Armée de mon appareil photo charger a bloque, j’arrive au nouveau bar, strip-tease, je ne sais quoi de la ville. Mon très cher patron m’avais bel et bien fait comprendre que je n’avais pas le choix et que je devais absolument me rendre là-bas pour shooter la première soirée. On avait un contrat avec un magasine de Town Square. Pas de chance pour moi. Je n’avais vraiment pas envie de me passer ma soirée dans une boîte bizarre ou tout les gros riches et vieux de la ville vont ce donner rendez-vous. Aussi étrange que cela puisse paraître Maël voulais absolument m’accompagner ce soir. J’avais bien entendu refusé, pas besoin de le voir baver sur des femmes à poil toute la soirée. Et puis je n’avais pas besoin de l’avoir dernière moi dans un lieu comme ça. Bref. Pour entrer la dedans, je suis obligé de présenter ma carte une bonne dizaine de fois. C’est une forteresse le merdier ou quoi ? Je finis par débarquer dans une salle au mur entièrement noir et rouge. Au milieu, une scène partagé en plusieurs morceaux. Et sur les podiums, des danseuses à moitié nues. Je déteste ce genre d’endroit. Je trouve cela complètement malsain. Comme je l’avais prévu, les grosses richesses de la ville sont présentes. Pour la plupart des vieux d’une cinquantaine d’années tous plus repoussant les uns que les autres. J’essaye de ne pas trop penser à ce qui m’entoure et enclenche mon appareil photo. J’adapte mon objectif, sors le flash et commence à tourner dans la pièce. Je commence par quelques repérages et décide de prendre mes premières photos. Je n’ai en aucun cas le droit de prendre en photos les clients présents ici. On ne sait jamais si l’un de ces messieurs fait des infidélités à madame.

Prise dans mon boulot, je m’en tape de tout ce qui ce passe autour de moi. Je continue de prendre des photos même si je vois bien que les nanas ne sont pas très contentes de me voir là. Et d’un côté je les comprends, mais moi je suis payé pour les prendre en photos alors tant pis. D’un seul coup une voix me sort de ma concentration. « Aussi magnifique que vous êtes, vous auriez toute vos chances sur les planches, et les hommes viendraient de tout les pays pour admirer ce corps de déesse. » Intriguée je me retourne et me retrouve en face d’un homme d’à peu près mon âge. Mais il me veut quoi lui avec ses phrases de drague à deux balles. Je ne peux pas m’empêcher de rire et de regarder autour de moi. « Oh tu t’adressais à moi ? » lui dis-je tout en riant de nouveau. Non mais sérieusement il est resté bloquer dans quel siècle lui ? La dernière fois qu’on m’a dragué comme ça je devais avoir seize ans. Je brandis mon appareil photo et lui sourit. « Désolée mais j’ai déjà un boulot et il est beaucoup plus gratifiant que ce que ces pauvres filles sont obligés de faire. » ajoutais-je. Un instant je l’observe. Son regard perçant me fixe et un sourire niais apparaît sur son visage. Je hausse les sourcils intriguée par ce personnage. Ces yeux clairs attirent particulièrement mon regard. Je me laisse légèrement envoutée mais détourne rapidement le regard. « Je peux vous offrir un verre ou vous êtes venu accompagner peux être ? » me dit-il alors. Si j’étais une petite femme naïve je me dirais qu’il est intéressé par moi, mais j’ai l’habitude de tout ça et je sais que c’est juste de la drague. Pur et dur. Une nouvelle fois je rigole. « Faudra revoir tes techniques de dragues sérieusement ! » lui dis-je en levant les yeux au ciel malgré tout je réfléchis à sa proposition. Mon mec est à New-York et je suis toute seule ici. Après tout un verre ça n’engage à rien. « Je suis pas accompagnée et je ne refuserais pas un verre ! » dis-je alors en lui souriant. Il me guide alors jusqu’au bar, j’ai un peu du mal à savoir si c’est un client ou le patron ou le fils du patron. Je suis un peu paumée. J’accepte le verre qu’il me tend tout en tentant de ranger mon appareil photo. Au final, je laisse celui-ci pendre autour de mon cou. On sait jamais je pourrais peut être encore en avoir besoin. « Alors tu bosse ici ? » lui demandais-je histoire de faire un peu la conversation. Au final je me rends compte que je ne sais même pas son prénom et avant qu’il ne parle je finis par lui dire. « Au fait, moi c’est Siloë-Jules. »

Ce soir je me sentais bien , prêt à profiter de la soirée , à faire entendre le nom du club dans toutes les ruelles de la ville , mon but était d’atteindre toujours plus de monde , fin après tant que j’avais le bon chiffre à la fin du mois le reste je m’en moquais . J’étais satisfait du changement que j’avais infligé à ce club , avant il était bien mais maintenant encore mieux , des photographes de toute la ville avait été convié à cet événement certain( e )s avaient peux être été obligé par leur supérieur mais bon au moins ils me faisaient de la pub et mettaient peux être pour la première fois leur pied dans un club de streap tease mais attention c’est pas le genre d’endroit ou des bandes de pervers ou des mecs qui sont en chien viennent pour se vider ou je ne sais quoi non non . J’avais un peu modifié le thème du streap , en offrant plutôt une sorte de spectacle dansant chantant tout en sous vêtement je sais pas si vous voyez , un peu comme dans le film burlesque , les filles jouaient donc de leur charme et de leur corps mais pas que , elles leur offraient des shows inventé de toutes pièces . J’étais fier de ce que j’avais mis en scène après tout c’était pas un baiso drome ici , on vient pour admirer la beauté de la femme pas tirer un coup , enfin si vous donnez un beau billet et que la fille accepte c’est possible .

Alors que j’étais au bar en train d’observer les hautes personnalités de la ville et d’autre en train d’arriver ou de regarder le spectacle qui avait l’air de leur plaire , je fis attiré par une jolie fille brune qui prenait des photos , elle me rappelait quelqu’un de dos mais c’était sur que ce n’était point elle . Qu’importe je n’avais pas envie de passer ma soirée à observer les petits bourgeois de la ville , ou autres , cette fille m’intriguait autant faire connaissance non ? . Je me lance donc dans un compliment qui la fait mourir de rire , je voulais juste être sympathique puis faut dire elle à le corps de l’emploi … mais non à la place de ça elle se moque de ma tentative d’approche et me répond : « Faudra revoir tes techniques de dragues sérieusement. » outch ça fait un peu mal à l’égo ça mais ça répartie me plait , elle n’a pas l’air qu’être un beau cul dans un corps bien formé mais aussi un cerveau qu’elle utile bien comme il faut . J’aime les femmes qui ont du caractère et celle-ci à l’air d’une tigresse , je sais pas si elle est comme ça au lit … mais je m’égare nul est mon intention de la ramener chez moi , j’emmène pas n’importe qui quand même puis chez soi c’est intime c’est pas pour une fille rencontrer dans un endroit , c’est pas votre COPINE quoi .

«Excuse moi d’essayer d’être courtois , mais tu préfères peux être le mode drague dégelasse des p’tit minot de 18 ans ; chacun ses préférences. » lui répondis alors , très gentiment cependant , je ne suis pas là pour être désagréable je ressens qu’elle n’a jamais mis un pied ici , peux être par apriori , ce n’est pas forcement que des riches ou des mecs en manque qui vienne ici après tout y’a les péripatéticienne ou les coy girls pour ça , ici c’est juste la beauté de la femme sous toutes ses formes et c’est un spectacle merveilleux . Si Dieu existe réellement on a bien était son ébauche avant qu’il fasse la perfection , enfin ceci dit y’en a qui sont pas gâté mais celle que je côtoie le sont toute allez savoir pourquoi . En attendant lorsque je lui demande si elle est venu accompagné ou si elle serait prête à m’accompagner afin de boire un verre pour faire connaissance après tout ça sert toujours de connaitre de bon photographe . celle-ci parait hésitante et fini par me dire :  «Je ne suis pas accompagnée et je ne refuserai pas un verre! . » , un sourire radieux s’affiche alors sur mon visage lorsqu’elle fini par accepter ma proposition , je lui tend mon bras et nous dirigeons vers le bar , je regarde la jeune femme puis fini par commander  « Marco tu me ressers un double scotch et pour la jeune femme ça sera ? » celle-ci paraissait intrigué sur mon identité , ce qui me fit rire c’est qu’elle me prit par le fils du patron avec sa phrase  « Alors tu bosses ici?. » j’suis pas du genre à me la raconter mais faut bien qu’elle sache à qui elle à affaire , c’est pas du tout un signe de supériorité non pas du tout , chacun est à sa place dans le monde , chacun à choisi sa voix , certains mieux que d’autre mais tant que tout le monde fait ce qu’il lui plait où est le mal après tout .

 « Eh bien à vrai dire Siloë , je me présente Blaise , et je suis le propriétaire de ce lieu . J’espère que la soirée te plait … . » fini je par lui dire , c’était sans doute pas son élément préférer mais bon au moins elle pourra dire qu’elle a mi une fois les pieds dans un club de streap . Alors qu’elle avait fini par se décider sur la boisson , elles arrivèrent et je bu une gorgée de mon verre .  « Alors Siloë Jules , que pouvez vous me dire sur vous qui ne révèle pas d’un secret d’état ? ». lui dis je dans un petit rire , le rire l’élément qui met vite à l’aise la personne à la base non , j’avais envie qu’elle passe une bonne soirée et qu’elle ne se sente pas enfermer dans un endroit qui la dépasse . J’avais l’impression de la perturber , je sais pas elle éviter mon regard comme si j’avais quelque chose … allez comprendre , tant qu’elle parlait cela me suffisait amplement après tout , moi qui ne connaissait pas grand monde dans la ville , c’était le moyen d’essayer de me faire un nouveau contact dans la ville de Town Square.

Je venais d’accepter la proposition de Blaise, après tout il voulait m’offrir un verre, j’allais pas dire non. Et puis je sais pas, il a un truc mystérieux qui m’attire étrangement. Cela n’indique rien de très bon, mais malgré tout je le suis au bar qui ce trouve tout le long du fond de l’établissement. Il prend ma commande et je finis par lui demander s’il bosse ici tout en me présentant. L’espace d’un instant, j’oublie un peu le lieu dans lequel je me trouve. Je n’ai jamais été fan de strip-tease loin de là. J’adore la danse, mais franchement pour rien au monde je ne danserais autour d’une barre. Enfin. « Eh bien à vrai dire Siloë, je me présente Blaise, et je suis le propriétaire de ce lieu. J’espère que la soirée te plait… » me dit-il en souriant. Je me laisse quelque peu hypnotiser par son sourire et secoue la tête pour reprendre mes esprits. Bordel jamais un mec m’avais fait cet effet là. Il devait être doué avec les femmes, il n’y a pas de tout. Mais mon attention s’arrête sur ses paroles. Il est le nouveau propriétaire des lieux. Etrange. Il est bien jeune et n’as pas vraiment une tête de pervers. Bon je sais, ça fait un peu cliché, mais quand même. « Je suis pas vraiment fan de ce genre de lieu, mais quel idée de reprendre un tel endroit, enfin je veux dire l’ancien propriétaire était… Bien plus vieux. » dis-je en souriant bêtement. Non mais ressaisis-toi Siloë bordel. J’attrape le verre que le serveur pose devant moi et en avale une longue gorgée. J’attrape alors mon appareil photo qui pendait autour de mon cou et règle l’objectif. Je me recule quelque peu et prends une photo du visage enjôleur de Blaise. « Pour mettre un visage sur le nouveau propriétaire. » dis-je tout en rangeant mon appareil, j’avais assez pris de photo pour la soirée et les filles commençaient à ce dénudé sur la scène…

« Alors Siloë Jules , que pouvez vous me dire sur vous qui ne révèle pas d’un secret d’état ? » me dit-il pendant que mon regard ce perds dans la salle. J’observe les hommes qui entrent et prenne plaisir à regarder ces pauvres filles, beaucoup trop maigre en train de ce trémoussé. Sa question m’interpelle et je plonge mon regard dans le sien. Je n’avais jamais vu des yeux aussi azur que les siens. Bordel c’est qu’il me plairait cet idiot. Mais je tente de ne rien laisser paraître. Une nouvelle fois j’avale une gorgée de mon verre de vin et repose mon regard sur la salle avant de revenir à lui. « Et bien… Je suis photographe et j’ai été obligée de venir ici pour couvrir l’événement. » lançais-je sans rien ajouter de plus. Pas vraiment un secret d’état après tout non ? Il n’en saura pas plus, ou tout du moins pour l’instant. Je ne suis pas du genre à parler de ma vie avec des inconnus. Même si cet inconnu me perturbe quelque peu. L’espace d’un instant, j’observe sa tenue. Une chemise noir soft quelque peu ouvert sur le torse sur un jean brut sobre. Rien de bien excentrique. D’un seul coup, je me rends compte que je suis habillée bien sagement pour un tel lieu. Jean sobre également, une paire de talon nude et un débardeur léger, rien de bien excitant. En même temps, je ne voulais pas que l’on me remarque. Apparemment j’avais loupé mon coup puisque Blaise m’avais de suite repérer. Je l’observe encore quelque peu en silence et finis par lui dire : « Et toi ? A part aimer le strip-tease c’est quoi ta vie ? » demandais-je en souriant.

« Enfin je veux dire c’est une passion ou c’est juste pour le business, parce que je dois dire que ça m’intrigue. » ajoutais-je tout en lui jetant un regard par-dessus mon verre. Finalement mon regard est attiré par les danseuses. Elles sont désormais toutes en sous-vêtements et tente en vain de tenir debout sur leurs talons de douze centimètres. Certains semblent être très jeunes, mais c’est autre chose qui attire mon regard. En tant que passionnée, je ne peux m’empêcher de remarquer que niveau danse elles n’étaient pas très douées. Ce n’était pas lascif, presque pas sensuelle et je me demandais en quoi les hommes pouvaient avoir envie d’elle. Je ne me suis jamais passionnée pour le pole dance, mais franchement elles pourraient faire mieux quand même. Et bien entendu, je ne peux m’empêcher de faire la remarque à Blaise. « Par contre, faudrait songer à changer de danseuses, parce que niveau sensualité on a vu mieux je crois. » dis-je tout en plantant de nouveau mon regard dans le sien. J’ai comme l’impression qu’il n’aime pas spécialement les critiques que je balance sur son domaine et son club depuis le début. Tant pis, je m’en fiche, il avait qu’a pas m’aborder.

Je venais d’observer cette femme très bien proportionné avec un cul du tonnerre, mais ne vous détrompez pas ce n’est pas la raison de mon approche, je n’avais pas l’envie de passer la soirée seul même si c’était l’ouverture ce soir mais travail et plaisir peut très bien marcher. La jeune femme photographe donc avec son appareil autour du coup s’amuse d’entrer à me taquiner, à se moquer de ma méthode de drague pour l’aborder. C’était le genre de phrase que j’utilisais souvent et ça fonctionnait d’habitude mais cette fille là avait l’air tellement spécial que le challenge en devenait des plus intéressants. Puis celle-ci me demanda si je bossais ici elle me prenait pour un simple serveur ou barmaid sans doute nullement elle aurait pu penser que j’en été le propriétaire je pense. Me présentant alors à elle en tant que le nouveau propriétaire de ce lieu, celle-ci parait peux être étonné par ma jeunesse ou peux être par mon choix. « Je suis pas vraiment fan de ce genre de lieu, mais quel idée de reprendre un tel endroit, enfin je veux dire l’ancien propriétaire était… Bien plus vieux. » me dit elle alors en souriant, vieux ? Oui sans doute en même temps je n’ai pas trop fait attention la fois que je l’ai vu pour racheter son club, puis je ne suis pas du genre à regarder les hommes, ça aurait été une femme même vieille j’aurai sans doute retenu son visage. Je pose mes lèvres sur le verre que Marco vient de poser devant moi et savoure la gorgée je lui répond alors : « J’imagine bien c’est rare de voir une femme dans des lieux comme ça, je ne vais pas commencer un débat du pour et contre le streap tease, chacun de nous restera sur ses positions donc bon… sans vouloir te choquer je vais te dire on reprend un tel endroit parce qu’on sait que les hommes sont faibles et aiment venir ici dépenser leur agent pour voir des filles nus et ça s’arrête là. Plus vieux ? Ça veut dire que j’ai peux être plus de charme que lui ?» lui répondis je alors, puis soudain elle s’arme de son appareil et le clic annonce la photo incrusté bientôt sur un futur papier sans que j’ai pu poser pour être à mon avantage celle-ci me dit alors « Pour mettre un visage sur le nouveau propriétaire. » avant de finir par ranger son appareil, sans doute avait elle assez prit de photo pour la soirée. « J’ai peur de ne pas être à mon avantage sur celle-ci. Faites moi la promesse que vous la supprimiez ou la garder pour vous si elle n’est pas à la hauteur. » lui demandais je , je n’étais pas vraiment narcissique mais mon clicher sur une photo devait me plaire pour être sur une cheminé alors dans une journal ou quoi je vous dis même pas . Pas sur qu’elle le fasse mais bon je tentais quand même …
Alors que je lui demandais ce qu’elle pouvait me dire sur elle je ne m’attendais pas à une telle réponse « Et bien… Je suis photographe et j’ai été obligée de venir ici pour couvrir l’événement. » je fini mon scotch lui demande un autre, je me retourne pour garder un œil sur la soirée, tout se passe apparemment bien, je suis quand même fier de la nouvelle déco que j’ai fait la dedans. « Je suis désolé que vous ayez du venir ici, pour vous faire chier en plus de ça. » Je n’étais pas du tout vexé par le fait qu’elle se retrouve ici contre son gré, chacun à le droit de ne pas aimer d’être dans ce genre de lieu après tout. Après un lourd silence de la voix de Siloë jules retentis de nouveau à mon oreille, je lui fais de nouveau face « Et toi ? A part aimer le strip-tease c’est quoi ta vie ? » aimer le steap tease était un bien grand mot, je faisais ça pour le bisness et c’est un très bon moyen d’amasser de l’argent pour monter une autre boite qui serait plus mon style . Mais pour le moment je n’ai pas encore de bénéfice ni quoi que ce soit bien qu’avec l’argent de mes parents je pourrais me permettre sauf que je veux m’élever par moi-même pas dépenser l’argent familiale. « Qui te dis que j’aime le streap tease mademoiselle la photographe ? Et pourquoi vous direz je quoi que ce soit de plus sur moi alors que vous ne jouez pas le jeu. » lui déclarai je , mais elle ajouta alors « Enfin je veux dire c’est une passion ou c’est juste pour le business, parce que je dois dire que ça m’intrigue. » elle me lança un regard par-dessus son verre, puis fini par retourner son regard sur le podium, c’était une question qu’on me posait souvent, et j’aimerai bien savoir combien de patron de club font ça par passion sincèrement j’aimerai. « Je vous mentirai si je vous déclarerais que c’est par passion, je respecte chacune des filles qui bosses ici … mais cette affaire m’en payera une autre c’est comme ça que marche : le business. » lui expliquai-je alors. Le show se déroule comme il le faut en sous vêtement les filles font quelques pas de danse, j’ai bien de la chance d’être un homme j’aurai jamais réussi à marcher avec des talons aussi grand, comment se casser la gueule en 2 secondes sinon. Non non non je n’aurai pas aimé, bon il parait que des hommes en mettent aussi mais ça c’est à part : les gay. Les filles font leur show, puis hop changement de décor, changement de danseuses Siloë me fait alors une remarque sur les danseuses « Par contre, faudrait songer à changer de danseuses, parce que niveau sensualité on a vu mieux je crois. » il est vrai que je n’ai jamais supporter qu’on me fasse des critiques, surtout pas quand il s’agit de mon affaire et que la personne à côté n’y connait rien mais bon je suis pas le connard de base qui se vexe et qui ne cherche pas à améliorer ce qu’il faut. Je bois d’un trait mon verre et m’approche de son visage, lui chuchotant alors « que veux tu que j’y fasse ? Elles ne dépasseront jamais ta sensualité, j’aurai beau les changer aucune ne conviendra jamais.

« J’imagine bien c’est rare de voir une femme dans des lieux comme ça, je ne vais pas commencer un débat du pour et contre le streap tease, chacun de nous restera sur ses positions donc bon… sans vouloir te choquer je vais te dire on reprend un tel endroit parce qu’on sait que les hommes sont faibles et aiment venir ici dépenser leur agent pour voir des filles nus et ça s’arrête là. Plus vieux ? Ça veut dire que j’ai peux être plus de charme que lui ? » me dit-il alors que j’étais toujours surprise du fait qu’il soit le propriétaire de cet endroit. Je le trouvais vraiment jeune. L’espace d’un instant, je me demande même quel âge il peut avoir. Un peu plus qu’Ethanaël ça c’est pratiquement sûr, mais pas tellement. Enfin je reste persuader qu’il a moins de trente ans. « Je peux t’assurer que tu fais beaucoup moins pervers que le précédent, après pour le charme on verra. » dis-je tout en retrouvant très rapidement mon sourire espiègle. Oh oui, je sens que je vais bien m’amuser avec lui. Je ne sais pas vraiment ce que sera l’issue de cette soirée, mais je dois avouer que ce jeune homme m’intrigue plus que tout. Déjà rien que par son regard. Je n’ai jamais vu des yeux d’un bleu aussi clair et pur et je dois avouer que cela m’intrigue encore et toujours même si cela fait bien dix minutes que je suis en train de discuter avec lui. Très rapidement, il me demande ce que je fais dans la vie. Ne le connaissant pas encore assez pour lui révéler toute ma vie, je lui fais juste remarquer que je suis ici pour le travail. Il semble déçu de ma réponse, mais je ne peu m’empêcher de lui sourire. « Et toi ? A part aimer le strip-tease c’est quoi ta vie ? » finis-je par lui demander bêtement. Comme si le strip-tease pouvait être une passion. Enfin remarque. La preuve il y a bien une cinquantaine d’homme présent ici ce soir. De quoi dégoûté beaucoup de femmes après tout. Une nouvelle fois, je jette un coup d’œil à tout ces pervers qui me débecte. « Qui te dis que j’aime le strip-tease mademoiselle la photographe ? Et pourquoi te dirais-je quoi que ce soit de plus sur moi alors que tu ne joue pas le jeu. » finit-il par me répondre alors que je tournais de nouveau la tête vers lui. Bon d’accord il marquait un point sur ce coup là. Je hoche la tête et avale une nouvelle gorgée de mon verre. Je vois bien qu’il n’est pas près de lâcher l’affaire alors je finis par répliquer. « Que veux-tu savoir dans ce cas ? » dis-je en continuant à lui sourire. Bordel c’est pas bon tout ça. J’ai vraiment envie de m’amuser avec lui, de le rendre dingue, mais je sais que ça va m’attirer de nouveau ennui et pourtant c’est plus fort que moi.

Il finit par m’expliquer qu’il a juste repris l’endroit pour ce faire de l’argent afin de mieux concrétiser un autre projet, ce que je conçois après tout. Et finalement, je me remets à observer le podium. La musique vient de changer et de nouvelles filles font leurs apparitions sur la scène. Je ne peux m’empêcher de rire quelque peu en les voyants. Elles ne sont pas réellement très convaincantes. « Par contre, faudrait songer à changer de danseuses, parce que niveau sensualité on a vu mieux je crois. » dis-je tout en retirant le stylo qui retenait mes cheveux ce qui leurs permet de tomber en cascade sur mon dos. Vieille technique de drague je dois l’avouer, mais apparemment assez efficace puisqu’il ne me lâche plus du regard. Ah je m’éclate. « Que veux tu que j’y fasse ? Elles ne dépasseront jamais ta sensualité, j’aurai beau les changer aucune ne conviendra jamais. » me dit-il d’un seul coup. Je ne peux m’empêcher de rire avant de lui lancer un regard aguicheur. « Et sinon, le propriétaire il a une petite amie ? » demandais-je avant de me lever de mon siège. « Non parce que sinon, je pourrais te montrer comment je ferais à leur place » vins-je murmurer à son oreille avant de faire semblant d’aller m’intéresser à un tableau accrocher au mur à quelques mètres de lui.

« Je peux t’assurer que tu fais beaucoup moins pervers que le précédent, après pour le charme on verra. » dit-elle soulignant ses dires d’un sourire espiègle mon dieu que cette fille était sexy mais à la fois sur d’elle et joueuse. « Pour le charme on verra ? que dois je faire pour ça ? » J’ai comme l’impression qu’elle veut se jouer de moi pour la soirée mais ça ne se passera pas comme dans ses plans sauf si moi aussi j’ai envie de jouer ce jeu. Qu’importe comment la soirée finira au moins j’aurai fait l’ouverture de mon club les hautes personnalités étaient présente donc déjà quelques billet dans la poche, pour le reste tout dépendra de ce qu’elle veut ou non je n’insisterais pas si elle veut tant mieux sinon tant pis. Ses traits de visage fins, ses yeux en amande avec ses sourcils épilés à la perfection qui souligne son regard m’empêche de me concentrer sur autre chose qu’elle. Très rapidement, je lui demande ce qu’elle fais dans la vie simple curiosité autant dire qu’elle sait une grande partie de la mienne, il a juste fallut qu’elle mette les pieds dans ce club pour le deviné. Je ne la connais pas elle non plus mais je meurs d’envie d’en connaitre plus à son sujet elle m’intrigue tout simplement tel un archéologue qui découvre les vestiges du passé, un trésor personnel. « Et toi ? A part aimer le strip-tease c’est quoi ta vie ? » Finit-elle par me demander bêtement après avoir dévié la question que je lui posais sur sa vie à elle. Aimer le streap tease est bien un grand mot, ce n’est pas un genre de hobbies ou quoi que ce soit, je ne serai pas dire ce qu’il en est exactement disons que c’est juste une façon qu’on les hommes pour assouvir les pulsions ou ce qu’ils ne peuvent pas ou n’ont plus chez eux. La jeunesse d’une femme n’est pas éternelle, elle vieillit et son corps assume les dégâts que la vie lui a faits. Il est vrai qu’il ne faut pas s’étonné si après la femme est vu comme un bout de viande mais c’est le système qui veut ça après tout y’a bien des films porno qui mettent la femme dans cette vision là ce n’est pas un club de streap tease qui donne cette image. « Qui te dis que j’aime le strip-tease mademoiselle la photographe ? Et pourquoi te dirais-je quoi que ce soit de plus sur moi alors que tu ne joue pas le jeu. » finis-je par lui répondre alors que son regard se reporter de nouveau vers moi après avoir examiné toute la salle des yeux je ne sais pas ce qu’elle se dit dans sa tête, heureusement même surement, elle doit avoir un piètre avis sur moi qui profite des femmes pour me faire de l’argent mais au moins c’est de l’argent sur et ça s’arrête là. Elle boit de nouveau son verre. Je ne la quitte pas des yeux espérant qu’elle lâche un peu d’information sur quoi je puisse m’appuyer elle fini par répliquer. « Que veux-tu savoir dans ce cas ? » dit-elle en continuant à me sourire encore, arg elle peut pas le remballer son sourire de séductrice là, qu’est ce que j’aimerai savoir sur elle tient bonne question « Tu vis ici depuis longtemps par exemple? ou Pourquoi la photographie plutôt qu’autre chose ? ».
Je finis par lui expliquer le choix de ce club, elle ne rajoute rien comprenant sans doute que c’est logique. Et soudain, elle se remet à observer le podium. La musique vient de changer et de nouvelles filles font leurs apparitions sur la scène. Je la vois rire, un rire vraiment absorbant et beau, y’en a qu’on des rires affreux après tout mais le sien il est magique c’est comme une mélodie. « Par contre, faudrait songer à changer de danseuses, parce que niveau sensualité on a vu mieux je crois. » dit-elle alors tout en retirant le stylo qui retenait ses cheveux, je retourne à la réalité ou plutôt dans un univers parallèle, elle lâche alors ses cheveux qui tomber en cascade sur son dos je me croirais dans un film ou dans une pub. J’ai beau ne pas avoir la bouche ouverte mais je bave à l’intérieur, ce n’est pas possible d’être aussi sexy et tentatrice, on ne peut pas résister à ce genre de fille non mais ce n’est pas possible regardez moi là comme elle se joue de moi et elle adore ça en plus. Je lui répond alors qu’aucune fille ne feront l’affaire comparé à elle, et elle se met de nouveau à rire avant de me lancer un regard aguicheur qui me foudroie sur place. « Et sinon, le propriétaire il a une petite amie ? » me demanda-t-elle avant de se lever de son siège, je la regarde faire je ne sais pas ce qu’elle va faire à cet instant, j’ai même peur qu’elle parte pour le coup fin peur est un bien grand mot je serai juste dégouté quoi. Je lui répond alors « Peux être peux être pas mais avoir une petite amie en étant entouré de fille toute la nuit ça serait trop de crise de jalousie ne penses tu pas ? ».fini je par lui dire avant que celle-ci me murmure à l’oreille « Non parce que sinon, je pourrais te montrer comment je ferais à leur place » je joue à un jeu dangereux, elle aussi ou peux être nous deux à vrai dire, elle n’a pas l’air d’être en couple en tout cas pour faire ça ce qui est encore plus intéressant je dois le dire puis celle-ci va devant un tableau accrocher au mur à quelques mètres du bar qui mène vers une chambre en haut, l’ancien propriétaire dormait là avant de partir de la ville, je m’approche alors d’elle, et lui murmure « Montre moi donc comment tu ferais alors . » je glisse ma main dans ses cheveux qui glisse le long de ma main, je la regarde faire, elle me fait tourner en bourrique cette fille. « Dis moi c’est innée chez toi de rendre dingue les hommes ? » finis je par lui demander en souriant en plongeant mon regard dans le sien.

« Tu vis ici depuis longtemps par exemple? ou pourquoi la photographie plutôt qu’autre chose ? » finit par me demander mon bel interlocuteur. Il semble ne vouloir qu’une seule chose, en savoir un peu plus sur moi ce qui me fait doucement sourire. Les hommes cherchent toujours à connaître ma vie, même ceux que je rencontre dans un bar et que j’aurais déjà oubliés le lendemain. Il semblerait que Blaise n’échappe pas à la règle. Alors que je continue à m’amuser avec lui, je lui réponds tout de même. « Je suis né ici et je n’ai jamais quitté l’Etat. Pour la photo… C’est une longue histoire. Je me suis réfugier là-dedans et j’ai jamais pu me résoudre à lâcher mon appareil » finis-je par lui répondre tout en haussant les épaules. Les gens me demande toujours comment j’ai pu choisir un tel métier et a chaque fois je me dis que j’aurais aimé qu’il ne me pose pas la question. La photo c’est ma bouée de sauvetage, mon refuge préférer sur terre et je pourrais en parler pendant des heures, mais je déteste expliquer pourquoi je suis tombé là-dedans. Expliquer quel est le malaise qui m’a poussé à me cacher derrière un objectif, alors pour détourner le sujet je reprends la conversation. « J’ai donc le droit de te questionner maintenant. » dis-je tout en riant quelque peu. Cela faisait très longtemps que je n’avais pas joué les séductrices et pourtant cela me revenait tout seul. A croire que c’est comme le vélo. « Toi par contre tu n’es pas d’ici, alors d’où viens-tu étranger. » lui demandais-je le même éternel sourire collé aux lèvres.

Puis le temps passe et la conversation devient de plus en plus ambigüe. Je ne peu m’empêcher de lui faire des remarques sur ces danseuses que je trouve quelque peu minable. Certes elles sont très belles, mais il leur manque ce petit truc qui fait toute la différence. Ce pas chaloupé, ce côté sensuelle, aguicheur et sexy. Le truc par excellence, celui qui fait chavirer n’importe quel homme et je trouve cela quelque peu dommage pour un club de strip tease. Mais il semblerait que le jeune Blaise soit quelque peu blesser par ma remarque alors je décide de rapidement lui changer les idées. « Et sinon, le propriétaire il a une petite amie ? » La question qui me semblait essentiel surtout avec ce que j’avais derrière la tête. Parce qu’après tout, il est peut être fidèle. Enfin. Cette idée me fait sourire. Un homme fidèle propriétaire d’un club de strip tease. Un peu paradoxal tout de même. « Peux être peux être pas mais avoir une petite amie en étant entouré de fille toute la nuit ça serait trop de crise de jalousie ne penses tu pas ? » me dit-il tout en essayant d’avoir un certain côté mystérieux. Je sors alors toutes mes armes et me met à jouer avec mes cheveux. Oui je sais, un peu comme dans les films, mais cela marche à chaque fois. Ah les hommes tous les mêmes quand même. Joueuse comme ce n’es pas permis, je me rapproche alors de lui et vint lui murmurer doucement. « Non parce que sinon, je pourrais te montrer comment je ferais à leur place » avant de m’en aller observer un tableau.

Je dois avouer que celui-ci n’as rien de bien passionnant, mais le jeu me passionne plus que tout lui. Mon beau brun ne met pas très longtemps à ce rapproché de moi. ]« Montre-moi donc comment tu ferais alors. » me dit-il tout en passant sa main dans mes cheveux. Son contact me fait quelque peu frissonner. Enivrée par la chasse, je me laisse totalement faire et lui sort mon plus beau sourire. Nos visages sont très proches et je sens son souffle chaud contre ma peau. « Peut être, peut être pas. » lui répondis-je avant d’hausser les sourcils. Oh oui je vais adorer jouer avec lui ce soir. Blaise tu seras mon animation de la soirée. D’un seul coup, je suis presque contente d’avoir croisé son chemin. C’est sûr avec lui je ne vais pas m’ennuyer. Qui sait je finirais peut être dans son lit. Oh je suis persuadé qu’il doit être un excellent amant. Enfin pour le moment je ne pense pas à cela. « Dis moi c’est innée chez toi de rendre dingue les hommes ? » me demande-t-il apparemment subjuguée par mon petit jeu. En riant je me rapproche de nouveau de lui. Mes lèvres effleurent sa joue puis son oreille. Je pose une main sur son torse. « C’est mon jeu préféré. » répondis-je avant d’ajouter « Et ce soir c’est avec toi que je vais jouer. » Sans aucun doute ma meilleure technique, celle qui a marcher avec tout les hommes que j’ai pu rencontrer dans ma vie. En silence, je me recule de lui et hausse les épaules avant de retourner au bar. Oui j’ai envie de le faire courir. En chemin, je balance des hanches et me permet même quelques pas de danse sur la musique qui passe actuellement dans le bar. Le voilà qui ce rapproche de nouveau et devient quelque peu plus entreprenant. Alors que je suis assise sur le tabouret, il ce place entre mes jambes et frôle mes hanches de ces mains. « Tttt… Il faut le mériter tout ça mon petit. » dis-je tout en souriant.

Le fait que je lui pose des questions n’est pas forcement dans le but de la connaitre ou d’en apprendre plus sur elle mais en même temps on ne peut pas passer une soirée avec une personne sans parler. Ou parler de quoi si ce n’est pas de la personne ? Faut bien savoir un minimum sur la personne et ici sur la jeune femme pour savoir à quoi m’en tenir, sur quel sujet qu’on peut avoir en commun pour l’évoquer, il n’y a pas forcement que le physique du moins pas dans un lieu public et très rarement quand on ne connait pas la personne.
« Je suis né ici et je n’ai jamais quitté l’Etat. Pour la photo… C’est une longue histoire. Je me suis réfugier là-dedans et j’ai jamais pu me résoudre à lâcher mon appareil » finit-elle par me répondre tout en haussant les épaules. J’imagine que je ne dois pas être le premier à lui demander ça, et que peux être au fond ça l’agace, elle ne doit pas faire partie du genre de femme qui aime parler d’elle ou de sa vie pourtant d’habitude les femmes veulent qu’on s’intéresse à elles. Mais elle c’est tout le contraire et je sens qu’elle son jeu attitré c’est la séduction avec les hommes et on en reste là. Je le comprend très vite lorsqu’elle détourne complètement la conversation à son avantage se mettant à me re questionner ça doit être plus palpitant de son point de vu j’en sais strictement rien à vrai dire.. « Je vois c’est un beau métier la photographie. »

« J’ai donc le droit de te questionner maintenant. » dit-elle tout en riant quelque peu. Quand je vous dis que je me trompe très rarement sur les personnes le mot séductrice transperce tout les pores de sa peau ce qui lui va très bien.« Toi par contre tu n’es pas d’ici, alors d’où viens-tu étranger. » me demanda-t-elle avec le même éternel sourire collé aux lèvres. « L’étranger vient de Los Angelès, je peux même pas faire croire que je vis ici depuis toujours mince alors, il me manque quoi ? »

Puis le temps passe et la conversation devient de plus en plus ambigüe. Elle ne peu s’empêcher de me faire des remarques sur mes danseuses qu’elle trouve quelque peu déplorable, peux être qu’elle s’y connait mais pas plus que moi qu’importe on prend ce qui nous tombe sur la main après tout on n’est pas là pour choisir du haut de gamme puis ça n’existe pas une fille qui sait danser et séduire elles savent bien souvent séduire pour la danse on y repassera. Faut dire elle serait pas dans mon club si elles auraient un plus grand talent. Bien qu’elle me fasse la remarque sur mon club je n’en fais pas trop attention, je ne suis pas vexé ou quoi que ce soit elle donne son avis j’ai le mien puis le club est complet presque tout les jours alors peux être leur manque t-il quelque chose à ses streap teaseuse mais le client s’en fou un peu. . « Montre-moi donc comment tu ferais alors. » lui dis je alors que je passais ma main dans mes cheveux. Je sais que c’est mal que je joue un jeu dangereux tout comme elle, elle se laisse totalement faire et me sort son plus beau sourire. Nos visages sont très proches. « Peut être, peut être pas. » me répondit-elle avant d’hausser les sourcils. Jouer est intéressant et excitant mais le truc c’est que je n’aime pas perdre donc la laisser prendre le dessus ça sera que pour un moment. Tant qu’à la fin de la nuit que je la passe seul ou en compagnie de la jeune femme ça m’est égale, elle doit peux être doué niveau sexe et kamasutra à voir en tout cas. « Dis moi c’est innée chez toi de rendre dingue les hommes ? » lui demandai-je rentrant dans son jeu. En riant elle se rapproche de nouveau de moi. Ses lèvres effleurent ma joue puis mon oreille. Elle pose une main sur mon torse y’a pas à dire elle sait y faire en séduction en homme qui sait peux être même en femme. « C’est mon jeu préféré. » répondit-elle avant d’ajouter[ b] « Et ce soir c’est avec toi que je vais jouer. »[/b] Je sais pas pourquoi mais j’ai l’impression que ce jeu marche à chaque fois qu’elle n’est pas à son coup d’essai et que l’omme faible est il tombe dans son panneau. En silence, elle se recule de moi et hausse les épaules avant de retourner au bar. « Et pourquoi ça ne serai pas moi qui me joue de toi ? »lui dis je alors elle a beau vouloir me faire courir on verra qui cour le plus vite. En chemin, elle balance des hanches et se permet même quelques pas de danse sur la musique qui passe actuellement dans le bar. Me voilà qui ce rapproche de nouveau d’elle et devient quelque peu plus entreprenant. Alors qu’elle est assise sur le tabouret, je me place entre ses jambes et frôle ses hanches de mes mains. « Tttt… Il faut le mériter tout ça mon petit. » dit-elle tout en souriant. « Et on le mérite comment ? » positionner entre ses cuisses je ne peux m’empêcher de faire glisser ma main et la faire remonter jusqu’à ses reins, elle a un corps parfaitement équilibrer à part peux être des seins trop petit mais y’en a qui aime hein :siffle : moi j’aime bien les seins bien proportionné pas trop petit ni trop gros mais qui tiennent bien dans la main un peu comme des oranges ou des pommes. Le corps d’une femme c’est un peu comme des fruits on en savoure la plus infime partie du corps, le gout l’odeur est totalement différente d’une personne à une autre ce qui en fait son authenticité. Je ne sais pas quelle gout à le corps de la jeune femme mais rien que l’odeur vous enivre, un parfum à la fois sucré et puissant. Je lui bloque alors les mains pour ne pas qu’elle contre attaque et lui vole un baiser pour finir par me reculer. « Finalement c’est peux être pas une si bonne affaire que ça !!! » Elle voulait jouer avec moi mais ce n’est pas vraiment comme ça que j’imagine les choses, je ne suis pas un toyboy on ne m’utilise pas comme ça aussi facilement bien que l’envie de l’allonger contre la table du bar était tentante je laisserai la tension sexuel monter. Reprenant de nouveau mon verre je le portais à ma bouche malencontreusement le verre me glissa des mains et le liquide se déversa sur ma chemise, je déboutonne alors celle-ci et la balance derrière le bar, non non non je ne fais pas de streap tease mais je n’ai pas d’affaire de rechange.

« L’étranger vient de Los Angeles, je peux même pas faire croire que je vis ici depuis toujours mince alors, il me manque quoi ? » me dit-il alors que j’avais subtilement tourné le sujet de la vie privée vers lui. Je déteste parler de moi et c’est pas ce bel inconnu que je connais depuis vingt minutes qui me feront changer d’avis. Apparemment, il est un peu plus disposer que moi à parler de sa vie privée et sa dernière remarque me fait sourire. « Tu semble un peu trop bien sous tout rapport et les gens de Town Square ne pense pas business. » dis-je tout en continuant à lui sourire. Quelle idée de venir s’enterrer ici alors que l’on vient de Los Angeles, me dis-je finalement. Il devait sans aucun doute avoir une bonne raison, mais en réalité, je m’en fiche totalement. « Et puis crois-moi je me serais souvenu d’un tel regard si je l’avais déjà croisé. » finis-je par ajouter reprenant notre petit jeu de séduction.

Ce qui n’était d’abord que de la provocation ce transforma très rapidement en une ambiguïté presque trop évidente. Je le cherchais par dessus tout et il ce laissait entraîner. Je n’avais pas vraiment prévu de passer ma soirée de cette façon, mai sa croire que c’était plus fort que moi, que j’avais ce besoin constant de m’assurer que je plais à un homme et en particulier à un homme que je ne connais que depuis quelques minutes. Nous effectuons alors un petit aller-retour dans le club, juste comme ça, pour ce rendre dingue l’un et l’autre et soudainement il me demande si j’ai l’habitude rendre les hommes dingues. Sa question me fait sourire et surtout me rassurer sur mon pouvoir de séduction, alors après quelques mois de non célibat, je n’ai toujours pas perdu la main. C’est bon à savoir tout de même. « Ce soir c’est avec toi que je vais jouer. » finis-je par lui répondre alors que je venais de lui avouer, que oui j’en avais l’habitude. Je vois que tout cela ne fait que l’intriguer un peu plus. « Et pourquoi ça ne serait pas moi qui me joue de toi ? » finit-il par me dire alors que j’étais en train de rejoindre le bar. Bizarrement ça question m’intrigue. C’est vrai pourquoi pas inverser les rôles ce soir. Pourquoi ne pas me laisser avoir comme une bleu. La réponse ne met pas longtemps à me venir. Parce que je suis incapable de laisser un homme prendre le dessus, sur mon jeu favori. Un jour ma fierté me perdra. « On verra bien beau brun ! » lui répondis-je tandis qu’il ce rapprochait dangereusement de moi. Installer entre mes cuisses, il vint perdre son regard azur dans le mien, tandis que je lui indiquais qu’il n’allait pas gagner mon corps aussi facilement. Et oui je peux également être dur en affaire quand je veux.

Mais d’un seul coup, la situation devint à son avantage. Sans que je me rende compte, il avait remonté ses mains le long de mes cuisses et finis par emprisonner mes poignets autour de ses phalanges. Coincée, je le vois ce rapprocher de moi et me voler un baiser. Aussi surprenant que cela puisse paraître j’ai de suite envie de prolonger cet échange et pourtant déjà il s’éloigne de moi. « Finalement c’est peut être pas une si bonne affaire que ça ! » lâche-t-il ce qui je l’avoue me surprends. Je me retire de son étreinte et l’observe les sourcils arqués. « Tu sais pas ce que tu rate. » répondis-je du tac au tac quelque peu blessée par sa remarque. Cet abrutit en rate sa bouche et ce renverse la moitié de son verre sur la chemise. Il ne lui en faudra pas plus pour l’enlever et la balancer je ne sais où. Ce qui, je dois l’avouer, me fait réellement rire. « Il en faudra plus pour m’avoir. » lui murmurais-je avant de descendre mon tabouret et de sortir mon appareil photo de mon sac. Comme si de rien était, je rallume mon appareil et repart dans le club à la quête de nouvelles photos. J’en avais déjà largement assez prises, mais je voulais réellement le faire tourner en bourrique. Je voulais qu’il devienne dingue. Alors pour m’occuper, j’ai décidé de continuer mon boulot tout en enchaînant les verres.

C’est ainsi que je le perdis de vue pendant quelques heures. Finalement le club commença à ce vidé et passablement alcoolisé, je pris la décision de récupérer mes affaires. J’avais perdu mon jouet et je dois avouer que cela m’attristait un peu. Enfin. Jusqu’à ce que je le vois raccompagner le dernier clients. La musique jouait toujours à fonds, mais le club était désormais vide. Mon bel apollon avait retrouvé une chemise et semblait heureux de sa soirée. C’est plein d’aplomb que je finis par monter sur l’estrade m’accrochant à une barre au passage. « Hé beau gosse, ça te dis une danse ? » hurlais-je à travers le club pour qu’il ce retourne. Et sans réfléchir, quelque peu enivrée je finis par commencer à me trémousser. La danse est l’une de mes passions depuis que je suis toute petite et même perchée sur des talons avec de l’alcool dans le sang, j’arrive encore à faire quelque chose de sensuelle qui attire immédiatement le beau Blaise. « Maintenant je peux te montrer » lui dis-je alors qu’il venait tout juste de me rejoindre sur cette estrade. Et une nouvelle fois, sans réflexion préalable, je m'accroche a son cou et pose mes lèvres sur les siennes.

« Tu semble un peu trop bien sous tout rapport et les gens de Town Square ne pense pas business. » me dit elle alors que je lui répondais à sa question concernant ma ville précédente, je ne devais pas avoir le physique d’un homme venant de la ville apparemment, sa réponse me fit rire j’étais bien sous tout rapport mais bien sur m’enfin elle ne pouvait pas pensait le contraire c’est l’aspect que je renvoyais si elle connaissait ma vie elle ne dirait pas forcement ça. J’haussais les épaules et lui dit alors : « C’est là ou les habitants de cette ville ont tord, c’est l’argent qui fait tourner le monde. » Elle devait sans doute se demander dans sa petite tête pourquoi une personne venant de l’une des plus belles ville d’Amérique venait s’enterrer dans un trou comme Town Square il y avait plusieurs raisons que je n’étais pas prêt à lui dévoiler et que je ne lui dévoilerai sans doute jamais, elle et moi c’était un jeu de séduction et sa s’arrêterai là j’allais pas raconter ma vie sur un comptoir ou sur un oreiller, j’étais un peu versatile comme mec je dois dire je pouvais rencontrer une personne et ne pas vouloir en chercher plus sur elle ou qu’elle n’en cherche pas plus sur moi comme rencontrer une autre personne et raconter certain détail de ma vie, tout est une histoire de feeling et de confiance je pense. Pas que je n’ai pas confiance en la jeune femme en face de moi mais vous savez on sait jamais à quoi se fier avec les séductrices et photographe en plus de ça.« Et puis crois-moi je me serais souvenu d’un tel regard si je l’avais déjà croisé. » Finit elle par ajouter, le regard, mes yeux un atout qui marchait sans faille depuis des années je ne sais pas pourquoi mais les filles restaient scotché dans mon regard tant mieux pour moi je dois dire. D’un sourire charmeur je fini par lui dire « Je pense que ce n’est pas seulement mon regard dont tu aurais eut du mal à oublier et mon non plus. » que le jeu continu après tout, je ne sais pas comment cette histoire aller finir mais quelque chose me dit que je n’allais pas le regretter, de provocation on était maintenant dans une ambigüité qu’on pouvait voir à 100 mètres de là. Elle m’avait tenté on ne joue pas on ne me tente pas moi c’est comme si j’étais un gosse qui poussait le vice plus loin, on joue à cap pas cap mais tu ne gagneras pas j’étais ce foutu gamin qui ne pouvait s’arrêter. Il ne fallait pas qu’elle comprenne mon fonctionnait sinon j’étais cuit elle se jouerait me tenterait chaque fois qu’on se rencontrerait et quelque chose me dit que ce n’était pas difficile de se croiser.
Nous effectuons alors un petit aller-retour dans le club, juste comme ça, pour ce rendre dingue l’un et l’autre « Ce soir c’est avec toi que je vais jouer. » finit elle par me répondre alors qu’elle venais de m’avouer quelques minutes auparavant, que oui elle avait l’habitude. Cette fille m’intrigue elle a beau ne pas se dévoiler je lis quelque chose dans son regard, elle a beau fuir les conversations qui la concernent si elle agit ainsi ce n’est pas pour rien, je serai prêt à mettre ma main au feu mais je ne lui dirait rien on va pas gâcher la soirée après tout on ne sait jamais comment une fille qui à l’air d’être caractérielle peut réagir.« Et pourquoi ça ne serait pas moi qui me joue de toi ? » finis je par lui répondre alors qu’elle était en train de rejoindre le bar. Je sais bien qu’elle ne me laissera pas faire mais je ne suis pas un homme faible je suis même très loin de l’être , lui laissait penser le contraire est plus distrayant. « On verra bien beau brun ! » me répliqua-t-elle ce qui me fit rire, on ne verra rien du tout c’est du tout cuit. Je décide de me rapprochais dangereusement de cette tentatrice. Installer entre mes cuisses, je vins me perdre quelques instant dans son regard azur, tandis qu’elle me fit comprendre que ce n’était pas du tout cuit, je ne sais pourquoi cette réflexion m’a poussé à aller un peu plus loin voir comment elle pouvait réagir. J’avais cette manie de pousser les personnes à bout, jusqu’à leur retranchement, voir leur fonctionnement.

Mais d’un seul coup, je décide de récupérer la situation à mon avantage qu’elle ne pense pas avoir un don pour le domptage d’homme ou je ne sais quoi. Jouant sur l’effet de surprise, j’avais remonté mes mains le long de mes cuisses assez rapidement et finis par emprisonner ses poignets autour de mes phalanges de manière à qu’elle se retrouve plus ou moins impuissante ne pouvant rien faire bon si elle aurait eut la possibilité d’agir mais j’ai agis encore une fois rapidement pour ne pas me retrouver stérile. Je me rapproche dangereusement de ses lèvres et fini par les emprisonner. Mon dieu que ce jeu est excitant à m’en faire péter la braguette. « Finalement c’est peut être pas une si bonne affaire que ça ! » lui lançai je comme ça, j’avais envie de la toucher dans son égo, de voir ce qu’elle allait faire je dois dire que ça réaction me surprend. Elle m’observe, ne quitte pas mon regard, les sourcils arqués. « Tu sais pas ce que tu rate. » me répondit elle du tac au tac sans doute blessé par ma remarque mais c’était le but je n’allais pas lui donner du tout cuit prêt à manger non plus ce n’était pas intéressant, voyons voir à quel point cette brunette est joueuse. Et puis soudain entrainant mon verre à ma bouche sans regarder le verre mais restant là à fixer la jeune femme le liquide ce renversa quel con, je fini par retirer la chemise que je balance dans un coin.la jeune femme me lance cependant dans un murmure « Il en faudra plus pour m’avoir. » comme si ç’était un stratagème préparait pour l’amadouer non mais franchement, je ne répond rien la vois descendre de son tabouret et récupérer son appareil photo. Comme si de rien était, elle le rallume et repart dans le club. Je dois avouer être déçu pour le coup je m’amusais bien en sa compagnie, je lâche son regard et la laisse partir dans la foule, me retournant sur mon barman celui-ci riant dans sa barbe, le foudroyant du regard je lui réclame une nouvelle chemise propre qui m’apporte de suite.

Je fini par continuer ma soirée comme de rien n’était, m’occupant des clients, allant parfois en loge pour voir comment allait les filles et tout le reste. Finalement le club commença à ce vidé, petit à petit les hommes partaient et je fini par raccompagner le dernier client à la porte, les employés finirent par partir les uns après les autres. La musique jouait toujours à fonds, mais le club était désormais vide je n’avais pas remarqué une silhouette se hissait sur l’estrade c’est quand ça voix atteint mes oreilles que je décidais de me retournais tout aussi vite, la charmante étrangère. « Hé beau gosse, ça te dis une danse ? » hurla-t-elle à travers le club pour que je la remarque, elle s’était aggripé à une barre qui auparavant était utilisé par les streap teaseuse elle semblait avoir pas mal bu vu le mouvement peu convainquant de ses gestes. Mais qui reste très sensuel, rien à voir avec les filles, je ferme le club à clé et m’approche alors de la scène.« Maintenant je peux te montrer » me dit elle alors que je venais de sauter pour la rejoindre je ne lui répond pas, approche mon corps du sien et plonge tête la première mes yeux dans son regard, celle-ci s’accroche à mon cou et sans que je m’y attende réellement pose ses lèvres sur les siennes, qu’importe la raison, si elle a bu ou non, à cet instant réaction logique ou pas qu’importe je prolonge ce baiser avec ardeur, glissant ma main le long de ses reins. Tu m’étonnes qu’on doit se battre pour cette fille là, elle s’est y faire ça c’est clair, descendant mes lèvres de sa bouche le long de son ventre, je glisse ma la langue le long de son entre cuisse et fini par remonter l’embrassant une nouvelle fois avant de lui dire.
« Montre moi comme tu dégages de la sensualité quand tu danses » je saute de nouveau de l’estrade va chercher deux coupes , une bouteille de champagne et me place sur un canapé au devant de la scène juste en face de la barre, je voulais qu’elle me rende dingue à ne plus en pouvoir, je voulais terminer cette nuit en beauté et si elle se terminait sur l’un de ses canapés je ne dirais absolument non. Je fis sauter le bouchon de la bouteille et me servi une coupe avant de remettre la bouteille dans son seau à glaçon.

Je sais pas vraiment ce qui m’a pris de monter sur cette estrade alors que j’avais quelque peu exagérer sur la vodka. Mais après tout nous n’avons qu’une seule vie, non ? Et je veux vraiment finir ce petit jeu avec mon inconnu du soir. Enfin inconnu, plus vraiment maintenant que je connais son nom et que je sais qu’il est le propriétaire de ces lieux. Enfin bref. On s’en tape. Me voilà donc à moitié alcoolisée sur cette estrade en train de chercher mon homme de la soirée. Il était en train de ramener son dernier client, parfait ! Maintenant il va pouvoir être tout à moi. Personne pour nous embêter, même pas de barman ou danseuse qui traîne dans le coin, juste lui et moi. Que le jeu commence ! « Hé beau gosse ça te dit une danse ? » hurlais-je tout en me raccrochant à la barre. Okay Celio, il va falloir tenir sur tes talons maintenant si tu veux finir dans son lit. Et plus vite que ça. Rapidement donc, je reprends mes esprits et le regarde ce rapprocher de moi. Je lui sers mon plus beau sourire et mon fameux regard aguicheur alors qu’il arrive enfin vers moi et sans réfléchir je m’accroche à son cou et l’embrasse avec ardeur. Il ne s’en plaît pas d’ailleurs. « Montre moi comme tu dégages de la sensualité quand tu danses » finit-il par me dire avant de redescendre de l’estrade. Je l’observe aller chercher une bouteille et s’installer correctement. L’espace d’un instant, il ressemble à tous ses clients, mais je préfère éviter cette pensée et ferme les yeux pendant quelques secondes. J’ai beau être bourrée tout ce que j’ai pu apprendre au cours de ma vie dans mes classes de danse, me revient en tête et surtout je m’imprègne de la musique ambiante. Je finis par engager une petite danse. Je me déhanche sans vraiment le regarder, absorbée par la musique les yeux mi-clos je me sentirais presque en transe. Et je finis par m’amuser autour de cette barre, plongeant mon regard dans le sien. Il ne me faudra pas très longtemps pour lui prouver que je sais mieux faire que toutes les filles qui étaient là ce soir. Je le vois juste à son regard, à cette façon qu’il a de me fixer d’un seul coup.

Tout en continuant à me déhancher je finis par descendre de mon perchoir et me dirige vers lui sourire aux lèvres. Je me place au-dessus de lui et continue ma petite danse tout en rapprochant mon visage du sien. « Alors ça te plaît ? » lui demandais-je d’un ton presque provocateur. Je dois dire que cela fait bien longtemps que je n’ai pas jouer comme ça. Il y avait eu la période Ethanaël et j’avais arrêté mes conneries, mais ce soir je retrouve tout mes vieux instincts et je m’amuse comme une dingue en plus. Je vois que je plais et au fond c’est ce qui m’intéresse le plus. Parce que même si je ne le reverrais sans doute jamais après, ce soir au moins il s’intéresse à moi et je me sens presque aimer. J’ai juste besoin de ça. Finalement je m’assois à califourchon sur lui. « Tu veux pas danser avec moi ? » lui demandais-je alors que je sentais ses mains ce balader sur mon corps. Et alors qu’il allait entreprendre quelque chose je me lève en riant et lui fait signe de me suivre. Je repars d’un pas peu sûr, et me déhanche de nouveau sur la musique, attrapant au passage une coupe de champagne que je vide assez rapidement. Je sens qu’il me suit et il finit par m’attraper par les hanches. L’espace d’un instant, nous dansons ensemble et à chaque geste tendre qu’il tente je ne peux m’empêcher d’esquiver, juste comme ça, juste pour m’amuser. Finalement je lui fais face et m’attaque aux boutons de sa chemise. Je commence par le haut et descends tout doucement, au moins il comprendra rapidement le message, au cas où celui-ci n’était pas encore assez clair. Lentement je me rapproche du dernier bouton et je laisse traîner ma main le long de son bas ventre. Je le vois ce mordre la lèvre. Je vais gagner. Je finis par lui enlever sa chemise et dépose en même temps quelques baisers dans le creux de son cou. Je le sens frissonner. « Bel homme ! » dis-je tout en riant de nouveau avant de fuir avec sa chemise. Je me dirige alors vers le canapé et rapidement, je passe derrière enlève mon jean et mon tee-shirt et enfile sa chemise par dessus mes sous vêtements, il ne me reste que cela et mes talons. Je ferme quelques boutons et roule les manches avant de me tourner ver lui. « Elle me va bien non ? » dis-je tout en lui souriant. Je vois bien que je le rends dingue et cela m’amuse réellement. « Où je ferais peut être bien de l’enlever, non ? T’en pense quoi ? » finis-je par lui demander.

Après avoir quitté la demoiselle quelques heures auparavant je suis allé voir en coulisse comment allait les filles, passer un peu de temps avec les hautes têtes de cette ville ça peut toujours servir après tout. Pendant ce temps là je n’avais aucune idée de ce que faisais la jeune photographe et elle était sans doute partie après tout, qu’importe. Je ne connaissais que son prénom alors quand bien même je souhais la revoir je ne dis pas que c’est le cas je n’aurai aucun moyen d’y parvenir. Combien de Siloë-Jules y avait-il en ville ? je n’en savais strictement rien faut dire c’est la première fois depuis que j’étais arrivé que je rencontrais quelqu’un et parlait avec quelqu’un qui n’était pas ma sœur, un employé ou un fournisseur c’est beau dire. Je ne regrettais pas du tout cette rencontre en tout cas, elle avait ce quelque chose cette fille qui vous rend fou ça je ne vous le fait pas dire. Alors que je refermais la porte sur le dernier client, une voix féminine m’interpella « Hé beau gosse ça te dit une danse ? » hurla la jeune femme qui voulait se jouer de moi, le ton de sa voix n’était pas le même que précédemment comme si elle avait terminé le reste du temps à boire. Qu’importe ce qu’elle a pu faire avant, en tout cas maintenant elle est sur l’estrade, utilise la barre pour m’attirer vers elle ce qui marche parfaitement je dois dire. Elle fini par s’accrocher à mon coup et m’embrasse un baiser que je ne refuse point, lui demandant alors de me montrer ce qu’elle savait faire je pris la place d’un client en soit mais ça n’avait rien à voir avec les clients qui venaient ici. Je pris le temps de passait par le bar récupérer une bouteille de champagne et deux verres. Je bois ma coupelle de champagne tout en l’observant, les yeux fermés de temps à autre, sans doute pour retrouver ses esprits ou des pas de danse qu’importe les minutes s’écoulent et ses mouvements commencent.

Balançant ses hanches au rythme de la musique sa danse devient tout à fait coordonné avec la musique, ce spectacle est un vrai chef d’œuvre il est certain que si j’avais des filles comme ça dans mon club les clients demanderaient plus que de les regardaient … mais avoir le droit à un tel spectacle en privé ça ne se gâche pas du tout. Elle se met alors à jouer avec la barre glissant ses jambes autour de celle-ci, je me mets alors à vouloir être cette barre entre ses jambes, elle a beau ne pas être en robe je suis sur qu’elle a des jambes magnifiques peux être aussi douce qu’une pierre poli… je ne me vois et heureusement d’ailleurs mais je sens mon regard totalement attiré vers Siloë-Jules, vers cette sublime femme qui à de nombreux atout outre le savoir d’y faire avec les hommes.

Soudainement elle finit par descendre de l’estrade et se dirige vers moi sourire aux lèvres sans arrêter de faire bouger son corps. Elle se permet même de venir se placer au-dessus de moi et continue sa petite danse tout en rapprochant son visage du mien, c’est moi ou il commence à faire chaud tout d’un coup ?. « Alors ça te plaît ? » me demanda-t-elle d’un ton presque provocateur comme si elle doutait de ses performances, je ne pense pas. Je ne sais pas si elle veut juste jouer ou comme deux adultes assouvir nos pulsions après tout je ne la connais pas elle pourrait bien faire la fille aguicheuse et se tirer avant de faire quoi que ce soit.
« Il faudrait être très difficile pour ne pas apprécier le spectacle je dois t’avouer… mais comme si tu en doutais. » lui répondis je aussitôt.
Bien sur que cette fille me plait, mais elle m’intrigue aussi beaucoup je ne lui poserais aucune question sur sa vie ni rien mais je ne serai pas étonné de ne pas être le premier avec qui elle fait ça, et dans ce cas là pourquoi agir ainsi avec tous les hommes ? Les prendre pour des objets ? une autre raison peux être à son comportement… Bref je m’en fou. J’ai juste besoin de ça. Finalement elle s’assoit à califourchon sur moi. « Tu veux pas danser avec moi ? » me supplia-t-elle presque je le vois dans son regard ou peux être étais ce pour changer d’occupation. Alors que j’étais en train de glisser mes mains sur son corps prêt à enlever son t shirt, elle se leva en riant, qu’elle était cruelle cette fille. Elle se relève et se remet à se déhancher attrapant au passage une coupe de champagne qu’elle vide rapidement, je la suis subjugué par l’ensemble qu’elle représente, je fini par l’attraper par les hanches, la faisant danser après tout ce n’est pas ce qu’elle voulait, je ne suis pas du genre à être violant au contraire mais je vois que chaque geste qui se veut être doux et tendre l’embête puisqu’elle esquive. Soudainement sans que je m’y attende vraiment elle me fait de nouveau face et de ses doigts magiques déboutonne ma chemise laissant apparaitre mon torse. Si c’est encore un jeu de sa part je meurs, l’excitation commence réellement à monter, le contact de ses mains sur ma peau me rend dingue, jeu ou non cette fois ci je suis à sa merci, qu’importe ce que je pourrais tenter elle a commencé à tirer sur la corde. Plus de chemise sur le dos, elle l’a dans ses mains mais non elle ne se contente pas de rester là non si seulement elle glisse ses lèvres si douces et pulpeuses au creux de mon cou, je n’ai pas besoin de regarder je sens les poils de mes bras dressé comme des soldats … ce n’est pas humain d’avoir un tel effet. « Bel homme ! » me dit elle en riant de nouveau avant de fuir avec ma chemise, elle va finir par me rendre chèvre je vous le dis moi. Je la vois presque courir vers le canapé,elle passe derrière celui-ci et quand elle ressort de l’emplacement elle n’a que ma chemise pour la couvrir, ses talons et ses sous vêtement… ses sous vêtement. Elle ferme quelque boutons mais je vois quand même la forme de son vendre, les bonnets soutenant sa poitrine, presque la fille parfaite en soit si elle n’était pas aussi joueuse. Quoi que ça rajoute une sorte de piment, c’est une dose d’excitation plus puissante que sauter en parachute je n’ai que ça comme exemple pour le coup. « Elle me va bien non ? » me dit elle toute fière d’elle avec son foutu sourire là, je suis sur que ce jeu l’amuse beaucoup plus qu’à moi, mais je ne vais pas la laisser gagner tout de même. Et sans que j’ai le temps de répondre quoi que ce soit elle renchérie « Où je ferais peut être bien de l’enlever, non ? T’en pense quoi ? » Comment rendre barge, appelez Siloë-Jules au **** **** **** bah je n’ai pas son numéro c’est bête, elle avait carrément le dessus et pour ravoir l’avantage je n’avais pas grand-chose je dois dire jouer l’indifférence peux être … .
« Elle me va mieux à moi je trouve… » Lui répondis je dans un sourire avant de desserrer ma ceinture et de rappliquer « Mais tu peux toujours l’enlever. » Allez à mon tour d’essayer de la rendre folle, je m’approche de nouveau d’elle et l’embrasse au creux de son coup , revenant vers ses lèvres que je frôle je me colle légèrement contre elle et avant qu’elle ne fasse quoi que ce soit je me recule, rempli de nouveau une coupelle de champagne et monte sur l’estrade, faisait sauter un bouton, puis deux du pantalon. Je vide alors le verre d’une traite avant de me déhancher sur le son qui passe bon bien sur je n’ai pas fait de la danse moi quand j’étais petit mais je me débrouille assez. Je fini par me coller contre la barre et associant sourire et regard provocateur je m’éclate à passer ma main sur mon torse, essaye de la provoquer du mieux que je peux. Je fini par enlever le pantalon et lui lance alors. Je ne suis plus qu’en boxer heureusement que j’aie de bon gout vestimentaire.« Au fait bon choix de sous vêtement. »

J’ai toujours aimé jouer à ce jeu de séduction, je sais que je pousse le vice au plus profond de sa forme, mais je sais que c’est exactement pour ça que les hommes ce souviennent de moi. Cela fait longtemps, que je n’ai pas eu le droit de jouer. Avec Ethanaël, je n’avais jamais réellement osé agir comme ça. Bien entendu, je lui avais fait le coup du « il va falloir patienter un peu », mais je n’avais pas tenu longtemps avec lui. Je ne voulais pas qu’il me juge, qu’il croit que je le prenais comme les autres. J’avais peur de son regard, mais ce soir je finis par oublier tout ça. J’oublie le fait que je ne reverrais sans doute jamais mon meilleur ami, mais je n’arrive pas à oublier une chose… Le fait qu’une nouvelle fois je me suis fait abandonner par une personne que j’aime et je finis par laisser ressortir tout ça. Dès que Blaise ose un geste un peu trop tendre envers moi, je m’esquive. Je lui souris et passe a autre chose. Je vois bien comment il me regarde, je vois qu’il ce pose des questions, que je ne lui en ai pas assez dit pour satisfaire sa curiosité. A tout moment, je crains une question et afin d’éviter tout cela, je ne lui laisse pas une minute de répit. Après une danse lascive et quelque peu sensuelle, je finis par me rapprocher de lui. On ce cherche sans arrêt. Une caresse, un regard et je repars. Je ne cesse de rigoler et m’enfile une nouvelle coupe de champagne. Je m’éloigne et le voilà qui cours. C’est sans doute ce qui m’amuse le plus dans ce jeu, les voir me courir après sans réfléchir. Je me joue de lui et finis par lui enlever sa chemise. Je vois qu’il a de plus en plus de mal à résister, mais je m’amuse encore. Je veux qu’il devienne dingue, qu’il s’accroche, qu’il me montre qu’il a envie de moi. J’ai besoin de tout ça. Dans un coup de folie, je m’enfuis derrière le canapé et enfile sa chemise et uniquement sa chemise. En sous-vêtement et en talon, je réapparais devant lui. Je vois à son regard qu’il va réellement finir par craquer et cela me fait sourire. « Elle me va bien non ? » lui demandais-je tandis que je sentais son regard me brûler la peau.

« Elle me va mieux à moi je trouve… Mais tu peux toujours l’enlever. » me lance-t-il et voilà qu’il ce rapproche de moi. Je vois clair dans son petit jeu, il veut me rendre dingue. Ses lèvres ce posent sur ma jugulaire et je me sens frissonner. Je sais pas pourquoi, il me transporte. Il a ce truc, ce côté mystérieux et surtout ce regard. Bordel j’ai jamais vu un regard comme ça. Je sens ses mains ce balader sur sa chemise, je lui interdis plus. Et cette fois c’est lui qui s’éloigne. Il ôte son pantalon et entame une petite danse sur l’estrade. Comme lui auparavant, je me sers un verre et m’assois sur le canapé. Je remonte les manches de sa chemise et me décide à le rejoindre. De nouveau, je me déhanche sur la musique, l’ignorant presque alors que nos corps ce frôlent sans cesse. Finalement il m’attire vers lui et me piège contre le mur. J’ai l’étrange impression de m’être fait avoir. « Tu veux gagner ? » lui demandais-je plus provocante et sensuelle que jamais. J’ai envie de le faire craquer, je veux gagner sur ce coup-là. En silence, je pose mon doigt sur son torse et me rapproche de sa jugulaire. « Ca sert à rien de résister mon beau. » murmurais-je tout en laissant mon doigt glisser sur son torse et descendre doucement, mais sûrement vers son bas ventre. Son boxer cache de moins en moins bien son excitation. Oui je vais gagner. Je mords le lobe de son oreille et descend dans son cou. Délicatement, je glisse ma main sur ses fesses dans son boxer. Il commence à devenir de plus en plus tactile et petit à petit je le laisse faire. Nos souffles s’accélèrent, désormais plus rien ne peut nous arrêter, oui je vais pas reculer. Il ne faudra pas longtemps pour que la chemise vole je ne sais où sur l’estrade. La musique nous envahit et je me laisse emporter. Le regard plongé dans le sien, j’explore son corps et ne cesse de le titiller. Finalement, je pose mes lèvres sur les siennes et le laisse m’approchez désormais, je veux qu’il m’impressionne, qu’il me fasse vibrer.

Le jeu de séduction est assez fascinant, surtout chez les femmes, à croire qu’elles sont né avec cette maitrise là pour rendre dingue un homme, faut pas s’étonner qu’après on est à leur pied si elles ont ce truc pour faire de nous ce qu’elle veut. Et je suis sur que cette Siloë Jules pourrait demander n’importe quoi à un homme il le ferait fin n’importe quel homme sauf moi tout de même il en faut bien plus pour m’avoir. Certes je viens de succombé à son charme mais qui ne le ferait pas. Qui ne le ferait pas en l’ayant vu gesticulé comme elle vient de le faire sur cette estrade. Quand elle vient vous rendre encore plus fou en se gesticulant sur vous, faisait monter la pression d’un cran … le pire c’est quand elle vous enlève votre chemise et se fou en sous vêtement … comment ne pas éprouver un désir non contrôler sur la jeune femme au corps ravissant.
Cette fille là me rend chèvre mais il est sur que je m’interroge sur elle, sur le pourquoi elle agit ainsi, je ne m’en plein pas bien au contraire mais c’est vrai que je cherche souvent de savoir le pourquoi du comment… une chance pour elle pas avec elle, pas à ce moment là, j’ai bien essayé tout à l’heure d’en savoir plus sur elle sur un sujet complétement annodin dont elle a esquivé la chose de manière parfaite je dois dire autant dire que je ne veux pas qu’elle sorte les griffes du moins sauf si ce n’est pour les glisser le long de mon dos. Elle ne cesse de rigoler et s’enfile une nouvelle coupe de champagne, son rire à le son d’une mélodie après quelque coupe et d’alcool dans le sang, une sacré belle mélodie. Et voilà qu’elle me fait le coup de fuis moi je te suis, suis moi je te fuis, elles sont si sadique les femmes avec nous pauvres hommes que nous sommes. Elle se joue de moi et je vois bien que ça la fait mourir de rire que je la dévore de mes yeux, à m’en bruler les yeux.
« Elle me va mieux à moi je trouve… Mais tu peux toujours l’enlever. » Lui lançais je, il faut bien inverser un peu les rôles essayer de la rendre dingue comme elle me rend dingue. Lui donné autant envie de mon corps qu’elle me donne envie. J’ôte alors mon pantalon et entame une petite danse sur l’estrade. Comme elle auparavant, je l’observe du coin de l’œil, se servir un verre et s’assoir sur le canapé tout comme moi tout à l’heure, cette fois ci j’avais l’impression d’être la pute et elle le client. Quel drôle tournement de situation, c’était glauque de se retrouver sur la scène imaginant des millions de regard posé sur soi. Elle remonte les manches de ma chemise et en quelque seconde se retrouve à côté de moi. Elle recommence son jeu de rend moi fou à croire qu’elle adore ça, elle se déhanche à côté de moi sans me calculer une seule seconde, nos corps se frôlent juste. Finalement je l’attire vers moi et la plaque contre le mur. « Tu veux gagner ? » me lança-t-elle dans la provocation et la sensualité. Je sais bien qu’elle ne me laissera pas gagner aussi facilement je ne la connais que depuis ce soir du moins je ne connais juste son nom mais j’ai l’impression de savoir ce qu’elle va faire. En silence, elle pose son doigt sur mon torse et se rapproche de ma jugulaire. « Ca sert à rien de résister mon beau. » murmura-t-elle tout en laissant son doigt glisser sur mon torse et descendre doucement, très doucement vers le bas ventre. Le contact de sa peau sur la mienne me fait étrangement frissonner et ce n’est pas question d’être froid parce que je peux vous jurer que vous mettez une sonde à l’intérieur du corps il dépasse les 45°. Je n’ai même pas besoin de regarder mon soldat que je sais qu’il est au garde à vous je le sens bien à l’étroit tout un coup et impossible de contenir l’excitation pour cette fois ci. Elle s’amuse de plus en plus avec mes nerfs. Je sens soudainement ses mains glisser le long de mon dos et se retrouver à l’intérieur de mon boxer. Des étincelles devaient sans doute éclater dans l’air tant l’excitation que ce soit d’elle ou de moi fusaient dans la pièce. Se sentir contrôlait n’était pas déplaisant au contraire même mais je n’allais pas lui laissait avoir le dessus toute la nuit elle l’avait déjà fait une partie de la soirée. Nos souffles s’accélèrent, désormais plus rien ne peut nous arrêter, du moins en ce qui me concerne mais elle peut être, il serait fort dommage pour la jeune femme de faire demi tour à ce stade là. La musique continuer de jouer en fond mais ce n’est pas réellement sur elle que je suis concentrer mais sur la jeune demoiselle. La photographe repose alors une nouvelle fois ses lèvres sur les miennes dont j’en apprécie la moindre saveur, et la moindre seconde. Je lui avais laissé le temps de scruter mon corps autant qu’elle le désirait c’était désormais à mon tour de l’explorait et à elle de se laisser faire.

Elle n'allait pas regretter d'être venue prendre des photos elle en garderait très certainement en tête ! Comme un aimant mes lèvres étaient parties rejoindre celle de la brunette, avec fougue et passion. Mes deux mains avaient glissé sur ses cuisses tandis que de ma bouche je venais d’attaquer le cou de la demoiselle l'embrassant et la croquant avec gourmandise, mes mains curieuses étaient descendues au niveau de la dentelle de la jeune femme, et d’une main j’avais fait glisser le tissu ! Ma bouche avait parcouru son corps du moins la langue que j’avais glissé le long de son thorax pour arriver au niveau de son bas ventre, continuant à descendre sa langue il fini par arriver sur l’entre cuisse, l’entre du plaisir celle qu’un homme attend, celle que j’attendais depuis le début de la soirée. Mes doigts glissaient le long de ses jambes alors que ma bouche dévorait l’intimité de la jeune femme. Je sentais sa respiration s’accélérer et accélérant légèrement le rythme après plusieurs minutes … sentant qu’elle était à deux doigts de craquer, je me redressais soudainement. Et d’un regard coquin j’étais revenu à sa hauteur, j’avais fait légèrement débordé le mercure du thermomètre, voulant qu’une seule chose la faire vibrer tel des ondes sonores sur une bande musicale.

« Ca sert à rien de résister mon beau. » finis-je par lui dire tout en continuant à la chauffer. Il faut avouer que le jeu n’était pas très compliqué étant donner qu’il part au quart de tour. Vraiment trop facile, mais cela ne me dérange pas. Après tout je ne cherche qu’une seule et unique chose désormais : passer la nuit avec lui. Et il semblerait que sur ce point-là nous soyons sur la même longueur d’onde. Bloquée contre le mur, je me retrouve tout de même assez rapidement bloquer dans mes mouvements, ce qui lui donne alors un certain avantage non négligeable. Lorsque sa bouche ce dépose sur ma jugulaire, je me sens frissonner. Il a déjà trouvé mon point faible, bon en même temps j’avoue que c’est assez facile. Je glisse ma main sur sa nuque et pour une fois me laisse absolument faire. Et voilà que lui aussi il s’amuse. Il s’amuse avec mes sous-vêtements avant de les faire voler. Doucement il couvre mon corps de baiser et descends très lentement vers mon bas-ventre. Je le laisse totalement faire et ne peut m’empêcher de gémir lorsqu’il atteint son but. Mais voulant ce joué de moi, il s’arrête subitement et remonte son visage à ma hauteur. Un sourire espiègle collé aux lèvres. Rapidement, je remonte ma jambe sur sa cuisse et il finit par m’attraper sous les fesses. J’entoure ses hanches de mes jambes et passe mes bras autour de son cou. Il ne faudra pas plus longtemps pour que nos deux corps ne fassent plus qu’un. Rapidement ces hanches impriment la cadence et je ferme les yeux envoûté par la musique, par ces gestes et habité par le désir. Il ne nous faudra pas longtemps pour atteindre le septième ciel.

Il ne nous faudra pas très longtemps également pour recommencer. Sur le bar, sur une table et pour finir sur le canapé. Au moins, avec lui, j’ai réussi à tout oublier pendant quelques heures. Il n’y aura eu que du plaisir, uniquement quelque chose de physique et rien de plus. Tout les deux sur le canapé, nous avions finis par nous endormir épuisé par nos derniers efforts physiques. Mais au bout d’un moment, je finis par me réveiller. Blaise lui dors encore comme un bébé et en silence je finis par me lever. Je finis par me diriger vers le bar pour me servir un verre d’eau. L’espace d’un instant, j’observe les lieux. La musique avait finis par ce taire et l’endroit est alors beaucoup trop calme. Mon amant dort paisiblement tandis que je cherche mes vêtements du regard. Je finis par retrouver mes sous-vêtements et mon tee-shirt. Il me manque juste mon jean. Je cherche en essayant de faire le moins de bruit possible, mais l’idiote que je suis avait eu la bonne idée de remettre ses chaussures. Je devais faire un boucan incroyable en réalité. Mais la seule et unique idée que j’avais en tête pour le moment était de fuir. Je sais c’est tout sauf loyale, mais j’avais obtenue ce que je voulais, pourquoi rester plus longtemps ? Je ne vais tout de même pas lui demander de m’offrir le petit déjeuner ou de passer la journée avec moi quand même. Enfin c’est peut être ce qu’il veut lui au fond. Non franchement non ça m’étonnerais. Pourquoi sauter une fille dans son club si c’est pour vouloir la revoir le lendemain ? Il m’aurait ramené chez lui pour ça. Enfin peut être pas. Bordel je crois que je réfléchis vraiment un peu trop sur ce coup-là. Ah voilà mon jean. Okay désormais il me manque plus que mon sac à main et mon appareil photo.

Je me dirige alors de nouveau vers le bar, persuadé de l’avoir laisser là-bas. Bon aller Siloë, maintenant tu fais vite et tu te tire sans un mot. Je venais tout juste de mettre la main sur mon sac lorsque je sentis une main ce glisser sur mes hanches. Bordel je l’ai réveillé. Je me retourne rapidement et lui lance mon plus beau sourire, incapable de dire quoique ce soit. Je crois qu’il va falloir justifier ma fuite…

La soirée avait défilé, puis la nuit aussi, le pêché de tout les hommes m’avait rattrapé, j’avais fini par cédé aux charmes de la jeune femme, comment on résiste à ça de toute façon il n’y a pas mille solutions et comme on dit le meilleur moyen de résister à la tentation c’est d’y cédé c’est ce que j’avais fait durant cette nuit. On avait mis du temps avant de se bloquer dans un coin et d’user la moindre surface exploitable. Charmant pour un propriétaire, je ne vous le fait pas dire. La beauté d’une femme, et les secrets qu’elle y renferme est si passionnant c’est comme avoir l’impression d’être un explorateur, qui venait de trouver un trésor caché depuis des années, et ce trésor là on ne l’abandonne pas, on ne le jette pas à la poubelle non. On le garde précieusement, profitant de chaque instant donné en sa présence pour l’admirer, l’observer sous tous les angles, le toucher si besoin est pour évaluer sa valeur. Ya pas à dire Siloë Jules valait tout ça, c’était comme avoir gagné la super cagnotte du loto, c’est comme sauter à l’élastique, une sensation d’extase. J’avais pris mon pied avec cette fille, un pied d’enfer, les mauvaise habitudes jamais elles ne cessent comme si elles sont rangé dans un placard et quand on fini par avoir l’occasion de les ressortir elles surgissent de nulle part gâchant tout vos efforts.

Cette fille là avait cette prétention de savoir ce qu’elle vaut, de savoir qu’elle n’a juste à remuer ses fesses pour que tous les hommes se jettent à ses pieds et vous savez quoi je crois que rien que de savoir ça, ça l’excite. Elle ne doit pas être très humaine, mais bon sang qu’est ce que j’ai aimé la moindre seconde passé avec elle, bien sur que non je ne suis pas amoureux, et je ne risque pas, pas de ce genre de femme elle a tout pour elle je ne le cache pas mais elle a franchement l’air d’être à coté de ses pompes, agir ainsi le démontre, elle fuit quelque chose ou quelqu’un je ne sais pas et qu’importe ce n’est pas mon problème. Après tout j’ai eut ce que j’ai voulu, passé une nuit torride et ça s’arrête là. Je pourrais regretter ses instants, d’avoir sombré dans cette folie, mais regretter sert à quoi ? Après tout je suis célibataire, je ne dois de compte à personne, et puis merde j’suis encore jeune j’ai bien le droit de m’éclater … . D’habitude je ne passe pas la nuit avec mes conquêtes ou très rarement je n’aime pas ça, bien sur ça fait salop mais quoi ? Si je couche avec une fille ce n’est pas pour me forcer à passer la journée ou lui offrir le petit déjeuner. Vous prendrez ça pour de la fierté mal placé mais quand j’entends la jeune femme tâtonnait dans le club sans doute pour partir je n’aime pas ça, j’ai l’impression de connaitre ce que vivent ou on vécu les filles à qui j’ai fait le tour. J’ouvre les yeux et la vois au bar, j’avance vers elle et posa ma main sur ses reins. Elle a l’air surprise vu son regard, j’hausse les sourcils et lui lance « Classe de partir comme ça … sur tes escarpins. J’ai beau l’avoir fait a plein de fille, ça fait bizarre quand on me le fait, et je n’aime pas qu’on me le fasse. Tu veux que j’te ramène. Fin tu rentres comment chez toi ? » Lui demandais je alors, au cas ou je la ramènerai ou lui donner une poignée de dollars pour qu’elle rentre en taxi ou comme elle veut d’ailleurs.

Passant ma main dans les cheveux je passe derrière le bar et m’ouvre une bouteille de jus de fruit pour me réveiller, qu’importe si elle ne souhaite pas que je la ramène en tout cas moi je devrais quand même rentrer quoi qu’il en soit, retournant vers le canapé je récupère mon jean, ma chemise que j’enfile en 20 seconde et fini par enfiler mes chaussures.
« Alors Siloë jules, j’te ramène ou on se dit au revoir là ? »

La nuit avait été parfaite, il faut l’avouer cela fait bien longtemps que je n’avais pas pris mon pied comme ça, mais cela ne changeait rien à mes habitudes. Je ne suis jamais resté après une histoire d’un soir, je faisais toujours de mon mieux pour fuir en cachette. Je n’ai jamais aimé me retrouver nez à nez avec mon amant d’un soir le lendemain matin. En général, c’est toujours un moment empli de silence qui tente de combler un malaise ambiant. Vous l’aurez compris je déteste cela et ce n’est pas aujourd’hui que ça va changer, mais aller savoir pourquoi aujourd’hui je fais beaucoup de bruit. En même temps, il avait éparpillé mes fringues un peu partout dans son foutu club, abrutit ! Enfin. J’avais finis par retrouver tout mes habits, lorsque je sentis une main ce glisser sur mes hanches. Et merde je l’ai réveillé ! Bien joué Celio, non mais vraiment bien joué. « Classe de partir comme ça … sur tes escarpins. J’ai beau l’avoir fait a plein de fille, ça fait bizarre quand on me le fait, et je n’aime pas qu’on me le fasse. Tu veux que j’te ramène. Fin tu rentres comment chez toi ? » me dit-il d’un seul coup, d’un air presque péteux. Je hausse les sourcils et ne peu m’empêcher de rigoler. « Que tu n’aime pas, tu n’as pas le choix mon petit, on va pas ce marié ! » finis-je par lui répondre en riant de plus belle. Non mais sérieusement il ce prends pour qui ce mec ? D’accord on c’est bien amusé tout les deux ou tout du moins je me suis bien amusée à le faire courir, mais on va pas épiloguer non plus. Fin de l’histoire, rideaux, chacun rentre chez soi. Je l’observe passer derrière le bar et en profite pour ranger mes affaires dans mon sac à main. Je passe mon écharpe autour de mon cou, ajuste mon débardeur, m’attache les cheveux et lui lance un dernier beau sourire. « Alors Siloë jules, j’te ramène ou on se dit au revoir là ? » finit-il par insister. Je passe mon sac sur mon épaule et récupère mon appareil photo. « On va même ce dire adieu. » lui dis-je alors avant de commencer à partir. Il faut surtout pas que je m’éternise ici, et puis je suis déjà en retard pour le boulot. « Ou peut être à bientôt qui sait ! » finis-je par ajouter avant de passer la porte du club. Au moins, je me souviendrais de cette soirée et surtout de ce regard bleu persan. Oui ça je suis pas prête de l’oublier.