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 you can't walk away → maël

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MessageSujet: you can't walk away → maël    you can't walk away → maël  EmptySam 29 Sep - 22:55


you can't walk away Siloë-Jules & Maël
Il avait fait beau toute la journée et pourtant j’étais restée coincé dans le laboratoire toute la journée. J’aurais pu aller bronzer tranquillement au parc tout en prenant des photos et non il a fallut que mon patron m’enferme dans le chambre noire pour développer tout le boulot en retard qu’on a accumulé avec Maël. Autant dire qu’il y avait une bonne centaine de pellicules toutes pleines à craquer. Des paysages, des portraits et pas mal de conneries aussi. Le volume de la musique poussée à fond, je me plonge entièrement dans mon travail et finis par totalement oublié ces dernières semaines. Malgré tout cela repasse en boucle dans ma tête. La troisième guerre mondiale qui est passé à travers mon « couple », le fait qu’avec Ethanaël on ce soit dit les pires horreurs du monde et que notre histoire aussi bien d’amour que d’amitié soit terminer. J’avais pris un sacré coup après ce moment là. J’en voulais à la terre entière et particulièrement à lui et j’étais devenu insupportable au boulot. Tellement que Maël m’avait légèrement envoyé paître. Oui autant dire que cela n’avait pas été de tout repos. Les fins de relations ce n’est pas vraiment pour moi, mais surtout celle là. J’ai finis par accuser le coup, mais je prends toujours cela comme un pur et simple abandon. Le troisième dans ma vie. Celui qui fait sans aucun doute le plus mal. J’ai tout perdu, mais je tente de vivre ma vie normalement, parce que ma fierté me dicte de faire comme s’il ne c’était rien passé. Parce que je suis trop fière pour avouer qu’il me manque déjà et que sans lui je suis trop rapidement paumé. Mais aujourd’hui, je me dis que rien ne pourra m’atteindre. Je suis dans mon monde avec ma musique et rien d’autre. Au moins ici je me sens bien. Prise dans les rouages du travail, je laisse tomber le monde extérieur ne serait-ce que pour une journée.

Au détour des photos, une en particulier attire mon regard. Il s’agit d’une photo de Maël que j’avais prise lors de l’une de nos pauses déjeuné. Il était assis le dos posé contre un tronc d’arbre, les genoux ramener vers la poitrine. Mais ce qui m’attire particulièrement, c’est que je remarque que c’est la seule et unique photo que j’ai de lui en train de sourire. L’espace d’un instant, mon regard ce fixe sur cette image emprisonner dans le papier glacé. C’est bien la première fois que je prends conscience que Maël n’est pas le gamin heureux que j’aimerais qu’il soit. Je comprends son désespoir, après tout son passé ressemble étrangement au mien et c’est bien pour cela que je cherche tellement à le protéger. Je voudrais vraiment que James l’embauche une bonne fois pour toute. Qu’il lui permette de continuer ses études. Il a vraiment des capacités et je sais qu’il pourrait être un très bon photographe. Mais il faudrait déjà qu’il arrive à faire table rase sur son passé…

Il est désormais plus de vingt et une heure trente et je sors enfin du travail. James m’attrape par le bras avant que je quitte la boutique et me fais remarquer que cela fait deux jours que Maël ne c’est pas pointer au boulot. Tellement absorbée par ma vie privée et mes photos en retards, je n’avais pas réellement remarqué l’absence de mon petit protégé. Intriguer par tout cela et n’ayant absolument rien à faire de ma soirée, je décide alors d’aller lui rendre visite. Je m’étais rendu une seule fois chez lui, mais je me souviens encore parfaitement du chemin et je dois dire que ce n’est pas cela qui va m’arrêter. Maël c’est un peu le petit frère que je n’ai jamais eu et depuis ce jour où il m’a interpellé à la sortie de sa classe pour me poser des questions sur le monde de la photo j’ai compris que ce n’était pas un gamin comme les autres et qu’il avait besoin qu’on s’occupe de lui en permanence. Comme un bébé, mais un bébé de dix-neuf ans. Il déteste que je le vois de cette façon, il ne supporte pas l’idée que je veuille lui venir en aide. Mais en réalité on n’a jamais vraiment parlé tous les deux. Il sait que j’ai un passé quelque peu similaire au sien, je sais que son enfance a été difficile, mais a part cela nous ne savons rien de l’autre. Plus déterminé que jamais, je me retrouve devant la porte de son appartement. Je frappe trois coups et attends. J’attends encore et toujours. Frappe à nouveau et entends des pas. Finalement il m’ouvre la porte. La chemise a moitié fermée, les yeux explosés, sa tignasse en bataille. En plus de ça il pu l’alcool. « Alors c’est pour ça que tu viens pas au boulot ? » lui demandais-je tout en me permettant d’entrer chez lui. « Qu’est-ce qui t’arrive petit tête ? » ajoutais-je tout en lui souriant tendrement. J’étais réellement trop maternelle avec lui !


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MessageSujet: Re: you can't walk away → maël    you can't walk away → maël  EmptyLun 8 Oct - 18:42

La douleur persistait. Il sentait un martellement constant contre ses tempes. Sa tête tournait doucement. Lentement. Le faisant souffrir un peu plus. Il cherchait son téléphone, tâtonnant le lit et la table de chevet comme il le pouvait. Vingt-et-une heures. Les souvenirs lui manquaient. Il n’arrivait pas à se rappeler comment il avait atterri dans son lit, comment il avait réussi à se rendre aussi pitoyable. Il se sentait si mal, il en oubliait presque qu’il aurait dû passer la journée avec Siloë, à développer des dizaines de pellicules dans la chambre noir. Il avait oublié qu’il devait travailler. Ce n’était pas la première fois. Cela devenait répétitif. Il attendait son licenciement comme on attend une lettre à la poste. Il savait que ça allait arriver. Un jour ou l’autre. Il attendait patiemment. Il savait que son comportement n’était pas digne de quelqu’un prêt à travailler. Il avait conscience de son problème et pourtant, l’aide que l’on tentait de lui apporter n’était jamais la bienvenue. Il envoyait tout le monde sur les roses pour quelques mots trop doux, quelques affections. Maël avait fini par se faire à l’idée qu’il ne serait jamais plus qu’un petit garçon privé de l’amour maternel et brutalisé par l’image paternel idéal que l’on peut se faire au 21ème siècle.
Dans son appartement, on retrouvait les quelques débris d’une fête trop alcoolisée. Bouteilles vides, mégots écrasés. Une odeur nauséabonde qui se trouvait entre le vomi, la fumée de cigarette et la sueur. Le bazare ambiant faisait peur et le jeune homme de dix-neuf ans n’a pas mis longtemps à ouvrir les fenêtres, de peur de se retrouver plus livide que jamais à subir dans la salle de bain, les restes d’une soirée dont il ne se souvenait même pas. Assis en équilibre sur sa fenêtre qui donnait sur la vieille ville, il pensa à composer le numéro de téléphone de Siloë avant de se raviser. Il n’avait pas envie de l’entendre lui rappeler à quel point il était minable d’avoir encore une fois oublié d’aller travailler. Il a porté à sa bouche une cigarette sortant tout droit de la poche de son jean fraichement enfilé. La fumée blanche qu’il recrachait partait au dehors de la pièce, volant à travers la fenêtre et s’évadant loin. Maël aurait tout donné pour être lui aussi, de la nicotine s’évaporant dans la nature. Il aurait voulu disparaitre à ce moment-là. Loin dans ses pensées, il repensait à certains moments de sa vie. Il essayait tant bien que mal de se souvenir ce qu’il s’était passé la nuit dernière. Qu’avait-il fait ? Avec qui ? Sur ses pages personnelles des réseaux sociaux, certains de ses amis le remerciaient pour l’excellente soirée qu’ils avaient passée. Il donnerait tout ce qu’il pouvait pour se rappeler. Quoique non. Cette soirée se reproduirait, avec les mêmes détails. Il se poserait les mêmes questions et il n’aurait aucunes réponses.
D’un geste lent, il a quitté son perchoir pour tenter de ranger. Finissant les bouteilles, les verres pour ne pas gâcher, il se sentait mal. Il buvait encore sans même se rendre compte de ce qu’il faisait réellement. Il entendit frapper mais ne bougea pas, pensant que la personne derrière la porte finirait par partir, lassée d’attendre quelqu’un qui ne viendrait pas. Trois coups ont surgi à nouveau. Maël, dans une tenue pitoyable, cheveux digne d’une personne venant de quitter son lit, sentant l’alcool a ouvert. Surpris de voir Siloë se pointait à cette heure-ci, il tenta de cacher les marques qui indiquaient qu’il avait fait autre chose que dormir à cause d’une maladie incurable. Sans même qu’il ne l’invite à entrer, Siloë est entrée, comme si elle était chez elle. Il s’attendait au pire. Mais elle a souri et a parlé calmement, sans haussé le ton. « Je suis désolé, j’aurais dû t’appeler. » Pitoyables excuses. Il ne savait même pas quelle était la date d’aujourd’hui. Il ne pouvait même pas faire passer son absentéisme pour une maladie grave, contagieuse et qui nécessitait un repos à temps plein. Vu le désordre dans son appartement, il aurait pu passer tenter le remède de l’alcool et de la cigarette mais la jeune femme n’était pas dupe à ce point. « Tu n’aurais pas dû te déplacer pour moi, sincèrement. Ça n’en valait pas le coup. Tu sais très bien que je peux me débrouiller seul. Tu aurais dû téléphoner. » Le Maël, le vrai était de retour. Celui qui aimait sa solitude, celui qui refusait l’aide d’autrui dans sa vie. Il aimerait mettre Siloë à la porte et pourtant, il n’en fait rien. Il tient juste la porte ouverte, espérant qu’elle sorte d’elle-même.
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MessageSujet: Re: you can't walk away → maël    you can't walk away → maël  EmptyJeu 11 Oct - 19:54


you can't walk away Siloë-Jules & Maël
Maël était un jeune homme pas vraiment aider par la vie et qui avait eu pas mal de soucis avec sa famille. Je ne le connais pas depuis très longtemps, mais je le considère déjà comme quelqu’un de très important. Presque mon petit frère. Tout simplement parce que son passé lui rappel sans cesse le mien. Il avait été abandonné par sa mère, j’ai été abandonné par mon père. Le sien boit comme un trou et ma mère à finir par faire de même. Abandonner par tout ceux que nous aimions nous nous sommes alors refugier dans notre passion, la photographie. Je me souviendrais toujours de ma rencontre avec ce pauvre garçon paumé dans un monde trop compliqué pour lui. Un ancien professeur du Lycée m’avait demandé de faire une intervention dans sa classe afin de présenter mon métier, j’avais accepté avec plaisir et était alors tombé dans la classe du jeune Maël. Ces camarades ne m’avait pas réellement écouté, mais lui semblait être totalement passionner par ce que je racontais. A la fin de l’heure il m’avait interpellé et depuis nous nous ne sommes plus quitter. J’ai finis par le prendre sous mon aile et c’est comme cela que je l’ai quelque peu imposer à James. Rapidement il est devenu mon assistant et ensemble nous parcourons la ville à la recherche de nouveau clichés à nous mettre sous la dent. Nous avons régulièrement des contrats avec des magasines et dès qu’il s’agit de mannequin, Maël est toujours le premier à être partant. Bizarrement. Enfin. Aujourd’hui il ne c’était pas pointer au travail et j’avais décidé d’aller jeter un coup d’œil chez lui.

C’est un Maël mal réveillé et puant l’alcool à plein nez qui m’ouvrit la porte en me mettant rapidement au courant de son humeur, c’est à dire pas du tout d’humeur à quelconque discussion. « Je suis désolé, j’aurais dû t’appeler » me dit-il essayant rapidement de trouver des excuses. J’hausse les épaules et observe ce qui m’entoure. Un beau bordel ambiant si vous voyez ce que je veux dire. Je le regarde en silence et soupire quelque peu. J’allais dire quelque chose lorsqu’il enchaîne. « Tu n’aurais pas dû te déplacer pour moi, sincèrement. Ça n’en valait pas le coup. Tu sais très bien que je peux me débrouiller seul. Tu aurais dû téléphoner. » Qu’est-ce qu’il peut m’énerver lorsqu’il agit comme ça. Une véritable tête à claque ce gamin. Je lui tape gentiment sur l’épaule et finis par dire : « Mais oui et puis tu m’aurais pas répondu. Je préférais me déplacer tu vois ! » Je lui sors alors mon plus beau sourire avant d’ajouter : « Tu sais que je te couvre au boulot, mais James n’apprécie pas réellement tes absences à répétitions et moi non plus d’ailleurs, à quoi tu joue Maël ? » Je sais qu’il va m’envoyer balader, mais je suis aussi têtue que lui et c’est sans aucun doute notre plus gros problème. Je vois qu’il commence déjà à ce refermé et je décide donc de baisser d’un ton et de jouer la bonne copine. « Va prendre une douche pendant que je range tout ça. » lui dis-je alors et bien entendu il ouvre déjà la bouche pour discuter. Une vraie tête de mule je vous jure. « Ah pas de discussion, tu va te doucher tu pu l’alcool à des kilomètres. Allez jeune homme plus vite que ça. » finis-je par lui dire tout en lui mettant un gentil coup de pied sur les fesses. C’est en râlant qu’il finit par partir.

Durant son absence j’en profite pour ranger l’appartement, bordel il y a des cadavres un peu de partout et des mégots aussi. Pas très beau à voir tout ça. Enfin. Je m’active donc en chantonnant et finis par faire du café. Je suis assise sur le plan de travail de la cuisine lorsqu’il finit par revenir tout beau et tout propre. « T’es beaucoup plus beau comme ça. Café ? » lui dis-je tout en lui tendant une tasse. « Je suppose que tu veux pas en parler… » finis-je alors par lui demander connaissant déjà la réponse par cœur.

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