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 Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs.

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MessageSujet: Re: Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs.   Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs. - Page 2 EmptyMer 31 Oct - 14:23

Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs. - Page 2 Tumblr_m2dwodHgqG1r1guvio3_250 Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs. - Page 2 Tumblr_m2dwodHgqG1r1guvio2_250

« T’inquiète pas, je le prends pas mal. C’est en quelque sorte notre sujet de dispute principal et ce depuis des années. On a pas la même vision des choses, j’aime pas parler de ça, j’ai pas envie d’analyser tout ça et c’est tout. » lui dis-je rapidement pour lui faire comprendre que tout cela n’est en aucun cas mon sujet de conversation préférer, mais que je sais parfaitement ce qu’il pense là-dessus, car au moins, cela n’as pas changé. Il semble surpris du fait que j’approuve ces dires et au fond de moi, je ne eux m’empêcher de penser que l’on doit absolument continuer cette conversation, parce qu’il ce souvient, peut être pas totalement, mais il arrive tout de même à avoir juste sur certaine chose. Enfin. « Hey désolé… Y’a pas de soucis si tu veux pas parler de ça on parle pas de ça je ne veux pas te froisser … Mais au fond de toi tu sais pourquoi tu n’aimes pas en parler. » me dit-il alors en tentant de me rassurer. Je sais qu’il ne pense pas à mal, cela doit déjà être assez compliqué pour lui de ce souvenir de rien et je n’ai pas du tout l’intention de lui rentrer dedans. Mais une nouvelle fois il me surprend. Bordel Ethan, comment tu fais pour tomber juste, hein ? Pour toujours me faire douter. Le sujet de ma famille est sans aucun doute le tabou de ma vie et pourtant dès que l’on aborde le sujet ensemble, je finis par me poser un million de question. Peut être qu’il a raison, peut être qu’au fond je sais exactement pourquoi je fais tout cela, mais que je veux tout simplement pas me l’avouer. Parce que j’ai peur de ce que je pourrais découvrir ou juste parce que j’aime vivre comme cela pour l’instant. Qui sait ? C’est comme si j’avais besoin d’un psy d’un seul coup. Oui enfin plutôt crever. Je finis par hausser les épaules tout en plantant mon regard dans le sien. « Je sais qu’au fond t’as raison, mais je dois être trop têtue pour l’avouer. » lui dis-je en souriant. Arf je venais carrément de lui dire qu’il avait raison, mais qu’est-ce qui m’arrive ? Enfin on va pas épiloguez.

Il finit alors par me demander dans quel endroit de la ville j’aimais me réfugiez pour réfléchir et rapidement je pense au stade de base-ball et lui en fait part. J’y ai passé des nuits entières en particulier l’été. Il était en bas en train de s’entraîner tandis que je m’asseyais sur le plus haut gradin pour l’observer. Là-bas je me sentais bien. Le bruit régulier de la balle qui heurte la batte était rassurante, de ma place j’avais l’impression de dominer le monde. Rien ne pouvait m’atteindre et je pouvais penser à tout ce que je voulais sans que personne ne viennent m’embêter, parce que personne n’aurais eu l’idée de venir me chercher sur ce terrain. Mais à peine lui avais-je avoué cela que je me justifiais de nouveau, lui faisant comprendre que je n’allais pas là-bas pour l’espionner. Il rigole quelque peu et finis par poser son regard dans le mien. « Hey arrête de te justifier tu veux y’a pas de mal à venir dans un stade le soir alors que seul moi y est hein. Au moins on a ce lieu en commun… Il doit être le seul. » me dit-il tendrement. Je ne peu m’empêcher de lui sourire également. Je sais pas si c’est le seul endroit que nous aimons tous les deux, mais il fait sans aucun doute parti des premiers c’est sûr. « C’est con, hein, mais j’aimais bien aller là-bas, et puis t’es tellement différent sur un terrain que je pouvais passer des heures à te regarder en faisant des photos. » lui dis-je en souriant de nouveau. Je me justifie parce que j’ai l’impression de passer pour une folle en réalité. C’est comme si je passais mon temps à espionner mon meilleur ami, flippant quand même. Enfin. Il ne faudra que quelques secondes pour qu’il me pose une nouvelle question.

« C’est quoi le plus beau moment pour toi qu’on a passé ensemble ? » Wahou. Ca c’est de la question. J’en rigole presque nerveusement. Des souvenirs avec lui j’en possède des tonnes. Entre ceux à l’école, ceux au Lycée, ceux en soirée, ceux en vacances, ceux chez lui. Je pourrais passer des heures et des heures à parler de tous les souvenirs qui me reviennent d’un seul coup en mémoire. Certains sont à pleurer de rire, d’autres un peu moins, mais je cherche celui que je pourrais lui raconter. Celui qui pourrait représenter notre amitié. Et d’un seul coup, il y en a un qui ce démarque des autres. « C’est dur d’en choisir qu’un seul, mais je pense que celui-là c’est l’un des meilleurs. » lui dis-je alors tout en plongeant mon regard dans le sien. « On avait dix-neuf ans, tu t’étais encore pris la tête avec ton frère et t’avais eu envie de fuir la ville. T’étais passez chez moi avec ta vieille voiture tard dans la soirée et tu m’avais dit qu’on partait en vacances. On a pris la route avec vingt dollars en poche et deux boîtes de gâteaux, je crois qu’on a pas fait plus de 600km avant de faire demi-tour, mais qu’est-ce qu’on a pu rigoler. On était juste tout les deux et c’était parfait. L’espace de quelques jours on a été déconnecté du monde et on vivait notre truc tranquillement. Le retour à la réalité a été compliqué. » lui dis-je avant d’exploser de rire en me souvenant de tout cela. Je sais pas ce qui nous avait pris ce jour-là, on avait voulu ce faire un road-trip qui avait lamentablement échoué. « Je sais pas ce qui nous avait pris ce jour-là, mais au moins on aura réussi à faire un petit tour de l’Oregon. » ajoutais-je en souriant de nouveau.



Dernière édition par L. Siloë-Jules Hurtlake le Mer 7 Nov - 17:42, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs.   Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs. - Page 2 EmptyMer 31 Oct - 16:52

Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs. - Page 2 Tumblr_m3p255Elnl1qeysf2o1_500


« T’inquiète pas, je le prends pas mal. C’est en quelque sorte notre sujet de dispute principal et ce depuis des années. On n’a pas la même vision des choses, j’aime pas parler de ça, je n’ai pas envie d’analyser tout ça et c’est tout. » Finit elle par me dire, je ne sais pas comment mais je savais que cette conversation était loin de lui plaire, qu’elle détestait même, au moins elle ne le prenait pas mal c’était toujours ça j’avais légèrement peur qu’elle s’énerve ou se sente blesser et ce n’était pas le but je cherchais à comprendre, comprendre pourquoi elle n’aimait pas en parler, il y avait une raison à ça j’en étais certain. A croire que les choses ne changent pas qu’on soit ou non amnésique les avis sur cette conversation étaient les mêmes. Je fini par lui répliquai « Hey désolé… Y’a pas de soucis si tu veux pas parler de ça on ne parle pas de ça je ne veux pas te froisser … Mais au fond de toi tu sais pourquoi tu n’aimes pas en parler. » Lui dis je alors essayant à la fois de la rassurer et à la fois de lui faire comprendre mon opinion. Je suis censé être la personne qui la connait par cœur, bon censé parce qu’à l’heure actuel je ne suis que vide, vide de tout souvenir, il y a quelques minutes je ne savais même pas qui était cette jeune femme, elle doit vraiment me prendre pour un fou à lui dire ce genre de chose ou peux être pas en fait. Malgrè tout j’essaye de l’aider, même si quelque chose me dit qu’elle ne fera rien de ce que je peux lui dire, elle n’en fera qu’à sa tête comme toute personne têtue. Mais après tout qui suis-je pour critiquer, ou oser émettre un jugement sur sa façon d’être ou d’agir… si à elle ça lui correspond je devrais peux être songé à fermer ma gueuler et la laisser agir tout comme elle le souhaite elle. Elle finit par hausser les épaules tout en plantant son regard dans le mien. « Je sais qu’au fond t’as raison, mais je dois être trop têtue pour l’avouer. » m’avoua-t-elle tout en souriant. Pourquoi le fait qu’elle confirme mes dires me laisse sur le cul ? Comme si je connaissais ses réactions alors que je ne me souviens pas de nos souvenirs, étais ce possible ? En tout cas je me permets à mon tour de lui rendre son sourire et lui répond « Peux être peux être pas mais après tout tu es le propre capitaine de ton navire, et si mener ta vie comme cela te plait qui suis-je pour essayer de remettre tout en question ? » c’était peux être con comme réponse mais au moins c’était censé finir la dessus ne plus aborder ce sujet tabou histoire qu’elle ne se sente pas traqué, chacun à ses bêtes noirs … elle n’aime pas parler de sa famille, je n’aime pas parler de mon frère ou d’amour c’est comme ça.

Je finis alors par changer de sujet et lui poser d’autres questions, comme par exemple ses endroits fétiches là ou je suis sur la retrouver on sait jamais je pourrais avoir besoin de la retrouver. Elle finit par me dire qu’elle venait souvent s’installer sur les gradins du stade de base ball quand j’y étais pour la plupart du temps faut dire en même temps il est rare de ne pas me trouver là bas. J’ai toujours aimé m’y rendre là bas, certains préfèrent se rendre dans leur cave ou sur le port, pour moi c’est la plage ou le stade de baseball. Le meilleur moyen pour me libérer de toute penser, pour enlever ma rage ou arrêter de penser à quoi que ce soit c’est bien le base ball, courir, frapper fort dans la balle, sentir les vibrations qu’émet la batte quand elle se retrouve en contact avec la balle. C’est le seul endroit ou je me sentais à ma place, ou j’existais, la où j’étais le meilleur, et j’aimais être le meilleur… du moins avant, avant je trouvais une raison de faire ça depuis que je me suis réveillé j’ai l’impression de ne plus être à ma place, de ne plus savoir à quoi je suis destiné. Elle se justifie sans cesse, et elle vient de recommencer en m’expliquant que ce n’était pas pour m’espionner, ai-je une bonne réaction je ne sais pas, certains pourrait la prendre pour une folle moi pas du tout. Elle devait aimer être la haut dans les hauteurs, ne se sentant pas du tout vulnérable et observant parfois la rage que je peux avoir. « Hey arrête de te justifier tu veux y’a pas de mal à venir dans un stade le soir alors que seul moi y est hein. Au moins on a ce lieu en commun… Il doit être le seul. » lui dis je doucement, histoire qu’elle comprenne qu’elle n’a pas besoin de se justifier pas avec moi, je vais pas la prendre pour une folle ou faire je ne sais quoi. Elle me fait un sourire, et fini par me répondre. « C’est con, hein, mais j’aimais bien aller là-bas, et puis t’es tellement différent sur un terrain que je pouvais passer des heures à te regarder en faisant des photos. » me dit elle alors, c’est sur que moi sur un terrain c’est totalement différent comme si il existait deux ethan. Je l’écoute et voilà qu’elle me dit qu’elle prenait des photos, je n’espérais sincèrement pas de moi, j’ai assez horreur de ça bon j’aime en prendre mais c’est très rare et il faut que je sois bien dessus pas au naturel. Puis de nouveau j’enchaine mes questions.

« C’est quoi le plus beau moment pour toi qu’on a passé ensemble ? » je sais bien que j’ai pas des questions faciles pour la jeune femme mais sachant qu’elle doit collectionner les souvenirs pour trouver le plus beau moment qu’elle a de nous deux elle devrait réussir elle finir par me dire. « C’est dur d’en choisir qu’un seul, mais je pense que celui-là c’est l’un des meilleurs. » plongeant son regard dans le mien je lui souris et la laisse continue tout en buvant de nouveau une gorgée. « On avait dix-neuf ans, tu t’étais encore pris la tête avec ton frère et t’avais eu envie de fuir la ville. T’étais passez chez moi avec ta vieille voiture tard dans la soirée et tu m’avais dit qu’on partait en vacances. On a pris la route avec vingt dollars en poche et deux boîtes de gâteaux, je crois qu’on n’a pas fait plus de 600km avant de faire demi-tour, mais qu’est-ce qu’on a pu rigoler. On était juste tout les deux et c’était parfait. L’espace de quelques jours on a été déconnecté du monde et on vivait notre truc tranquillement. Le retour à la réalité a été compliqué. » Me dit elle avant d’exploser de sans doute ayant me moment dans sa tête, je dois dire que ça me fait rire aussi, faut être fou sur un coup de tête de prendre la voiture et de se barrer avec un plein dans le réservoir vingt dollars en poche et seulement deux boite de gâteaux pour se nourrir. Elle finit par rajouter. « Je sais pas ce qui nous avait pris ce jour-là, mais au moins on aura réussi à faire un petit tour de l’Oregon. » tout en souriant de nouveau, je la regarde alors et lui répond « Oui les prises de tête avec mon frère pourquoi ça m’étonne pas, mais faut être vraiment fou pour se faire un road trip avec seulement deux paquet de gâteau. Ça devait être vraiment une journée mémorable, et au moins on est sorti de Town Square. » Ne quittant pas la jeune femme des yeux j’ouvre de nouveau la bouche « Dis moi ta souvent voyagé toi ? Parti de Town Square ? » Quitte à parler de road trip autant savoir si la jeune femme avait eut la chance de partir souvent de notre ville natale ou pas. Je ne regrettais pas d’être passé dans ce bar ce soir là et d’être tombé sur ma meilleure amie, ancienne ou pas, qu’importe comment ce soir là ou j’avais eut l’accident c’était fini notre relation j’apprenais à la connaitre, ou à plutôt à me souvenir d’elle de nous, de notre amitié. C’était la première personne sur qui je tombais et il avait fallut que ça soit Siloë Jules. La soirée était loin d’être fini et j’étais heureux de passer ma soirée avec elle, elle essayait d’affuter ma mémoire et je pouvais en être que reconnaissant.
« Et à part les mecs ou la photographie ta des passions dans la vie, des choses que t’aime faire ? » finis je par répondre, j’étais au taquet avec mes questions, il manquait des vitres, et du noir et on se croirait dans un interrogatoire de flic. La pauvre.


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MessageSujet: Re: Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs.   Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs. - Page 2 EmptyMer 7 Nov - 17:29

Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs. - Page 2 Tumblr_m2dwodHgqG1r1guvio3_250 Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs. - Page 2 Tumblr_m2dwodHgqG1r1guvio2_250

« Peux être peux être pas mais après tout tu es le propre capitaine de ton navire, et si mener ta vie comme cela te plait qui suis-je pour essayer de remettre tout en question ? » me dit-il en souriant alors que je venais de lui dire que je ne supportais pas de parler de moi. J’aimais sa façon de voir les choses, il n’avait plus envie de me dicter ma vie désormais et je dois avouer que cela me plaisait quelque peu, parce qu’il faut avouer que c’était sans aucun doute notre sujet de dispute favoris. Mais je ne peux m’empêcher de lui répondre : « T’es la personne qui me connaît le mieux. » Mais rapidement je comprends que tout cela n’as plus aucun sens. Oui il était l’homme qui me connaissait le mieux puisqu’il a toujours été mes seul et uniques amis enfin tout du moins celui qui me connaît depuis plus de vingt ans, mais désormais cela n’est que fumée. Cela réside que dans ma mémoire et plus dans la sienne. « Enfin… Tu l’étais… » ajoutais-je alors tristement. Oh non Siloë te laisse pas envahir par tes émotions, assez pleurer pour ce soir. Je lui souris quelque peu et avale une longue gorgée de ma bière pour penser à autre chose.

La conversation repart de plus bel. Nous parlons des endroits que je préfère en ville et bien évident je ne peux m’empêcher d’évoquer le terrain de baseball. Je lui apprends que je me réfugiais souvent là-bas pour réfléchir, mais également pour le regarder jouer ou s’entraîner. Parce que j’adorais le voir évoluer sur un stade. Il était tellement différent, tellement plus libre que s’en était un plaisir de le voir aussi heureux, aussi épanoui. Puis une nouvelle fois il me pose une question et me demande d’évoquer mon plus beau souvenir en sa compagnie. Et automatiquement les choses deviennent un peu plus compliquées. Nous avons partagé tellement de moment ensemble que je ne sais pas par où commencer. En l’espace de quelques secondes, des millions de souvenirs envahissent mon esprit. Je me rappelle une soirée chez un de nos amis où nous avions passé notre temps à ce lancer des paris stupides, je pense à toutes nos nuits passé à discuter pendant des heures puis finalement un seul souvenir me revient en tête. « On avait dix-neuf ans, tu t’étais encore pris la tête avec ton frère et t’avais eu envie de fuir la ville. T’étais passez chez moi avec ta vieille voiture tard dans la soirée et tu m’avais dit qu’on partait en vacances. On a pris la route avec vingt dollars en poche et deux boîtes de gâteaux, je crois qu’on n’a pas fait plus de 600km avant de faire demi-tour, mais qu’est-ce qu’on a pu rigoler. On était juste tout les deux et c’était parfait. L’espace de quelques jours on a été déconnecté du monde et on vivait notre truc tranquillement. Le retour à la réalité a été compliqué. » lui racontais-je alors tout en souriant. Je dois avouer que nous avions été totalement débiles à cette époque. Comme si on pouvait sincèrement partir en vacances de cette façon sur un coup de tête. Je vois bien qu’il ne voit pas du tout de quoi je parle, mais il ce met tout de même à sourire. « Oui les prises de tête avec mon frère pourquoi ça m’étonne pas, mais faut être vraiment fou pour se faire un road trip avec seulement deux paquet de gâteau. Ça devait être vraiment une journée mémorable, et au moins on est sorti de Town Square. » me dit-il alors tout en me souriant. Je hoche la tête pour approuver et rigole de nouveau. « Le pire je crois c’est qu’on était vraiment convaincu de pouvoir y arriver. »

Il me fallut quelques minutes pour calmer mon fou rire. Parce que contrairement à lui je me souviens de chaque instants de notre escapade programmer au dernier moment et je me souviens de tout les fous rires que nous avons pu avoir dans cette voiture. Mais il me coupe rapidement dans mes souvenirs pour me poser une nouvelle question. « Dis moi ta souvent voyagé toi ? Parti de Town Square ? » A croire qu’il ne s’arrêtera jamais, au moins je suis heureuse de voir qu’il n’est pas a cours de question, qu’il a envie d’en savoir plus. « Quand j’étais petite ma mère m’envoyais en colonie, mais on sortait jamais de l’Oregon et je suis quelque fois à Boston voir un ami. » lui répondis-je alors en souriant. En réalité, je n’ai jamais réellement voyagé. Timéo a été la seule occasion pour moi de quitter l’Etat, mais au moins j’en avais totalement profité. Je n’ai même pas le temps de boire une nouvelle gorgée qu’il enchaîne. On dirait presque un interrogatoire et je trouve cela assez marrant. « Et à part les mecs ou la photographie ta des passions dans la vie, des choses que t’aime faire ? » Au moins il a le mérite d’être direct et je peux pas lui en vouloir pour cela. Il a envie de savoir, il veut apprendre à me connaître et cela me touche réellement. Je rigole quelque peu lorsqu’il me dit que les mecs sont ma passion, mais je fais rapidement abstraction de tout cela. « La danse. » lui répondis-je avec un sourire. « J’aime danser et je pratique depuis des années. » ajoutais-je mon visage s’illuminant d’un magnifique sourire. J’ai toujours aimé la danse, cela a toujours été mon échappatoire enfin après la photographie bien sûr. Mais j’aimais mettre la musique à fond et me laisser emporter par les mouvements. « J’ai souvent essayé de t’apprendre deux-trois trucs, mais… t’étais pas vraiment doué. » dis-je en riant. « Vraiment pas doué. » Et je ne peu m’empêcher d’exploser de rire.
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MessageSujet: Re: Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs.   Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs. - Page 2 EmptyMer 7 Nov - 23:48




Ethan & Celio

«Nous ne sommes pas des amies, non sommes des étrangers avec des souvenirs »


L« Peux être peux être pas mais après tout tu es le propre capitaine de ton navire, et si mener ta vie comme cela te plait qui suis-je pour essayer de remettre tout en question ? » avais je repris après plus ample réflexion, je ne sais pas comment je pouvais être avec elle par rapport à ça mais il semble qu’il soit l’un des sujets de dispute. Après tout ami et encore plus meilleur ami on n’est pas censé jugé l’autre, il faut juste accepter, donner des conseils une fois oui mais après si la personne fait comme ça l’entend à quoi bon insister ? Elle finit par me répondre : « T’es la personne qui me connaît le mieux. » J’étais sans doute cette personne là avant l’accident mais malheureusement je ne pense plus l’être je ne me souviens de pratiquement rien, fin non de rien du tout j’ai beau avoir des certitudes, des ressenties je n’ai rien d’autre, je n’ai rien qui me lie avec la jeune femme à part ce lien qu’elle m’a dit et au vu de ses réponses après mes diverses questions faudrait vraiment être une psychopathe pour avoir inventer tout cela puis même ça sonne trop vrai dans sa bouche, les sentiments, les émotions ça ne se contrôle pas. « Enfin… Tu l’étais… » rajouta-t-elle alors, et faudrait vraiment être con pour ne pas se rendre compte que toute cette affaire l’affecte mais je ne peux vraiment rien faire, j’aimerai sincèrement si je pouvais me souvenir en me cognant de nouveau la tête contre la tête, un mur, aller voir un spécialiste qui me plongerait dans un sommeil sous hypnose je le ferai mais quelque chose me dit que ça ne marcherait pas. Si mon cerveau à préférer endormir, voir effacer temporairement ou non toutes ses années passé à ses côtés il y avait une raison, qu’importe si en retrouvant la mémoire je devrais la haïr je voulais retrouver mes souvenirs, ceux qui font qui je suis aujourd’hui.
Bien qu’il y est des pauses durant cette conversation je trouve toujours une question pour la faire parler, apprendre ou plutôt réapprendre nos souvenirs espérant sans doute un flash ou je ne sais quoi comme dans les séries américaines. Et puis surtout m’intéressant à la jeune femme je voulais apprendre à la connaitre étant donné que mon cerveau avait voulu la barrer c’était peux être une remise à zéro qui permettrait de découvrir certaine chose je ne sais pas. Puis finalement je lui demandais qu’elle fût le meilleur moment qu’on est pensé tous les deux, d’après elle. Au cour de vingt années, on devait en avoir accumulé des souvenirs, je la voyais bien chercher quand je plongeais mon regard dans le sien j’avais la sensation de voir des images défilés dans ses pupilles comme si ses yeux avaient le rôle d’un projecteur mais ce n’était pas du tout le cas. Après quelque instant elle finit par me raconter :« On avait dix-neuf ans, tu t’étais encore pris la tête avec ton frère et t’avais eu envie de fuir la ville. T’étais passez chez moi avec ta vieille voiture tard dans la soirée et tu m’avais dit qu’on partait en vacances. On a pris la route avec vingt dollars en poche et deux boîtes de gâteaux, je crois qu’on n’a pas fait plus de 600km avant de faire demi-tour, mais qu’est-ce qu’on a pu rigoler. On était juste tout les deux et c’était parfait. L’espace de quelques jours on a été déconnecté du monde et on vivait notre truc tranquillement. Le retour à la réalité a été compliqué. » Bien qu’elle me raconte tout ceci rien n’y est, alors je ne fais qu’imaginer essayant de me créer des images dans la tête je lui souris tout de même, faut dire son récit est si réel que j’ai l’impression d’y être. « Oui les prises de tête avec mon frère pourquoi ça m’étonne pas, mais faut être vraiment fou pour se faire un road trip avec seulement deux paquet de gâteau. Ça devait être vraiment une journée mémorable, et au moins on est sorti de Town Square. » Ce à quoi elle me répond « Le pire je crois c’est qu’on était vraiment convaincu de pouvoir y arriver. » Tout en rigolant. C’est dans ce genre de moment que j’aimerai pouvoir rie au éclat tout comme elle mais en ayant le film qui passe dans ma tête pas un trou noir à la place comme si quelqu’un avait pris un briquet et mis le feu à la bande Celio & Nanou. Je pris la bierre et bu de nouveau une gorgée. J’enchaine les questions et lui demande si elle a souvent voyager, je sais que moi oui surtout avec les stages de base ball mais elle je n’en sais rien. Je veux vraiment connaitre ce petit bout de femme. Au pire si je la soule avec mes questions je pense qu’elle ne se gênera pas pour me le dire.

« Quand j’étais petite ma mère m’envoyais en colonie, mais on sortait jamais de l’Oregon et je suis quelque fois à Boston voir un ami. » me dit elle alors, ça doit être triste de ne pas bouger rester toujours dans l’Oregon ne pas voir du pays ni autre, j’ai eut cette chance moi de pouvoir, je peux partir du jour au lendemain qu’importe la destination. C’est pas comme si j’avais vraiment une attache ici, pas de femme ni d’enfant, et on dit bien que les voyages forment la jeunesse, enfin pour mon âge j’en ai vu du pays je trouve. Je n’osais pas vraiment demandais qui était cet ami alors je répondis simplement. « Ah c’est dommage il y a tant de ville à voir ailleurs … un jour je t’emmènerai si tu veux. » un jour si on se parle toujours :roll : je ne lui laisse pas vraiment de répit, que j’enchaine les questions au moins j’en ai ça serait bête de rester là à se regarder dans le blanc des yeux pendant des heures quand même, la pauvre elle doit avoir l’impression d’être accusé d’un motif X, policier hein ? Ça m’irait bien l’uniforme non ? Bref j’arrête mon délire là dans ma tête ça fait un peu fou et lui pose une nouvelle question. « Et à part les mecs ou la photographie ta des passions dans la vie, des choses que t’aime faire ? » Je suis cash je ne tourne pas autour du pot, après tout la franchise c’est important non autant en amitié qu’en amour je pense. Bon le passion est peux être exagéré pour les hommes mais c’était un peu ironique qu’importe elle me répond plutôt vite « La danse. »Elle sourit quand elle évoque ça et enchaine. « J’aime danser et je pratique depuis des années. » elle a le visage qui s’émerveille quand elle parle de la danse, c’est la première fois que je vois ce visage radieux depuis qu’on s’est adressé la parole et ça me fait plaisir je dois dire, d’ailleurs elle m’en apprend encore une bonne. « J’ai souvent essayé de t’apprendre deux-trois trucs, mais… t’étais pas vraiment doué. » ce qui l’a fait mourir de rire. « Vraiment pas doué. » elle est de nouveau dans un fou rire, ça ne m’étonne franchement pas, j’ai jamais trop fréquenté les boites pour ça d’ailleurs, on dirait un pantin quand je danse j’y arrive pas à part trémousser mes fesses et mes abdos rien d’autre. « Ça c’est sur il en faudrait des années pour voir un quelconque changement et encore je ne sais pas si c’est possible. Autant je bouge bien sur un terrain mais tu me mets de la musique laisse tomber. » Dis je à mon tour avant de rire. « Ça te viens d’où la danse ? Comment du jour au lendemain tu t’es dis je veux faire ça ? » Lui demandais je de nouveau avant de lui sourire et d’ajouter « Si je t’enquiquine avec mes questions tu peux me le dire ou me frapper hein. »

fiche par century sex.


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MessageSujet: Re: Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs.   Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs. - Page 2 EmptyVen 9 Nov - 21:24

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« Quand j’étais petite ma mère m’envoyais en colonie, mais on sortait jamais de l’Oregon et je suis quelque fois à Boston voir un ami. » lui avouais-je alors tandis qu’il me demandait si j’avais déjà vu du pays. Je vois que ma réponse l’attriste quelque peu et cela me fait sourire. J’ai jamais quitté l’Etat excepter pour aller à Boston et cela ne m’as jamais bien déranger, j’aime ma ville même si j’y ai une réputation quelque peu… Enfin on va pas revenir là-dessus. Je n’ai jamais eu assez d’argent pour partir loin de Town Square et ma mère ce fichait complètement que l’on parte pas pour les vacances donc je n’avais visité que Boston en dehors de ma ville natale. « Ah c’est dommage il y a tant de ville à voir ailleurs… Un jour je t’emmènerai si tu veux. » me dit-il alors en me sortant son petit sourire charmeur. Je ne peu m’empêcher de lever les yeux au ciel. Malgré tout je reste quelque peu étonné par sa proposition, car l’espace d’un instant j’avais quelque peu oublié qu’il ne me détestait plus. Ethan ne m’avais jamais proposé de m’emmener quelque part, enfin je veux dire loin de chez nous a part cette fois où il avait voulu faire ce road trip débile. L’espace d’un instant, je le regarde en silence me souvenant de la promesse qu’il m’avait faite de m’accueillir à New York. Tout cela semble bien loin derrière nous désormais et une nouvelle fois je ressens ce sentiment amer… « Tu devais me faire visiter New-York… » lui dis-je alors tout en souriant tristement. « Mais on a légèrement zappé tout ça… » ajoutais-je alors avant qu’il ne change de sujet pour me poser une nouvelle question. J’avais l’impression de subir un interrogatoire, mais ce n’était pas quelque chose qui me gênais au final. Il finit alors par me demander quelle autre passion je pouvais bien avoir dans la vie. Il ne me fallut que quelques secondes pour lui répondre que c’était la danse mon autre passion. Et de suite mon regard s’illumine lorsque j’en parle.

« J’ai souvent essayé de t’apprendre deux-trois trucs, mais… t’étais pas vraiment doué… Vraiment pas doué. » lui dis-je alors en rigolant de plus belle. Ethan en soirée c’est quelque chose d’assez drôle à voir. C’est carrément un concept en réalité. Il est raide comme un bâton, il ne sourit pas et semble presque désemparé lorsqu’une nana l’invite à danser. Heureusement qu’il possède d’autres charmes pour emballer parce que sinon il serait quelque peu mal loti le pauvre. « Ça c’est sur il en faudrait des années pour voir un quelconque changement et encore je ne sais pas si c’est possible. Autant je bouge bien sur un terrain mais tu me mets de la musique laisse tomber. » me dit-il ce qui me fit rire encore un peu plus. Dieu sait que j’ai essayé pourtant de le faire bouger. Je lui avais appris des trucs, je lui avais montré comment ce déhancher, mais rien à y faire il n’y arrivait pas. Il voulait rien faire pour s’améliorer en même temps, mais au moins tout cela nous avais fallut des tas de fou rire. « C’est ça… On dirait que t’as un balai où je pense que tu danse enfin si on peut appeler ça de la danse. » lui dis-je tout en lui lançant un clin d’œil. Et voilà que je recommence à lui faire du rentre dedans. Quelle idiote. A croire que c’est plus fort que moi et puis avec lui de toute façon tout est toujours ambiguë désormais. Parce qu’il ne s’en souvient pas, mais moi je me souviens l’avoir eu dans mon lit et c’est le genre de chose que l’on n’oublie pas aussi facilement. Malheureusement. Et je dois dire que ça me travaille quelque peu depuis tout à l’heure. Pourtant on parle de tout sauf de cela. « Ça te viens d’où la danse ? Comment du jour au lendemain tu t’es dis je veux faire ça ? » me demande-t-il alors ce qui me permet de me concentrer une nouvelle fois sur la conversation et non pas sur des souvenirs quelque peu comment dire… Peu catholique. Je lui souris avant d’avaler une nouvelle gorgée et de lui répondre dans la foulée. « Tu va te moquer de moi. » lui dis-je alors en riant quelque peu. « Quand j’étais petite j’adorais danser de ma télé et j’ai supplié ma mère de m’inscrire à des cours de danse. Au final j’ai jamais décroché et c’est devenu une échappatoire comme un autre. » finis-je par lui expliquer. Autant être franche après tout, non ? C’était un peu con. Quand j’étais gamine j’adorais faire comme mes stars préférés et au final je suis moi même devenue une danseuse et plutôt douée d’après mes professeurs.

« Si je t’enquiquine avec mes questions tu peux me le dire ou me frapper hein. » me demande-t-il tout en me souriant une nouvelle fois. Je dois avouer que cela est assez bizarre de le voir m’interroger de cette façon, mais aussi étrange que cela puisse paraître j’apprécie cette soirée passer en sa compagnie. « Je peux te le dire et te frapper aussi ? » lui demandais-je alors avant de finir mon deuxième verre. L’heure tourne, je ne sais pas vraiment depuis combien de temps nous sommes là, mais il s’avère que j’ai quelque peu envie de bouger, je pose alors ma main sur mon sac et lui lance un clin d’œil. « Ca te dirais pas de bouger un peu, allez ailleurs. » demandais-je en souriant.

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MessageSujet: Re: Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs.   Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs. - Page 2 EmptyVen 9 Nov - 23:02




Ethan & Celio

«Nous ne sommes pas des amies, non sommes des étrangers avec des souvenirs »




Nous nous mettons alors à parler voyage, et la curiosité ajouté à l’envie d’en savoir plus sur la jeune femme je lui demande si elle a déjà bougé de Town Square celle-ci me répond non à part Boston, bien que je sois né ici et que ma ville natale comme la sienne est bien sous tout rapport, on a de beau paysage faut l’avouer j’ai jamais voulu rester longuement ici sans bouger. Comme si j’avais un vers … je ne regrette pas les villes que j’ai visité quand je suis parti il reste pourtant tant de destination que j’aimerai admirer mais pour l’instant pour l’instant je suis amnésique bref j’ai une vie bizarre (a). Au vu de sa réponse je me demande pourquoi nous n’étions jamais partis ensemble, elle est censée être ma meilleure amie et il doit bien y avoir un fait logique qui explique tout ça. Fin je ne sais pas et pour l’instant je n’irai pas chercher plus loin… ça fait trop conversation accusatrice. C’est alors qu’elle fini par dire « Tu devais me faire visiter New-York… » Elle a l’air toute déboussolé en disant ça… enfin elle ne perd pas grand-chose la Big Apple ce n’est pas vraiment ma tasse de thé trop de building, les gens sont trop pressé pas vraiment aimable d’ailleurs et je n’aime pas cette mentalité New Yorkaise qui pête trop haut de leur cul comme ça. « Mais on a légèrement zappé tout ça… » Finit elle par dire, faut dire si on s’est engueuler violemment et séparer je ne pense pas que d’aller voyager ensemble soit au programme des festivités. « Tu sais tu ne loupes pas grand-chose, fin oui d’accord y’a l’empire state building et la statue de la liberté mais mise à part ça y’a des villes dix fois mieux que ça tu peux en être sur » déclarais je avec un petit sourire pour la réconforter du moins essayer.
On se met alors parlait de danse et ses yeux s’illumine comme si elle venait d’avoir un orgasme … bon la danse c’est son domaine hein pas le mien comme vous pouvez imaginez, je me débrouille enfin non je mens disons que je bouge les jambes ou le haut du corps jamais les deux en même temps sauf si c’est pour faire la vague. Comment être ridicule c’est pour ça que je ne danse jamais ni en soirée ni ailleurs d’ailleurs, ce n’est pas l’activité que je met dans mes points positif heureusement je suis beau ça sauve tout parce que sinon je n’aurai pas de chance pour les filles, et en fait je n’aurai pas grand-chose comme atout. Heureusement ce n’est pas le cas sinon j’ai plus qu’à partir dans un pays avec que des moches ayant une chance de me caser.
« C’est ça… On dirait que t’as un balai où je pense que tu danse enfin si on peut appeler ça de la danse. » Dit elle alors enfonçant un peu plus le couteau dans la plaie, me faisant tout de même un clin d’œil signe qu’elle rigole. Un balai dans le cul carrément … je fais tout pour la faire parler histoire de ne pas fixer trop des endroits stratégique sur son corps et d’oublier l’envie irrépressible de l’embrasser. Je sors mon portable un moment et finit par lui dire « Tiens regarde j’suis tombé sur ça l’autre fois. Je me demande si ça existe de danser aussi mal. » lui dis je en rigolant tout en lui tendant mon portable
Spoiler:
Je finis mon verre d’une traite avant de lui poser une nouvelle question.

« Ça te viens d’où la danse ? Comment du jour au lendemain tu t’es dis je veux faire ça ? » j’ai jamais compris comment des personnes peuvent faire ça comme loisir ou hobit non vraiment pas encore les sport d’équipe ou même individuel je veux bien mais tout ce qui est danse, photographie je comprend vraiment pas. Mais il en faut pour tous les gouts après tout y’en a qui aime le théatre, d’autre la danse comme d’autre le foot. « Tu va te moquer de moi. » me dit-elle alors en riant quelque peu je lui souris pour qu’elle puisse enchainer. « Quand j’étais petite j’adorais danser de ma télé et j’ai supplié ma mère de m’inscrire à des cours de danse. Au final j’ai jamais décroché et c’est devenu une échappatoire comme un autre. » Me dit elle le plus sincèrement du monde et je ne peux m’empêchais de fondre dans un fou rire, imaginant Celio refaire des chorégraphies tel que high school musical, c’est tout simplement magique.

« Si je t’enquiquine avec mes questions tu peux me le dire ou me frapper hein. » finis je par lui dire alors, comprenant qu’il ne doit pas être évidement pour la jeune femme de se faire assaillir de questions diverses et variés sur sa vie intime. « Je peux te le dire et te frapper aussi ? » me répliqua-t-elle alors qu’elle venait de finir son verre et tapotait son sac, je lui souris avant de répondre « hum… ça dépend comment. » puis elle finit par me proposait une autre destination pour finir la soirée, du moins le bar allait sans doute fermer qu’importe je n’avais nullement envie de quitter sa compagnie pour le moment. « Ca te dirais pas de bouger un peu, allez ailleurs. » me dit-elle assorti d’un sourire des plus craquant me levant alors en remettant ma veste « Bien sur, on va où tu veux » lui dise je avant de la suivre jusqu’à sa voiture, elle arrive devant sa portière et fait tomber la clé de la voiture je me baisse en même temps d’elle et nos regards se croisent, c’est comme si j’avais eut un coup de courant le long de mes membres. Attrapant ensemble la clé je me redresse en même temps qu’elle sans réussir à enlever mon regard du sien. Je suis comme figé, ce simple contact me fait le même effet que dans le bar. « On en était où tout à l’heure ? » lui dis je de ma voix la plus séduisante avant de glisser un doigt quelque peu froid sur sa clavicule et d’approcher doucement mes lèvres des siennes comme si je n’avais pas la force de résister à cette attraction.


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MessageSujet: Re: Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs.   Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs. - Page 2 EmptyDim 11 Nov - 0:27

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« Tu sais tu ne loupes pas grand-chose, fin oui d’accord y’a l’Empire State Building et la Statue de la Liberté mais mise à part ça y’a des villes dix fois mieux que ça tu peux en être sur. » me dit-il alors que nous parlions voyage. Je n’ai jamais voyagé, enfin jamais réellement. Je suis allé à Boston deux-trois fois afin de rejoindre Timéo, mais c’est la seule ville que je n’ai jamais visité en dehors de Town Square. Pour la première fois depuis le début de cette conversation, j’ai l’impression que c’est moi qui suit complètement à l’ouest. Je sais qu’Ethan a déjà beaucoup voyager et ce grâce au baseball. Je me souviens de la fois où il était parti au Canada s’en me prévenir. Mon dieu ce jour-là j’aurais été capable de le tuer. Encore un souvenir dont il ne ce souvient absolument pas. « Tu me serviras de guide touristique un jour, t’as pas le choix. » ajoutais-je en riant quelque peu. Une nouvelle fois, il me pose une question et la conversation prend un nouveau tournant. Cette fois-ci nous parlons de passion. Pas besoin de lui demander la sienne, je suis quelque peu au courant depuis le temps, alors comme depuis le début de cette soirée la conversation s’oriente de nouveau vers moi. Je lui parle alors de la danse et de cette passion qui m’as emporté il y a quelques années déjà. Et bien entendu, je ne peux m’empêcher de me moquer de lui. Parce qu’il faut l’avouer Ethanaël qui danse c’est quelque chose de complètement mythique. « Tiens regarde j’suis tombé sur ça l’autre fois. Je me demande si ça existe de danser aussi mal. » me dit-il tout en me tendant son portable, j’observe la vidéo et ne peu m’empêcher de partir dans un fou rire. Je m’arrête quelques secondes lorsque je me rends compte que j’avais attiré l’attention de nos voisins de table. « On dirait toi. » lui dis-je alors avant de me reculer de peur de me prendre un coup.

« Ca te dirais pas de bouger un peu, allez ailleurs. » finis-je par lui dire. Il avait l’air d’avoir fait le tour de ses questions, on a vidé deux pintes et j’ai une sérieuse envie de bouger et puis sérieusement il faudrait être complètement aveugle pour ne pas remarquer la tension qui existe entre nous depuis tout à l’heure. Je lui sors mon plus beau sourire et attrape mon sac. Je lâche alors quelques dollars sur la table en guise de pourboire et sors dans la rue. Ethan me suis comme mon ombre avant de me dire. « Bien sur, on va où tu veux » Il aurait pas pu refuser ou me dire que c’était une mauvaise idée, enfin je sais pas tout sauf ça quoi. Il était là avec son petit sourire en coin et il me faisait littéralement claquer. D’un signe de tête je lui indique de me suivre et nous nous dirigeons vers ma voiture dans un silence presque morbide. Je réfléchis à cent à l’heure. Oui, non, pourquoi pas ? Bordel, mais qu’est-ce qui m’arrive voilà que je me mets à réfléchir maintenant. N’importe quoi. Enfin. Prise dans mes pensées, je laisse tomber mes clés de voitures au sol. Et bien entendu il ce baisse en même temps que moi. Nos doigts ce frôlent et nos regards ce croisent. On doit avoir l’air idiot tout les deux accroupis en train de ramasser la même paire de clé. Je me relève subitement tandis qu’il ce rapproche dangereusement de moi. « On en était où tout à l’heure ? » me demande-t-il tout en faisant glisser ses doigts sur ma clavicule. La fraîcheur de sa main me fait frissonner tandis que nos lèvres ce rapprochent. « Je crois qu’on en était là… » dis-je alors tout en attrapant ses lèvres dans un baiser. Une de mes main ce glisse dans le creux de ses reins tandis que l’autre s’agrippe à sa nuque. Je me laisse totalement emporter par ce baiser empli de tendresse et de passion. Je me sens quelque peu déstabiliser tandis qu’il me plaque contre la voiture. Mais très vite j’oublie mes bonnes résolutions du jour pour l’embrasser de plus bel. « Chez toi ou chez moi ? » lui demandais-je alors haletante avant de monter dans ma voiture le laissant planter sur le trottoir comme un idiot.

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MessageSujet: Re: Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs.   Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs. - Page 2 EmptyMar 13 Nov - 22:18




Ethan & Celio

«Nous ne sommes pas des amies, non sommes des étrangers avec des souvenirs »



J'ai beau avoir toujours vécu ici à town Square, j'avais beau ne jamais avoir pris le temps de voyager à travers le temps, à travers les contrée aussi lointaines puissent elles être, le fait d'avoir choisi le base ball me permettait de nombreuse opportunité de voyage c'est grâce à ça que j'ai pu autant voyager je pense. Rien que quand on se met dans ce sport à fond, les compétitions nous emmènent souvent loin du domicile, bon bien sur on ne va pas en France ni rien on se cantonne au Etat unis et c'est bien suffisant je trouve. J'en ai donc traversé des villes, battu même et puis quand j'ai choisi d'en faire mon métier les nombreux stages se faisait en dehors de town Square j'étais parti au Québec cette année là avant d'être recruté pour les Yankees et de partir vivre à New York réalisé mon rêve. On peut pas dire que je suis un grand explorateur, mais pour moi, pour ceux qui habitent notre ville avoir fait de nombreux kilomètres sans quitté le pays c'était déjà bien. Alors que nous parlions justement voyage et que je m'intéressais à savoir si pour Siloë il en était de même, si elle avait un jour quitté la ville l'espace de quelque jours pour s'aérer changer de paysage elle me déclara que non, je trouvais sa triste. Il est bien de rester dans sa propre ville mais partir de temps à autre ça fait du bien on se sent moins enfermé, du moins c'était mon cas à moi. Quand je suis arrivé à New york je peux vous dire que ça m'a dépaysé je comprend pas pourquoi tous le monde en fait de tel éloge sur cette ville, ce n'est qu'une grande ville plein de bâtiment avec peu d'espace vert, que de la pollution ,des milliers de voitures, des travailleurs stressé qui marchent dans les rues comme si un feu les poursuivait. Certes il y a plus d'animation, les gens sont plus fêtard mais à part ça je n'ai pas trouvé grand charme à la grande pomme, bon d'accord et les monuments aussi mais ça s'arrête là.
Elle me déclara alors « Tu me serviras de guide touristique un jour, t’as pas le choix. »Et lui souris, faire le guide touristique ça pourrait être une bonne idée, aller la chercher un jour et lui faire la surprise sur la destination, j'aimerai vraiment qu'elle soit heureuse la jolie brune, et si lui permettre de connaitre certaines villes seraient source de bonheur pour elle alors pourquoi pas. « J’ai le choix, et je te le propose gentiment donc y’a pas de soucis tu peux compter sur moi. »
La soirée se déroule des plus normal si on passe le passage ou j'ai commencé à dérailler, enfin nous plutôt on est deux quand on commence ce genre de chose, la conversation était revenu des plus normal après cette épisode, je lui pose les questions qui me passe par la tête, elle me livre ses souvenirs, ceux que nous avions, ceux que je n'ai plus malheureusement. Pour combien de temps? Je l'ignore, je refais passé la conversation sur elle, ses passions, elle me parle de danse et ses yeux s'illuminent alors, comme si on lui aurait glissé un collier rempli de diamant sous les yeux c'est assez mignon à voir comme cette fille à besoin de peu pour être passionné. La danse a peux être un effet plus intense que la photographie d'ailleurs peux être je ne sais pas, et je crois que pour cette soirée j'ai assez posé de question, la pauvre doit en avoir tellement marre. Bon allez je me lance une dernière fois et lui demande « Dernière question tu aimes plus la photographie ou la danse ? » elle finit par me répondre et cette fois ci je ne sais plus quoi lui poser, je crois avoir légèrement dépassé mon capital question pour le reste de la semaine. C'est alors que la jeune femme me surprend en me proposant d'aller ailleurs, j'aurai pu simplement refuser et rentrer de mon côté mais après tout la soirée ne fait que commencer non? Puis au fond de moi j'ai envie de faire durer la soirée encore un peu plus longtemps. Cette fille là m'attire elle a beau être ma meilleure amie j'ai l'envie de la serrer encore une fois contre moi, d'embrasser ses lèvres sauvagement, de lui faire l'amour et de ressentir de nouveau ce que ça peut faire de faire cet acte là avec la jeune femme.
On se dirige dehors près de sa voiture, et ce moment là on se croirait dans un film je vous jure, elle les fait tomber par mégarde, au même moment on se rabaisse, on se regarde tel dans les films on remonte en même temps et je l'embrasse de nouveau. J'ai bien l'envie de la prendre sur le capot de la voiture, là de suite maintenant. Ses baisers c'est du désir en boite, qui vous transperce en un toucher et vous fait succomber à toutes vos intentions. Elle finit par rentrer dans sa voiture, je fais de même et elle me demande « Chez toi ou chez moi ? » je souris tendrement pose ma main sur sa cuisse que je fais glisser, pose mes lèvres un instant près du lobe de son oreille descendant le long de son cou je sens la respiration de la jeune femme s'accélérer. Je pose ma main sur sa joue, plonge mon regard dans le siens et fini par lui dire « Ici, maintenant. » j’attends sa réaction, c’est peu conventionnel du moins ce n’est pas le genre de lieu que j’aurai choisi pour coucher avec une fille, mais là ce soir rien n’est pareil, ce que je pensais n’est pas vraiment la vérité puisque Siloë Jules à fait et fait partie de ma vie. Je dois dire que j’ai un peu peur de sa réaction, mais qu’importe après tout un appartement une voiture, le risque d’être pris est plus excitant que dans un lieu clos non ?


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MessageSujet: Re: Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs.   Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs. - Page 2 EmptyDim 18 Nov - 15:00

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« Dernière question tu aimes plus la photographie ou la danse ? » finit-il par me demander avec son sourire en coin. Je dois avouer que la question est plutôt compliquée. Depuis que j’ai neuf ans, je me cache derrière mon appareil photo et je m’invente une autre vie en dansant. Je réfléchis quelque peu, mais je suis incapable de trouver une réponse qui pourrait clairement dire lequel je préfère réellement. « Je sais pas. L’un est mon métier, l’autre une simple passion donc je sais pas. » finis-je par lui répondre rapidement. Je pense qu’il a finis par faire le tour de ces questions et je me rends compte que la nuit est désormais bien avancée. Le bar commence à ce vider peu à peu et je finis par lui demander s’il voulait bien continuer la nuit avec moi, mais ailleurs. Je ne pensais pas forcément à le mettre dans mon lit. Je voulais juste que ce moment ne s’arrête jamais. Parce que je sais parfaitement qu’un jour il finira par retrouver la mémoire et qu’il ce rappellera alors de tout ce que l’on a pu ce dire, et a quel point il me déteste au fond. Alors je préfère profiter avant que l’inévitable ce produise. Il ne cesse de me sourire et finis par me suivre à l’extérieur. Je ne sais réellement pas du tout dans quoi on ce lance. J’aimerais retourner me blottir dans ces bras, je voudrais sentir ses lèvres sur les miennes. Enfin je sais pas si c’est une bonne idée de ce lancer là-dedans à nouveau. C’est tout en pensant à cela que je finis par rejoindre à ma voiture, Ethanaël sur les talons. Il suffit que je fasse tomber mes clés pour que nous rejouions une scène presque trop cliché de film à l’eau de rose de série B. Il ne nous en faudra pas plus pour reprendre là où nous nous étions arrêtés. Il fait glisser ses doigts sur ma peau tandis que je me rapproche de lui. Nos lèvres finissent par ce frôlé et ce scellé dans un tendre baiser passionner.

[color=indianred]« Chez toi ou chez moi ? »[:color] finis-je par lui demander oubliant tout mes principes de début de soirée. Nous étions désormais installer dans ma voiture et j’allais tourner la clé de contact pour démarrer lorsque je sens sa main glisser sur ma cuisse. L’espace d’un instant, je ne bouge pas avant de tourner la tête vers lui. Il a ce sourire charmeur coller aux lèvres et il me regarde comme il me regardait avant que l’on ce prenne la tête. Il vient poser ses lèvres sur ma jugulaire et je me sens frissonner. C’est dingue tout de même l’effet qu’il arrive à me faire avec un simple baiser. « Ici. Maintenant » finit-il par me dire alors qu’il posait sa main sur ma joue. Je dois avouer que je suis assez surprise de sa proposition. Je sais qu’Ethan n’as pas froid aux yeux, mais je rester persuader qu’avant il ne m’aurait jamais proposé quelque chose comme ça. Je dois avouer que je trouve l’idée amusante malgré tout. Enfin. Ce sera pas la première fois pour moi… « Tu m’as déjà fait le coup du lieux public. » lui répondis-je alors riant. Je sais qu’il ne ce souvient absolument pas de cela, mais moi oui et en me rappelant de tout cela, je ne peux m’empêcher de rigoler coupant quelque peu cet instant presque romantique. Je finis par me pencher quelque peu afin d’ôter mes talons et passe alors sur le siège d’à côté m’asseyant à califourchon sur lui heureusement que je suis souple parce que l’espace est tout de même assez réduit. Enfin. Je pose alors mes mains sur son torse et lui sourit tendrement. « On avait fait ça au stade… » lui avouais-je alors en baissant quelque peu le regard. « On avait failli ce faire prendre, c’est pour ça que je rigole. » finis-je par ajouter avant de poser ma main sur sa joue.

« Enfin on s’en fou. » dis-je alors avant de poser une nouvelle fois mes lèvres sur les siennes. Cette fois nous sommes plus proches que jamais depuis le début de cette soirée et en aucun cas je n’ai envie que cela s’arrête même si je ne sais pas du tout où cela va nous mener. Je commence alors à m’amuser avec les boutons de sa chemise, tandis qu’il passe une nouvelle fois ses mains sous mon haut. Le contact froid des ses mains sur ma peau me fait frissonner.

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MessageSujet: Re: Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs.   Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs. - Page 2 EmptyMar 20 Nov - 21:07




Ethan & Celio

«Nous ne sommes pas des amies, non sommes des étrangers avec des souvenirs »




Qui aurais cru quand rentrant dans ce bar il y a quelques heures de ça je serai tombé sur siloë-jules ma meilleure amie, celle qui avait partagé plus de 20 ans de ma vie mais dont je n'en avais aucun souvenir. Elle était resté troubler, et à la fois triste sur le fait que je ne me souvienne absolument pas d'elle et encore moins de nos souvenirs en commun. Elle avait même faillit partir mais j'avais réussi à la convaincre de rester, parce qu'après tout si il y a bien une personne qui peut m'aider à me souvenir et en tout cas à combler certains puzzle dans ma tête c'est bien elle. Certes la dénommé Fawn pourrait m'aider à me souvenir de la soirée que nous avons passé ensemble et qui avais conclu à mon accident ainsi qu'à mon amnésie d'un autre côté entendre les souvenirs et apprendre à la connaitre différemment que je l'avais fait des années auparavant était plus plaisante. Peux être avant je la connaissais par coeur et je n'avais pas besoin qu'elle parle pour comprendre ce dont elle pouvait me parler ou connaitre ses réactions mais pour le moment ce n'était plus le cas, elle était une étrangère pour moi alors qu'au fond de mon coeur demeurait cet impression de lien fort presque indestructible. Un lien qui si j'en croyais ce qu'elle me disait ce fameux soir avait fini par se rompre, j'étais censé plus jamais lui parler, plus lui adresser le moindre regard. Tandis que ce soir je faisais tous l'inverse, comme si au fond ce coma avait eut l'effet de préserver une amitié, ou plus juste la recréer. Je lui posais milles et unes questions que j'avais en tête et elle me répondait du mieux qu'elle pouvait bien qu'à chaque réponse j'avais l'impression de lui brisé le coeur, je n'y étais pour rien malheureusement je donnerais tout pour me souvenir de nouveau, de tout, que ce soit du bon comme du mauvais, c'est bien avec les erreurs qu'on apprend à ne plus les faires, a agir différemment en tout cas. Je passais une soirée étrange et à la fois extraordinaire, ce bout de femme en face de moi bien qu'elle tentait de se montrer forte, transpirait de souffrance et de douceur. Je ne pouvais avoir nul doute là dessus elle en avait bavé dans sa vie, c'était triste au fond, parce qu'elle méritait d'avoir les plus belles choses qu'on puisse lui donner.
Elle me transportait avec ses mots et ses souvenirs, et il m'arrivait au fil de ses dires de regretter d'avoir perdu ses souvenirs espérant les retrouver un jour, qu'importe si ils sont mauvais, la plupart et surtout ceux qu'elle me donnait était merveilleux, comme j'aimerais les revivre, mais c'est plutôt impossible je crois, on ne refait rarement les choses plusieurs fois... Puis soudain le bar commençait à se vider et l'heure sans doute bien avancé allait annoncer la fermeture du bar, elle me proposa d'aller ailleurs, sans doute pas dans le but de devenir plus intime avec elle mais je l'avais suivis. Et lorsque je m'étais retrouvais à quelques centimètres d'elle, de son visage, l'envie incontestable qui me démangeait, depuis ce fameux baiser quelques minutes ou heure maintenant qu'on avait échangé, me poussait à recommencer, c'est comme si elle avait ce fameux pouvoir sur moi, qu'il y avait une certaine attraction entre nous, de mon point de vue ça va s'en dire.
Nous étions à présent dans sa voiture et elle me demanda où nous allions, chez elle ou chez moi, bien que sans doute mon ancien moi aurait voulu un lieu intime pas un lieu où à tout moment on risquait d'être pris je lui avais dis maintenant, dans sa voiture. Elle fut prise d'un fou rire ce qui m'étonna quelque peu je dois dire, c'est comme si j'avais dit une idiotie.

« Tu m’as déjà fait le coup du lieux public. » finit elle par m'avouer toujours en riant comme si elle n'arrivait pas à s'arrêter. Pour le coup je me sens légèrement mal à l'aise, j’attends qu'elle m'en dise plus. La jeune femme se met à ôter ses talons, et finit par venir sur mon siège, s'asseyant à califourchon sur moi, s'étant appuyé sur mon épaule afin de se positionner de la sorte. Elle pose alors ses mains sur mon torse qui tout comme les miennes j'imagine sont légèrement fraiche j'ai beau ne pas être torse nu je sens la froideur transpercer le tissu, celle ci me sourit alors tendrement. « On avait fait ça au stade… » M'avoua-t-elle alors quelque peu honteuse, étant donné qu'elle baisse la tête « On avait failli ce faire prendre, c’est pour ça que je rigole. » Finit-elle par ajouter avant de poser sa main sur ma joue. Je rigole doucement et finit par lui répondre "Le stade hein, pas mal pour faire des galipettes en effet, on avait bien du en rire j'imagine, mon dieu quelle honte j'aurais eut si je me serais fait prendre par le gardien." lui avouais je alors doucement avant qu'elle n'ajoute.

« Enfin on s’en fou. » dit elle alors, puis de nouveau ses lèvres se posent sur les miennes et une sensation pas déplaisante du tout parcours tout mon corps, je prolonge ce baiser à la fois tendrement avec une zeste de sauvagerie. Si on m'aurait dit que je finirais dans la voiture de mon ex, de ma meilleure amie à la fin de la soirée je ne l'aurais pas cru, d'ailleurs c'est moi qui l'avait repoussé tout à l'heure lui disant qu'il serait peux être plus sage de se contenter à rester, enfin à réapprendre à être des amis et voilà que c'est moi qui lui saute dessus à peine sorti du bar. Ironique quelque part. Mais comment peut on vraiment résister à cette jeune femme, je sens ses mains glisser sur chaque bouton de ma chemise alors que je glisse mes mains doucement sous son haut, descendant de haut en bas. Mes lèvres se détachent des siennes pour venir se poser sur son cou, embrassant chaque partie de peau accessible, je me sens comme dans une bulle, à l'intérieur de cette voiture. Ma main descend sur son ventre et s'arrête sur le bouton de son jean, j'ai bien envie de lui arracher tout ses vêtements mais à la fois de ré apprendre son corps, de retrouver ce qui peut lui faire plaisir, comme ce qui l'excite ou le contraire si c'est possible, afin d'éviter de faire le moindre faux pas. De faire de cette nuit un moment inoubliable autant pour elle que pour moi, qu'importe si c'est la dernière je m'en contenterais ou peux être pas.


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MessageSujet: Re: Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs.   Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs. - Page 2 EmptyMar 11 Déc - 20:12

Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs. - Page 2 Tumblr_m2dwodHgqG1r1guvio3_250 Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs. - Page 2 Tumblr_m2dwodHgqG1r1guvio2_250

« Tu m’as déjà fait le coup du lieux public. » lui dis-je alors en riant quelque peu. Je sais qu’il ne ce souvient absolument pas de cela, mais moi je ne pourrais jamais l’oublier. On était sur le terrain de base-ball de la ville et on avait fait cela à même le gazon sans aucun remords ou aucune pudeur. Juste comme ça pour le plaisir, parce qu’on avait besoin de ce retrouver. Mais bien entendu on c’était fait remarquer, enfin… Oui et non. Le gardien c’était aperçu que le portail était ouvert et était venu voir si quelqu’un était encore sur le stade. Comme des idiots on était parti en courant pour ce réfugié dans les vestiaires et on c’était tout simplement fait enfermer là. J’avais complètement craqué d’ailleurs. Oui oui j’étais allé m’enfermer dans un casier, enfin enfermer je suis juste rentré dedans en hurlant fièrement que je pouvais tenir dans un vestiaire. Débile je sais, mais à cette époque je faisais un peu tout et n’importe quoi pour évacuer les tensions. Enfin. C’est toujours en lui souriant que je finis par ôter mes talons pour aller m’asseoir à califourchon sur lui. Moi qui, il y a encore quelque heure, me disait que je devais absolument rien tenter avec lui. Je crois que cette fois c’est foutu. Je sens ses mains fraîches ce poser sur mes hanches tandis que je dépose les miennes sur son torse en souriant. « Le stade hein, pas mal pour faire des galipettes en effet, on avait bien du en rire j'imagine, mon dieu qu’elle honte j'aurais eut si je m’étais fait prendre par le gardien. » me dit-il alors d’un seul coup ce qui me fit sourire de plus belle. Je ne sais pas ce qui nous avait pris ce jour-là, mais c’est vrai qu’on avait plutôt bien rigolé. « Enfin on s’en fou. » finis-je par lui dire avant de l’embrasser de nouveau. Je ne sais pas vraiment si c’est une bonne idée, mais il a cette façon de me regarder qui me rappelle que ce n’était pas si mauvais que cela d’être avec lui. Au fond, on s’amusait bien enfin quand on ce prenait pas la tête c’était plutôt sympa. Certes, je n’ai jamais été très romantique, mais il avait tout de même à faire ressortir ce côté tendre que j’essayais d’enfouir le plus possible. Je sais que je l’avais beaucoup surpris avec ça d’ailleurs. Enfin c’est pas le moment d’y penser. Pour l’instant, je m’amuse avec les boutons de sa chemise et les défait doucement les uns après les autres avant de faire glisser mes mains sur ses abdos. Ses lèvres ce posent alors sur mon cou et je me sens frissonner. Tout s’emballe et on se laisse aller sans réellement réfléchir à ce que l’on est en train de faire. Emporter par notre plaisir tout simplement.

Je laisse ses mains ce balader sur mon corps et passe mes mains autour de sa nuque. Une nouvelle fois j’attrape ses lèvres dans un baiser tout aussi passionné. Et pourtant je n’arrive pas à rester concentrer sur ce que nous sommes en train de faire et alors que j’essayais de me laisser emporter les souvenirs de notre dernière conversation me reviennent en tête. Je revois la rage dans ses yeux, la dureté de ses mots et cette façon qu’il a eu de vouloir me blesser à tout pris. D’un seul coup, je me sens submerger, je me souviens de la douleur que j’ai pu ressentir lorsqu’il avait finis par claquer la porte derrière lui… Subitement je me recule de lui et colle simplement mon front au sien. « Désolée j’y arrive pas. » murmurais-je doucement. Je ne sais pas vraiment ce qui me prend, après tout auparavant je n’aurais jamais refusé ce genre de chose, mais ce soir je ne pense qu’à une chose, le jour où il va retrouver la mémoire. Le jour où il va ce souvenir de tout ce qui c’est passer entre nous, le jour où la haine qu’il avait envers moi reviendra… Je sais que je lui ai fait du mal et je sais parfaitement que tout cela est entièrement de ma faute, mais je ne sais pas, je peux pas m’empêcher d’y penser. Un instant mon regard finis par croiser le sien et je vois bien qu’il est aussi perdu que moi, voir même un peu plus. Je sens sa main ce glisser sous mon menton et il me force à relever la tête, nos visages restent très proche et je sens son souffle chaud sur ma peau. « Je t’ai fais du mal et tu me déteste Ethanaël, je peux pas faire comme si je savais pas. Le jour où tu te souviendras de tout ça, je redeviendrais la femme qui t’as brisé le cœur et que tu hais plus que tout. » lui dis-je alors tout en soupirant quelque peu. J’ai presque honte de moi. Maladroitement je commence à reboutonner sa chemise lorsque je sens ses mains glisser de nouveau sous mon tee-shirt. Je relève la tête pour croiser son sourire en coin. « Qu’est-ce que tu fais ? » lui demandais-je alors un peu perdue.
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MessageSujet: Re: Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs.   Nous ne sommes pas des amies. Nous sommes des étrangers avec des souvenirs. - Page 2 EmptyMer 16 Jan - 18:13




Ethan & Celio

«Nous ne sommes pas des amies, non sommes des étrangers avec des souvenirs »




J’étais loin même très loin d’imaginer quand souhaitant sortir pour me sortir, pour arrêter de penser, pour tout simplement respirer je retrouverais celle qui était mon ex copine, ma copine quelques heures avant mon accident de voiture. Mais cette fameuse fille m’avait brisé le cœur et bien que je ne m’en souviens pas je le sais qu’elle m’a fait du mal, en me tenant là tout le long de cette soirée j’avais cette pointe dans la poitrine, cette envie de lui faire du mal mais aussi de l’embrasser, un mélange de sentiment qui me déstabilisé. Je ne sais pas comment je ferais comment je serais en retrouvant totalement la mémoire, disons que je profite désormais des moments présent, des instants de bonheur que je peux avoir le droit, je suis passé à coté de la mort. J’aurai pu mourir j’aurai pu ne jamais revenir, mais quelqu’un la haut a décidé à ma place qu’il n’était pas l’heure pour moi, que je ne devais pas faire souffrir autant de monde qui ont besoin de moi, ma famille, mes proches, mes amis …

Nous finissions nos verres avant qu’elle me propose d’aller ailleurs, ce que j’acceptais volontiers, sans vous le cacher bien entendu j’avais l’espoir qu’il se passe quelque chose, un corps à corps comme avant peux être, après tout cette fille là elle a quelque chose dans les yeux, elle a quelque chose dans son corps qui m’attire, et je suis impuissant, je ne peux me défiler devant elle, il m’en est impossible pour le moment. On s’installe dans sa voiture, se rapproche dangereusement, nos lèvres glissent, nos langues se caresse et doucement nos mains parcours des parcelles de peau, l’envie monte dangereusement je veux, je la veux contre moi dans un corps à corps passionné me laissait aller … Quand soudain alors que nous étions dans un baiser passionnel, ses mains glissant sur mon corps, elle se libère de son emprise « Désolé j’y arrive pas… » me dit elle simplement, j’ai envie d’exploser, elle me chauffe pour après me dire t’aura rien c’est juste vexant bien que j’imagine que coucher avec un amnésique ça doit pas vraiment donner envie. Enfin je sais pas ça ne m’est jamais arrivé personnellement, il s’écoule plusieurs minutes de blanc avant que la jeune femme ré-ouvre la bouche « Je t’ai fais du mal et tu me déteste Ethanaël, je ne peux pas faire comme si je savais pas. Le jour où tu te souviendras de tout ça, je redeviendrai la femme qui t’a brisé le cœur et que tu hais plus que tout. » Pour le coup je ne sais pas quoi dire ou comment réagir et bêtement mes mains glissent de nouveau sous son t shirt, ce qui n’a pas l’air d’être du coup de la jeune femme vu qu’elle me le fait remarquer subtilement « Qu’est ce que tu fais ? » , qu’est ce que je fais, j’ai juste envie d’elle mais à croire que je peux me la foutre derrière l’oreille pour ce soir, pourtant sa réputation la précéde, mais moi non elle ne veut pas … comme si y’avais quelque chose qui cloche, je me rhabille doucement sans la regarder.

« Ta sans doute raison quand je me souviendrais je te détesterais encore plus que maintenant … c’est pas anodin de briser le cœur d’une personne qu’on est censé aimer … qu’on aime, dans ce cas là je vois pas à quoi rimer cette soirée, je comprends pas du tout. » je soupire avant d’ouvrir la portière, arranger ma tenue, et glissant ma tête à l’intérieur j’attrape sa nuque avant de glisser mes lèvres une dernière fois sur ses lèvres. « Ce fut un plaisir de partager cette soirée avec toi ceci étant même si … je n’ai pas de souvenir antérieur a aujourd’hui … prend soin de toi jolie fille. Je suis désolé si dans le passé je t’ai fait souffrir pour que tu me brises le cœur … trouve la fameuse personne qui te fera sentir vivante, tu le mérite même si tu as une piètre opinion sur toi moi je le vois comme ça. » finis je par lui dire avant de sortir ma tête de cette voiture et de fermer la portière, commençant à marcher le long de la rue la destination étant simple maintenant mon lit. Je ne regrettais pas du tout cette soirée, le fait d’avoir revu la jeune femme, mon ex copine, mon ex meilleur amie, au final ça m’avait fait du bien et a la fois du mal c’est assez paradoxale mais c’est ainsi … je voulais retrouvais mes souvenirs je voulais ré apprendre à vivre, je voulais retrouver des objectifs, je veux changer de vie et j’en suis sur ma sœur me sera d’une grande aide pour ça.
Pour ce qui concerne Siloë Jules Hurtlake je ne sais pas comment tout ça allait marcher, quand les souvenirs me reviendrait et comment j’agirais avec ça, avec mes sentiments avec mes souvenirs, bien que tout le monde fasse des erreurs elle était la personne la plus précieuse à mes yeux après ma sœur, je lui faisais confiance comme jamais je ne l’aurais donné, désormais j’étais perdu, je ne savais pas comment réagir, quoi faire … mais je verrais, vous le verrez dans les prochains épisodes qui sais.



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