Cela faisait à peine deux jours que Saramea était arrivée en ville, mais elle s'y plaisait déjà grandement. Town Square était bien différent de Moscou. Bien entendu, on s'affairait pas du tout à la même nature de ville quant à la grandeur et à l'ambiance. Autrement, Sara se trouvait bien plus confortable dans une ville comme Town Square plutôt que comme Moscou. Moscou était grande, majestueuse et laissait perplexe entre les monuments historiques, le parlement et le pauvre peuple. La disparité entre les classes rendaient la vie sociale plutôt recluse et divisée. Sara avait tout de même eu la chance de venir d'un famille aisée, seulement, elle travaillait tout de même depuis ses 14 ans afin de conserver la librairie de sa mère advenant le fait qu'elle était malade. Elle était rester à son chevet aussi depuis tout ce temps avec l'aide de sa tante et entre les cours, le travail et les travaux. Enfin, Town Square semblait plus accueillant et moins énorme. Les gens semblaient plus proches les uns des autres et la différence était acceptée au sein de la communauté, contrairement au peuple et aux traditions de Russie. Enfin, ici Sara aurait l'impression d'être plus à sa place. Elle n'aurait pas à craindre le danger ou bien craindre que son père lui trouve un mari à marier au plus vite selon la concordance des vieilles traditions qui lui tenait à coeur. Trop à coeur! Elle pourrait aussi aller dans le champ d'étude qu'elle souhaiterait, c'est-à-dire, la littérature. Bien que sa mère et sa petite soeur lui manquait, elle était contente d'avoir quitté le nid familiale, et ce, même si son père était en ville. Cependant, elle devait lui être reconnaissante après tout puisque c'était lui qui avait finalement convaincu sa mère de l'amener avec lui. Son père avait ainsi accepté qu'elle se prenne un appartement et qu'elle se déniche un travail pour le temps qu'il passerait ici. Ainsi, elle avait obtenue son visa de travail sans aucun problème. Après tout, son père était connu par ici, puisqu'il dirigeait une grande firme de pétrole aux États-Unis. Autrement, elle ne savait pas trop pourquoi il avait accepté de l'amener avec lui, mais peu importait puisque le rêve de Saramea se réalisait! Partir de la Russie et de ses rues dangereuses où reluisaient le danger de la mafia et d'un pays corrompu. De plus, elle pourrait afin se débrouiller seule et ainsi réussir à faire venir sa soeur dès qu'elle aurait fait ses preuves auprès de son père afin de rester ici et de le convaincre de la laisser aller à l'université! Son rêve, s'épanouir grâce à des gens comme elle, se faire des amis et rattraper le temps perdu où elle n'avait pas pu vivre sa jeunesse. Où elle n'avait pas pu se faire d'amis étant trop occupée à servir la volonté de sa famille, à performer à l'école, à soigner sa mère et à travailler. Bien qu'elle aimait par dessus tout sa mère, sa petite soeur et sa tante qui prenait et qui était rester prendre soin de sa mère, elle détestait son histoire de famille, son père et son pays. Elle savait qu'elle n'avait pas d'affaire là puisque de toute façon même son nom de famille indiquait clairement ses origines véritable. Son sang lui-même aurait pu l'irradier de se pays xénophobes. Enfin tout cela était une longue histoire...

Autrement, rendue à son deuxième jour ici, Sara s'était installer dans son petit logement qu'elle avait déniché par le biais d'un ami d'enfance et qui avait prit soin de lui trouver meublé. De cette façon aujourd'hui, elle souhaitait aller visiter le Fitzgerald. Elle en avait beaucoup entendue parler et elle était curieuse. De plus, son premier jour de boulot commençait dans une semaine. Alors, elle avait du temps pour se familiariser avec la ville, se faire de nouvelles connaissances etc.

De cette façon, Saramea marchait tranquillement sur le trottoir ayant en main sa carte imprimée de google map. Habillée d'un jean et d'une blouse à bouton rouge, Sara était somme toute confuse et perdue. Il se mettait à venter fortement et ayant les cheveux détachés, elle commençait à ne plus y voir grand chose. Ainsi, elle s'arrêta prenant soin de ne pas bloquer le chemin et s'empara de son cellulaire afin de demander un coup de main à son ami. Elle tenta de l'appeler de cette façon le cellulaire sur son épaule. Aucune réponse.... Par la suite, elle essaya de reprendre son téléphone afin de le fermer, seulement, celui tomba sur le sol. Bouche bée, Sara haussa les épaules et soupira. Finalement, elle replaça quelques mèches de sorte à ne plus les avoir dans la figure et se pencha afin de reprendre son portable. Elle resta ainsi quelques secondes sur elle-même un peu désemparée. Elle regarda ainsi de côté un peu confuse, mais souriante.