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 it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon

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MessageSujet: it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon   it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon EmptyDim 9 Déc - 13:47

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Merry Chrismukkah


La semaine de Noël. Autrement la semaine que je déteste le plus dans l’année. Lorsque j’étais petite c’était le moment que j’attendais toujours avec impatience. J’adorais décorer la maison avec mon père. On pouvait y passer des heures entre le sapin immense, les décorations extérieurs et tout le reste de la maison. On mettait des chants de Noël et ma mère préparait toujours les même petits sablés que je dégustais avec un chocolat chaud devant la cheminée que mon père venait tout juste d’allumer. Oui c’était sans aucun doute la meilleure partie de l’année, enfin jusqu’au départ de mon père. Après cela, la période de Noël a totalement perdu de sa magie. Ma mère c’était enfoncée dans sa dépression, me laissant pratiquement seule toute l’année. Alors j’avais peu à peu arrêté de fêter Noël. J’avais essayé de le faire lors de ma première année dans mon appartement. Le sapin, les décorations, les chants de Noël tout était là, mais seule tout cela devient rapidement embarrassant voir déprimant alors j’avais finis par tout jeter et désormais Noël était tout simplement un jour comme les autres. Avec sa tradition tout de même. Chaque année, j’allume quelques bougies, je me prépare un bon petit plat et je passe ma nuit devant des films à l’eau de rose. Genre de film que je ne penserais même pas à regarder le reste de l’année. Et tout cela, seule bien entendu. Pas vraiment féérique je vous l’avoue. Une année seulement j’étais allé faire le réveillon chez les McAllister, je n’étais pas réellement motivé, mais la mère d’Ethanaël avait quelque peu insisté et je dois avouer qu’au final pendant une soirée j’avais eu l’impression d’avoir une famille de nouveau. Mais les choses ont changé et cette année j’ai bien l’impression que je vais être seule encore une fois. Je ne peux même pas aller me refugier dans mon travail puisque mon patron a tout simplement décider de fermer pour la semaine et m’as carrément confisqué les clés du magasin pour être sûr que je ne vienne pas pendant son absence. Il voulait que je profite des fêtes. Quelle merveilleuse idée. Je me retrouvais donc seule dans mon appartement en ce 24 décembre, incapable de savoir ce que j’allais bien pouvoir faire ce soir.

Légèrement désespérer je finis par envoyer un texto à Devon pour savoir ce qu’il faisait aujourd’hui. Le jeune homme est un grand fan de Noël et malheureusement, comme moi, il n’as plus vraiment de famille pour pouvoir célébrer ce jour. En général il est à New-York avec ses amis de la SNL, mais peut être que cette année il a changé ses plans. Il faut avouer que les derniers mois n’ont pas été très joyeux pour lui. Il y avait eu l’apparition de son frère en ville puis l’arrivé de ce New-Yorkais, Adam, Aidan, Aiden, je me souviendrais jamais du prénom de cet homme. Il était apparu d’un seul coup et avait disparu presque aussi vite laissant derrière lui un Devon complètement changer. A l’époque, j’avais plusieurs problèmes à régler de mon côté, mais lorsque j’avais finis par reprendre contact avec le jeune brun il avait totalement perdu sa joie de vivre. Je n’avais pas posé de question, j’étais simplement resté à ces côtés pendant plusieurs jours lui racontant le plus de conneries possible. On passait nos soirées dans les bars jusqu’un certain soir. On avait bu, beaucoup trop et je suis presque persuader que ce jour là j’ai finis dans sa douche… Avec lui. Je n’ai pas vraiment de souvenir de cette soirée, mais tout ce que je sais c’est que le lendemain je lui donnais le double des clés de mon appartement et il faisait de même avec celle de sa maison. Par la suite, il m’arrivait de débarquer à l’improviste juste pour lui faire une surprise. On a jamais parlé de son moment de dépression, mais je lui ai simplement fait comprendre que s’il avait besoin de parler je serais toujours là pour l’écouter. En attendant on passe nos temps à ce créer des souvenirs tous aussi dingues les uns que les autres. Enfin. Après plus d’une demi-heure, où j’ai eu l’impression de devenir dingue, il finit par me répondre. « Je fais pas Noël et je suis pas à Town Square. » Ah… D’accord. Au moins ça à le mérite d’être clair. Et c’est trop lapidaire pour être vrai. Quelque chose cloche dans ce message. Devon qui ne fait pas Noël c’est comme Town Square sans le Morning Coffee, c’est tout simplement inenvisageable. Je flaire le mensonge à des kilomètres et je n’apprécie pas spécialement cela. Parce que cela veut clairement dire qu’il ne va pas bien. Il ne me faudra que quelques secondes pour enfiler mon manteau et attraper mon sac à main. Mission sauver le Noël de mon Didi.

Je passe alors le reste de l’après-midi dans les magasins. Aller savoir comment, j’ai eu la chance de trouver un sapin et pas un petit, hein, un beau et grand sapin qui tiens à peine dans ma voiture. J’ai aussi trouvé un tas de décoration et même des chaussettes avec notre prénom dessus. Enfin le sien, parce que le mien ne doit pas exister dans le catalogue des prénoms courant, tant pis j’en ai au moins trouvé une avec « Jules » écrit dessus. Ca fait la moitié de moi comme ça. Enfin. En moins de deux heures j’ai trouvé tout ce qu’il me fallait. Tout sauf un cadeau pour mon meilleur ami. J’étais en train de réfléchir à cela lorsque mes yeux finirent par tomber sur le magasin du vétérinaire de la ville. En vitrine ce trouvait tout une portée de bébé chiens tout plus craquant les un que les autres. Je ne sais pas si c’est réellement une bonne idée, mais tant pis, je peux pas résister. Au pire, je le ramènerais avec moi, je m’en fiche. C’est donc avec un bébé chien sur le siège passager, des décorations sur la banquette arrière et un sapin dans le coffre que je finis par me diriger vers la maison de mon meilleur ami. En arrivant, je laisse « pouet », oui c’est le petit nom que je lui ai donné pour l’instant, courir dans le jardin et j’emporte toutes mes affaires devant la porte d’entrée. Je fais jouer mes clés dans la serrure et entre dans la maison. L’endroit est totalement désert et étrangement calme, pourtant ses chaussures sont encore dans l’entrée comme son manteau et sa voiture est dans le garage. J’enlève rapidement mes talons et monte les escaliers en silence pour trouver un Devon endormi dans son lit. Délicatement je ferme la porte et redescend pour préparer ma surprise. Je met le sapin près de la cheminée et commence à le décorer tout en chantonnant des chants de Noël. Je me laisse un peu emporter par ma folie et le salon devient de plus en plus une vitrine illuminé d’un magasin de décoration. Je suis loin, mais alors loin d’avoir finis lorsque j’entends un raclement de gorge derrière moi. Rapidement je me retourne et écarte les bras pour cacher le sapin derrière moi, sapin qui doit faire trois fois ma taille. Autant dire que c’est totalement inutile. « Non, non j’ai pas finis, retourne dormir ! » lui dis-je alors un peu surprise par son arrivé en caleçon et à moitié réveiller.
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Devon S. Griffinth
Devon S. Griffinth
staff → les habitués du café
Côté coeur : Marié sous les douches d'Ikea (enfin, à Vegas) avec Celio
Job : Présentateur d'un talkshow
Age : 26 ans
Célébrité : Darren Criss
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MessageSujet: Re: it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon   it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon EmptyLun 10 Déc - 11:16


Merry Chrismukkah


J'allais bien. Du moins c'est ce que je ne cessais pas de répéter aux autres comme à moi-même. Il m'arrivait parfois d'en douter, mais dans le fond, c'était vrai. J'allais bien. Au fil des mois j'avais appris à m'accrocher à ce qui était bien dans ma vie, et contre toute attente, je trouvais une liste conséquente d'éléments positifs. Mes amis, mon boulot, le regard des gens sur moi. Je pouvais me raccrocher à ces quelques aspects qui faisaient que finalement j'avais une bonne raison de me lever le matin. Sauf pour Noël. Ou toute autre fête de fin d'année du même genre. Le sapin, la neige, les décorations, l'odeur des gâteaux dans le four... J'avais grandi entouré de tous ces symboles. Et même lorsque j'avais atterri à New York, j'avais gardé ces traditions avec cette nouvelle famille que j'avais créée. Et au fond de moi, cette période de l'année faisait renaitre l'espoir en moi ; l'espoir de retrouver mes proches. Cette année, New York était inaccessible pour bien des raisons, et je savais désormais que l'espoir de réunir notre famille était mort. Alors oui, j'allais bien... mais pas à Noël. Pas quand je voyais la ville entière se transformer sous les décorations et un manteau de neige. Les enfants riaient et parlaient avec leurs parents des cadeaux qu'ils espéraient trouver sous le sapin le 25 au matin. J'avais beau me réjouir pour eux, ça ne me faisait que m'enfoncer encore un peu plus dans ma solitude. C'est pourquoi je m'étais accordé une nouvelle isolation. J'annonçais à tout le monde que je quittais la ville pendant les fêtes afin d'être tranquille, mais en profiterais plutôt pour manger de la nourriture grasse devant des films idiots pendant que la ville fêterait la venue au monde du petit Jésus. L'émission était en pause hivernal, et je pouvais broyer du noir en prenant des kilos jusqu'à la nouvelle année au moins. Au moins, ça me permettrait de repartir sur de bonnes bases. En 2013, le bonheur viendrait frapper à ma porte. Si tout le monde voyait la future année comme remplie de malchance, je la voyais plutôt comme un moyen de me reconstruire. Je n'avais plus de rêve idiot à poursuivre, il était temps que j'apprécie pleinement ce que la vie m'offrait au jour le jour. Mais pour l'instant, j'appréciais le calme et la chaleur de mon lit loin du reste de l'humanité. Du moins c'est ce que j'espérais faire.

Un jour, j'avais eu la brillante idée d'offrir les clés de chez moi à Siloë. Quelle erreur j'avais bien commise ! J'ignore si je serais encore là, ou l'homme que je suis, sans la jeune femme, mais Dieu sait à quel point il est parfois difficile de rester parfaitement sain d'esprit à ses côtés. Le problème c'est surement qu'on se ressemblait trop. C'était une bénédiction comme un supplice. Sans gêne, incapable de s'entendre dire non, nous abusions l'un comme l'autre de la confiance que nous nous étions accordés. C'est ainsi que nous débarquions souvent l'un chez l'autre, interrompant des moments parfois... cruciaux. Mais qu'importe ! Nous nous pardonnions toujours nos débordements malgré la colère qu'elle avait pu nous provoquer avant ça. Nous nous connaissions par cœur, c'est d'ailleurs pour ça que j'aurais dû m'attendre à un tel manège de sa part. Je savais que j'aurais dû lui confisquer sa clé pendant un temps. Ou changer les serrures. Ou partir m'isoler dans un chalet à la montagne plutôt que dans ma propre maison. J'aurais surement aussi pu essayer de paraitre plus convainquant lorsque j'avais répondu au message de mon amie aussi... froidement. Si seulement j'avais pensé un peu plus à tout ça...

J'ignorais l'heure ou même le jour en me réveillant ce matin-là. Tout ce que je savais, c'est qu'il faisait bien trop froid pour que je sorte de sous ma couette, et que je n'avais pas fini ma nuit. Mais il y avait un autre évènement que j'ignorais au réveil: est-ce qu'on était en train de me cambrioler ou pas ? Et si oui, quel voleur fait autant de bruit ? Certes la maison était censée être vide, mais là, même les voisins devaient entendre le bouquant qui émanait de mon rez-de-chaussée. M'extirpant comme je pouvais de mon lit qui refusait de me laisser partir, je réalisais le rêve de toute une vie en prenant en main la batte de baseball que je cachais dans mon dressing que pour telle occasion. Je descendais ainsi à pas de loup, les quelques marches qui me séparaient de mon salon. M'apprêtant à attaquer mon agresseur, j'agrippais à deux mains mon arme lorsque je posais enfin le pied dans la pièce. C'est heureusement rapidement que je reconnaissais la silhouette devant moi. Entourée de cartons remplis de guirlandes, de décorations en tout genre, et en pleine élaboration d'un sapin, je découvrais ma vieille amie. Louhan Siloë-Jules Hurtlake. J'aurais dû m'en douter. A contrecœur, je déposais ma batte sur l'une des marches, et réfléchissais à quoi faire. J'hésitais entre remonter et faire comme si je n'avais rien vu en espérant que ce n'était soit qu'un rêve, soit qu'une mauvaise blague et qu'une fois de nouveau réveillé, Celio aurait effacer toute trace de son passage. Réalisant l'idiotie de cette possibilité, je me raclais clairement la gorge afin de manifester ma présence. M'entendant, la jeune femme s'empressa de faire barrage entre mon regard et le sapin. Comme si je n'avais pas encore remarqué ce qu'il se tramait. Elle dit : « Non, non j’ai pas finis, retourne dormir ! ». Je soufflais un rire face à sa remarque, et m'avançais vers elle pour attraper le plaid qui recouvrait le canapé situé entre nous. Je m'y enroulais dedans après avoir réalisé la tenue que je portais.

Après avoir fait le tour de la pièce d'un regard, j'allais m'asseoir à l'endroit où j'avais pris ma couverture un peu plus tôt. Je regardais ma mère Noël personnelle en face de moi quelques secondes, l'air narquois et lançais finalement : « Tu sais si j'ai dit que je n’étais pas là c'était qu'il y avait une raison. Celle-ci étant... que je souhaitais être seul. ». J'avais presque pensé un instant que la jeune femme avait juste voulu profiter de ma maison en mon absence, mais la présence de mon prénom sur une chaussette géante me laissait penser que tout ceci était pour moi. Je savais que tout partait d'une bonne intention, mais je n'avais rien demandé de tout ça. Peut-être que d'ici quelques temps je lui serais reconnaissant, et que je comprendrais son geste, mais pour l'instant... j'étais plutôt agacé. J'avais besoin de cette solitude, et pas de cette accumulation d'objets brillants qui étaient censés apporter de la joie et de la chaleur à tout être humain normalement constitué.
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MessageSujet: Re: it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon   it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon EmptyJeu 13 Déc - 18:55

it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon Tumblr_meeaj3GrhB1qbeeqko1_250 it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon Tumblr_meeaj3GrhB1qbeeqko6_r1_250 it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon Tumblr_meeaj3GrhB1qbeeqko11_r2_250
Merry Chrismukkah


La fameuse chanson de Noël « Let It Snow » coincé en tête depuis une demi-heure, c’est avec le sourire que je commence à décorer la maison de mon meilleur ami tout en pensant au message qu’il m’avait envoyé un peu plus tôt dans la journée. Je sais que déjà fois je l’énerve un peu avec ma tendance à un peu trop déborder d’énergie, mais jamais il ne m’avait répondu aussi froidement. Alors certes il n’était pas en face de moi à ce moment-là et il est compliquer de juger le ton d’un message écrit, mais tout de même, il y a des signes qui ne trompe pas. Devon qui ne fête pas Noël et puis quoi encore ? S’il c’était simplement contenter de me dire qu’il n’était pas en ville, je pense que je l’aurais totalement cru. Après tout sa vie ce déroule entre Town Square et New-York. Mais il avait ajouté qu’il ne faisait pas Noël et il c’était griller tout seul cet idiot. Comme si j’allais le laisser déprimer le jour de sa fête préféré. Ce serait mal me connaître tout de même. C’est pour cela que je me retrouve aujourd’hui entourer par des cartons et surtout par un immense sapin. Mon premier geste décoratif est d’accrocher les deux chaussettes gravé de nos prénoms au-dessus de la cheminée. C’est comme si d’un seul coup la magie de Noël était entré de force dans cette maison. Parce qu’après tout c’est de cela qu’il s’agit. La magie de Noël. Vous savez cette impression d’avoir de nouveau cinq ans, d’être exciter par le moindre petit flocon de neige, d’avoir les yeux illuminés par les décorations en ville et cette furieuse envie de chanter tout les chants de Noël que l’on connaît depuis l’enfance. C’est exactement ce que je ressentais lorsque je me mis à fouiller dans mes achats de l’après-midi afin de trouver les décorations nécessaire à mon sapin. Etant légèrement trop petite, je suis obligé d’aller chercher une chaise dans la cuisine pour pouvoir atteindre le haut de l’arbre et déposer la fameuse étoile. Je me laisse donc emporter par cet esprit de Noël et en oublie presque où je me trouve. Tout ce qui m’importe c’est d’avoir le plus beau sapin de la ville. On le sait tous, l’arbre de Noël est sans aucun doute ce qu’il y a de plus important, alors je ne veux pas me rater. Surtout que Devon est du genre… Perfectionniste et que je suis persuadé qu’il serait capable de reprendre ma décoration parce que ça ne correspond pas parfaitement à ces rêves de grand gamin. Oui, oui il en serait capable. Mais bon je l’aime comme cela après tout.

Emporter par cette magie de Noël que je venais tout juste de redécouvrir, je me perds quelque peu dans mon monde, fredonnant un nombre incalculable de chanson de Noël. Je me rends donc pas réellement compte du bruit que je suis en train de faire. Je sais que je n’ai jamais été très discrète, mais je crois que sur ce coup-là j’aurais pu faire mieux en sachant que mon meilleur ami est en train de dormir profondément au premier. Je veux tellement bien faire pour lui faire plaisir que je me fiche un peu du bruit en réalité. Je veux juste que cette maison ressemble à celle que l’on peut voir dans les magasines. Vous savez le genre de décorations que tout le monde voudrait avoir, mais qu’on arrive jamais à refaire. Voilà c’est ça que je veux pour mon Didi. Enfin ce que je voudrais, parce que je n’ai même pas le temps de finir que j’entends un raclement de gorge derrière moi. Surprise je me retourne rapidement et écarte les bras pour cacher le sapin. Oui je sais, pas de commentaire. Ce que je découvre me surprend encore plus. Devon ce tiens à l’entrée du salon, en boxer et l’air à moitié réveiller. Il est à moitié et semble plutôt énerver de me voir ici. Mais je ne peux m’empêcher de lui demander d’aller ce recouché. Bien sûr. Je suis entré chez lui sans aucune invitation, je l’ai réveillé en faisant un peu trop de bruit et je lui demande d’aller ce recouché. Vu sa tête, je crois qu’il a une sérieuse envie de me faire manger mes décorations de Noël. Lorsqu’il finit par passer à côté de moi pour attraper une couverture, j’ai presque envie de le toucher juste pour voir si je ne rêvais pas. Il est quand même bien bâti le petit Devon, on dirait pas comme ça tout de même. Mais je me contente d’avaler ma salive et de respirer un bon coup. Siloë c’est pas vraiment le moment de lui sauter dessus. Malgré tout j’ai presque envie de lui hurler de reposer cette couverture. Faut vraiment que je me calme moi. Il finit par s’asseoir sur son canapé tout en baladant ses yeux sur la pièce. « Tu sais si j'ai dit que je n’étais pas là c'était qu'il y avait une raison. Celle-ci étant... que je souhaitais être seul. » finit-il par me dire d’un air que je ne lui connaissais pas. On dirait qu’il est… Agacé. Je dois avouer que je suis quelque peu déçue par sa réaction. Je sais qu’il est pas vraiment en forme en ce moment, mais tout de même… L’espace d’un instant, je reste comme ça, les bras écartés en train de le fixer bêtement. Puis je laisse tomber la guirlande que j’avais entre les mains et soupire. « Moi aussi je suis contente de te voir. » lâchais-je alors quelque peu froidement.

Génial. Non sincèrement tout ceci est absolument génial. Je venais ici pour lui faire une surprise et monsieur fait la gueule. Littéralement en plus. Il tire une tête de six pieds de long. Moi qui pensait réellement lui faire plaisir je dois avouer que je ne sais pas vraiment quoi faire désormais. Il pouvait pas juste apparaître avec un beau sourire sur les lèvres en me disant quel point il était content de pouvoir fêter Noël avec moi. Non il avait fallut qu’il ce ramène en boxer pour me perturber avant de me dire qu’il voulait être tout seul. Il va pas s’en sortir comme ça, moi je vous le dit. « D’accord. On va pas ce regardé comme ça encore longtemps. » lui dis-je tout en me rapprochant de lui. Sans réfléchir je l’attrape par le bras et le force à ce lever et tout en faisant de mon mieux pour faire abstraction de son corps nu sous le plaid. « Que tu le veuille ou non, je vais pas te laisser seul pour Noël. Alors tu va me bouger ton joli petit cul jusqu’à ta chambre pour t’habiller et tu va revenir avec un beau sourire en disant : Merci Siloë-Jules. » L’espace d’un instant, on ce regard en silence sans faire un mouvement. Je crois bien que c’est la première fois que je lui parle comme cela, mais des fois ça fait pas de mal. Il finit par hausser les épaules avant de s’éloigner pour reprendre les escaliers. « Et je vais te suivre pour être sûr d’avoir mon petit sourire. » ajoutais-je bêtement avant de m’élancer à sa poursuite. Ce réveillon de Noël promet d’être… Sympathique s’il continue à faire la tête. Nous voilà désormais dans sa chambre et c’est sans aucune gêne que je prends appuie sur le chambranle de la porte pour le regarder s’habiller. Comme ça j’aurais eu un petit cadeau de Noël. Un cadeau visuel. Tiens en parlant de cadeau, les aboiements de « pouet » vinrent briser le magnifique silence qui nous entourait et Devon me lança un regard qui voulait absolument tout dire. « Me regarde pas comme ça, je voulais te faire un cadeau de Noël. » dis-je alors en lui souriant.
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Devon S. Griffinth
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MessageSujet: Re: it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon   it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon EmptyLun 17 Déc - 1:44



Merry Chrismukkah


Qu’est-ce qu’il y avait de mal à vouloir passer les fêtes de fin d’année seul sous sa couette avec pour seule compagnie un paquet de céréales, une télévision, et sa main droite ? J’avais toujours été émerveillé par la magie des fêtes et tout ce qui s’y rapprochait. L’odeur des gâteaux dans le four, l’album de chants de Noël dans Sinatra en boucle dans toute la maison, les lumières éblouissantes du sapin près de la cheminée. Toutes ces petites choses me rappelaient mon enfance et les bons souvenirs de mon frère et moi, courant partout dans notre demeure, surexcités à l’idée d’apercevoir ne serait-ce que le pompon du bonnet du Père Noël lorsqu’il viendrait délivrer nos cadeaux. Mes parents ne cessaient de crier pour que nous nous calmions, mais dans le fond ils étaient heureux de nous voir aussi passionnés par les évènements actuels. Chaque soir nous nous posions devant la télévision, chocolat chaud dans les mains, classiques des fêtes diffusés devant nos yeux. Les dernières semaines de l’année étaient toujours les plus heureuses. Nous remercions le ciel d’être tous ensemble et apprécions chaque petit aspect qui rendait ces instants toujours plus merveilleux chaque année. Alors revoir toutes ces décorations cette année en sachant que je ne revivrais plus le bonheur des fêtes en famille… ça me réconfortait dans mon idée qu’il était mieux pour moi d’éviter Noël. La moindre guirlande, la moindre chaussette accrochée à la cheminée, me rappelait ce que j’avais perdu. C’était pour éviter ce genre de malaise que j’avais dit que je partais. Je voulais être seul, loin du monde et des décorations. Je voulais dormir jusqu’à la nouvelle année. 2013 allait m’apporter un renouveau. Je pouvais débuter l’année en sachant que je n’avais plus rien à perdre et que je ne pouvais aller que de l’avant. Peut-être qu’en fin d’année prochaine je voudrais retenter l’expérience en me créant de nouvelle tradition, de nouveau souvenir. Mais cette année… je n’étais pas prêt.

Siloë ne méritait très certainement pas la distance et la froideur que je lui accordais. Comme moi, elle avait perdu ce qui donnait tout son intérêt aux fêtes de fin d’année. J’étais heureux qu’elle réussisse à passer outre son passé pour organiser tout ça chez moi, mais ce n’était pas nouveau que je n’avais pas son courage. Je n’arrivais donc pas à me réjouir de sa surprise. Je voulais prendre part à ses envies. Je voulais mettre la main à la pâte et décorer le sapin avec elle, mais je n’en trouvais pas la force. Je n’arrivais qu’à m’asseoir sur mon canapé en la fixant, espérant qu’elle comprenne que tout espoir était perdu pour cette année. « Moi aussi je suis contente de te voir. » m’avait-elle dit, sèchement. Je ravalais ma salive difficilement, baissant le regard. J’étais honteux de la laisser tomber ainsi. La jeune femme avait été présente pour moi dans les pires moments, et je sentais qu’elle n’avait pas perdu l’envie de m’aider. Elle ne saurait certainement pas devant moi ce matin sinon. Mais cette fois, je ne cherchais pas la compagnie de quelqu’un. Seulement, il était impossible de refuser quelque chose à la jolie brune. S’il y a bien une chose que je connaissais d’elle, c’était que lorsqu’elle s’était mise une idée en tête, il était impossible de lui enlever. « D’accord. On va pas ce regardé comme ça encore longtemps. » me dit-elle avant de s’avancer vers moi et de me forcer à me lever en me tirant par le bras. Je la regardais incrédule pendant quelques secondes. Elle reprit presque aussitôt : « Que tu le veuille ou non, je vais pas te laisser seul pour Noël. Alors tu vas me bouger ton joli petit cul jusqu’à ta chambre pour t’habiller et tu vas revenir avec un beau sourire en disant : Merci Siloë-Jules. ». J’avais les yeux écarquillés devant de telles paroles. La franchise légendaire de mon amie n’était pas une surprise pour moi. J’étais plutôt étonné par le fait qu’elle avait, pour une fois, de l’effet sur moi. Je faisais mine de ne pas être affecté par ses mots en haussant les épaules, et partit en direction des escaliers pour rejoindre ma chambre. Je ne préférais pas lui répondre et simplement faire ce qu’elle me disait. Je savais très bien que j’étais coincé avec la jeune femme pendant encore un bout de temps, autant ne pas la froisser encore plus. « Et je vais te suivre pour être sûr d’avoir mon petit sourire. » m’avait-elle annoncé alors que je montais la première marche. Je retenais un rire, ne souhaitant pas satisfaire Siloë aussi rapidement. Je savais clairement la raison qui la poussait à me suivre, mais ne faisant aucune remarque devant l’utilisation d’une fausse excuse pour le faire.

J’enfilais ainsi à contre cœur des vêtement de saison, n’oubliant pas de montrer ma volonté à participer aux festivités en enfilant un hideux pullover recouvert de sapin, rennes, et autre cliché du genre. Ce n’est que lorsque je finissais d’enfiler mon dernier vêtement que je crus entendre un aboiement venant de mon jardin. Je lançais un regard interrogateur à ma compagne confortablement installée sur le chambranle de ma porte. « Me regarde pas comme ça, je voulais te faire un cadeau de Noël. » me dit-elle tout simplement. Je levais les yeux au ciel, me demandant quelle surprise elle allait bien pouvoir me trouver encore. Je ne perdais pas plus de temps et redescendais les escaliers à une allure folle avant d’ouvrir la porte vitrée menant à l’arrière de la maison. La neige avait recouvert l’intégralité de mon petit espace vert, et la seule chose qui venait animer ce blanc immaculé était un chiot excité par la chute des flocons. Je restais interdit devant ce spectacle, me remémorant les dernières paroles de Siloë. « Un chiot… » commençais-je tandis que cette dernière venait de me rejoindre au rez-de-chaussée. « Tu m’as offert un chiot… » continuais-je, posément, alors que l’animal décidait de quitter la neige pour retrouver le chaud de la maison que je lui ouvrais. La boule de poil prenait plaisir à venir jouer dans mes jambes alors que je restais toujours incrédule devant une telle nouvelle. Je m’accroupissais quelque peu pour arriver à hauteur de la bête, et la pris dans mes bras. « Mon Dieu Celio tu m’as offert un chiot ! » m’exclamais-je cette fois ci enjoué. Le chiot essayait de se frotter un peu plus contre moi, tellement que j’avais des difficultés à le garder contre moi. Je ne pouvais m’empêcher de rire aux éclats devant cette situation. J’ignorais si c’était l’idée de cadeau que mon amie avait eu ou simplement la vision de l’animal qui me faisait complètement craquer. Mais soudainement, j’oubliais toutes mes réticences, et je décidais de m’ouvrir un peu plus aux idées de Siloë. Après tout, je commençais à croire qu’elle savait mieux que moi ce dont j’avais besoin en ce moment.

Reposant le chiot à terre, je lui caressais doucement la tête avant de penser à refermer la porte qui glaçait la maison. Je me retournais vers mon amie, et la pris doucement dans mes bras en soufflant un léger « Merci Siloë-Jules. » dans son oreille. C’était pour ça que cette jeune femme était devenue si importante dans ma vie au fil des mois. Elle savait s’imposer dans les moments les plus critiques pour me redonner le sourire lorsque je perdais espoir d’un jour être à nouveau heureux. Que ce soit par sa simple présence, grâce à des décorations, ou à l’aide d’un petit animal, elle arrivait toujours à ses fins. Je finissais par me détacher de mon amie, et le sourire aux lèvres, demandais : « Prête à découvrir ton cadeau à ton tour ? ».
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MessageSujet: Re: it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon   it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon EmptyJeu 27 Déc - 0:50

it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon Tumblr_meeaj3GrhB1qbeeqko1_250 it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon Tumblr_meeaj3GrhB1qbeeqko6_r1_250 it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon Tumblr_meeaj3GrhB1qbeeqko11_r2_250
Merry Chrismukkah


L’accueil est plutôt… Glacial. Je dois avouer que je connais la situation actuelle de Devon et que par conséquent je sais qu’il n’est pas vraiment d’humeur à participer à des fêtes qui ce veulent familiales. Mais je suis réellement étonner par l’accueil qu’il me réserve. J’aurais pu être un cambrioleur qu’il m’aurait peut être accueilli avec le sourire. Enfin. Je ne vais pas épiloguer. Et puis il faut avouer que la tenue qu’il porte rattrape le tout. Bon il est à moitié nu, alors ce n’est pas vraiment une tenue, mais bon… Arh voilà ça me déconcentre. Aller Siloë pense à autre chose. Un instant, je reste les bras écarter à essayer de cacher le sapin tandis qu’il s’assoit tranquillement sur le canapé pour me regarder en silence. Une grande avancée selon moi, mais pas assez importante. Alors sans réfléchir je m’approche de lui et l’attrape par le bras. Notre soudaine proximité, me déconcentre une nouvelle fois, mais j’en fais rapidement abstraction. Je le regarde droit dans les yeux et finis par lui dire : « Que tu le veuille ou non, je vais pas te laisser seul pour Noël. Alors tu vas me bouger ton joli petit cul jusqu’à ta chambre pour t’habiller et tu vas revenir avec un beau sourire en disant : Merci Siloë-Jules. » Nous sommes aussi surpris l’un de l’autre par mes propos. Je ne lui ai jamais caché ma franchise, surtout à lui, mais il faut dire que c’est bien la première fois que je lui parle comme cela. Apparemment cela fait son petit effet puisqu’il ce contente d’hausser les épaules et ce dirige tranquillement vers les escaliers. Des fois je suis super fière de moi quand on m’écoute de cette façon. J’en sautille presque sur place lorsqu’il finit par ce retourner. Il faut vraiment que je me calme des fois. Afin de le suivre pour le surveiller, mais également afin d’observer son joli petit corps, j’invente une excuse bidon et grimpe les escaliers à mon tour. D’accord j’aurais pu m’abstenir, mais c’est Devon après tout. Et puis au fond, je voulais être sûre qu’il ne retourne pas tout simplement ce coucher. Parce que je le connais le garçon, il a beau avoir une tête d’ange parfois il peut réellement être têtu et quand il a pas envie, il a pas envie et le fais savoir comme aujourd’hui. Sauf qu’avec moi il n’est pas près de gagner. Ca non.

Nous nous retrouvons alors dans sa chambre. Appuyée au chambranle de la porte, je l’observe en train de fouiller dans son armoire. Rapidement il enfile un jean avant de sortir un pull de circonstance. Je dois avouer que je reste assez étonnée. Bon… Devon a souvent l’habitude de s’habiller avec des couleurs voir même des nœuds papillons. Mais le pull qu’il enfile ressemble étrangement à celui que porte Marc Darcy dans le film Bridget Jones. Il manque plus qu’une chanson de Noël en fond sonore et on est bon. Un sourire s’affiche sur mes lèvres tandis que je me retiens de rire. « Magnifique ! » finis-je par lui dire tout en levant mes deux pouces en l’air. Promis je ne me moque pas. Et alors qu’il commence à retrouver peu à peu un certain entrain, un jappement ce fait entendre depuis le rez-de-chaussée. Pouet. Je l’avais oublié celui-là. Le pauvre cela fait bien plus d’une heure qu’il est dehors, il doit être mort de froid. Ou alors il est juste excité par la neige qui c’est remise à tomber. En tout cas, il à manifester sa présence et Devon s’empresse de me jeter un regard interrogateur. « Me regarde pas comme ça, je voulais te faire un cadeau de Noël. » lançais-je tout en haussant les épaules. S’il déteste mon cadeau je dois dire que je vais faire une crise. Parce que là je ne sais plus quoi faire pour lui faire plaisir. En quelques secondes, il disparaît dans les escaliers. Je dois avouer que je commence à paniquer quelque peu. En espérant qu’il ne va pas malmener cette petite bête. Par acquis de conscience, je descends également à l’étage inférieur. Je trouve un Devon dont les yeux brillent face à une petite boule de poils surexcité. Je reste quelque peu en recul et observe la scène avec un sourire aux lèvres. « Un chiot… Tu m’as offert un chiot… » murmure-t-il tandis qu’il s’agenouille pour ce retrouver à la hauteur de la petite bête. Ils sont mignons tout les deux. Je suis persuader que « pouet » va lui apporte un peu de bonne humeur désormais. D’ailleurs, j’aperçois un sourire ce formé sur le visage de mon ami. « Mon Dieu Celio tu m’as offert un chiot ! » s’exclame-t-il en prenant le chiot dans ses bras. J’y crois pas. Il est plus enthousiaste par la présence d’un chien, que par la mienne. J’aurais dû lui offrir une photo de moi. Enfin. Je reste là, les bras croisés à observer mon compagnon en train de s’amuser avec son cadeau de Noël. Le petit animal de ne cessais de faire des allers-retours entre Devon et moi. Il ne savait plus où donner de la tête et je finis par me baisser à mon tour pour déposer une caresse sur sa tête. « Je l’ai appelé Pouet. Mais je pense que tu peux trouver mieux. » dis-je alors en souriant. Je dois avouer que dit à voix haute cela paraît vraiment plus bizarre. Quel idée de donner un tel nom pour un chien. Bon en même temps, je n’avais pas vraiment d’idée. J’aurais pu l’appeler Sage ou Jupiter, je sais pas. Enfin un nom de planète pour un animal cela reste encore plus bizarre. Enfin. Je suis persuadé que Devon trouvera mieux.

Nous restons encore quelques minutes à nous extasier devant ce nouveau chiot avant de nous relever en souriant. Il semblerait que la magie de Noël a enfin trouvé le chemin de la demeure Griffinth. Sans que je m’y attende, Devon finit par s’approcher de moi pour me prendre dans ses bras. Je suis quelque peu surprise par son geste, mais je passe rapidement mes bras autour de son cou en souriant de plus bel. « Merci Siloë-Jules. » finit-il par me dire. D’un seul coup, j’ai presque envie de sauter de joie en criant j’ai réussi. Bon d’accord c’est pas encore un franc succès, mais il est en train de sourire, il me fait un câlin et il vient de me dire merci. Que demande le peuple ? « Joyeux Noël mon Didi » dis-je tout en déposant un léger baiser sur sa joue. A croire que mon opération Noëlukkah n’était pas encore tombée à l’eau. De nouveau j’observe mon ami. D’un seul coup, il semble beaucoup plus heureux. Beaucoup plus ouvert. Et j’ai l’impression d’avoir réussi ma mission. Enfin presque. « Prête à découvrir ton cadeau à ton tour ? » Il a un cadeau pour moi, vraiment ? J’ai pas eu de cadeau de Noël depuis des années. Enfin je me faisais mes propres cadeaux avec l’argent de mon salaire, mais ce n’était jamais la même chose. Je n’avais pas ce sentiment que quelqu’un avait pensé à moi en cette période de l’année. « T’as un cadeau pour moi c’est vrai ? » lui demandais-je alors tout excitée. « Genre un vrai cadeau ? Pour moi ? » D’accord il faudrait que je me calme, mais j’ai vraiment besoin de voir ce qu’il veut m’offrir. « Moooooooontre ! » lançais-je avec un grand sourire.

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Devon S. Griffinth
Devon S. Griffinth
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Côté coeur : Marié sous les douches d'Ikea (enfin, à Vegas) avec Celio
Job : Présentateur d'un talkshow
Age : 26 ans
Célébrité : Darren Criss
Age : 31
DC/TC : Sebastian L. Summers

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Last tweet: Si quelqu'un retrouve ma montre au fond de son lit, il est prié de me la rapporter !
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MessageSujet: Re: it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon   it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon EmptyJeu 27 Déc - 2:22



Merry Chrismukkah


J’avais pu lire la moquerie dans le regard de Celio lorsqu’elle m’annonça que j’étais « Magnifique ! » lorsque j’avais enfilé mon pull de Noël. Qu’importe. Elle voulait que je rentre dans son délire de fête alors que j’avais tout fait pour l’éviter, qu’elle supporte mes goûts vestimentaires douteux ! Je n’avais hélas pas pu réfléchir plus longtemps à la situation car j’avais fini par entendre des aboiements provenir du jardin. D’abord énervé, puis surpris, j’avais finalement été ravi en apprenant que le chiot le plus adorable que je n’avais jamais vu était mon cadeau de Noël de la part de la jolie brune. « Je l’ai appelé Pouet. Mais je pense que tu peux trouver mieux. » m’expliqua-t-elle avant que l’animal ne retourne vers moi. J’analysais sa petite tête quelques secondes, réfléchissant au nom le plus adéquate pour lui. J’avais des milliers d’idées, les souvenirs de mon enfance et du jour où j’avais soudoyé mes parents pour qu’on adopte un chien revenant en tête. Pour appuyer ma demande, j’avais cherché le nom parfait pour chaque race qu’on aurait pu avoir. Je n’avais eu au final qu’un poisson rouge que j’avais appelé Sheldon. Aujourd’hui, je n’avais plus de parents pour m’empêcher d’avoir un chien, et c’était bien la première fois que je me réjouissais de leur absence. Après avoir réfléchi quelques instants, je décrétais : « Non, il a une bonne tête de Pouet. C’est parfait comme nom ! ». Ce n’est qu’après que je m’étais levé pour la remercier. Siloë m’avait alors souhaité un « Joyeux Noël mon Didi » avant de déposer un baiser sur ma joue, et c’était désormais à mon tour de lui dévoiler mon cadeau pour elle.

J’admirais ces personnes qui avaient la capacité de trouver les cadeaux parfaits pour autrui. Moi j’avais tendance à offrir des bougies, des produits de bain ou des parfums à tout le monde. J’ironisais en disant que c’était parce qu’ils sentaient mauvais, et cachais mon malaise derrière mes blagues. J’étais incapable de trouver de bonnes idées pour les anniversaires ou Noël. L’avantage cette année c’est qu’en disparaissant pendant les fêtes, j’évitais cette lourde tâche qu’était l’ouverture des paquets sous le sapin. Bien sûr certains collègues auraient leurs boules de bain habituelles dès la reprise du travail, mais j’étais tout de même plus libre. Il n’y avait que pour Siloë que j’avais réellement cherché à faire quelque chose. Je l’avais regretté à la minute même où son cadeau était prêt, pensant que c’était idiot et qu’elle n’apprécierait certainement pas. Mais maintenant, alors qu’elle avait installé toutes ses décorations en voulant me remonter le moral, et qu’elle m’avait offert cet adorable chiot, je me sentais obligé de lui remettre mon cadeau. Elle n’aimerait peut-être pas, mais au moins elle saurait que j’avais pensé à elle malgré tout. J’avais été odieux, mais ça ne voulait pas dire que la jeune femme ne comptait pas pour moi pendant les fêtes. Au contraire. « T’as un cadeau pour moi c’est vrai ? » me demandait-elle avec l’hystérie d’une enfant de cinq ans. J’acquiesçais lentement en hochant la tête, le sourire aux lèvres. « Genre un vrai cadeau ? Pour moi ? » continua-t-elle. « Vrai cadeau, je sais pas. Mais oui, il est pour toi. » répondais-je en riant devant tant d’énergie de sa part. « Moooooooontre ! » finissait-elle alors que je caressais une dernière fois la tête de Pouet par terre. J’abandonnais quelques secondes mon amie pour attraper un foulard qui trainait dans l’entrée, et revenais pour lui bander les yeux en lui murmurant à l’oreille : « Pour garder un peu le suspens… ». Je ponctuais ma phrase d’un clin d’œil qu’elle ne pouvait hélas pas voir, et roulais des yeux devant un geste aussi bête de ma part. Je me postais derrière Siloë, les mains sur ses épaules et la guidais, tentant tant bien que mal de maitriser ses trépignements. Je la faisais monter les escaliers doucement, la prévenant de faire attention aux marches devant elle. Lorsque nous arrivions devant l’une des pièces de l’étage, je lui demandais d’attendre afin que j’ouvre la porte et la fasse entrer. Une fois tous les deux à l’intérieur, j’entendais Pouet qui essayait difficilement de monter les escaliers à son tour. Le pauvre animal était encore trop petit pour réussir à les monter avec aisance. Je vérifiais que tout était bien en place, et annonçais, soucieux : « Voilà, tu peux enlever le foulard. ».

Lorsque Celio ouvrirait les yeux, elle poserait les yeux sur moi, lui tendant une peluche raisonnablement grande de lama avec un gros nœud autour du cou, avec une petite carte de Noël attachée. Elle ouvrirait cette dernière et pourrait y lire « Joyeux Noël Celio ! Cette année ne fut facile pour personne, mais grâce à toi, certaines personnes ont réussi à reprendre le dessus et ont appris à sourire à nouveau alors qu’ils avaient perdu tout espoir. Ou du moins, une personne y est arrivée. Alors merci. – Maurice. ». Elle froncerait les sourcils en se demandant qui était ce fameux Maurice, et je lui expliquerais que « Maurice, c’est le lama. Je trouvais que ça lui allait bien. » Je rirais quelques secondes à mes bêtises, et continuerais : « Tourne la carte, tu n’as pas tout lu. ». Alors elle tournerait le carton dans tous les sens jusqu’à découvrir un petit mot qu’elle n’avait pas encore vu, et lirait « Regarde autour de toi. ». Ce n’est qu’à cet instant qu’elle remarquerait que la pièce où elle se trouvait, qui avait été jusqu’à présent qu’une banale chambre d’ami sans âme, s’était métamorphosée pour devenir une chambre élégante, décorée avec soin pour correspondre aux moindres goûts de Siloë. Un immense dressing, un mur rempli de photographies difficilement volées à la jeune femme qu’elles avaient prises elle-même, un lit qui ne demandait qu’à ce qu’on saute dessus tellement il avait l’air confortable, un énorme bureau où elle pourrait mettre à côté d’un cadre avec une photo de nous deux tout le bordel dont elle disposait, et tant d’autres détails qui lui ressemblaient ; n’oubliant pas les larges lettres du nom « Celio » disposées sur l’une des étagères pour être sûr qu’elle recevrait bien le message.

Je lui laissais quelques minutes pour qu’elle analyse bien l’endroit, et me raclais la gorge pour la ramener à la réalité. « Mh, je ne savais pas trop quoi t’offrir… et je me suis dit que vu tout le temps que tu passais ici… ce serait bien si tu avais une pièce rien qu’à toi. » expliquais-je, hésitant et timide. J’avais tellement peur qu’elle trouve tout ça idiot. « Tu n’es pas obligée de l’utiliser, et tu peux venir squatter mon lit autant que tu veux, mais… j’ai pensé que ça pourrait te plaire. Si c’est pas le cas pas grave, ça peut redevenir une chambre d’ami… » finissais-je en baissant le regard à terre, attendant le verdict de mon amie.
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MessageSujet: Re: it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon   it's Chrismukkah. strangers things have happened → devon EmptyDim 30 Déc - 16:12

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Merry Chrismukkah


Pour moi c’est tout simplement cela la magie de Noël. C’est offrir un cadeau inattendu à quelqu’un, juste comme ça, pour faire plaisir. Et c’est surtout lire la joie sur les visages. Je sais que Devon ne voulait pas fêter Noël, mais lorsque ces yeux ce posent sur la petite boule de poils que je lui ai acheté, il craque totalement. On dirait un gamin de cinq ans et cela fait tout simplement plaisir à voir. Il ne lui faudra que quelques minutes pour conclure que celui-ci continuerait à s’appeler Pouet. Soit disant qu’il a une bonne tête pour ce prénom. Je ne sais pas trop comment il arrive à voir cela, mais je me contente d’hocher la tête. De toute manière c’est son chien, alors c’est lui qui décide. Enfin. Je finis par lui souhaiter un Joyeux Noël tout en déposant un léger baiser sur sa joue. Moi qui avais peur que mon cadeau ne lui plaise pas, en même temps j’avais fait cela sur un coup de têt et j’avais une chance sur deux pour qu’il apprécie. Heureusement mon Devon est resté un grand gamin. Au moins, j’ai réussi à le faire sourire et il à l’air légèrement plus heureux de me voir ici. Ma mission semble ce dérouler de mieux en mieux désormais. Finalement je n’ai pas décoré cette maison pour rien. Enfin, je n’ai pas terminé, mais désormais je suis persuader que le beau brun voudra bien m’aider pour terminer. On pourrait tranquillement finir ce que j’ai commencé, puis ce faire à manger avant de ce posé devant un film débile pour bien entamer la soirée. Comme d’habitude je finirais par dormir ici, voir reste plusieurs jours. Mais pour le moment Devon m’annonce qu’il a un cadeau pour moi. Ce qui m’étonné-je dois l’avouer. Pour quelqu’un qui ne voulais pas passer les fêtes, il avait tout de même pensé à moi. « T’as un cadeau pour moi c’est vrai ? » lui demandais-je alors quelque peu excitée.

Les cadeaux, je connais, mais pour les autres. J’ai fêté mon anniversaire jusqu’à mes dix ans et Noël jusqu’à mes onze ans puis plus rien. Les autres années, ma mère était trop occupée avec son nouveau petit ami du jour ou sa bouteille de whisky. Quant à mon père ? Il continuait à être aux abonnés absents. Cela fait donc des années que l’on ne m’as pas fait de cadeaux pour Noël. Ethanaël ce débrouillait toujours pour m’offrir quelque chose pour mon anniversaire, mais à Noël il partait dans sa famille et je ne pouvais pas lui en vouloir. Mais je dois avouer que la petite révélation de Devon, me touche déjà. Il a pensé à moi et je sais qu’importe le cadeau, je vais le garder très longtemps. Mais avant que je comprenne quoique ce soit Devon c’était relever pour attraper un foulard et me le mettre sur les yeux. « Pour garder un peu le suspens… » me dit-il d’un murmure à mon oreille. Je dois avouer que je commence à être intriguer. Pourquoi a-t-il besoin de me bander les yeux ? Je sens ses mains ce déposer sur les épaules puis il commence à me pousser quelque peu pour me faire avancer. Il me guide du mieux qu’il peut, mais je manque de trébucher lorsque mon pied butte sur la première marche de l’escalier. Pourquoi il veut me faire monter ? « Si tu veux me violer, t’es pas obliger de me bander les yeux, je suis consentante. » dis-je alors en riant, tout en déposant ma main sur le mur pour me diriger. Je dois avoir l’air d’une idiote à lever les pieds aussi haut pour ne pas tomber, mais après quelques déséquilibres nous finissons par atteindre le premier étage. Je l’entends ouvrir une porte, je fais encore quelque pas et puis plus rien. Je dépose mes mains sur les hanches et attends l’autorisation d’ôter mon bandeau. « Voilà, tu peux enlever le foulard. » Délicatement je le fais et garde les yeux fermés encore quelques secondes. Lorsque je les ouvre, je me retrouve nez à nez avec une immense peluche en forme de lama. Je dois dire que cela me surprends quelque peu, mais je l’attrape et lit la carte qui pends à son cou. « Joyeux Noël Celio ! Cette année ne fut facile pour personne, mais grâce à toi, certaines personnes ont réussi à reprendre le dessus et ont appris à sourire à nouveau alors qu’ils avaient perdu tout espoir. Ou du moins, une personne y est arrivée. Alors merci. – Maurice. » Tout cela me fait tendrement sourire. Mais… C’est qui Maurice ? J’ai à peine le temps de me poser la question que Devon m’avoue qu’il s’agit du lama. A d’accord, tout s’explique. Elle est plutôt mignonne cette peluche quand même, mais c’est le petit mot qui l’accompagne qui me touche sincèrement. Au moins, je sais que je n’ai pas fait tout cela pour rien. Que je ne me suis pas imposé dans sa vie sans résultat et j’en suis réellement heureuse.

« Tourne la carte, tu n’as pas tout lu. » Je m’exécute et trouve ces quelques mots sur le dos de la carte : « Regarde autour de toi. » Et pour la première fois depuis que j’ai mis les pieds dans cette pièce je lève la tête. Je connais cet endroit. C’est la chambre d’amis. Sauf qu’elle a été totalement re- décorer. Les murs ont été peints d’une couleur pastel très douce qui amène une sensation de sécurité, un immense lit trône au milieu de la pièce, un dressing ce cache derrière la porte et un mur est tapisser de photo. Je dois avouer que j’ai un peu du mal à comprendre en quoi cela peut être mon cadeau. D’accord, Devon a fait des travaux chez lui et ? J’allais lui poser la question lorsque mes yeux finissent par ce posé sur l’étagère au-dessus du bureau. D’immense lettre écrive le nom « Celio » et c’est là que je comprends. Cette chambre n’est plus la chambre d’amis, mais la mienne. D’un seul coup, je me sens envahi par un millier d’émotions. Je serais incapable d’expliquer ce que je ressens. En silence, je dépose la peluche sur le bureau et commence à faire le tour de la pièce. Du bout des doigts j’effleure le contour du lit, puis je m’approche du mur de photos. Je me rapproche encore quelque peu et finis par comprendre que ce sont les miennes. « Où est-ce que tu as eu ça ? » lui demandais-je alors. L’espace d’un instant, je soupçonne Maël, puis mon regard ce dépose sur le dressing et je continue mon tour. Tout cela est trop beau pour être vrai. Pour la première fois, j’ai l’impression d’appartenir à quelque chose. « Mh, je ne savais pas trop quoi t’offrir… et je me suis dit que vu tout le temps que tu passais ici… ce serait bien si tu avais une pièce rien qu’à toi. Tu n’es pas obligée de l’utiliser, et tu peux venir squatter mon lit autant que tu veux, mais… j’ai pensé que ça pourrait te plaire. Si c’est pas le cas pas grave, ça peut redevenir une chambre d’ami… » Je me tourne alors et croise son regard. Une nouvelle fois, je fais le tour de la chambre en silence. J’ai tout simplement du mal à y croire. Je serais presque capable de me pincer pour être sûr que je ne rêve pas.

« C’est magnifique. » lui dis-je tout en essayant de refouler les larmes qui commençaient déjà à perler au coin de mes yeux. Rapidement je passe une main sous mes yeux pour éviter les larmes. Je vais pas me mettre à pleurer quand même. Mais je dois avouer que je suis tellement touché que je ne sais même plus comment réagir. Alors sans réfléchir, je me jette dans ses bras. L’espace d’un instant, nous restons dans cette position, en silence puis je finis par relever la tête en lui souriant. « C’est le plus beau cadeau de Noël que j’ai jamais eu. » avouais-je. Parce qu’il n’y a rien à dire d’autres tout simplement. Je lui souris une nouvelle fois et glisse ma main dans la sienne. « Maintenant tu va m’aider à terminer le sapin et on va fêter Noël en tête à tête ! »

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