. Tu étais heureux de devenir père. Tu avais pas les mêmes peurs que moi… Je sais que j’ai fait une erreur... Mais quoique tu penses j’ai jamais cessé de vous aimer... » Abasourdi, je reste planté devant elle, la bouche légèrement entrouverte. Je n’arrive pas à comprendre son explication. Pour moi, il n’y a aucune logique là-dedans. Je n’arrive pas à la comprendre. Mais je n’ai pas le temps de dire quoique ce soit que Théa ce met à pleurer sans aucun doute réveiller par nos voix.

Je me dirige vers ma fille et la prends tout de suite dans mes bras. Habituellement je ne fais jamais cela, on dit toujours qu’il est mauvais de tout de suite prendre un enfant qui pleure dans ses bras. Il faut l’habituer à ce calmé seul ou je ne sais quoi, mais je dois avouer que je ne pense pas du tout à cela maintenant. Théa viens ce blottir contre mon torse comme toujours et je lui parle doucement pour la calmer. Nous avons un véritable lien tout les deux et plus particulièrement depuis le départ d’Isobel. Elle est ma petite princesse et je serais véritablement capable de n’importe quoi pour elle. Elle est ce qui m’est arrivé de mieux dans la vie, véritablement et personne ne pourra venir m’enlever cela pas même Isobel. « Regarde là Isobel… Elle avait rien demandé à personne, elle à juste besoin de sa maman, c’est tout. Douée ou pas. » C’est tout ce que je pense. Elle aurait pu apprendre. J’aurais pu lui apprendre. Elle aime sa fille c’est indéniable. Juste à la manière dont elle la regarde, cela ce comprends. Et pour moi c’est le plus important. Le reste ne compte presque pas. Je suis doué avec ma fille parce que je l’aime, parce que je ne veux que son bien être c’est tout. Pas besoin d’aller chercher plus loin. Mais il semblerait que la chose soit beaucoup plus complexe pour Isobel et je lui demande alors de m’expliquer tandis que Théa ce met sérieusement à gigoter entre mes bras. Je la calme quelque peu et attrape son doudou sur le comptoir du bar pour qu’elle puisse jouer avec.

« Je sais que tu as souffert. Je suis désolé d’avoir juste laissé une lettre mais... Je me voyais mal te le dire en face parce que je savais que tu m’aurais fait changer d’avis. Je sais que c’est impardonnable… D’accord... Tu mérites de savoir. Je me trouvais à Paris. Cette ville c’est juste magique et j’ai discuté avec ce vieil homme. Bon sang, ça faisait un mois que je voyager et que j’étais malheureuse. Lui raconter notre histoire... Mon histoire ça permit de mettre un point final à cette culpabilité que j’ai d’être vie et pas elle... Je voulais vivre une vie qu’elle aurait vécue et être maman ce n’est pas ce qu’elle aurait fait. Alors je suis partie voyager, vivre une vie de nomade comme elle aurait voulut. Mais enfin de compte, je sais qu’elle voulait que je vive une vie que j’aime. Et la vie que je veux et que j’aime c’est d’être auprès de vous... Vous êtes ma famille et c’est tout ce qui compte. J’avais 17 ans et j’ai perdu ce que j’avais de plus cher. Je ne veux pas que ça recommence aujourd’hui à cause de ma stupidité. Alors que tu me crois ou non. Je vous aime plus que tout et je compte pas à abandonner. J’ai commis une erreur et je compte bien la réparer. » Euh… Il va falloir qu’elle m’explique. Qu’elle soit un peu plus claire. Mon dieu. J’ai l’impression d’avoir loupé un chapitre entier de sa vie. Elle me parle d’une personne, d’une fille, qu’elle a visiblement perdue lorsqu’elle avait dix-sept ans. D’accord… Mais qui est cette personne ? Je fronce les sourcils et tente de trouver une solution pour mieux comprendre. « Je… Je suis pas sûr d’avoir compris… » lui dis-je alors faiblement. Je regarde autour de nous et finis par soupirer un bon coup.

« Va-y assieds toi. » dis-je a Isobel tout en désignant les tables vides. Bien entendu elle choisi tout de suite celle où nous avions l’habitude de nous asseoir les soirs où elle me rejoignait au bar ou durant les après-midi que nous passions ensemble ici. Je lui souris pour la première fois, histoire de détendre l’atmosphère. Je me recule quelque peu et attrape le cosy de Théa pour le mettre sur la table. Je repose délicatement la petite fille dedans. Elle bougonne quelque peu, mais très rapidement son regard va ce posé sur Isobel. Je vais m’asseoir en face de la jeune femme et prends un instant conscience du moment. Nous sommes assis face à face, notre fille à côté de nous sur le bout de la table. Je pose mes mains sur la table et soupire quelque peu. « Il va falloir que tu m’explique. C’est qui cette fille ? » demandais-je alors en fronçant de nouveau les sourcils. Subitement j’ai l’impression de ne plus du tout connaître la femme qui est assise en face de moi. « Et… Tu ne voulais pas de Théa ? T’as fait ça, juste pour me faire plaisir ? » Je suis perdu. Littéralement et je crois que cela commence à ce voir. « Désolé, mais je n’arrive plus à te suivre là… »


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MessageSujet: Re: Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé.   Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé. EmptyJeu 4 Avr - 17:00


Quand on pardonne, on aime. Et quand on aime, la lumière divine descend sur nous... intothewild





Notre peur la plus profonde n’est pas d’être inapte, notre peur la plus profonde est d’avoir un pouvoir extrêmement puissant. C’est notre propre lumière et non notre noirceur qui nous effraie le plus. Nous déprécier ne servira jamais le monde et ce n’est pas une attitude éclairé de se faire plus petit qu’on est en espérant rassurer les gens qui nous entourent. Nous sommes tous conçus pour briller comme les enfants. Cette gloire n’est pas dans quelque uns elle est en nous et si nous laissons notre lumière briller nous donnons inconsciemment aux autres la permission que leurs lumières brillent. Si nous sommes libérés de notre propre peur notre présence suffit alors à libérer les autres. coachcarter

Expliquer. Dire la vérité. Se donner pleinement à quelqu’un. Il faut avouer que la jeune Isobel avait envie faire tout ça. Elle avait envie pour une fois dans sa vie de tout laisser sortir. Elle l’avait fait une fois avec cet inconnu. Alors pourquoi est-ce que c’était si difficile avec son « ex » compagnon. L’amour. Voilà ce qui les avaient lié et savoir qu’elle ne lui avait tout dit c’était dur. Mais c’était la vie. Elle devait récupérer sa vie. Elle voulait juste rattraper ces erreurs alors pour la première, elle tenait tête au jeune homme. Elle ne comptait pas se laisser faire et s’il ne voulait pas parler ce n’était pas bien grave. Elle le ferait pour lui. Elle avait besoin qu’il arrête de la regarder tout simplement avec ce regard haineux. Elle savait très bien que son couple ne se reformerait pas en un jour. Soyons en certains, Rome ne c’est pas construit en un jour alors pourquoi leur couple se reformerait-il plus rapide ? Peut-être parce qu’ils s’aimaient toujours autant. En tout cas, c’est le sentiment que la jeune femme avait. Elle parlait et elle avait l’impression que le jeune homme ne repondrais rien à la fin.. parce que peut-être qu’il avait tourné la page ? Peut-être avait-il trouvé quelqu’un d’autre ? Elle savait parfaitement qu’il n’en parlerait pas. Il était là l’écoutant et berçant leur fille. Il faut dire que malgré c’est difficulté en tant que mère, elle avait toujours un regard admiratif sur le jeune homme lorsqu’il était avec leur fille. Elle aimait ce qu’elle voyait. C’était l’image de la famille parfaite en apparence et elle avait sut tout foutre en l’air en l’espace de deux petites secondes. Elle était là attendant ne serais-ce qu’une réaction de la part de l’homme de savie. Il semblait concentré sur la petite Théa et elle ne pouvait pas lui en vouloir. Il attrapait alors le doudou qui était le sien et la petite semblait alors absorbée par ce dernier. Elle se livrait comme elle pouvait à sa manière et c’était plus ou moins maladroit mais elle n’allait pas passer par 4 chemins. C’était inutile et desapointtant. Elle était là regardant les deux personnes les plus importantes de sa vie et elle ne pouvait pas détourner le regard. Elle était comme absorbé par ce qu’elle voyait. « Regarde là Isobel… Elle avait rien demandé à personne, elle à juste besoin de sa maman, c’est tout. Douée ou pas. » glissait-il incroyablement calme. Il raison et pour la première fois la jeune femme baissait la tête honteuse d’elle-même. Elle avait merdé et le jeune homme aimait bien lui rappeler. Elle relevait alors le regard et posait alors ce dernier sur sa fille. Son regard. Elle avait l’impression que tout était dit dans les yeux de sa fille. Elle semblait si petite à la fois si heureuse quand elle regardait le jeune papa et si triste quand elle posait son regard sur elle. Elle restait là avant de dire simplement :

•« Je sais. J’ai eut tort. J’ai envie d’être là pour elle. J’ai été égoïste et je le regrette. »

Elle avait finit par tout dire. Sans vraiment savoir comment les mots sortaient de sa bouche et elle ne s’arrêtait pas. Les choses qui étaient avant si simples entre eux étaient maintenant devenue trop complexe. Les barrières étaient mises et ils semblaient ne pas vouloir se lier l’un à l’autre. Et pourtant, Isobel le faisait sans sans rendre compte. Elle lui disait tout. La fuite, les raisons de cette dernière et c’était peut-être mieux ainsi. Mais parler de Sophia c’était comme parler de l’évènement le plus destructeur de toute sa vie. « Je… Je suis pas sûr d’avoir compris… » ajoutait-il en arquant un sourcil. Sur le coup, elle ne lui repondit rien. Pourquoi ? Lui dire comme ça c’était juste beaucoup trop douloureux. Elle restait silencieuse les regardant lui et sa fille. Elle profitait de remarquer chaque détail pour ne rien oublier. Elle n’avait jamais parlé de Sophia à Casey parce que ça aurait rendut les évènements beaucoup trop réels. Et elle voulait garder son jardin secret intact d’une certaine manière bien qu’elle aime le jeune homme du plus profond de son cœur. Il finit par lui dire : « Va-y assieds toi. » Elle lui sourit et tournait alors sa tête vers la pièce. Elle remarquait les tables et finit par choisit celle avec laquelle ils avaient l’habitude de fleutoullié, de parler, de profiter de l’un et de l’autre. Elle s’y assis tranquillement alors que le jeune homme posait la jeune Thea dans son cosi à côté d’eux. Elle posait son regard sur sa fille qui semblait comme absorbée par son regard. Et elle ne parlait alors au jeune Isaac que lorsqu’il prit la parole : « Il va falloir que tu m’explique. C’est qui cette fille ? » ajoutait-il toujours intrigué. Elle soufflait alors un bon coup alors qu’il croisait ses mains ensemble sur la table. Elle prit son sac à main et y sortit une vieille photo. Son portrait crachée. Le jeune homme semblait alors hallucinée et elle prit la parole :

•« Elle s’appelait Sophia. C’était ma sœur. Ma jumelle. La plus grosse partie de moi-même. Je ne t’ai jamais parlé d’elle parce que c’était bien trop douloureux. Je voulais juste d’une certaine manière la faire revivre en faisant ce voyage. Je mettais toujours dit que je le ferais pour elle… J’ai eut tort. »

« Et… Tu ne voulais pas de Théa ? T’as fait ça, juste pour me faire plaisir ? »
ajoutait-il. Il était là perplexe face à ce qu’elle venait de dire. Il n’avait tort mais il n’avait pas complétement raison. Théa elle l’aimait plus que tout. Et peut-être qu’ils auraient dut attendre. Mais le fait qu’ils étaient parents et qu’elle ne regrettait rien dut moins aujourd’hui. « Désolé, mais je n’arrive plus à te suivre là… » glissait-il à nouveau. Elle lui fit alors un simple sourire. Elle pouvait comprendre que la situation n’était pas des plus claires. Elle reprit simplement :

•« Au début.. Sincèrement j’ai dit oui pour te faire plaisir. J’étais pas prête dans ma tête à devenir maman. Ca m’a effrayé plus que tout. Je veux dire c’est la responsabilité de toute une vie et je savais que je pourrais pas encaisser. Mais je l’ai pas seulement fait pour toi. Je voulais aussi avoir un bébé. Je l’aime n’en doute jamais. Mais tout le monde n’a pas la fibre maternelle de suite. Théa c’est un peu de toi et moi et je veux d’elle. Elle est parfaite. Je peux comprendre que c’est compliqué et douloureux pour toi mais .. Je sais pas comment faire pour tout t’expliquer. »



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MessageSujet: Re: Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé.   Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé. EmptyJeu 4 Avr - 23:01





Isaac-Casey & Isobel



Sans vraiment me l’avouer, je me cache derrière ma fille. Je la prends dans mes bras et me concentre uniquement sur elle pour oublier que sa mère, la femme que j’aime, est juste là en face de moi. Elle est là et elle veut ce faire pardonner. Si je n’écoutais que mon envie irrationnelle, je serais déjà en train de l’embrasser et de lui dire qu’elle m’a manqué. Mais je n’écoute pas cela. J’ai besoin de lui montrer à quel point elle m’a détruit en partant. Je n’ai jamais été du genre à montrer mes émotions excepté avec Isobel. Elle a été la première à voir le véritable Isaac-Casey. Celui qui ce fichait totalement de l’argent de son père et qui passais tout son temps à surveiller sa sœur et a lui amener tout l’amour dont elle avait besoin. Elle a été la première a savoir beaucoup de chose sur moi et sans aucun doute la dernière. Bon il y avait Emma aussi, mais ça c’est encore autre chose. Bref. Je ne cesse de regarder ma fille, pour cacher à quel point je suis déstabilisé de la voir ici. Mais très rapidement je me rends compte d’une chose qui me crève les yeux depuis longtemps, mais que je ne voulais pas m’avouer, Théa ressemble à sa mère. Il est clair qu’elle a le même regard bleu et profond que moi, mais le reste, les traits du visage c’est sa mère tout craché. Elle n’a que six mois, mais déjà tout les jours elle me rappelle Isobel. Qu’est-ce que ce sera lorsqu’elle aura quelques années de plus… Enfin. Isobel s’excuse et m’avoue avoir compris ses erreurs. C’est déjà cela de gagner. Enfin je crois. Tout du moins elle a désormais envie d’être là pour sa fille et pour moi c’est le plus important. Qu’elle ne soit pas là pour moi, je m’en fiche. Enfin pour le moment, je ne veux pas y penser. Tout ce que je veux, c’est que Théa connaisse sa maman et pas seulement au travers de photo et de souvenir que je pourrais lui raconter.

Mais la conversation prend un tournant que je n’aurais jamais pu prévoir. D’un seul coup, la jeune brunette lâche son sac. Elle me dit tout ce qu’elle a sur le cœur. Tout un tas de chose jeter comme cela sur le tas et qui n’ont pas forcément de sens. Je dois avouer que je suis complètement perdu pour le coup. Je n’arrive pas à voir où elle veut en venir et surtout je ne comprends pas de qui elle parle. Rapidement, je reprends le dessus sur la situation et lui propose de s’asseoir pour que l’on puisse discuter tranquillement. Je dépose Théa dans son cosy pour me libérer les bras. Cette dernière reste bien éveiller et ses yeux papillonnent entre sa mère et moi. Instinctivement, je caresse doucement sa petite jambe sans pour autant quitter Isobel des yeux. « Il va falloir que tu m’explique. C’est qui cette fille ? » lui demandais-je alors doucement. Surtout il faut que je reste calme désormais. Cela ne servira à rien de crier d’avantage. Il faut que l’on parle comme deux adultes responsables. La jeune femme sort une photo de son sac à main et je reste totalement stupéfait face au cliché. Isobel, enfin deux Isobel sur la même photo. Je fronce les sourcils et l’écoute attentivement. « Elle s’appelait Sophia. C’était ma sœur. Ma jumelle. La plus grosse partie de moi-même. Je ne t’ai jamais parlé d’elle parce que c’était bien trop douloureux. Je voulais juste d’une certaine manière la faire revivre en faisant ce voyage. Je mettais toujours dit que je le ferais pour elle… J’ai eut tort. » Sa sœur. Mon dieu. Je n’étais même pas au courant de ça. Je suis… Choqué. Je ne la connaissais pas lorsqu’elle avait dix-sept ans, mais bizarrement d’un seul coup tout s’éclaire. Je comprends mieux pourquoi elle était tellement triste et renfermée sur elle-même lorsque je l’ai connu. J’ouvre plusieurs fois la bouche, mais ne dit absolument rien. Je n’y arrive pas. Alors tout simplement j’attrape sa main dans la mienne. Ce simple contact me fait frissonner de la tête au pied. Reste concentrer Isaac. « Je suis désolé Isobel… Vraiment. Tu… Enfin tu aurais pu m’en parler, j’aurais compris. Enfin t’avais peut être pas envie de m’en parler. Désolé. Je… » Un instant, mon regard ce perds sur la photo. « Je crois que je t’ai jamais vu aussi heureuse que là-dessus. » Sans en dire plus je retire ma main de sur la sienne et la passe sur ma nuque. Je me sens mal à l’aise.

La conversation s’enchaîne et je lui demande si elle a réellement désiré Théa où si elle a uniquement accepté de poursuivre sa grossesse dans l’unique but de me faire plaisir. C’est une question qui m’a souvent traversé l’esprit depuis son départ. J’ai peur d’être le seul à réellement avoir désiré ma fille. Je m’excuse une nouvelle fois, mais elle ne semble pas offusquée. Elle cherche juste à m’expliquer. « Au début... Sincèrement j’ai dit oui pour te faire plaisir. J’étais pas prête dans ma tête à devenir maman. Ca m’a effrayé plus que tout. Je veux dire c’est la responsabilité de toute une vie et je savais que je pourrais pas encaisser. Mais je l’ai pas seulement fait pour toi. Je voulais aussi avoir un bébé. Je l’aime n’en doute jamais. Mais tout le monde n’a pas la fibre maternelle de suite. Théa c’est un peu de toi et moi et je veux d’elle. Elle est parfaite. Je peux comprendre que c’est compliqué et douloureux pour toi mais... Je sais pas comment faire pour tout t’expliquer. » Sa réponse me laisse sur le cul. J’y ai souvent pensé, mais je ne pensais pas avoir raison ou tout du moins à moitié raison. Je ne m’attendais pas du tout à cela. Théa choisi son moment pour ce manifesté en faisant de nouveau la conversation avec son doudou. Je lui adresse un petit sourire en caressant tendrement sa petite joue. « Tu aurais dû me le dire. Je ne voulais te forcer de rien. Oui j’étais et je suis vraiment heureux d’être papa. Elle est la plus belle chose qui me soit arrivé. Mais si tu m’avais clairement dit que tu ne voulais pas, j’aurais respecté ton choix. Au moins tu ne m’aurais pas abandonné. » Je ne voulais pas dire les choses de cette manière, mais c’était sorti tout seul. Parce que je lui en veux d’avoir abandonné notre fille, mais je lui en veux également de m’avoir abandonné même si je n’ai pas envie qu’elle le voit et qu’elle le comprenne.

Théa ce manifeste de nouveau en poussant un petit cri aigu. Je rigole et plante mon regard dans le sien. « On baisse d’un ton mademoiselle. » Elle me répond à sa façon et je lui offre mon plus beau sourire avant de retourner mon attention vers Isobel. « Je veux bien comprendre que tu ne m’es pas parlé de ta sœur… Mais partir ? Ca j’arrive pas à le comprendre. Je t’aimais vraiment Is’ plus que tout. Je voulais vraiment que l’on construise une famille ensemble, mais maintenant… Maintenant je sais plus… » Je ne sais pas si je pourrais lui pardonner cet abandon. « Mes parents m’ont abandonné, je pensais pas que tu allais me faire le même coup… »

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MessageSujet: Re: Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé.   Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé. EmptyVen 5 Avr - 13:42


Quand on pardonne, on aime. Et quand on aime, la lumière divine descend sur nous... intothewild





Notre peur la plus profonde n’est pas d’être inapte, notre peur la plus profonde est d’avoir un pouvoir extrêmement puissant. C’est notre propre lumière et non notre noirceur qui nous effraie le plus. Nous déprécier ne servira jamais le monde et ce n’est pas une attitude éclairé de se faire plus petit qu’on est en espérant rassurer les gens qui nous entourent. Nous sommes tous conçus pour briller comme les enfants. Cette gloire n’est pas dans quelque uns elle est en nous et si nous laissons notre lumière briller nous donnons inconsciemment aux autres la permission que leurs lumières brillent. Si nous sommes libérés de notre propre peur notre présence suffit alors à libérer les autres. coachcarter

Parler d’elle. Isobel n’avait jamais été réellement douée pour faire ça. Elle adorait venir en aide aux autres. Mais parler d’elle et de ses faiblesses. Ca non, jamais pas même avec l’homme qu’elle aime. Elle avait toujours refusé de parler de Sophia. C’était sa sœur. Et d’une certaine manière ça lui permettait de la protéger comme elle le pouvait. Elle savait que Casey ne comprendrait pas complètement. Pourquoi partir à cause de sa sœur morte ? Personne ne le comprendrait. Il y avait une partie de ça et une partie dut au fait qu’elle n’était pas douée pour être maman. Elle savait très bien que Casey avait mille et une questions et elle le voyait très bien dans ses yeux. Il regardait cette photo comme si il hallucinait. Elle comprenait que ça pouvait faire un choc. C’était une histoire compliquée. C’était quelque chose à quoi il ne s’attendait pas. Isobel pouvait cacher beaucoup de choses et c’était dur de la cerner complètement. Elle ne parlait pas de Sophia parce qu’elle avait l’impression de devoir la partager et partager ses souvenirs avec les gens et elle ne voulait clairement pas.. Mais Casey était l’homme de sa vie et elle ne pouvait pas se permettre de le perdre parce qu’elle tient trop à ses souvenirs. Il finit par avoir ce regard plus tendre qu’elle aimait tant et il lui prit tendrement la main. Bon sang, elle fut parcourut d’un frisson incroyable. Elle ne l’avait pas touché depuis un mois et avoir ne serait-ce qu’un petit contact lui faisait un bien fou. Elle avait toujours aimé le tenir la main, lui faire des câlins et l’embrasser. Tout ça lui manquait plus que tout. Leur vie ensemble lui manquait. « Je suis désolé Isobel… Vraiment. Tu… Enfin tu aurais pu m’en parler, j’aurais compris. Enfin t’avais peut être pas envie de m’en parler. Désolé. Je… » glissait-il alors sincèrement. Elle posait alors son regard sur leur fille. Elle avait eut peur et elle avait préféré garder tout ça pour elle ; Parler de choses douloureuse c’est jamais facile. Elle était sure d’une chose, si elle devait en parler c’était certainement avec lui et avec personne d’autre. Il laissait alors vagabonder son regard sur la photo avant de reprendre simplement : « Je crois que je t’ai jamais vu aussi heureuse que là-dessus. » ajoutait-il en retirant sa main. Elle aurait aimé qu’il laisse encore plus longtemps. Elle avait l’impression qu’enlevant il mettait à nouveau une barrière entre lui et elle. Il passait tendrement sa main dans ses cheveux. Elle sourit légèrement. Elle savait ce que ce geste veut dire. Il était gêné. Elle ne savait pas quoi mais probablement de lui donner « la main ». Le voir, limite sentir son parfum lui faisait du bien. Elle avait envie de le prendre dans ses bras ou de serrer sa vie contre elle mais elle se retenait car elle n’en avait pas le droit. Elle finit par reprendre simplement :

•« C’est pas que je ne voulais pas t’en parler. Mais c’est une partie de ma vie que je garde pour moi. J’ai.. ; J’ai toujours pensé que c’était injuste que ça aurait dut être moi. Sophia.. Sophia c’était celle qui profitait de la vie, qui avait une tonne d’amis et de petits amis et tu lui aurait plut.. Vraiment plut. Le cancer a détruit ma sœur.. Mais ça a fait plus que ça, ça a détruit ma famille, ça m’a détruite. Je vivais avec elle 24h/24 et je l’ai perdue comme ça d’un coup et j’ai rien put faire. Je lui ait fait des promesses et je voulais les tenir c’est tout. J’aurais voulut t’en parler mais c’est quelque chose que j’arrive pas à faire.. Ca fait trop mal. J’étais heureuse vraiment.. Elle était moi en plus déglingué et en fêtarde. On était pas seulement sœur . On était bien plus. Je suis heureuse mais d’une manière différente aujourd’hui.. Parce que d’une certaine manière je suis morte avec elle ce jour-là… »

C’était la stricte vérité. Une partie d’elle c’était comme envolée avec sa sœur. La conversation semblait plus légère que plus tôt et pourtant il y avait une certaine tension ambiante. Elle ne voulait pas lui mentir. Elle lui disait les choses telles qu’elles les avaient ressenties. Elle avait fuit par peur de mal de faire et par égoïsme et personne ne pourrait l’oublier. Et alors qu’ils parlaient la petite commençait à gigoter légèrement. Elle ne put s’empêcher de laisser échapper un léger sourire en regardant cette dernière. Elle était obnubilé par le regard de la petite. Elle y voyait Casey et à chaque fois ça faisait battre son cœur encore plus vite. « Tu aurais dû me le dire. Je ne voulais te forcer de rien. Oui j’étais et je suis vraiment heureux d’être papa. Elle est la plus belle chose qui me soit arrivé. Mais si tu m’avais clairement dit que tu ne voulais pas, j’aurais respecté ton choix. Au moins tu ne m’aurais pas abandonné. »ajoutait-il L’abandonner Elle l’avait laissé tomber. Et elle voyait très bien qu’il en souffrait encore aujourd’hui. Elle avait honte réellement.. Il ne l’avait pas forcé ; Il se méprisait sur ses propos. Elle avait prit l’avis du jeune homme en compte voilà tout. Le plus dur pour elle c’était simplement de voir tout le mal qu’elle avait put faire à sa propre famille. C’était ecoeurant de voir qu’elle avait merdé à un tel point. Elle reprit calmement :

•« Tu ne m’as pas forcé. Quand tu m’as donné ton avis pour avoir cet enfant. Je l’ai simplement prit en compte et je me suis dit que mon instinct maternelle viendrait ensuite quand elle serait là.. Mais ça n’a pas été le cas et j’ai paniqué. Etre enceinte ça été une période merveilleuse et je ne regrette pas de l’avoir gardé je t’assure. Et je suis désolé de t’avoir laissé tout seul… Je t’aime. Et je sais que tu souffres plus que tu ne le dis. J’ai merdé et je ne pourrais jamais changer ce qui s’est passé. Tout ce que je peux faire c’est essayé de recoller les morceaux. »

« Je veux bien comprendre que tu ne m’es pas parlé de ta sœur… Mais partir ? Ca j’arrive pas à le comprendre. Je t’aimais vraiment Is’ plus que tout. Je voulais vraiment que l’on construise une famille ensemble, mais maintenant… Maintenant je sais plus… » Ajoutait-il. Elle sentait son cœur se brisait comme ci tout les espoirs qu’elle avait mit dans cette conversation s’envolait d’un seul coup et qu’il ne reviendrait plus jamais. Elle avait l’impression de le perdre une seconde fois et tout ça c’était entièrement de sa faute. « Mes parents m’ont abandonné, je pensais pas que tu allais me faire le même coup… » ajoutait-il finalement. Elle baissait la tête pendant quelques secondes essayant de garder un souffle normal. Il avait raison. Elle lui avait la pire chose qu’on puisse faire à un être aimé.

•« Je sais.. Mais il y a un mois ça me semblait être le meilleur choix au monde. Aujourd’hui ça l’ai plus du tout.Tu m’aimes plus alors ?! Tu parles de tes sentiments comme ci c’était quelque chose d’oublier, d’inexistant… Je veux vous récupérer et je suis prête à attendre que tu sois prêt. Je sais que ta famille tant à fait baver et j’étais là a te soutenir et je sais même pas comment moi j’ai réussit à te faire ça.. Ca craint réellement. Et je me détesterais aussi si j’étais à ta place. »



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MessageSujet: Re: Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé.   Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé. EmptyVen 5 Avr - 18:23





Isaac-Casey & Isobel



« C’est pas que je ne voulais pas t’en parler. Mais c’est une partie de ma vie que je garde pour moi. J’ai… J’ai toujours pensé que c’était injuste que ça aurait dut être moi. Sophia… Sophia c’était celle qui profitait de la vie, qui avait une tonne d’amis et de petits amis et tu lui aurais plut... Vraiment plut. Le cancer a détruit ma sœur… Mais ça a fait plus que ça, ça a détruit ma famille, ça m’a détruite. Je vivais avec elle 24h/24 et je l’ai perdue comme ça d’un coup et j’ai rien pu faire. Je lui aie fait des promesses et je voulais les tenir c’est tout. J’aurais voulut t’en parler mais c’est quelque chose que j’arrive pas à faire… Ca fait trop mal. J’étais heureuse vraiment... Elle était moi en plus déglingué et en fêtarde. On était pas seulement sœur. On était bien plus. Je suis heureuse mais d’une manière différente aujourd’hui... Parce que d’une certaine manière je suis morte avec elle ce jour-là… » Je me sens mal à l’aise. Je voudrais la prendre dans mes bras, lui dire que tout ira bien, qu’elle ne doit plus avoir peur, qu’elle ne doit plus être triste, mais je ne peux pas. La prendre dans mes bras ce serait relancer les problèmes, les complications. Alors je me contente de me concentrer sur ce qu’elle me raconte. Elle me parle de sa sœur et juste au son de sa voix, je comprends qu’elle est réellement triste et qu’elle ne pourra jamais réellement ce remettre du décès de sa sœur jumelle. Je la comprends parfaitement. Je n’ai jamais vécu cela, mais je n’ose même pas imaginer dans quel état je pourrais être si je viens à perdre ma petite sœur un jour. Non il faut vraiment pas que je pense à cela. Un instant, mon regard ce perds dans celui d’Isobel. Elle a l’air tellement dévastée… Du bout du pouce, je caresse le dos de sa main. Une vieille habitude qui je crois ne partira jamais. Je voudrais la rassurer, mais je ne sais absolument pas comment m’y prendre. Je n’ai jamais été très doué pour réconforter les gens avant j’y arrivais avec Isobel, mais aujourd’hui, je me demande si cela était réellement efficace. « J’espère que j’aurais un peu contribué à ton bonheur. » dis-je en souriant quelque peu. C’est débile, mais je ne sais absolument pas quoi dire d’autre. Je me sens un peu comme un idiot et je n’aime pas spécialement cela. « Désolé c’était nul. Je… Je m’excuse de faire remonter ça, vraiment. Mais je suis persuader que c’était une fille géniale et qu’elle voudrait que tu vives ta vie avec ta… » J’hésite un instant et finis par terminer ma phrase… « Avec ta famille. » Parce que c’est juste ce que nous sommes tout les trois. Une famille.

D’ailleurs nous parlons justement de notre famille et plus particulièrement de la présence de Théa dans nos vies. Je me demande pourquoi elle a accepté de devenir mère si c’est justement cela qui le fait fuir. Je me souviens parfaitement de comment elle pouvait agir avec sa fille. Elle n’osait jamais la prendre dans ses bras et plus particulièrement lorsque la petite pleurait. Elle avait peur de lui donner le biberon, de lui donner le bain, de l’habiller. Elle avait constamment peur de tout et alors que je pensais que nous allions apprendre à deux, j’avais du me débrouiller tout seul et ce de suite. La naissance de Théa avait commencé à nous séparer sans qu’on le veuille vraiment et ce uniquement à cause des peurs d’Isobel. Elle me parle d’instinct maternel et une nouvelle fois, je fronce les sourcils. « Que tu me crois où non ce que tu appel l’instinct maternelle, tu l’as au fond de toi. Tu jouais déjà à la maman avec moi et regarde elle c’est mise à pleurer tu as voulu aller voir, me dit pas non, tu sais que c’est vrai. Tu te mets trop de barrière Isobel pour une fois laisse tomber ta retenue, agis simplement comme tu le voudrais avec elle. » Il faut qu’elle ce lâche. Elle veut être avec sa fille c’est indéniable, je ne sais pas si j’arriverais à la laisser faire sans lui être constamment derrière, mais si elle veut passer du temps avec son bébé je ne pourrais pas lui enlever cela. « Et je suis désolée de t’avoir laissé tout seul… Je t’aime. Et je sais que tu souffres plus que tu ne le dis. J’ai merdé et je ne pourrais jamais changer ce qui s’est passé. Tout ce que je peux faire c’est essayé de recoller les morceaux. » me dit-elle alors. Je dois avouer que je suis assez surpris de l’entendre me répéter une nouvelle fois qu’elle m’aime. Je n’ai jamais été du genre à parler de mes sentiments à haute voix et Isobel n’est pas spécialement fan de cela non plus, c’est toujours rare entre nous. Mais ce qui me scotche sur place, c’est qu’elle puisse encore lire aussi facilement en moi. Bien sûr que je suis blessé, mais je ne lui montrerais jamais. Ou tout du moins pas maintenant. D’ailleurs je ne préfère pas renchérir là-dessus.

Je lui parle alors de mon ressentit sur la situation. J’essaye d’être le plus clair possible, de lui montrer mes sentiments du mieux que je peux. « Mes parents m’ont abandonné, je pensais pas que tu allais me faire le même coup… » Je ne voulais pas spécialement la comparer à mes géniteurs. Ma famille ou ce que je pourrais appeler comme cela avait été ignoble avec moi et ma petite sœur et c’était tout de même assez cruel de mettre Isobel sur le même niveau que ces gens-là. « Je sais... Mais il y a un mois ça me semblait être le meilleur choix au monde. Aujourd’hui ça l’ai plus du tout. Tu m’aimes plus alors ?! Tu parles de tes sentiments comme ci c’était quelque chose d’oublier, d’inexistant… Je veux vous récupérer et je suis prête à attendre que tu sois prêt. Je sais que ta famille t’en à fait baver et j’étais là à te soutenir et je sais même pas comment moi j’ai réussit à te faire ça... Ca craint réellement. Et je me détesterais aussi si j’étais à ta place. » Oh non. Elle veut que je lui parle de mes sentiments pour elle. Non, non et non. Cela fait très exactement un mois et demi que j’essaye d’enfouir tout cela. Je me suis laissé abattre une fois. Une seule et unique fois et ce dans les bras de ma petite sœur. Depuis je me lève tout les jours avec la boule au ventre. J’ai gardé les photos d’Isobel que ce soit dans l’appartement, dans mon portable ou dans mon portefeuille. J’ai tout gardé, mais je ne sais pas si je pourrais réellement lui pardonner. Je vois bien qu’elle attend une réponse et je me mords la lèvre inférieure. « J’ai pas dit ça… » Non je n’avais pas dit ça, mais j’avais pourtant bien conjugué le verbe aimer au passé. « Je préfère pas penser à ça c’est tout. Tous les jours depuis que tu es parti j’essaye de t’oublier, on va juste dire que c’est pas aussi facile que cela… »

Le plus important, c’est ma fille. Le reste on verra après. J’ai déjà eu l’occasion d’aller voir ailleurs, avec une autre femme, mais je ne l’ai pas fait. Parce que je pense uniquement à mon bébé en ce moment, c’est tout ce qui compte. « Je vis plus pour Théa et pour ma sœur que pour moi c’est tout. » Je cherche à gagner du temps. Je n’arrive pas vraiment à lui dire ce que je voudrais lui dire. Je soupire un bon coup et vais prendre appui sur le dossier de ma chaise. « Bon… » Aller Isaac lance toi. « Je vais être franc avec toi, oui je te déteste… Depuis le jour où j’ai ouvert cette lettre. Je te déteste parce que je pensais que tout allais bien entre nous et que l’on vivait heureux, mais visiblement ce n’était pas le cas et tu n’as pas voulu me le dire. J’ai l’impression d’avoir vécu dans un immense mensonge… Mais malgré tout ça, je lui parlais de toi. Tous les soirs je prends Théa avec moi dans le lit et je lui parle de sa maman. Je lui raconte comment on c’est connu, a quel point j’ai pu t’aimer, tout ce que tu as pu faire pour moi et a quel point je te trouve géniale. »

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MessageSujet: Re: Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé.   Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé. EmptyVen 5 Avr - 21:29


Quand on pardonne, on aime. Et quand on aime, la lumière divine descend sur nous... intothewild





Notre peur la plus profonde n’est pas d’être inapte, notre peur la plus profonde est d’avoir un pouvoir extrêmement puissant. C’est notre propre lumière et non notre noirceur qui nous effraie le plus. Nous déprécier ne servira jamais le monde et ce n’est pas une attitude éclairé de se faire plus petit qu’on est en espérant rassurer les gens qui nous entourent. Nous sommes tous conçus pour briller comme les enfants. Cette gloire n’est pas dans quelque uns elle est en nous et si nous laissons notre lumière briller nous donnons inconsciemment aux autres la permission que leurs lumières brillent. Si nous sommes libérés de notre propre peur notre présence suffit alors à libérer les autres. coachcarter

Se confier à Casey.. Elle le faisait souvent avant.. Mais parler de Sophia n’avait jamais été l’un de leurs sujets de conversations. Elle ne savait quel mot mettre sur ce qu’elle ressentait et sur le fait qu’elle ne lui avait jamais parlé de lui ; Elle se perdait dans son regard et ça lui avait donné la confiance de continuer. Elle savait que même si elle lui expliquait rien ne changerait et il serait peut-être triste pour elle mais c’était tout. Il ne pouvait pas la ramener. Personne ne pouvait. Et si Isobel aurait put, elle aurait donné de sa vie et de sa personne pour sa jumelle. Mais voilà, la vie n’est pas aussi simple et aujourd’hui elle se retrouvait en face e ses deux amours qu’elle avait honteusement abandonnaient. Elle se trouvait là face à lui et elle ne pouvait rien faire à part parler et s’excuser. Sophia aurait dit que c’était courageux. Isobel trouvait que c’était lâche. Elle n’aurait jamais dut s’expliquer si elle n’était pas partie. Elle jouait avec ses mains dut au stress et la jeune femme fut arrêtait lorsque le jeune homme posait tendrement sa main sur la sienne la caressant. C’était un de leur truc et elle se calmait alors sincèrement. Elle avait le regard perdu. Parler de cette histoire c’était dur. Au furt et à mesure des caresses que le jeune homme pouvait faire sur sa main la jeune femme semblait plus .. Détendue. Elle restait là le regardant et attendant une réaction de sa part. « J’espère que j’aurais un peu contribué à ton bonheur. » ajoutait-il avec un léger sourire. Il était celui qui avait sut la rendre à nouveau vivante. Il avait fait plus que contribuer à son bonheur. Il avait été sa seule source de bonheur pendant toutes ses années. Elle n’avait put vivre sans lui. IIl avait sut la faire rire, sourire et vivre. Et pourtant, c’était pas quelque chose qui était facile au début. Elle le détestait. Elle trouvait arrogant et bien trop sur de charme. Un mec qui a toute les filles qui veut été selon elle un coureur de jupons. Mais Casey était bien différent. C’était quelqu’un d’unique et d’extrêmement bon. Il avait sut se montrer si patient et si géniale avec elle . Alors forcément, la réponse était « oui » il avait sut le rendre plus que vivante et le bonheur qu’il lui avait donné était incalculable. « Désolé c’était nul. Je… Je m’excuse de faire remonter ça, vraiment. Mais je suis persuader que c’était une fille géniale et qu’elle voudrait que tu vives ta vie avec ta… » Ajoutait-il quelques secondes. Il n’avait pas à s’excuser. Il n’avait rien fait de mal c’était elle qui avait commencé en parler et elle aurait probablement dut le faire depuis très longtemps. Elle attendait comme la fin de sa phrase. « Avec ta famille. » finit-il par lâcher. Elle était donc de son avis. Oui, qui ne voudrait pas être sa famille ; Elle l’avait voulut pendant l’espace d’une seconde et très clairement ça avait été le pire souhait de toute sa vie et elle le regrettait aujourd’hui. Elle reprit simplement :

•« Casey… Si j’ai été heureuse pendant toutes ses années c’est seulement grâce à toi. Tu es seule à pouvoir me faire autant rire et sourire. Alors oui tu as plus contribué à mon bonheur. Tu as pas t’excuser. C’est moi qui t’ai parlé d’elle ; Elle était vraiment géniale oh ça oui. La fille parfaite. Elle le voudrait en effet.. Et je le veux aussi de tout mon cœur. »

Le fait est que leurs avis n’était pas le même sur l’instinct que la jeune femme avait ou non. Il est vrai que le jeune homme avait sut apprendre tellement vite et il était tellement à l’aise dans son rôle de père qu’elle en avait perdu pied. Elle c’était trouvée longtemps à la masse. Elle ne pouvait pas la prendre de peur de la casser ou bien même qu’elle pleure. A chaque mouvement qu’elle faisait avec sa fille, elle se mettait un mur et se trouvait vraiment nulle. Et peut-être que c’était elle qui s’était fait des films ou bien elle aurait dut essayer plus fortement. Mais elle n’y était pas arrivée. Aujourd’hui elle se sentait prête et elle voulait réellement mériter sa famille. « Que tu me crois où non ce que tu appel l’instinct maternelle, tu l’as au fond de toi. Tu jouais déjà à la maman avec moi et regarde elle c’est mise à pleurer tu as voulu aller voir, me dit pas non, tu sais que c’est vrai. Tu te mets trop de barrière Isobel pour une fois laisse tomber ta retenue, agis simplement comme tu le voudrais avec elle. » ajoutait-il. Il la connaissait et peut-être même un peu trop bien. Casey avait toujours sut voir en elle comme dans un livre ouvert. Il était le genre d’homme qui était incroyablement franc et qui regardait le moindre détail lorsqu’il s’agissait des gens qu’il aime. Elle avait probablement peur de réellement s’attacher et de perdre à nouveau sa chair, son sang et de simplement perdre les personnes qui comptent le plus à ses yeux. Et probablement que le fait de les abandonner à l’époque lui permettait de se dire qu’au moins elle ne prenait pas le risque de se faire blesser. Mais elle avait eut tort, elle c’était faite du mal toute seule comme une grande. Elle finit simplement par dire :

•« J’aimais bien te materner. Mais materner son compagnon et un bébé c’est différent. Tu as surement raison . Peut-être que je devrais être.. Plus à l’écoute de ce que mon cœur me dit plutôt que ma tête et j’y travaille mais c’est dur. J’aimerais être la mère parfaite mais c’est loin d’être le cas. Je te promet rien mais je veux faire un effort pour Théa.. Elle me manque. »

Le fait est que la conversation avait finit par dériver sur le sujet qui tendait à discussion. Casey c’était l’amour de sa vie mais elle ne savait pas si elle était toujours le sien ou simplement un chapitre de sa vie. Elle savait qu’elle avait elle-même mit son couple en danger et elle ne pouvait pas s’attendre à ce que le jeune homme lui saute dans les bras ou l’embrasse. Elle savait au fond d’elle qu’il la détesterait jusqu’à la fin de sa vie. « J’ai pas dit ça… »ajoutait-il. Il ne l’avait pas dit mais ses yeux le trahissaient et elle pouvait voir tout ce qu’il pensait d’elle en un seul regard. Il ne la regardait plus comme avant. Tout avait disparus . Il le pensait et elle l’avait juste traduit à haute voix. Elle pouvait se tromper mais elle ne pensait pas avoir tort. « Je préfère pas penser à ça c’est tout. Tous les jours depuis que tu es parti j’essaye de t’oublier, on va juste dire que c’est pas aussi facile que cela… » glissait-il. Elle restait là sans rien dire l’écoutant. Elle savait qu’elle devait le laisser parler et pour une fois écouter attentivement. Il essayait visiblement de passer a autre chose. Il voulait tourner la page mais c’était pas si facile et elle espérait de tout son cœur qu’il ne la tournerait jamais. « Je vis plus pour Théa et pour ma sœur que pour moi c’est tout. » ajoutait-il. Casey était le genre d’homme à se faire passer en dernier. Il l’avait toujours fait avec elle. Il l’avait fait toujours passer . Elle avait longtemps était la priorité et elle en avait fait de même mais les choses était différentes aujourd’hui et il ne comptait certainement plus la mettre dans es priorités et ça lui brisait le cœur rien que de l’imaginer. « Je vais être franc avec toi, oui je te déteste… Depuis le jour où j’ai ouvert cette lettre. Je te déteste parce que je pensais que tout allais bien entre nous et que l’on vivait heureux, mais visiblement ce n’était pas le cas et tu n’as pas voulu me le dire. J’ai l’impression d’avoir vécu dans un immense mensonge… Mais malgré tout ça, je lui parlais de toi. Tous les soirs je prends Théa avec moi dans le lit et je lui parle de sa maman. Je lui raconte comment on c’est connu, a quel point j’ai pu t’aimer, tout ce que tu as pu faire pour moi et a quel point je te trouve géniale. » dit-il finalement du tac au tac . IL faut dire qu’il n’y allait pas par 4 chemins après quelques secondes d’hésitation. Elle sentait le poignard tourné et retourné dans son cœur et bon sang que ça faisait mal. Elle essayait de faire bonne figure mais entendre ces mots sortir de sa bouche c’était réellement atroce et douloureux . Elle restait silencieuse, choquée de ce qu’elle venait d’entendre. Elle ne c’était jamais dit qu’un jour il pourrait autant la haïr. C’était la triste réalité.

•« D’accord.. D’accord. Je comprends.. Même si ça me brise le cœur de t’entendre dire tout ça. Mais je m’en doutait. Ca rend les choses bien trop réels. On n’a jamais vécus dans le mensonge.. L’amour que je ressentais pour toi c’était réel. Mais tout ça, c’est compliquée. Alors continue à me haïr mais pas trop s’il te plait parce que je le supporterais pas. Continue à lui dire. ; Et je ferais en sorte d’être mère à partir de maintenant.. Je crois que je vais y aller maintenant parce que voir ton regard qui traduit autant de haine j’ai.. J’ai un peu du mal. Je repasserais pour voir Théa dans la semaine si tu me l’autorises bien sur… »




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MessageSujet: Re: Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé.   Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé. EmptyVen 5 Avr - 23:26





Isaac-Casey & Isobel



Le bonheur. C’est bien quelque chose que j’ai du mal à comprendre, à définir… C’est quelque chose de totalement abstrait. Lorsque j’étais petit pour moi le pur bonheur aurait été d’avoir des parents aimants. Des parents qui ce soucient de moi, un père qui me dit être réellement fier de moi. Voir ma petite sœur jouer avec son père ou cuisiner avec sa mère. C’est tout ce que je voulais. C’était ma version du bonheur et puis j’ai grandi. Mes amis sont devenus mon petit bonheur et Isobel à débarquer dans ma vie. D’un seul coup, comme cela sans prévenir. Elle me détestait et pourtant… Maintenant elle est la femme de ma vie et la mère de ma fille. On pourrait appeler cela le destin ou quelque chose dans le genre j’en suis persuader. Même si désormais tout cela est absolument détruit. Parce qu’elle avait fuit. Ses raisons sont désormais un peu plus claires. Enfin je crois. Je comprends l’histoire de sa sœur, mais pour le reste… « Casey… Si j’ai été heureuse pendant toutes ses années c’est seulement grâce à toi. Tu es le seul à pouvoir me faire autant rire et sourire. Alors oui tu as plus contribué à mon bonheur. Tu n’as pas à t’excuser. C’est moi qui t’ai parlé d’elle. Elle était vraiment géniale oh ça oui. La fille parfaite. Elle le voudrait en effet... Et je le veux aussi de tout mon cœur. » Je lui souris bêtement. Pas besoin de rajouter quelque chose. Elle a compris où je voulais en venir et je suis touché par ses paroles. Je lui ai apporté un peu de bonheur dans sa vie et au fond c’est tout ce qui compte. Au moins aucun d’entre nous ne pourra oublier tout les bons moments que nous avons pu passer ensemble.

De manière assez douce, je finis par lui faire comprendre que je suis persuadé que quelque part elle possède cet instinct maternel qui lui manque tant. Elle pense mal faire et c’est uniquement cela qui la bloque. Elle c’est tellement mise cela en tête que c’est désormais une vérité générale pour elle. Tant qu’elle ne ce sera pas sorti cela de la tête rien ne pourra être bien pour elle. « J’aimais bien te materner. Mais materner son compagnon et un bébé c’est différent. Tu as surement raison. Peut-être que je devrais être... Plus à l’écoute de ce que mon cœur me dit plutôt que ma tête et j’y travaille mais c’est dur. J’aimerais être la mère parfaite mais c’est loin d’être le cas. Je te promets rien mais je veux faire un effort pour Théa... Elle me manque. » Bien sûr qu’elle aimait bien me materner. Elle passait son temps à faire ça. Isaac range ci, Isaac oublie pas ça, Isaac ton tee-shirt, Isaac on ferme bien le robinet après la douche. Elle était toujours derrière moi. J’ai toujours été quelqu’un de très indépendant, mais souvent avec Isobel je redevenais un gamin. Le gamin que je n’ai jamais réellement pu être dans le fond. « Personne ne te demande d’être parfaite. La perfection c’est abstrait… Soit juste là pour elle. » Je suis loin d’être le père parfait et je le sais parfaitement pourtant j’essaye de faire de mon mieux. Après tout un homme qui tient un bar, ce n’est pas vraiment compatible avec la paternité et pourtant c’est bel et bien mon quotidien. Je ne veux pas répéter les erreurs de mes parents et surtout je veux que ma fille connaisse ses deux parents même si nous ne sommes plus ensemble.

La conversation devient de plus en plus sérieuse et l’homme franc que je suis ne peut s’empêcher de dire ce qu’il pense sincèrement, même si cela doit faire mal. « Je vais être franc avec toi, oui je te déteste… Depuis le jour où j’ai ouvert cette lettre. Je te déteste parce que je pensais que tout allais bien entre nous et que l’on vivait heureux, mais visiblement ce n’était pas le cas et tu n’as pas voulu me le dire. J’ai l’impression d’avoir vécu dans un immense mensonge… Mais malgré tout ça, je lui parlais de toi. Tous les soirs je prends Théa avec moi dans le lit et je lui parle de sa maman. Je lui raconte comment on c’est connu, a quel point j’ai pu t’aimer, tout ce que tu as pu faire pour moi et a quel point je te trouve géniale. » Je ne peux pas être plus franc. Je vois bien que j’aurais mieux fait de me taire, mais désormais les mots sont sortis et au fond je ne le regrette pas. Cela fait un mois que je souffre tout seul dans mon coin. Personne ne m’a demandé mon avis. On me demande si je m’en sors avec ma fille, mais personne ce demande si je m’en sors avec moi-même. Si je suis triste ou pas de me retrouver seul. J’aimais ma vie avec Isobel. Nous avions déjà notre routine, mais cela ne me dérangeait pas. Au moins, lorsque je me levais le matin elle était à mes côtés. Désormais le lit est juste désespérément vide. Mais il semblerait que ma franchise ne soit pas vraiment de mise aujourd’hui. « D’accord... D’accord. Je comprends... Même si ça me brise le cœur de t’entendre dire tout ça. Mais je m’en doutais. Ca rend les choses bien trop réelles. On n’a jamais vécus dans le mensonge... L’amour que je ressentais pour toi c’était réel. Mais tout ça, c’est compliquée. Alors continue à me haïr mais pas trop s’il te plait parce que je le supporterais pas. Continue à lui dire. Et je ferais en sorte d’être mère à partir de maintenant... Je crois que je vais y aller maintenant parce que voir ton regard qui traduit autant de haine j’ai... J’ai un peu du mal. Je repasserais pour voir Théa dans la semaine si tu me l’autorises bien sur… » Je l’ai blessée avec mes propos… Ce n’était pas réellement voulu, mais ce qui est fait est fait…

« Je vais devoir y aller aussi de toute façon. » lui dis-je pour conclure quelque peu. Le service commence bientôt et je ne peux pas laisser ma fille ici alors que des hommes vont venir cuver leur vin toute la soirée ici. De plus c’est bientôt l’heure du biberon et il ne faut surtout jamais manquer l’heure du biberon, sinon cela pourrait déclencher une guerre. Je sourire quelque peu à Isobel même si le cœur n’y est pas vraiment. « J’ai pas changer de numéro, ni d’adresse… Préviens juste si tu veux passer. » Je ne l’empêcherais jamais de voir sa fille, mais je préfère être au courant avant qu’elle ne ce pointe chez moi. De plus, il vaudrait mieux pour elle qu’elle ne croise pas ma petite sœur. Cela pourrait tourner en une véritable dispute que je serais incapable de gérer. En quelques minutes, Isobel ce lève, embrasse sa fille et quitte le bar en silence. Je ne sais pas si je la reverrais, mais je sais qu’elle me manque déjà…

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Isoaac ○ Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d’être avec quelqu’un pour finir par avoir le cœur brisé.

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