Cette soirée au bar avait fini par prendre une tournure que je n'avais pas prévue, bien que le tout se voulait une surprise plus qu'agréable je serais le dernier des menteurs si je me permettais d'avancer que je m'attendais de tomber sur Valentina et le mensonge serait d'autant plus prononcé si d'aventure j'osais avancer que je m'attendais à ce que nous nous retrouvions à se livrer corps et âmes aux affres de la séduction. Cette soirée s'étant avérée, du moins jusqu'à maintenant, des plus intéressante je ne pouvais qu'être persuadé que la suite ne pouvait que l'être d'autant plus.

Ayant quitté le bar en sa compagnie, lui tenant la main, je remarquai que nous avions attirés plus d'un regard indiscret mais je n'y accordais que bien peu d'importance puisque j'étais aveuglé par le désir qu'éveillait en moi la belle brune. Une fois hors de l'enceinte du bar je lui souris tout en me mordillant la lèvre et lui caressant la joue , du bout des doigts, j'approchai mes lèvres du creux de son cou histoire de lui déposer un tendre baisers tout en laissant mes mains remonter contre ses hanches et ses fesses.  

Bien que j'étais dévoré par l'envie et le désir je savais que nous devions nous trouver un moyen de transport après tout je n'étais pas dans un état pour prendre le volant … j'étais bourré certes mais pas totalement dénué de bon sens. Regardant autour de nous je vis une voiture de taxi et prenant Valentina par le bras j'entrepris de nous en approcher. Vérifiant au préalable auprès du chauffeur s'il était disponible je laissai la belle prendre place sur la banquette arrière pour ensuite l'y rejoindre. Donnant au chauffeur les coordonnées de mon adresse je me laissai aller à glisser ma main contre la cuisse de Valentina, la caressant du bout des doigts, alors que mon regard n'avait de cesse que de se noyer dans le sien … cette fille me rendait fou et cette façon , plutôt sexy, que j'avais de me mordiller la lèvre ne pouvait qu'en témoigner.

De toute évidence le conducteur semblait avoir énormément de difficulté à se concentrer à force de nous voir se couvrir de caresses tout en s'embrassant, le pauvre ne devait pas s'attendre à prendre à son bord deux personnes prêtes à se dévorer tout cru. Acquittant le montant de la course nous abrégeâmes le supplice du conducteur alors que nous nous dirigeâmes tout deux en direction de ma résidence.

Le bras autour de sa taille j'entrepris de me saisir de mes clés et une fois à l'intérieur je lui retirai sa veste tout en nichant mon nez dans le creux de son cou. Ce que je pouvais être fou de son odeur, c'était dingue, je ne pouvais que regretter d'avoir observé tant de retenue au bureau. Je parie que c'est la première fois que tu visites la maison d'un avocat maître de stage? Je ne sais pas pourquoi je m'étais permis de balancer une telle connerie, cela ne pouvait qu'être l'alcool, néanmoins cette plaisanterie n'était pas étrangère à ce sourire qui se dessinait sur mes lèvres.

Lorsque nous nous trouvâmes à l'extérieur de la boîte de nuit je ne tardai pas à nous trouver un taxi, histoire de pouvoir rentrer chez moi en compagnie de la belle, et l'idée de me débarrasser d'elle ne m'avait jamais effleurer l'esprit. Pauvre conducteur qui du se taper notre séance de bisoutage et de câlins alors que nous dévorions sur la banquette arrière du taxi. Arrivé à destination je payai le montant de la course , tout en y ajoutant un pourboire conséquent afin de le remercier pour sa patience, et rigolant de ce que venais de dire Valentina à l'endroit du chauffeur du taxi je ne pus qu'éclater de rire à mon tour.

Mon bras autour de sa taille nous nous dirigeâmes vers la porte de ma résidence et, après avoir peiné à retrouver mes clés, je finis par déverrouiller et ouvrir la porte. L'endroit était plus que silencieux, Rose n'était donc pas chez moi, c'était une bonne chose car je n'aurais pas voulu me taper l'interrogatoire de ma sœur cadette. Lui retirant sa veste je collai mon torse contre son dos , glissant mon nez dans le creux de son cou, et c'est alors que je la senti coller son corps contre le mien . Ce que je pouvais aimer cette sensation. Mes mains glissant sensuellement contre sa peau je ne pus que sourire en entendant ce qu'elle me répondit.

Il semble qu'il y ait une première fois à tout. Lorsque je la vis se hisser sur la pointe des pieds , histoire de s'emparer de la pointe du col de ma chemise, je ne pus que lui sourire … sourire qui ne pu que s'élargir au gré de ce qu'elle me murmura.

Son regard était de nature à m'envoûter si bien que je ne lui opposai pas la moindre résistance lorsqu'elle entreprit de déboutonner mon veston pour ensuite s'attaquer aux boutons de ma chemise. La douceur de ses baisers, entre chaque boutons qu'elle défaisait, ne pouvait que me procurer le plus doux des frissons et plus elle continuait avec sa manœuvre plus je me sentais fondre de désir au gré de la douceur de ses lèvres glissant contre ma peau. La voyant ensuite se relever je me mordillai la lèvre tout en laissant mes mains glisser contre ses hanches et ses fesses. Ses mains contre mon torse me procurait un effet plus que divin, j'en désirais d'avantage. Frémissant de désir sous ses caresses je me permis de remonter mes mains contre ses fesses, d'une manière un peu plus entreprenante, et la voyant retirer ma chemise je me mordillai la lèvre tellement le désir se voulait insoutenable. La belle contre moi je me permis de la serrer contre mon torse, remontant une de mes mains dans ses cheveux, tout en me sentant de plus en plus défaillir au gré de ses caresses parcourant mon dos pour atteindre leur point culminant alors qu'elle finit par caresser mes fesses.

Ne t'arrête surtout pas. Me mordillant la lèvre inférieure je l'embrassai sur la bouche, emprisonnant sa lèvre inférieur histoire de la suçoter, avant de reprendre le tout d'une manière plus animale … même mes caresses se voulaient plus ardentes.

J'étais ivre  à un point tel que je craignais la réaction de ma sœur si elle me surprenait avec Valentina mais je finis par me rappeler qu'elle avait quitté avec son imbécile de petit ami donc je ne risquais pas de me faire surprendre et c'était tant mieux. Rapidement mon attention fini par se porter sur Valentina, et que sur elle, lui ayant demandé – à la blague – si elle avait déjà visité la résidence d'un ancien maître de stage je ne pus que lui sourire amusé lorsqu'elle me répondit qu'il s'agissait là d'une première ce qui m'avait finalement emmené à lui dire qu'il fallait bien qu'il y ait une première à tout. Le fait de me retrouver avec elle, chez moi, était de nature à me paraître totalement surréaliste. Ayant travaillé ensemble nous avions eu une certaine promiscuité que je n'avais partagé qu'avec bien peu de gens … évidemment j'avais entretenu certains désirs à son égard mais étant avant tout un parfait professionnel j'avais préféré passer outre ces idées – plus que coquines – car rien ne me disait qu'elle les partageaient. Il y avait un lien d'autorité et je me refusais d'en tirer profit. Bien entendu ça c'était avait et bien des choses avaient changées … du moins j'en avais pris conscience ce soir.

Le désir semblait nous consumer et nos dévorés des profondeurs de nos êtres, c'était une évidence, il suffisait de nous voir s'échanger des regards afin de s'en convaincre et puis il y avait cette façon que nous avions de se coller l'un à l'autre tout en laissant nos mains glisser et remonter contre les courbes de l'autre afin de comprendre que la tension sexuelle qui nous unissait se voulait de plus en plus insoutenable.  Frémissant de désir sous la douceur et la sensualité découlant de ses caresses je finis – tout en me mordillant la lèvre – par m'abandonner à ce vent de folie qui ne demandait qu'à m'emporter et je lui caressai les fesses, avec une douce dose de virilité, au gré de ses mains qui doucement glissaient contre mon postérieur. Son sourire, le charme qui se dégageait de son regard, la sensualité de sa voix et – surtout – la douceur ainsi que la volupté de ses caresses ne pouvait que m'entraîner dans une seule et unique décision soit celle de m'abandonner corps et âme à ce désir totalement fou qui ne demandait qu'à se voir assouvit.

L'une de mes mains remontant le long de son dos, histoire de lui caresser les cheveux, je lui murmurai de ne pas s'arrêter tellement je pouvais apprécier ces douces attentions. Me laissant guider par ce désir , auquel je ne parvenais plus à résister, je me laissai aller à l'embrasser. Tantôt avec douceur, tantôt avec plus de passion, je continuai de m'occuper de ses lèvres même que j'entrepris de les mordiller. Ce petit jeu semblait avoir eu l'effet escompté sur la belle puisqu'elle s'y abandonna même qu'elle pimenta le tout en jouant de sa langue contre ma lèvre supérieure. Parcourant son corps, plus que désirable, de mes mains viriles je ne pouvais que frémir de désir au gré de ses caresses dont la douceur et la sensualité ne pouvaient que me procurer du rêve. Ma main caressant sa jambe, qu'elle venait d'enrouler autour de ma hanche, je ne pus que ressentir un doux frisson au contact de ses lèvres parcourant le creux de mon cou.

Adossé contre le mur, après y avoir été poussé par la séduisante jeune femme, je me laissai aller totalement alors que je prolongeai son baiser afin de le rendre torride et sensuel à souhait. Frémissant de désir au gré de ses doigts parcourant le bas de mon ventre, pour ensuite s'attaquer à ma ceinture, je continuai de lui caresser les fesses même que mes caresses se voulaient de plus en plus ardentes. Ses doigts s'aventurant à l'intérieur de mon pantalon, jouant avec l'élastique de mon caleçon, ne pouvaient que stimuler l'ardeur de mes pulsions.

Ma ceinture totalement détachée je ne pouvais que me laisser subjuguer par son regard, poussé contre le mur  je frémis au gré de sa main glissant contre mes fesses et je prolonge son baiser – avec fougue et passion – tout en remontant mes mains sous sa robe. La belle m'ayant repoussé légèrement je la regardai faire tomber sa robe et je dois avouer que la vue qu'elle m'offrait se voulait des plus imprenables.  J'aimais bien le fait de la voir en tenue légère, et puis il faut dire que cela la mettait parfaitement en valeur. Faisant tomber mon pantalon , afin de me retrouver en caleçon, je lui souris coquinement lorsqu'elle me demanda ou se trouvait mon bureau.

Il n'est pas très loin.

L'embrassant langoureusement je passai mon bras autour de sa taille et lui mordillant la peau du cou je l'entraînai dans la pièce adjacente ou – justement – se trouvait mon bureau. D'un geste j'en balayai la surface afin de lui permettre de s'y installer.

S'il y avait une évidence qui crevait les yeux c'était bel et bien que nous avions atteint le point de non retour, il suffisait de nous regarder s'échanger des regards tout en laissant nos mains parcourir mutuellement le corps de l'autre pour s'en persuader.  Je me délectais de ce moment que nous partagions, s'embrassant avec fougue et passion alors que nos caresses avaient fait en sorte de faire monter le désir à un point tel que nous n'avions pas su résister à la folle envie de se dévêtir mutuellement.  Je ne me reconnaissais plus, moi qui était d'un naturel  sérieux et qui ne laissait jamais rien au hasard voilà que je me laissais guider par ce que semblait me dicter mes élans passionnés. Pour une rare fois je semblais enclin à adopter un comportement un peu moins rationnel et plus en phase avec mes émotions.

Dévoré par le désir, tout en soutenant son regard, je me laissai aller à lui rétorquer que mon bureau n'était pas très loin de l'endroit ou nous étions. Bien que subjugué par son charme , plus qu'irrésistible, je n'avais de cesse que de me surprendre par ce calme que j'affichais.

Pourtant ne dit-on pas que la patience est la mère de toute les vertus?  Bien sur  je n'avais pas prononcé ces mots en ayant la moindre arrière pensée, il s'agissait avant tout d'une forme d'humour .

Passant mes bras autour de sa taille et l'embrassant dans le creux du cou, tout en lui mordillant la peau, nous finîmes par nous rendre à mon bureau. D'un geste je balançai sur le sol tout ce qui pouvait se trouver sur mon bureau. Lui souriant, tout en me mordillant la lèvre, je la regardai prendre place sur mon bureau tout en me laissant attirer par la belle brune. Sa main prenant appui derrière ma nuque je sentis ses jambes me serrer la taille … je ne pouvais que me languir de ce moment qui se profilait. Me laissant aller, totalement, je prolongeai son baiser avec passion.  Frémissant sous la douceur que pouvait me procurer la sensation de ses mains allant et venant contre mon torse je glissai mes mains contre ses cuisses et ses hanches.  Son regard m'envoûtait à un point tel que je ne parvenais pas à m'en détacher.

Ses mains explorant mon torse, ainsi que mes abdominaux, se faufilant afin de jouer avec l'élastique de mon caleçon n'était pas étrangères à cette bosse qui se formait à l'intérieur de cette pièce de tissus. Il y avait longtemps que je n'avais pas vécu un tel moment de promiscuité et d'intimité. Bien qu'il aurait pu m'intimider je me sentais plutôt envahi par un désir d'une telle ampleur que je ne pouvais que m'y abandonner. La belle brune me troublait, lui résister ne faisait plus partie de mes options et ça depuis un sacré moment.

Si un jour quelqu'un s'était aventuré à me dire qu'un jour j'en viendrais à partager ce genre de moments avec Valentina jamais je ne l'aurais cru, je l'aurais probablement invité à aller se faire voir, après tout il était vrai que j'étais obnubilé par cette image plus que professionnelle que je m'évertuais à cultiver et pourtant je ne pouvais nier que la belle m'attirait.

Ses lèvres , et sa langue, glissant contre mon menton avaient été de nature à me faire frémir … que dire du contact de sa langue contre mes lèvres si ce n'est que je sentis qu'elle tentait de m'achever. L'embrassant sur l'épaule, laissant mes lèvres glisser dans le creux de son cou, je ne pus que me mordiller la lèvre inférieure alors que je sentis sa  main glisser contre le haut de ma cuisse pour ensuite se faufiler à l'intérieur de mon caleçon. Prolongeant son baiser, avec fougue et passion, je laissai mes mains contre les siennes alors que je la guidais afin de l'aider à me retirer ce bout de tissus qui – de toute évidence – semblait la gêner. Je ne pouvais que frémir de désir au gré de ses caresses contre mon postérieur et mon intimité. Reprenant possession de ses lèvres je l'embrassai langoureusement tout en laissant mes mains remonter contre ses hanches et ses cuisses et puis glissant mes lèvres contre le lobe de son oreille je m'affairai à le mordiller alors que tout en douceur  j'entrepris de lui retirer son soutien gorge la dévorant du regard.

Moi qui me faisait un devoir de toujours me montrer en parfait contrôle, peu importe la situation, il devenait de plus en plus évident que la situation m'échappait et cette fébrilité qui m'habitait lorsque je me retrouvais en compagnie de Valentina ne pouvait que l'illustrer d'autant plus. Comment une femme pouvait parvenir à me mettre dans un tel état? Le mystère me semblait entier pourtant je ne pouvais que m'y abandonner puisqu'il y a déjà un long moment que je n'avais plus la force de lutter contre ces folles pulsions qu'il parvenait à éveiller.

Bien que reconnu pour mon côté sérieux et respectable je savais aussi faire preuve d'humour et d'esprit lorsque la situation s'y prêtait d'ailleurs je n'hésitai pas à balancer une plaisanterie de mon cru ce à quoi la belle n'hésita pas à rétorquer.

Ce sourire, ce regard, il m'était impossible de m'en détacher tellement il pouvait être de nature à me troubler et à m'envoûter. Laissant nos vêtements choir contre le sol du hall d'entrée je lui pris la main afin de l'entraîner en direction de mon bureau. La belle s'installant sur mon bureau je me rapprochai dangereusement d'elle alors que je l'embrassai avec fougue et passion tout en laissant mes mains explorer les différentes courbes de son corps histoire de les caresser tout en douceur. Son parfum, la douceur de sa peau, ne pouvait que contribuer à l'essor de ce désir qui n'avait de cesse que de s'emparer de tout mon être. Ses jambes enroulant ma taille et la serrant ne pouvaient que m'inciter à m'abandonner totalement à elle et les caresses que je déposais contre ses hanches et ses cuisses s'en voulait un bel exemple.

Ses mains baladeuses s'aventurant sous mon caleçon je ne pouvais que ressentir les effets de ce désir charnel qui n'avait de cesse que de s'emparer de moi, frémissant de désir sous ses caresses je finis par me mordiller la lèvre tout en l'aidant à me retirer mon sous-vêtement. Mon slip maintenant à la hauteur de mes chevilles il n'y avait plus le moindre obstacle pouvant nous empêcher de s'offrir l'un à l'autre. Mon baiser n'ayant d'égal que la vigueur de sa caresse, aussi coquine que sensuelle, à l'encontre de mon intimité il n'en fallait pas plus pour déclencher un élan de passion des plus incontrôlable. Gémissant sous l'exquise douceur qu'elle me procurait je me laissai aller à couvrir le creux de son cou de mes baisers tout en titillant le lobe de son oreille avec ma langue. Me sentant investi d'un désir plus que ardent je me permis de parcourir son corps de mes mains viriles histoire de remonter jusqu'à son soutien gorge histoire de le lui retirer avec une adresse peu commune.

Ses lèvres s'emparant de nouveau des miennes, et son corps se collant au mien, je ne pouvais que profiter de ce moment alors que je me permis de glisser mes bras autour de sa taille alors qu'elle passa les siens autour de mon cou. Mon regard se perdant dans le sien, je laissai mes mains glisser contre ses fesses et ses hanches alors qu'elle se tenait debout contre moi. Ses mains , ses lèvres ainsi que sa langue, ne pouvaient que me procurer d'exquises douceurs se voulant de nature à me faire frémir alors qu'elles couvraient mes épaules, mon cou, mon torse , mon ventre ainsi que mon bassin de leurs tendres et délicieuses attentions. Fermant les yeux , tellement je me sentais en phase avec notre moment, je me mordillai la lèvre alors qu'elle s'empara de ma main afin d'y déposer ses douces lèvres d'un geste empreint d'une sensualité plus que déconcertante.

Ses lèvres et sa main relâchant soudainement ma main je ne pus que me délecter de cette savoureuse gâterie qu'elle m'offrit, me mordillant la lèvre je me permis de lui caresser la tête tout en gémissant son prénom. Me laissant faire je regardai la belle se redresser afin de se retrouver coller contre moi et l'embrassant à pleine bouche , laissant une de mes mains s'aventurer entre ses deux cuisses, j'entrepris de l'embrasser dans le creux du cou pour ensuite retirer ma main. Mon bassin contre le sien, au gré de ce frottement que j'avais initié, j'entrepris de l'allonger sur le bureau profitant de cette vue imprenable qui s'offrait à moi pour ensuite parcourir de mes lèvres le creux de son cou, ainsi que sa poitrine, son bas ventre pour finalement m'attarder à cette région plus qu'intime que je léchais avec vigueur.