Quand on a une passion et qu’on a eut la chance d’en faire son métier on vit à cent à l’heure sans trop se préoccuper de ce qui passe autour, des amis ou des amours par exemple, depuis que j’ai mis un pied sur un terrain de base ball j’ai toujours tout fait pour être le meilleur pour dépasser encore et toujours mes limites sans me soucier des autres, ma famille, mes amis … je n’ai toujours eut qu’un seul objectif durant mes 25 ans d’existence devenir une star de nba. Et voilà qu’après des années de cour, des matchs, des championnats la chance de ma vie c’est présenter, l’équipe des yankees de new York à tout fait pour m’avoir, je me suis pas trop fait prié pour accepter leur offre je peux vous le dire. J’ai donc quitté ma ville natale ma toute petite ville de quelques milliers d’habitant et encore pour me rendre dans la pomme, cette ville géante avec un melting pot extraordinaire ça m’a vite changé de Town Square, les ruelles aussi d’ailleurs, je me suis perdu à de nombreuses reprises je dois l’avouer. Le temps est passé à une vitesse hallucinante depuis mon premier jour là bas, bien sur je revenais ici dés que je pouvais à peu près toute les deux trois semaines mais parfois j’étais dans l’incapacité enchainant les soirées de charité, les interviews et les recommandations du coach de ne pas s’épuiser donc de ne pas partir. On pouvait penser que j’étais célibataire mais ce n’était pas le cas j’avais laissé ma meilleure amie mais aussi copine derrière moi, j’avais beau eut pensé que cette distance nous rapprocherai il était rare les week end ou je pouvais rentrer sans que l’on entende des cris c’était souvent elle d’ailleurs en y repensant qui s’énervait pour un rien. Faut dire il y avait énormément de sujet tabou à ne pas évoquer à présent, tout ça devenait suffoquant comme si l’on m’interdisait de m’exprimer ou de respirer, trop dur à supporter je la sentais tous le temps sur les nerfs moins au début mais de plus en plus à chaque fois. Je commençai à l’étouffer, cette relation nous étouffer, nous tuer, on était en train de tuer petit à petit notre couple et peux être bien notre amitié au passage mais pour l’heure je n’en avais aucune idée. Les jours passèrent et quelques semaines aussi, c’est alors que je rentrais en avance afin de faire une surprise à Louhàn Siloë-Jules Hurtlake que quand j’ouvris la porte de son appartement des bruits se firent entendre dans la chambre, j’avançais à pas de chat en direction de celle-ci quand je poussa légèrement la porte et là que vois je, horreur à mes yeux innocents, bon d’accord pas si innocent que ça , la jeune femme a califourchon sur un pseudo apollon, les mouvements de son bassin sous mes yeux , je lâcha mon sac sur le sol. Les deux jeunes gens furent interpellé, je vis un léger gêne passait dans les yeux de Siloë tandis que la colère monter dans les miens.
Après une rupture qui cette fois ci serait définitive je suis gentil mais pas con, on ne me prend pas pour un imbécile deux fois de suite, déjà que la dernière fois on a eut vraiment du mal pour se pardonner et recoller les morceaux ceux-ci ne se recolleront pas jamais je pourrais oublier ce que je venais de voir, je ne pourrais pardonner, je ne sais même pas si je pourrais rester ami avec celle-ci après tout ses événements, vraiment pas. J’ai toujours respecté la brunette, toujours, quand toute la ville pouvait la traité de trainée, quand ses choix de vie ne correspondait pas à ce que je pensais d’elle, qu’elle nuisait son image et son corps ; mais c’était ses choix et en tant que son meilleur ami je la soutenais mais jamais je ne lui ai fait du mal à part une seule fois mais cette fois ci elle s’était venger et comme il faut en couchant avec un mec que je considérais comme mon ami mais on se trompe souvent sur ça aussi. On était censé être un couple et qu’est ce qu’elle faisait elle, elle se tapait un mec alors que j’étais à new york pour le boulot, j’en ai eut des occasions de sauter des filles là bas et peux être des bien plus belles qu’elle mais étant amoureux et en couple je me suis pas permis, et elle qu’est ce qu’elle fait ? Depuis combien de temps ? Un manque total de respect pour ma personne. Après ça vous pensez réellement que je veuille et puisse rester ami avec celle-ci, une fille sans cœur qui c’est foutu de ma gueule comme il le fallait, j’crois pas non. La séance de rupture fini je ne pu m’empêcher de foutre un coup de poing dans la gueule du mec et d’envoyer valser notre chère Hurtlake lui faisant comprendre qu’elle n’était plus rien pour moi à présent et qu’elle me raille de sa vie.
Quittant l’appartement de la jeune femme d’une vingtaine d’année, je ne savais pas ou allait, vider tous les sentiments qui se mélangeait au fond de mon corps, j’avais envie de revoir Fawn que j’avais si souvent croisé et que j'appréciais, mais que j’avais connu au bar de la ville. Ne sachant pas ou la trouver, baissant les bras pour la première fois de ma vie je pris la direction d’abord de ma maison pour y prendre une douche me changeait dire bonjour à Ana et prendre les clés de ma voiture de sport pour aller au bar. Qui sait peux être ferai je des rencontres intéressantes. M’installant au comptoir du bar je comptais bien vider les derniers moments de cette journée, et la douleur que m’avait de nouveau fait subir Siloë en pire cette fois ci. Commençant à enchainer les verres de tequila en faisant une grimace à chaque contact du liquide entrant dans mon œsophage. Tout d’un coup je senti une main se poser sur mon épaule et la voix de la célèbre fawn retentit à mon oreille. « Bah alors monsieur McAlister, on fête quelque chose ? ». la regardant s'installait je lui souris puis répondis alors
"Ton émission, ma réussite et pourquoi pas ma rupture aussi" lui dis je en tendant mon verre avant de le vider encore une fois .

Cela allait faire un an qu'elle était revenue, un an qu'elle avait son émission, et le temps avait passé si vite qu'elle ne s'en était pas vraiment rendu compte. Et puis elle était plutôt fière d'elle, elle avait réussis à garder sa place, on la considérait aussi bien que Devon sur le plateau, ce qui n'était pas forcément le cas au début. En regardant en arrière, elle était plutôt contente. Certes, sa vie personnelle était plutôt un gros n'importe quoi, mais au moins, tout allait bien sur le plan professionnel. Dernièrement elle s'était même rendu plus souvent à New-York, la grande ville lui manquant parfois, et cela lui permettait de retrouver ses amis. Surtout que depuis le départ d'Isleen, elle était nostalgique et préférait se retrouver dans la Big Apple plutôt que dans les endroits où elles adoraient passer leur temps. Et puis elle en profitait pour faire des sorties culturelles, se rendre au théâtre un peu plus souvent, et profiter des quelques privilèges qu'elle avait depuis qu'elle était présentatrice, notamment assister à quelques avants-premières ou retourner au Saturday Night Live. Bref, ces quelques dernières semaines, elle avait passé plus de temps là-bas qu'à Town Square. Mais ce soir, elle n'avait absolument rien de prévu, et l'appartement était vide, ses colocataires étant partis en vacances ou travaillant. Après avoir diné chinois devant des épisodes de Friends, elle décida d'aller faire un tour en ville, elle y croiserait probablement quelqu'un ou au pire, la compagnie des barmans de son bar favoris seraient de toute façon plus agréable que la solitude de chez elle. Elle pris rapidement une douche, petit passage maquillage devant le miroir, enfila une robe bleu électrique, sa veste et ses escarpins noirs, et se rendit en ville.

Un sourire s'afficha lorsqu'en arrivant au bar, elle remarqua une silhouette familière et marcha en direction du jeune homme. Elle posa une main sur son épaule, et le salua avant de s'installer à côté de lui « Alors Monsieur McAlistair, on fête quelque chose ? » . Elle remarqua le verre de téquila dans sa main, et fut assez surprise puisque la dernière fois qu'elle lui en avait proposé, il avait refusé en lui répondant que la chaleur qu'il ressentait lorsqu'il en buvait était trop désagréable et qu'il n'en buvait qu'en certaines circonstances. C'était d'ailleurs la seconde fois où ils s'étaient rencontrés, et c'était à New-York. Ironiquement, lorsqu'elle l'avait quitté la première fois, ne sachant même pas son nom, elle s'était demandée si elle retomberait sur lui à Town Square, la ville n'étant pas si grande. Et finalement non, mais elle n'avait recroisé dans la grande ville New Yorkaise, avec joie d'ailleurs, parce que même si à l'époque elle avait redouté d'en apprendre plus sur lui et d'être déçue par sa personnalité, finalement elle l'appréciait beaucoup. Elle demanda au barman de lui servir un verre de Baileys, puis Ethan lui répondit. « Ton émission, ma réussite et pourquoi pas ma rupture aussi. » Fawn le regardait, sourire aux lèvres lorsqu'il donna les deux premières raisons, mais son sourire s'effaça lorsqu'il lui apprit pour sa rupture. Elle connaissait leur histoire de loin, il n'était jamais trop rentré dans les détails, elle savait qu'ils avaient eu des moments difficiles, mais elle savait aussi à quel point il était amoureux de Siloë. La jeune femme ne répondit rien, attendit qu'on lui serve son verre et le leva en direction d'Ethan, et le bu en une gorgée. Enfin seulement, elle reprit la parole. « Tu veux vider encore quelques verres pour oublier tout ça ou tu préfères m'en parler ? »

Le temps passe tellement vite, des minutes deviennent des jours qui deviennent des semaines et qui deviennent de moi, je me suis vite retrouvé dépassé par tout ça la vie de New York si différente de celle-ci , une vie à cent à l’heure ou on se sent existé ou pour une fois on a l’impression de compter, de servir à quelque chose. C’est vrai que c’est cool de devenir la star d’une équipe d’avoir des fans, entendre crier son nom quand on entre sur le terrain c’est comme un chanteur qui débarque sur scène ça fait les mêmes sensations peux être en plus intense pour un chanteur je ne sais pas trop.
« Tu veux vider encore quelques verres pour oublier tout ça ou tu préfères m'en parler ? » me demanda-t-elle alors, je lui avais parler plus ou moins de ma relation avec Siloë-Jules lorsque j’en avais l’occasion j’ai pas fait parler de ma relation en détail mais elle en a su assez pour comprendre que c’était compliqué. Je voyais bien qu’elle était désolé pour moi mais je n’avais pas besoin de pitié et qu’on soit désolé pour moi, j’avais peux être mérité ma punition après tout je l’avais en quelque sorte abandonné même si elle n’a pas voulu me suivre mais ce n’est pas comme je savais pas qu’elle aimait pas l’attachement et tout le reste …
« J’peux faire les deux aussi non ? » lui dis je dans un sourire, ça ne faisait pas si longtemps que ça que je connaissais fawn la première fois que j’avais passé la soirée avec elle je ne connaissais ni son nom ni rien sur elle. On avait juste bu et profiter de la soirée comme deux inconnus qui se rencontrent dans un bar ça aurait pu être dangereux du moins pour elle j’aurai pu être un psychopathe mais elle a du sentir qu’elle pouvait avoir confiance enfin je ne sais pas trop je ne suis pas dans sa tête. J’ai eut l’occasion de la revoir à New York à des soirées spéciales et à ce moment là on a vraiment su qui était l’autre, on a apprit à ce connaitre plus, ce qu’elle ne voulait pas du tout lors de notre première rencontre. Je ne regrette pas du tout d’avoir fait sa rencontre que ce soit ici à Town Square et à la fois à New York je peux dire vraiment que c’est un coup de cœur amical que j’ai eut pour la jeune femme, elle est à la fois très simple et tellement marrante du moins c’est mon point de vue n’est ce pas. L’ironie c’est qu’on ne s’est pas revu ici dans une petite ville que celle-ci alors que la pomme qui est aussi grande qu’un pays pratiquement on a réussi à ce rencontre le hasard peux être mais le hasard fait bien les choses parfois.
« Y’a pas grand-chose à dire si tu veux tout savoir j’ai juste eut le rôle d’un bouffon de a à z mais là c’était de trop j’aime pas les cornes ça me va mal. Mais de l’avoir vu sous les yeux ça fait un choc tu vois … au moins d’une certaine manière j’ai plus rien qui me retiens ici. Ca fait juste mal de voir finir une relation que sa soit amoureuse ou amical. » lui dis je alors d’une petite fois j’étais encore sous l’émotion et l’accusation du coup je venais de quitter l’appartement de Celio il y a quelques heures à peine et j’avais décidé de venir ici me vider la tête ne plus penser à tout ça mais il faut avouer que ce n’est pas si évident que ça avec le temps peux être mais pour le moment je revoyais encore les images en boucle dans ma tête et les paroles que nous nous sommes échangés au cour de cette conversation très courte fut elle, mais je n’allais pas perdre encore plus de temps j’en avais trop perdu depuis ses derniers mois, je ne regrette pas non pas du tout même on apprend de ses échecs et de ses erreur s. J’aurai vécu une belle histoire avec Hurtlake que ce soit amical ou amoureuse même si pour la deuxième elle fut plutôt courte. J’espérais bien penser à autre chose pour ce soir que Fawn arrive à me faire penser à autre chose, qu’elle me fasse rire ou ce qu’elle veut d’autre d’ailleurs je ne crois pas être d’humeur à dire non, mais assez parler de moi. Mangeant une rondelle de citron je fini par lui demander « Bon assez parler de moi, parlons de toi !!! Alors qu’est ce ta de beau à me raconter depuis NY ? » finis je par lui dire dans un merveilleux sourire dont j’en avais le secret. J’aimais pas tellement m’approprié la conversation, j’étais peux être un joueur célèbre et exceptionnel mais ce n’était pas ce qui me définissait, ceux qui me connaissent pourront même vous dire que je suis quelqu’un de simple qui ne se prend pas la tête, je ne me prends pas pour qui je ne suis pas ça c’est une chose de sur. Ce qui est bien c’est que Fawn était comme moi de ce côté-là elle avait beau avoir une émission elle restait une personne très humble.

Fawn ne pouvait pas vraiment imaginer ce qu'il traversait, elle n'avait jamais été autant attachée à une personne qu'il l'était de son ex petite amie, personne ne l'avait fait se sentir comme il devait l'être lorsqu'il était avec elle, et donc jamais elle n'avait eu le cœur vraiment brisé après avoir rompu avec quelqu'un. Elle ne savait pas ce que c'était, ni comment on gérait ce genre de situation, mais elle avait plutôt l'habitude d'aider ses amis dans ce cas là, en leur changeant les idées. Ce soir, si c'était ce dont Ethan avait besoin, elle n'hésiterai pas à tout faire pour qu'il se sente mieux, ne serait-ce que pour quelques heures. S'il voulait en parler, elle l'écouterai. S'il voulait oublier, elle lui offrirai des verres. S'il ne voulait rien faire, ils s'installeraient dehors, pourquoi pas sur la plage, à ne rien faire. C'était comme il le voulait. De toute façon, elle n'avait rien de prévu ce soir, elle voulait simplement de la compagnie, la solitude n'était vraiment pas son truc. Même s'il fallait l'avouer, de temps en temps ça faisait du bien de se retrouver avec soi-même, en particulier lorsqu'elle revenait d'un long séjour à New-York, où généralement elle s'accordait une journée tranquille. « Je peux faire les deux non ? » La jeune femme lui répondit avec un sourire, mais elle n'ajouta rien, en attendant qu'il se décide à parler. Elle avala une gorgée, puis une seconde, avant qu'il ne prenne la parole. « Y’a pas grand-chose à dire si tu veux tout savoir j’ai juste eut le rôle d’un bouffon de a à z mais là c’était de trop j’aime pas les cornes ça me va mal. Mais de l’avoir vu sous les yeux ça fait un choc tu vois … au moins d’une certaine manière j’ai plus rien qui me retiens ici. Ça fait juste mal de voir finir une relation que sa soit amoureuse ou amical. » Elle l'écouta jusqu'au bout, sans l'interrompre. Fawn se sentit mal pour lui, n'importe qui l'aurait été à sa place, il avait dû être brisé en découvrant cette histoire, en la voyant. Dans ce genre de situation, tout le monde réagit différemment. Certains essaient de se battre pour réparer les morceaux, d'autres s'énervent ou préfèrent la fuite. Elle se demanda un instant laquelle de ces réactions avait eu son ami, mais elle ne le connaissait peut-être pas assez pour imaginer. Elle appela le serveur et lui demanda de resservir un verre à Ethan. Boire et en parler, c'était ce qu'il avait choisis. En général, Fawn parlait sans trop réfléchir, mais pour le coup, il valait mieux qu'elle choisisse bien ses mots, ce qui n'était pas toujours évident pour elle. « Tu sais quoi, je vais te répondre la chose la plus bateau possible, je sais bien, mais si ça s'est terminé, c'est sûrement pour le mieux. Vous deviez pas être si heureux ensemble, les choses ne devaient pas si bien se passer si votre histoire se termine de cette façon. » Voilà pourquoi les relations sérieuses, elle les fuyait. Ça servait à quoi, si de toute façon à un moment l'un ou l'autre allait finir par en souffrir. « Mais je suis désolée pour toi, pour vous. » Elle se pencha près de lui pour lui déposer un baiser sur sa joue, un geste simple pouvait parfois aider à réconforter.

Elle sentit qu'il préférait changer de conversation, la pensée de Siloë-Jules le faisait certainement trop souffrir, alors elle n'insista pas. Autant lui changer les idées. Fawn lui rendit son sourire, avant de répondre à sa question. « Tu te souviens la dernière soirée où l'on s'est croisé là-bas ? Après que tu sois partis j'ai rencontré un gars tellement mignon, qui m'a proposé de terminer la soirée chez lui. Devine quoi, il était gay et voulait simplement que je lui conseille sa tenue pour son audition du lendemain. » La jeune femme eut un sourire amusé. « J'ai le don pour passer pour une idiote, tu peux pas savoir. Cela dit, on a gardé contact et j'ai dû bien le conseiller puisqu'il a obtenu le rôle. Okay, la tenue n'a sûrement pas tout fait, mais ça m'a consolé d'être aussi naïve. »

Je ne connaissais pas fawn depuis longtemps mais je l’appréciais déjà tellement, je m’étais déjà de suite senti bien en sa compagnie lorsqu’on ne savait rien l’un de l’autre mais quand on s’est revu signe du hasard à new york j’avais passé une soirée sublime, elle m’avait apporté un peu de Town Square que j’avais laissé je ne sais où, on ne se connaissait peux être pas sur le bout des doigts pour le moment , peux être qu’un jour ça arrivera après tout qui sait, je savais cependant qu’elle n’avait personne et que c’était pas trop son genre du moins les relations sérieuses comme j’avais eut avec Siloë jules. Je n’aurai pas pu trouver mieux comme compagnie pour ce soir, j’en suis sur et je préfère largement celle de fawn qu’une autre, bon j’aurai peux être aimé parler à lenny mais elle a assez de problème avec noam alors autant pas lui rajouter les miens quand même ça le ferai pas. Donc Fawn c’est la meilleure compagnie pour ce soir, même pas besoin de l’appeler suffit de penser légèrement à elle pour qu’elle apparaisse comme par magie, mais tiens elle ne serait pas un genre de créature mythique, mouais non ça existe pas, pas possible. En attendant elle était là essayant de me remonter le morale voulant savoir ce qu’il s’était passé je vais pas faire dans les détails rien que ce que dévoile elle comprend tout pas besoin d’image ou de détail répugnant …

« Tu sais quoi, je vais te répondre la chose la plus bateau possible, je sais bien, mais si ça s'est terminé, c'est sûrement pour le mieux. Vous deviez pas être si heureux ensemble, les choses ne devaient pas si bien se passer si votre histoire se termine de cette façon. » me dit elle soudainement, bien que ce soir le genre de phrase bateau j’apprécie quand même, bien qu’elle n’est pas l’expérience dans son domaine et quand on vit ça je la comprend tout à fait ses mots me font plaisir. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé dans ma tête le jour ou j’ai décidé d’avouer à Siloë les sentiments que j’avais pour elle mais ça avait été une belle connerie de a à z, non mais franchement c’est vrai quoi l’amour ça pue, c’est bien beau au début mais après ça fait mal et ça détruit et j’ai pas envie de revivre ça . « C’est peux être bateau mais c’est sans doute le cas, on était pas fait pour être ensemble je crois, j’aurai du me contenter du rôle de meilleur ami mais t’en fait pas ça finira par passer je commence un peu à me faire une raison et elle deviendra encore plus forte quand les jours passeront. »Elle m’avait fait resservir mon verre et j’en profitais pour tremper de nouveau mes lèvres dedans, mais il est sur que c’est moi qui paierait à la fin je ne vais pas laisser une fille payer l’addition ça le fait moyen. « Mais je suis désolée pour toi, pour vous. » Elle se pencha près de moi pour me déposer un baiser sur la joue, un geste simple qui était pourtant mignon je lui souris en retour et répliquai je « Soit pas désolé, ça sert à rien puis rien n’arrive par hasard dans la vie non ? .»

Je décidais alors de changer de conversation pas la peine de passer la soirée sur ça , surtout pas envie d’embêter Fawn avec des histoires de couple à deux balles, c’était fini c’était fini et basta y’a rien à redire. Puis à quoi sa servirait de ressasser de penser à elle, elle s’était bien foutu de ma gueule sans penser à moi alors maintenant c’était fini plus de perte de temps avec les souvenirs avec mon ex désormais. Fawn me souris alors pour enfin répondre à ma question. « Tu te souviens la dernière soirée où l'on s'est croisé là-bas ? Après que tu sois parti j'ai rencontré un gars tellement mignon, qui m'a proposé de terminer la soirée chez lui. Devine quoi, il était gay et voulait simplement que je lui conseille sa tenue pour son audition du lendemain. » La jeune femme eut un sourire amusé je décidais de l’écouter jusqu’au bout, je ne sais pas pourquoi mais je sentais que j’allais rigoler de cette petite histoire mais je fis un signe de tête pour lui dire que je me rappelais de cette soirée. « J'ai le don pour passer pour une idiote, tu peux pas savoir. Cela dit, on a gardé contact et j'ai dû bien le conseiller puisqu'il a obtenu le rôle. Okay, la tenue n'a sûrement pas tout fait, mais ça m'a consolé d'être aussi naïve. » fini-t-elle alors par dire, je sentais un léger signe de déception derrière tout ça a mon tour je lui souris pose ma main sur sa joue et dépose un baiser sur son front, elle n’avait peux être pas de chance par rapport à la gente masculine tombant tous le temps sur des hommes gay ou bi, ou elle n’arrivait pas à s’attacher à la personne comme moi j’avais réussi à m’attacher à une jeune femme mais que voulez vous. « T’es loin d’être naïve, et t’es très loin d’être moche tu sais … je suis sur que tu finiras par trouver quelqu’un peux être pas aujourd’hui ni demain mais un jour et à ce moment là tu seras peux être heureuse du moins je te le souhaite tu le mérites tellement Fawn. J’ai très rarement connu des personnes qui soient aussi remarquable sous tous les points. » fini je par lui dire le plus sincèrement du monde.

Elle était là pour consoler Ethan, pour lui faire oublier la dure journée qu'il venait de passer, et pourtant, voilà que c'était lui qui se retrouvait à la rassurer, elle. Comment ils en étaient arrivés là ?

«  C’est peux être bateau mais c’est sans doute le cas, on était pas fait pour être ensemble je crois, j’aurai du me contenter du rôle de meilleur ami mais t’en fait pas ça finira par passer je commence un peu à me faire une raison et elle deviendra encore plus forte quand les jours passeront.  » Au fond, elle savait que ça ne serait pas si simple, qu'une blessure pareille ne disparaissait pas en quelques jours, mais ce n'était pas le genre de réflexion qui allait aider à remonter le moral du jeune homme alors elle la garda pour elle. Mais il avait raison, ça finirait par passer. Et elle l'espérait vraiment pour lui.
Il n'était pas la personne qu'elle connaissait le mieux, ni son plus vieil ami, mais elle tenait déjà beaucoup à lui. Probablement parce que leur rencontre avait été spéciale, qu'elle avait senti qu'elle pourrait lui faire confiance et qu'il semblait être quelqu'un de bien. Elle avait bien fait de suivre son instinct, elle passait de bons moments avec lui et c'était toujours difficile de voir une personne à laquelle vous tenez souffrir. Alors oui, elle espérait que sa peine finirait par passer. La jeune femme avala une autre gorgée de sa boisson, ses verres allaient vite se vider ce soir, mais la chaleur de l'alcool aiderait peut-être à réchauffer les cœurs. «  Soit pas désolé, ça sert à rien puis rien n’arrive par hasard dans la vie non ?» Elle lui sourit, il arrivait à voir le positif des choses et elle l'admirait pour ça. Elle ne savait pas vraiment comment elle aurait réagis dans son cas, si elle aurait été assez forte pour ne pas tout casser autour d'elle, mais le fait qu'Ethan arrive à se contrôler était une preuve de sa force, c'était une chose qu'elle appréciait beaucoup chez lui. « Tu as tout à fait raison, et puis la vie ne s'arrête pas là, bien au contraire. »

Voilà pourquoi ils en étaient arrivés là. Le changement de conversation. Elle ne savait pas vraiment pourquoi elle venait de lui raconter sa dernière rencontre presque désastreuse, enfin si, pour lui changer les idées et lui montrer qu'elle qui n'avait jamais vraiment de relations sérieuses, avait un don pour les relations qui étaient vouées à l'échec. Ou du moins, quand elle pouvait au moins les commencer. Elle termina son verre avant de faire un signe au barman de la resservir, puis résuma la situation en disant qu'elle était complètement naïve. Dans un sens c'était bien vrai, à quand remontait sa dernière relation qui avait vraiment compté ? Elle n'était pas certaine de s'en souvenir. Elle n'aimait pas s'attacher, elle détestait dépendre de quelqu'un, mais parfois il faut l'avouer, elle se demandait comment serait sa vie si au contraire, elle arrivait à faire confiance à quelqu'un, ne serait-ce qu'une fois, sans nécessairement tout faire pour gâcher une relation alors qu'elle n'en est qu'à ses débuts. Mais peu importe, elle ne voulait pas le savoir, elle voulait profiter encore avant de se donner entièrement à quelqu'un au point que cette personne puisse lui briser le cœur à tout moment.

Et puis il lui répondit quelque chose à laquelle elle ne s'attendait pas. Il était là, brisé, et il trouva le moyen de lui remonter le moral, de la complimenter et de trouver les paroles justes. Le fait qu'il la trouve jolie, elle s'en doutait puis qu’autrement il ne serait probablement pas venu l'aborder le premier soir. Mais ses paroles étaient rassurantes, et elle lui sourit sincèrement. Elle leva à nouveau son verre qu'on venait de lui remplir. « A nous. A notre awesomeness. » Elle bu son verre cul-sec, et à nouveau embrassa la joue de son ami. « Merci Ethan. Tu sais que t'es incroyable. T'en as peut-être pas l'impression après la journée que tu viens de passer, mais tu sais quoi, y'a un tas de filles qui se battraient pour être avec toi. » Avec un sourire, elle ajouta « Un sourire dont tu as le secret et hop', elles tombent à tes pieds. »

Le tournant de la soirée et de la conversation était plus comique, au départ c’était Fawn qui était là pour me consoler et au final on se consoler l’un l’autre, j’avais besoin d’évacuer ma journée d’oublier d’essayer d’apaiser la douleur et elle devait avoir besoin de parler, on n’a pas tous une vie rose malheureusement le pays des bisounours n’est pas encore créé. C’est assez marrant comment une situation peut totalement changer d’une minute à l’autre, des rôles s’inverser.

« C’est peux être bateau mais c’est sans doute le cas, on était pas fait pour être ensemble je crois, j’aurai du me contenter du rôle de meilleur ami mais t’en fait pas ça finira par passer je commence un peu à me faire une raison et elle deviendra encore plus forte quand les jours passeront. » J’ai beau dire que ça passera au fond de moi je sais pertinemment que ça ne passera pas comme ça c’est pas un rhume qui part au bout de quelque jour avec des médicaments non c’est bien plus que ça et ça fait bien plus que ça. Mais j’ai des ressources et je suis un homme il est facile de ne pas montrer ce qu’on éprouve et facile d’oublier quelqu’un qu’on déteste à présent. Je sais bien que c’était ma meilleure amie mais désormais elle n’était plus rien pour moi, trop de mal, trop de larme, trop de temps perdu. Comment faire autant de mal à une personne qu’on dit aimer ? Je ne sais pas combien de temps ça mettra pour faire disparaitre cette douleur pour ne plus penser à elle ni rien mais le plus facile sera en étant loin d’elle et en ayant plus aucun contact avec celle-ci je sorti mon portable un instant observa le fond d’écran quelque seconde et fini par supprimer l’image la remplaçant par celle de ma sœur et moi. Glissant mon doigt le long de mes contacts j’observais la fiche de Siloë et difficilement appuya sur supprimer contact. Voilà c’était fait elle ne fera plus parti de ma vie. Fawn n’était peux être pas une amie lointaine, d’enfance ou quoi que ce soit mais j’avais confiance en elle depuis notre première rencontre aussi mystérieuse fut elle j’étais sur au fond de moi que je la reverrais et qu’elle deviendrait quelqu’un d’important pour moi. La preuve en était là Lennon n’était pas là mais elle si, mais je n’en veux pas à Lenny vaut mieux une personne déprimé et une pas trop que deux totalement. J’avais l’impression que Lenny m’en voulais de quelque chose quoi je ne sais pas je dois dire que ça fait quelque mois qu’on se donne plus trop de nouvelle… elle me manque beaucoup malgré tout ma petite blondinette. Ce qui était bien avec la jeune femme c’est qu’elle n’avait pas pitié ni quoi que ce soit, elle m’épaulait du moins essayer je sais qu’elle n’a pas eut la chance de vivre ce que j’ai pu vivre, je ne sais pas vraiment si c’est une chance ou non mais elle ne doit pas savoir l’intensité et la douleur quand se fini une histoire. Cependant elle est là à mes cotés essayant de m’aider, à m’occuper pour ne pas penser. La jeune femme avala une autre gorgée de sa boisson, les verres allaient vite se vider ce soir, mais la chaleur de l'alcool aiderait peut-être à réchauffer les cœurs, je fini alors par demander une autre tournée au barmaid. « Soit pas désolé, ça sert à rien puis rien n’arrive par hasard dans la vie non ?» Elle me sourit, je ne sais pas ce qu’elle pouvait penser mais ce qui était sur c’est que je n’allais pas me laisser abattre la vie continu après tout elle a bien raison, rien ne peut me battre pas l’amour, personne, j’ai beau avoir un caractère de merde j’aime celle qui me fait me surpasser et ne me laisse pas couleur. « Tu as tout à fait raison, et puis la vie ne s'arrête pas là, bien au contraire. » La vie jouait bien des tours, mais sans défi, sans challenge, sans malheur ni bonheur que serait le but ? J’ai toujours été fort et pour une fois j’ai l’impression d’être faible, faible d’avoir réussi à me faire toucher par un truc aussi débile que l’amour, faible d’avoir laissé Hurtlake me toucher en plein cœur ; Faible ce mot que je déteste et qui n’a jamais fait parti de mon vocabulaire venait de m’entourlouper. Mais ni la faiblesse ni cette ex meilleur amie copine ne m’aura.
« Ma vie n’est pas fini et c’est pas pour une fille qui s’est foutu de ma gueule de A à Z que je vais arrêter de vivre bien au contraire. »fini je par lui dire évoquant pour la dernière fois de la soirée Siloë-Jules. Et puis soudainement elle me raconta sa dernière rencontre qui ne s’était pas vraiment passé comme elle le voulait en même temps de nos jours pour ne pas tombé sur des gays et surtout à New York c’était rare mais je comprenais son désarroi j’essayais de la rassuré comme je le pouvais sur son pouvoir de séduction, sur sa beauté parce que oui elle était loin d’être moche. Elle ne ferait pas d’émission sinon.

Lorsque je suis venu vers elle la première fois il est vrai que c’était d’abord pour son physique et deuxièmement pour ne pas passer la soirée seul puissant au fond de moi les mots juste et sincère je lui dis ce que je pensais d’elle mais elle doit s’en douter qu’importe je voulais qu’elle le sache et peux être que ses simples mots finirons par lui remonter le morale après tout blessé triste ça servait à quoi on avait le reste de la soirée enfin ,regardant un coup d’œil à ma montre il était quand même déjà 01h00 le temps passe tellement vite en sa compagnie, autant profité en étant joyeux qu’en déprimant, et elle me souris sincèrement. Elle leva à nouveau son verre qu'on venait de lui remplir. « A nous. A notre awesomeness. » Elle bu son verre cul-sec, et à nouveau embrassa la joue de son ami, tandis que j’avalais de nouveau mon verre qui passait crème à force de les enchainer, je ne pensais pas tenir autant moi qui ne bois jamais ou très rarement plutôt. « Merci Ethan. Tu sais que t'es incroyable. T'en as peut-être pas l'impression après la journée que tu viens de passer, mais tu sais quoi, y'a un tas de filles qui se battraient pour être avec toi. » me dit elle ce qui me fit sourire, être complimenter ça faisait toujours du bien à son égo et à soi même, si elle savait c’était pas moi le battant ici c’était elle, elle était plus forte que moi, elle n’avait jamais cédé à l’amour et je suis sur qu’au fond d’elle sur des détails de sa vie que je ne sais pas elle en a encaisser plus que moi.
« Incroyable j’irai pas jusque là tu sais tu m’enlèves le base ball j’ai rien d’extraordinaire mais qu’importe je vais pas m’apitoyer sur mon sors je l’ai jamais fait je ne le ferai pas aujourd’hui enfin bref. » répondis je alors, j’ai toujours pensé que c’était le base ball qui me rendait intéressant et qui faisait de moi ce que je suis peux être que je me trompe je sais pas mais quand on fait ça depuis des années on fini par croire que sans ça on est pas grande chose. Je ne sais pas ce que je pourrais faire demain si je ne pouvais plus jouer par exemple à quoi pourrais je m’attacher ? que pourrais je faire ?
Avec un sourire, elle ajouta « Un sourire dont tu as le secret et hop', elles tombent à tes pieds. » à deux doigt de porter de nouveau un verre à mes lèvres je me met à rire c’est très métaphorique et quand vous imaginez la scène vous ne pouvez pas rester figé sans rire. Puis je lui rétorque« Tu crois qu’il fait tomber toute les filles mon sourire ? Pourquoi tu ne tombes pas toi alors ? » lui dis je dans un sourire, je bois de nouveau mon verre et posa ma main sur son visage « Et puis merde si je le fais pas j’ai peur de pas en avoir l’occasion après. » lui répliquai je avant d’emprisonner ses lèvres l’’espace d’un instant je ne connais pas la raison qui m’a pousser à faire ça, si l’alcool à quelque chose avoir sur cette pulsion ou non mais je m’en fou je ne regrette pas. Et je le ferai si j’en ai l’occasion si elle le veut. Pourtant je ne peux pas m’empêcher de lui rétorquer après m’être reculer un petit peu « Excuse moi … j’aurai peux être pas du, mais depuis la première fois qu’on s’est vu l’envie était plus intense que jamais. »

« Incroyable j’irai pas jusque là tu sais tu m’enlèves le base ball j’ai rien d’extraordinaire mais qu’importe je vais pas m’apitoyer sur mon sors je l’ai jamais fait je ne le ferai pas aujourd’hui enfin bref. » Dans un sens, elle comprenait tout à fait ce qu'il voulait dire par là. Elle même se demandait parfois ce qu'elle deviendrait si du jour au lendemain, elle ne pouvait plus jouer ou animer. Si elle serait toujours la même personne. A quel point notre passion et notre métier nous définit ? Pour ce qui était d'Ethan, et d'après elle, le base-ball ne faisait pas tout. Peut-être qu'elle ne le connaissait pas assez pour juger, mais après tout elle en connaissait assez pour affirmer que ce n'était pas la seule chose qui faisait de lui une personne intéressante, avec qui l'on a envie de passer du temps. Il y avait plus que ça, et elle espérait qu'au fond de lui, il le savait. « Je crois que tu te connais mal, McAlister. » Elle avait faillis enchainer par ' la preuve, Siloë était amoureuse de toi, et je doute que ça n'est été que pour le base ball ', mais ça aurait été vraiment mal placé. Elle qui était du genre impulsive et à toujours dire ce qui lui passe par la tête, pour une fois elle avait eu le bon sens de se taire. A la place, elle avala une autre gorgée. Combien de verres avait-elle bu ? Elle n'avait plus compté, mais assez pour ressentir des bouffées de chaleur lui remonter le long du corps.

Et puis avec un sourire, elle avait ajouté « Un sourire dont tu as le secret et hop', elles tombent à tes pieds. ». Elle le savait, elle voyait bien la façon dont les filles le regardaient. Même elle, la première fois qu'ils s'étaient rencontrés, en y réfléchissant, c'était probablement son sourire qui lui avait fait accepter son compagnie. Pas de là à tomber à ses pieds non plus, il ne fallait pas exagérer. «  Tu crois qu’il fait tomber toute les filles mon sourire ? Pourquoi tu ne tombes pas toi alors ? » Pourquoi elle ne tombait pas, elle ? Parce que depuis qu'elle le connaissait, il était en couple. Parce qu'à leur rencontre, elle ne voulait pas être déçue de lui. Parce que maintenant ils devenaient amis, et elle ne voulait pas penser à ça pour ne pas compliquer les choses. Pour de nombreuses raisons, en fait. Mais alors que ces pensées lui passaient par la tête, il s'approcha et posa une main sur sa joue. L'alcool dans le sang commençant à faire effet, elle ne réalisa pas tout de suite ce qui était en train de se passer. «Et puis merde si je le fais pas j’ai peur de pas en avoir l’occasion après. » Fawn ressentit une nouvelle bouffée de chaleur, mais cette fois, elle ne savait pas si elle était dû à l'alcool, ou aux lèvres d'Ethan qui venaient de se poser sur les siennes. Elle ne savait pas si elle avait encore les idées à cent pour cent claires. Certainement pas, parce que si ça avait été le cas, elle l'aurait repoussé. Non par parce que ce baiser lui avait déplu, ni parce qu'Ethan ne lui plaisait pas. Parce qu'il avait rompu avec sa petite amie quelques heures plus tôt et qu'en temps normal elle n'accepterait pas d'être cette fille avec qui on passe la nuit pour oublier quelqu'un. Enfin si à la limite, avec un type canon qu'elle ne reverrait jamais. Pas avec un ami avec lequel tout allait se compliquer. Malgré tout ça, ces pensées ne lui passèrent pas par la tête. «  Excuse moi … j’aurai peux être pas du, mais depuis la première fois qu’on s’est vu l’envie était plus intense que jamais. » Fawn lui sourit et lui prit la main. « Viens, on sera mieux ailleurs. » Elle n'ajout rien, sortit simplement son porte-feuille et paya leurs consommations. Elle savait qu'en temps normal, il n'aurait pas apprécié qu'elle le fasse, qu'il voulait le faire. Peu importe, cette soirée n'était pas vraiment normale. Étrangement, les pensées ne se bousculaient pas dans sa tête. Elle ne réfléchissait pas vraiment à ce qu'elle faisait, et c'était très bien comme ça. Ils sortirent et toujours sa main dans la sienne, se dirigeant vers sa voiture. La plage, voilà où elle voulait aller. L'endroit où, à leur première rencontre, elle avait voulu s'arrêter lorsqu'ils étaient passé devant, mais avait préféré ne rien dire. Arrivés devant le véhicule, elle s'arrêta pour embrasser de nouveau le jeune homme.

« Je crois que tu te connais mal, McAlister. » me dit elle alors, j’ignore si elle a arrêter sa phrase ou si elle voulait ajouté quelque chose après ça mais c’était drôle comme beaucoup de personne me connaissait mieux que moi-même. Je n’arrive pas à me détacher, je vis avec depuis tellement longtemps qu’il fait partie intégrante de ma vie, c’est ma personnalité, c’est mon identité du coup il est très difficile pour moi de voir comment les personnes peuvent me voir sans le base ball. « Il parait qu’on ne se connait jamais nous même alors ta peux être raison » lui répliquai je on disais souvent ça, alors c’était peux être fait mais c’était troublant de voir Fawn qui ne me connaissait pas depuis des années réussir à me comprendre, à lire en moi comme dans un livre. Moi qui croyais être indescriptible.

« Tu crois qu’il fait tomber toute les filles mon sourire ? Pourquoi tu ne tombes pas toi alors ? » Pourquoi elle ne tombait pas, elle ? Faut dire qu’elle m’a toujours connu en couple croyait moi que si ça n’avait pas été le cas je l’aurai embrassé depuis bien longtemps, je ne sais pas j’ai ce gout pour les brunes, les blondes et les rousses ont du charme aussi mais mon type c’est les brunes elles ont un caractère souvent de feu. On était en train de devenir amis, mais l'alcool dans le sang commençant à faire effet, je n’étais plus maitre de mon destin ni de mon corps d’ailleurs. «Et puis merde si je le fais pas j’ai peur de pas en avoir l’occasion après. » fini je par lui dire avant de m’approcher d’elle et de m’accaparer de ses lèvres un baiser doux qui devait sans doute avoir le gout de l’alcool mais à nous deux je crois qu’on a bien vider 1 l plus de nez pour ressentir l’odeur de l’alcool ou quoi que ce soit d’autre. Si je n’avais pas bu je n’aurai peux être jamais fait ça tout simplement parce que je ne prends pas les femmes pour des objets et quand on vient de rompre avec sa copine y’a quelque temps et que la fille est au courant forcement ça le fait pas vraiment. Je ne savais pas comment se passerait la suite de la soirée, sans doute le lendemain regretterai je et m’excuserai à la demoiselle, je ne veux pas qu’elle me prenne pour un goujat et j’ai surtout pas envie de perdre l’amitié qui est en train de naitre en nous même si passé la nuit ou plusieurs nuit avec ne me dérangerai absolument pas. « Excuse moi … j’aurai peux être pas du, mais depuis la première fois qu’on s’est vu l’envie était plus intense que jamais. » fini je par lui dire peux être légèrement conscient de ce que je venais de faire mais Fawn me sourit et me prit la main. « Viens, on sera mieux ailleurs. » Elle n'ajout rien, sortit simplement son porte-feuille et paya leurs consommations. En temps normal j’aurai guère appréciait qu’elle paye, j’aurai tout fait pour qu’elle me laisse payé mais disons que ce soir je n’étais pas forcement en état de contredire quoi que ce soit. Cette soirée était loin d’être normal bien au contraire. C’est dingue comme parfois vous passez des soirées qui change complètement et que vous savez au fond de vous qu’elle ne se repassera pas. J’avais laissé ma main dans la sienne et nous sortions ainsi ma main dans la sienne, se dirigeant vers ma voiture. La plage était l’endroit idéal je ne sais pas j’aime cet endroit c’est super reposant le bruit des vagues calmes, surtout le sol y’a pas vraiment foule, et allez savoir pourquoi c’est un fantasme pour les couples, c’est sur que comme lieu insolite y’a pas mieux la journée peux être (a).
« Direction la plage alors. » fini je par lui dire tantôt elle avait de nouveau posé sur mes lèvres un baiser que j’avais prolongé avant de lui ouvrir la portière j’étais pas du tout bourrer je voyais pas double ni rien pas de souci pour ne pas conduire. J’ignorais qu’elle aimait ou non la plage mais qui n’aime pas ? Allumant le contact je sorti de la place de parking et prit la direction de la plage mais pour cela il fallait traverser toute la ville passé sur le vieux pont de Town Square. Le long de ce voyage je mis la musique niveau sonore normal fallait bien s’entendre parler, j’ouvris la fenêtre pour faire pénétrer l’air frai de la ville. Nous étions presque arrivé je voyais le pont juste devant nous quand tout à coup une voiture arriva en face de moi l’inconvénient avec les vieux ponts c’est qu’il est pas évident de passé à deux voitures, je ne m’étais pas attendu à voir débouler une voiture en face de moi le chauffeur n’aurait pas pu rester dans sa voie non pas du tout il devait pas être net lui non plus, je devais faire un choix soit le percuter soit essayé quelque chose, lui klaxonnant il ne réagit toujours pas quelques secondes avant le choc maintenant. Je donnais un coup de volant pour l’éviter et dans un vol plané magistral la voiture plongea dans l’eau du lac quelle idée avais j’eus de refermer les vitres quelques minutes avant. J’essayais de me détacher mais n’y parvint pas,j'avais la jambe bloqué sous le volant bordel fallait que je sorte de là,c'était pas mon heure, je vis le visage effrayé de fawn à côté de moi et puis plus rien. Voilà comment la soirée prenait fin, je sentais mes poumons se remplir d’eau mes yeux se troublèrent. On s’attend pas à mourir comme ça à 25 ans après une journée des plus pourri et une soirée presque parfaite mais personne ne vous a dit que lorsqu’on est à deux doigt de mourir on voit défilé sa vie devant ses yeux en un instant. Fawn avait réussi à sortir de la voiture et n’étant pas parvenu à réussir de m’extirper de la carcasse avait filé sur le pont pour prévenir de l’aide.

Elle s'attendait à profiter de cette fois de soirée. Il les conduisait à la plage, elle avait sourit lorsqu'il avait dit que c'était l'endroit où ils allaient se rendre. Elle ne se rendait pas complètement compte de ce qui se passait, et le lendemain, elle se serait sûrement sentie un peu honteuse d'avoir passé la nuit avec un ami qui venait d'avoir le cœur brisé quelques heures plus tôt. Si elle n'avait pas tant bu, elle aurait eu les idées assez claires pour ne pas profiter à son ami de prendre la voiture en pleine nuit alors qu'il venait de boire. Ca aurait été préférable à la tournure qu'allait réellement prendre cette nuit. Pour le moment, elle ne regrettait pas ce qui s'était passé. Ce qui était en train de se passer, car comme toujours, elle passait un très bon moment avec lui. C'était un peu comme s'ils ne pouvaient pas passer un moment normal ensemble, il y avait toujours quelque chose qui rendait leurs rencontres uniques.

On dit parfois qu'un sceau sur la tête peut vous dessoûler en quelques secondes. Ou une douche froide. La voiture qui arrivait en face d'eau était la douche froide de Fawn. Elle arrivait vite, trop vite pour cette petite route, ce petit pont qui semblait si fragile et où on ne passait à deux qu'en roulant très lentement, et en serrant bien son côté. Le conducteur en face était soit idiot, soit dans un état pire que le sien. Peu importe, elle n'eut pas le temps de comprendre ce qui se passait, elle vit Ethan tenter un dernier geste pour éviter de percuter. Ils arrivaient trop vite, même en freinant d'un coup sec, c'était trop tard, ils arrivaient déjà sur le pont. Ethanaël donna un coup de volant pour éviter la voiture qui arrivait, mais c'est leur automobile qui se mit à voler par dessus le pont et finir dans l'eau. Voilà, c'était sa douche froide. Ses idées étaient claires, mais le problème, c'est qu'elle était sous l'eau, dans une voiture, complètement paniquée. Il fallait sortir de là, très vite. Heureusement, sa ceinture se détacha, elle ouvrit sa portière et se tourna vers Ethan avant d'essayer de remonter à la surface. Il était coincé, elle le voyait essayer de se débattre. La panique qui pourtant était déjà présente en elle augmenta si fort qu'elle cru que son cœur allait sortir de sa poitrine. Elle ne pouvait pas le laisser là, il fallait qu'elle l'aide. Mais elle commençait à manquer d'air, elle n'avait pas la moindre idée de comment elle pourrait l'aider. Il fallait un gros coup de chance. Maintenant. A contre cœur, elle remonta à la surface aussi vite qu'elle le pu, priant pour qu'un peu d'aide arrive. Une personne avec un téléphone. Un camion de pompiers qui passe par là. N'importe quoi.

Parfois, on a de la chance dans notre malheur. Fawn pouvait se considérer chanceuse, puisqu'au moment où elle remonte, un homme se tient au dessus du pont, téléphone en main. Elle ne sait pas s'il l'entend hurler d'appeler les secours, elle ne sait même pas si elle crie, murmure, et s'il y a vraiment quelqu'un qui se trouve là. Elle remonte sur la terre ferme, sans trop savoir comment elle y arrive, lorsqu'elle entend au loin des sirènes, et perd de vue l'homme sur le pont. Par chance, il était arrivé au moment où la voiture est tombée, et a eu le bon sens d'appeler les secours. Elle ne le savait pas, mais elle lui serait éternellement reconnaissante. La suite de la soirée se passa presque dans un flou total devant ses yeux, probablement parce que ceux-ci étaient plein de larmes. Elle était en panique, elle pensait qu'Ethan y resterait, et que tout était de sa faute. Un secouriste lui déposa une serviette sur elle, mais elle ne bougea pas. Elle voulait qu'on lui annonce que tout irait bien. Mais lorsqu'ils remontèrent Ethan et l'installèrent dans leur ambulance, et qu'on la conduit là également, tout ce qu'elle vit fut son ami allongé et inconscient. C'était un cauchemar. Il respirait, mais il était inconscient. Et dans un sens, c'était sa faute. Elle ferma les yeux, une larme coulant le long de sa joue, priant pour qu'elle se réveille dans son lit réalisant que ça n'était qu'un rêve. Elle voulait le voir se réveiller, sourire, et lui dire que tout allait bien. Elle voulait qu'on lui promette qu'il allait s'en sortir. Elle voulait pleurer tranquillement.

Mais le calme, ça n'était pas pour maintenant. C'était quoi, ce bruit qu'on entendait? Pourquoi tout le personnel autour se mit à s'agiter ? Arrêt cardiaque. Ils étaient dans l'ambulance, en route vers l’hôpital, et il allait peut-être y rester. Et elle était là pour le voir. Fawn ferma fort ses yeux, tellement qu'elle en ressentit un très gros mal de tête. Ethan, accroche toi ... Accroche toi.