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  you can't walk away → maël

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MessageSujet: you can't walk away → maël    you can't walk away → maël EmptyLun 21 Jan - 14:35




can you tell me what happened ?


Il avait fait beau toute la journée et pourtant j’étais restée coincé dans le laboratoire toute la journée. J’aurais pu aller bronzer tranquillement au parc tout en prenant des photos et non il a fallut que mon patron m’enferme dans le chambre noire pour développer tout le boulot en retard qu’on a accumulé avec Maël. Autant dire qu’il y avait une bonne centaine de pellicules toutes pleines à craquer. Des paysages, des portraits et pas mal de conneries aussi. Le volume de la musique poussée à fond, je me plonge entièrement dans mon travail et finis par totalement oublié ces dernières semaines. Malgré tout cela repasse en boucle dans ma tête. La troisième guerre mondiale qui est passé à travers mon « couple », le fait qu’avec Ethanaël on ce soit dit les pires horreurs du monde et que notre histoire aussi bien d’amour que d’amitié soit terminer. J’avais pris un sacré coup après ce moment là. J’en voulais à la terre entière et particulièrement à lui et j’étais devenu insupportable au boulot. Tellement que Maël m’avait légèrement envoyé paître. Oui autant dire que cela n’avait pas été de tout repos. Les fins de relations ce n’est pas vraiment pour moi, mais surtout celle là. J’ai finis par accuser le coup, mais je prends toujours cela comme un pur et simple abandon. Le troisième dans ma vie. Celui qui fait sans aucun doute le plus mal. J’ai tout perdu, mais je tente de vivre ma vie normalement, parce que ma fierté me dicte de faire comme s’il ne c’était rien passé. Parce que je suis trop fière pour avouer qu’il me manque déjà et que sans lui je suis trop rapidement paumé. Mais aujourd’hui, je me dis que rien ne pourra m’atteindre. Je suis dans mon monde avec ma musique et rien d’autre. Au moins ici je me sens bien. Prise dans les rouages du travail, je laisse tomber le monde extérieur ne serait-ce que pour une journée.

Au détour des photos, une en particulier attire mon regard. Il s’agit d’une photo de Maël que j’avais prise lors de l’une de nos pauses déjeuné. Il était assis le dos posé contre un tronc d’arbre, les genoux ramener vers la poitrine. Mais ce qui m’attire particulièrement, c’est que je remarque que c’est la seule et unique photo que j’ai de lui en train de sourire. L’espace d’un instant, mon regard ce fixe sur cette image emprisonner dans le papier glacé. C’est bien la première fois que je prends conscience que Maël n’est pas le gamin heureux que j’aimerais qu’il soit. Je comprends son désespoir, après tout son passé ressemble étrangement au mien et c’est bien pour cela que je cherche tellement à le protéger. Je voudrais vraiment que James l’embauche une bonne fois pour toute. Qu’il lui permette de continuer ses études. Il a vraiment des capacités et je sais qu’il pourrait être un très bon photographe. Mais il faudrait déjà qu’il arrive à faire table rase sur son passé…

Il est désormais plus de vingt et une heure trente et je sors enfin du travail. James m’attrape par le bras avant que je quitte la boutique et me fais remarquer que cela fait deux jours que Maël ne c’est pas pointer au boulot. Tellement absorbée par ma vie privée et mes photos en retards, je n’avais pas réellement remarqué l’absence de mon petit protégé. Intriguer par tout cela et n’ayant absolument rien à faire de ma soirée, je décide alors d’aller lui rendre visite. Je m’étais rendu une seule fois chez lui, mais je me souviens encore parfaitement du chemin et je dois dire que ce n’est pas cela qui va m’arrêter. Maël c’est un peu le petit frère que je n’ai jamais eu et depuis ce jour où il m’a interpellé à la sortie de sa classe pour me poser des questions sur le monde de la photo j’ai compris que ce n’était pas un gamin comme les autres et qu’il avait besoin qu’on s’occupe de lui en permanence. Comme un bébé, mais un bébé de dix-neuf ans. Il déteste que je le vois de cette façon, il ne supporte pas l’idée que je veuille lui venir en aide. Mais en réalité on n’a jamais vraiment parlé tous les deux. Il sait que j’ai un passé quelque peu similaire au sien, je sais que son enfance a été difficile, mais a part cela nous ne savons rien de l’autre. Plus déterminé que jamais, je me retrouve devant la porte de son appartement. Je frappe trois coups et attends. J’attends encore et toujours. Frappe à nouveau et entends des pas. Finalement il m’ouvre la porte. La chemise a moitié fermée, les yeux explosés, sa tignasse en bataille. En plus de ça il pu l’alcool. « Alors c’est pour ça que tu viens pas au boulot ? » lui demandais-je tout en me permettant d’entrer chez lui. « Qu’est-ce qui t’arrive petit tête ? » ajoutais-je tout en lui souriant tendrement. J’étais réellement trop maternelle avec lui !

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MessageSujet: Re: you can't walk away → maël    you can't walk away → maël EmptyLun 4 Fév - 19:06


You can't walk away

Mäel avait sa tête des mauvais jours. Il avait passé le week-end à visiter les bars de Town Square sans omettre de noter leur carte des boissons au passage. Résultat des courses, voilà deux jours qu’il passait à vomir ses trippes pendant que son colocataire lui criait d’appeler le médecin de l’autre côté de la porte. Le jeune homme avait perdu le compte des jours. Il n’était qu’une loque intoxiquée qui rendait tout ce que son ventre arrivait à peine à ingurgiter. Fatigué par ses allées et venues à la salle de bain, Maël sombrait ensuite dans le sommeil durant de nombreuses heures. Si bien, qu’il en avait complètement oublié d’aller travailler et surtout de prévenir son boss. Dans le fol espoir de retrouver contenance, le jeune homme avait évité de manger quoi que ce soit durant la journée, croyant qu’il pourrait trouver la force de se rendre au travail le lendemain. Affamé et malade, il somnolait à moitié nu sur son lit lorsqu’on sonna à la porte. Oubliant que son colocataire n’était pas là, Finchley avait crié son prénom à plusieurs reprises espérant qu’il se chargerait de voir ce quelqu’un pouvait bien leur vouloir. Peine perdue, il finit par se résigner à se lever et enfila à la hâte ses habits du week-end qui empestaient toujours l’alcool. Tel un zombie, il se traina dans le couloir en réprimant ses nausées et son mal de ventre. Un peu plus et Maël se serait juré de ne plus boire autant mais il pensait que le problème ne venait pas là. Il faut dire que ce soir là, il avait pas mal mangé pour palier à la faim que les nombreux joints avaient suscités. Intoxication alimentaire, tel était son diagnostique mais force était de constater qu’il n’était pas assez qualifié pour en être certain.

Alors c’est pour ça que tu viens pas au boulot ?

Il avait ouvert la porte pour découvrir la mine réjouie de Siloë à l’entrée. Sans se donner la peine d’attendre d’être invitée, elle avait franchit le palier alors qu’il refermait derrière elle. Il était dans de beaux draps. Pourquoi donc n’avait-il pas appelé bon sang ? Vu l’odeur qui se dégageait de sa personne, Sil’ devait sûrement le prendre pour un alcoolique notoire. Ce qui n’était pas entièrement faux dans le fond, fallait l’avouer. Mais là n’était pas la question. Malgré ses nombreuses gueules de bois, Maël avait rarement manqué un jour de travail. Il comptait vraiment sur cette place pour envisager de continuer ses études dans la photographie. Et pour cela, il fallait qu’il se fasse engager ce qui n’était pas tout à fait encore le cas. Pas de réel contrat, juste un arrangement tacite, ça ne menait pas loin.

Qu’est-ce qui t’arrive petit tête ?

La voix de la brune le sortit de sa torpeur et il daigna enfin la dévisager, blanc comme un fantôme. Le jeune homme ferma les yeux quelques instants pour se donner un peu de courage et éviter de penser à son envie de vomir sur le parquet ciré. Par où commencer ? Bonne question… Peut-être par la vérité pour une fois. Il n’était pas en état de trouver une histoire quelconque pour justifier son absence ou son état.

Je suis malade… J’ai trop bu ce week-end et j’ai dû manger une saloperie. Ca fait deux jours que je vomis tout ce que j’avale.

Sans plus de détails, il la conduisit dans le salon où il prit place sur le canapé. Une canette de coca entamée trônait la table et il la but d’une traite pour soulager ses maux de ventre.

Je sais… J’aurais dû appeler mais j’étais trop mort. Même pas la force d’aller chez le médecin. James va me tuer pas vrai ?

Demanda-t-il avant de s’affaler sur les coussins, réellement inquiet pour sa place. Dérangé par l’odeur de sa chemise poisseuse, il la déboutonna pour la balancer dans un coin avant d’attraper un plaid et s’enrouler dedans. Il avait merdé. Et ce n’était que le début. En avouant sa cuite du week-end il donnait à Siloë la possibilité de creuser ce sujet dont il ne voulait vraiment pas discuter. Mais tôt ou tard, Maël savait qu’il ne pourrait pas cacher longtemps à son amie ses petites folies. Il était jeune, certes, mais cela commençait vraiment à frôler l’excès. C’était devenu une sale habitude dont il ne pouvait pas vraiment se défaire. La musique, les inconnus, l’alcool et j’en passe étaient le meilleur remède qu’il avait trouvé pour oublier ses démons l’espace de quelques heures. Et honnêtement, il ne savait pas comment faire face aux choses autrement ou s’il en avait seulement l’envie. Sa situation chaotique lui convenait jusqu’à présent. Surtout qu’elle lui permettait de croiser cette fille qui ne quittait plus ses pensées depuis cette fameuse nuit à Los Angeles où tout avait basculé pour elle.
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MessageSujet: Re: you can't walk away → maël    you can't walk away → maël EmptyMer 13 Fév - 18:37




can you tell me what happened ?


Je n’aime pas spécialement jouer les moralisatrices et encore moins me prendre pour ce que je ne suis pas, mais je sais par avance qu’aujourd’hui, je vais devoir jouer la maman près de Maël. En frappant à sa porte, je me demande ce que je viens bien finir par trouver de l’autre côté. Mon ami comatant dans sa propre gerbe ? Peut être… Voir avec une ou deux inconnues dans son lit. Cette idée me fait frissonner. Je sais que je suis loin d’être l’exemple parfait à ce sujet. Moi-même je sors régulièrement dans les bars pour aller noyer mon passé dans l’alcool et terminer ma soirée dans les bras d’un bel apollon, mais j’ai toujours fait attention à ne pas tomber dans l’excès. L’alcoolisme peut vite devenir un cercle vicieux alors autant s’en méfier. Enfin. Maël finit par ouvrir la porte de son appartement et je suis assez surprise par la vision qu’il m’offre. Tout d’abord il pu l’alcool à plein nez. Le genre d’odeur que je connais par cœur et pourtant que je ne supporte pas. Ensuite il a une tête… A faire peur. Il est blanc comme un linge et ses yeux sont plus cernés que jamais. Il n’a pas l’air dans son assiette et je commence à me faire du souci pour lui. Sans ménagement je pénètre dans son appartement qui semble avoir subi une attaque nucléaire et soupire quelque peu. Je lui demande ce qui lui arrive et il me dit être malade. Il en profite également pour me dire qu’il a bu tout le week-end. J’essaye de ne pas soupirer, mais l’envie est belle et bien présente. Sans m’en dire plus, il me fait signe de le suivre. On ce retrouve dans son salon et il va de suite s’affaler dans le canapé. Je le vois – au passage – avaler le reste d’une cannette de Coca et je fronce les sourcils. En même temps, s’il ne faisait pas cela, il ne serait pas malade. Enfin. Je le vois ce dévêtir et s’enrouler dans un plaid avant de me demander s’il va ce faire tuer par James. Je lui fais un petit sourire. « Je vais arranger le coup, mais la prochaine fois appelle nous Maël. Je sais que tu es pas encore sous contrat, mais je serais pas toujours là pour rattraper le coup. » lui dis-je doucement. Je ne veux pas lui faire la morale, mais je préfère qu’il soit au courant. Parce que je m’entends très bien avec mon patron, mais c’est moi qui lui ai imposé la présence de Maël. Il n’était pas obliger de l’accepter et pourtant il l’avait fait. Autant dire que je ne pouvais pas trop lui en demander non plus.

En silence, je me lève de la table basse ou je m’étais assise et pose ma main sur le front du jeune homme. Il est brûlant de fièvre. Je sais pas ce qu’il a attrapé, mais ce n’est pas en restant au fond de son lit qu’il allait aller mieux. Je lui fais signe de ce lever et il hoche de la tête pour me dire non. « Aller Finchley, tu te lève et tu va prendre une douche chaude. Tu pue l’alcool alors je te laisse même pas le choix. » Je l’entends ronchonner, mais il finit par faire ce que je lui demande. Je m’assure qu’il va bien dans la douche et non ce remettre dans son lit et retourne dans le salon. J’attrape la poubelle de la cuisine et fais le tour de l’appartement pour ranger un peu le bordel qui y règne. Laisser deux garçons vivre ensemble. Mais quelle erreur. Je râle un peu mais continue ma tâche. Je me rends ensuite dans la chambre de mon ami et ouvre en grand la fenêtre histoire de faire sortir tout les microbes qu’il a pu accumuler. Finalement je vais faire couler deux cafés dans la cuisine. Je suis en train d’ouvrir tout les placards pour trouver deux tasses lorsque Maël apparaît de nouveau, l’air un peu plus frais et dispo que tout à l’heure. Je lui offre un sourire et dépose un baiser sur sa joue encore humide. « T’es bien plus beau comme ça. » dis-je tout en lui tendant une tasse de café bien chaude. « Ah fait pas la tête tu va m’avaler ça, ça va te faire du bien. » ajoutais-je en voyant sa grimace. S’il a envie de vomir après, il ira mais pour le moment je le garde avec moi. Ca suffit de le voir faire des conneries. Je sais qu’il est majeur et vacciné et par conséquent il a tout les droits, mais je peux m’empêcher de le surprotéger. Comme s’il était mon petit frère. « Et donc… Cette beuverie c’était en quel honneur ? » lui demandais-je dans un souriant qui ce voulait rassurant. Ah bah oui, à un moment donné il faut quand même aborder le sujet qui fâche.

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