Je m'appelle Alice Valentine Wilander et je suis née à Town Square le 25 novembre 1982. Donc si vous savez compter, ça veut dire que j'ai 32 ans. Je suis d'origine anglaise, et j'ai une  sœur. J'aime les hommes et je suis actuellement célibataire. Dans la vie de tous les jours, je suis styliste et je fais partie des cafés américains. J'ai un projet dans la vie : devenir une célébrité dans le monde de la mode pour pouvoir lancer ma propre marque de vêtements. Mais surtout, mon rêve c'est de rencontrer mon prince charmant pour construire un futur avec lui et ainsi m'épanouir.

Comment définirais-tu ton caractère ?
Je pense pouvoir dire que je suis quelqu’un d’extrêmement positive, toujours prête à affronter les difficultés du monde avec le sourire ce qui, mine de rien, est une grande qualité qui m’a permise de ne pas me retrouver totalement recluse chez moi. Car si j’ai une volonté de vivre assez conséquente, ma sensibilité accrue de ce qui m’entoure est autant un don qu’une malédiction. Je suis une sorte d’éponge aux émotions, ce qui peut me rendre instable et difficile à cerner. Alors je me cache constamment derrière mes sourires, derrière la bonne humeur et l’espièglerie, aussi bien pour me faire accepter des autres que pour tenir ma tête hors de l’eau. Pour la même raison, ne sont acceptés dans mon groupe d’amis que ceux qui sourient aussi à la vie tandis que je prends soin d’éviter les personnes qui m’entraineraient vers le gouffre. Pilier solide sur lequel on peut s’appuyer, mon cercle d’amis sait qu’il peut me faire confiance, que je serais toujours présente dans les moments joyeux comme dans les pires. Je suis celle qu’on peut appeler en pleine nuit pour cacher un cadavre. En revanche, lorsqu’on tire trop sur la corde, le chaton se métamorphose en tigre et je peux devenir aussi dévastatrice qu’une tornade. Loin des sourires et de la conciliation, je me montrerai intransigeante, cynique et blessante. Car à trop garder les choses pour moi, je suis une cocotte qui menace d’exploser à tout moment et ça n’est jamais beau à voir. L’envers du décor à présent… Je traine dans mon cœur une sensation d’être constamment incomprise et pas à ma place dans ce monde, ce qui fait de moi un être généralement triste dès que je suis seule chez moi. Et si je ne fais pas attention, je me retrouve facilement aux portes de la dépression, prête à m’autodétruire. Je dois donc continuellement faire des efforts pour rester équilibrée et pour se faire, je ne sors jamais sans mon sourire.

Parle-nous de ton métier :
Mon boulot je l’adore ! Mais je dois dire aussi que c’est toujours le cas lorsqu’on fait d’une passion son travail. En ce qui me concerne, ma féminité combinée à ma sensibilité et à ma créativité ont fait que je me dirige naturellement dans cette voie-là. Je me souviens que depuis toute petite, je regardais les actrices avec des paillettes dans les yeux lorsque je les voyais jouer, sublime dans leurs rôles et toujours magnifiquement bien vêtues. Je voulais leur ressembler. Sauf que la comédie n’était pas vraiment truc, trop timide. Et puis en cours, je dessinais toujours sur les feuilles de mes cahiers et au fil du temps, j’esquissais de plus en plus de robes et de tenues sorties tout droit de mon imagination. Mes copines d’école en étaient bouche-bée et m’ont toujours poussées à faire du stylisme mon métier, ce que j’ai fini par faire. Décider de la mode de demain, faire ressortir la féminité et la séduction qui sommeillent en chacune des femmes, c’est ce que j’aime. Je me plais à dire que grâce à mes innovations, elles se sentiront plus en confiance pour vaincre le monde.

Raconte-nous quelle est ton aspiration dans la vie :
Depuis toujours, je cours après l’amour. Ça paraitra cliché et terriblement pathétique mais c’est la pure vérité. Contrairement à ma famille qui est très cartésienne, portée davantage par la science et le rationnel, j’ai de mon côté toujours été séduite par les arts. De fait, je me suis toujours sentie en marge de mon propre foyer, le vilain petit canard de la famille. La solitude m’a donc toujours pesée et j’ai toujours eu un besoin presque obsessionnel d’exister dans le regard des autres. Or, c’est un sentiment qu’on retrouve le plus intensément dans une relation amoureuse. Savoir qu’on compte pour quelqu’un, qu’on devient le centre de son monde tout autant qu’il devient le nôtre, c’est une sensation qui me rend vivante, légère, et je veux vivre avec ce sentiment jusqu’à la fin de ma vie. Même si je n’ai guère eu de chance dans ce domaine jusqu’à présent, je veux continuer d’y croire car j’en ai un besoin vital. C’est ce qui me rend heureuse, invincible et me donne un sentiment de plénitude plus que tout autre chose au monde. Et au grand loto de l’Amour avec un grand A, je finirais bien par rencontrer celui qu’il me faut.




Pseudo Larme d’Étoile Prénom Estelle Fille ou garçon Fille Age 24 ans Pourquoi vous êtes-vous inscrit sur MC ? Premièrement parce que j'aime le design Deuxièmement parce que j'aime le contexte et qu'en me baladant dans les informations relatives au contexte je suis tombée amoureuse de la ville que vous avez choisi qui change de l'ordinaire et offre une grande palette de jeu et troisièmement parce que le staff a l'air sympa et que les membres doivent forcément l'être aussi Comment l'avez-vous connu ? par Seth qui s'est inscrit en même temps que moi  Fréquence de connexion 3/7j. Avatar Kirsten Dunst Pourquoi cet avatar Parce que j'ai un véritable coup de cœur pour elle et qu'elle correspond parfaitement au personnage fragile et souriant que je veux jouer ici Statut inventé. Voulez-vous être parrainé ? Non. Code du règlement café noir

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[color=IndianRed][b]KIRSTEN DUNST[/b] ●[/color] Alice V. Wilander

C’est en automne 1982 que je vis le jour, le 25 du mois de novembre plus précisément. Je devenais ainsi le premier enfant d’un couple unis et aimant qui était originaire de Square Town, dans l’Oregon, ville de peu d’habitants dont mes ascendants faisaient partis des premiers anglais venus habiter ce coin de l’Amérique. Ce sera la ville dans laquelle je grandirais sans jamais en partir, tout comme mes parents avant moi. Bébé calme mais fragile, je fis rapidement preuve dès les premières années de ma vie d’une créativité et d’une imagination à toute épreuve et c’est aussi à cette période-là que je commençais à sourire pour ne jamais arrêter de rayonner, entrainant mon monde avec moi dans un quotidien de bonheur, de tendresse et de joie. Je fus cependant rapidement rejoint dans la famille par l’arrivée de ma petite-sœur Abigail trois ans après ma naissance. D’abord proches, ma sœur et moi devînmes de plus en plus éloignées l’une de l’autre tant nos modes de vie et notre vision des choses étaient différentes. Tandis que je m’attachais de plus en plus au côté littéraire et artistique de l’existence, Abigail préférait les sciences et la logique qui ne connaissait nulle facétie. Et comme mes parents étaient eux-aussi du côté rationnel de la vie, ma bulle de bonheur se mit à se fissurer et je me sentis rapidement comme une étrangère au milieu de ma propre famille. C’était sans doute idiot car jamais mes parents ni ma sœur ne m’avaient reproché mon côté rêveur, mais je sentais dans leurs regards comme une incompréhension qui brisa quelque chose en moi, sans que je ne comprenne pourquoi. J’avais souvent l’impression de m’être trompée d’endroit, de famille et c’est avec un mal-être qui menaçait de me tuer à chaque instant que j’entrais dans l’adolescence pour devenir une adulte qui s’assume, du moins officiellement.

Au collège, mon caractère affable et ingénu me permit d’entrer parmi les filles les plus populaires de l’école, groupe avec lequel je resterais jusqu’à la fin du lycée. Elles devinrent aussi ma famille de substitution malgré les chamailleries superficielles, l’hypocrisie et la méchanceté dont certaines faisaient parfois preuve. Mais je m’en fichais, j’existais à travers elle et à ma façon, je parvins à me construire une personnalité indépendante et assumée, bien qu’un peu bancale. Finalement, le lycée terminé je fis mes cours de stylisme par correspondance, travaillant comme vendeuse dans un magasin de vêtement pour payer mes études. Mon diplôme en poche, je réussis à trouver rapidement une chaine de couturier qui voulut bien m’embaucher et c’est toujours avec cette entreprise que je travaille aujourd’hui. Ce qui est fantastique, c’est que je peux continuer de voir ma famille et mes amis tout en travaillant à domicile. Bien sûr je dois me rendre au siège de la société de temps à autre, participer à quelques galas huppés et me rendre disponible pour aider sur quelques défilés, mais c’est loin de me déranger, au contraire ! C’est un aspect de mon métier que j’affectionne tout particulièrement car après tout, c’est là que je vois la concrétisation de mes croquis. Après, il ne faut pas croire que tout est rose dans ma vie. Le risque de se faire mettre à la porte et d’être remplacer par une meilleure styliste est comme une épée de Damoclès en haut de ma tête et je dois donc toujours renouveler ma créativité, ce qui est loin d’être aisé tous les jours, surtout lorsque je suis dans une période où mon imagination est au point mort. Cela dit je ne vais pas me plaindre. Professionnellement parlant, je n’ai jamais eu de problèmes majeurs. Non, là où le bât blesse, c’est dans ma vie sentimentale. Je ne sais pas comment je me débrouille mais je tombe toujours sur celui qu’il ne faut pas. Que ce soit l’égoïste qui ne voit dans les femmes qu’une bonniche ou le macho qui est à la limite de me frapper, je tire toujours le mauvais numéro. Et le pire, c’est que ça n’empêche pas de persévérer pour trouver le bon même si, à force d’avoir eu le cœur malmené, je suis plus fragile et inconsciente dans le choix de mes relations. Ce devrait être l’inverse normalement mais, rien à faire, je vais à l’encontre de toute logique. C’est mon grand fardeau depuis toujours.

En attendant de rencontrer le prince charmant, j’ai décidé d’adopter Oreo, un siamois qui me donne affection et tendresse et qui brise la mélancolie de ma solitude dans cette belle maison du quartier résidentiel de Town Square ou je vis depuis des années.

J'ai eu un peu peur au début parce que l'histoire me semblait courte, mais en fait tout est joliment écrit et suffisant pour cerner Alice Le nom de son chat m'a fait sourire au passage Bref, tout est parfait, tu peux désormais commencer à jouer sur Morning Coffee !

Pour bien commencer ton aventure parmi nous, voici une liste des endroits que tu devrais visiter, ou des choses que tu devrais faire :
→ Aller lire le GUIDE DU NOUVEAU FOU DE CAFE et la DESCRIPTION DE TOWN SQUARE.
→ Recenser ton MÉTIER, créer tes fiches DE LIENS, DE SUJETS, et ouvrir tes TÉLÉPHONE, FORMSPRING, TWITTER.

Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff. (c'est vrai qu'on est sympa )

Tout l'équipe te souhaite un très bon jeu sur Morning Coffee