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 SNOW & OZ « L'amour est réel si chaque seconde qui le crée le remet en cause. » / HOT /

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MessageSujet: SNOW & OZ « L'amour est réel si chaque seconde qui le crée le remet en cause. » / HOT /   SNOW & OZ « L'amour est réel si chaque seconde qui le crée le remet en cause. » / HOT / EmptyMer 7 Nov - 19:24


Oz & Snow
« L'amour est réel si chaque seconde qui le crée le remet en cause. »


Snow. Elle s'appelait Snow... si Oz avait choisi pour son nouveau roman de prendre une femme pour personnage principal, il aurait définitivement pu l'appeler ainsi. Et elle aurait été brune, avec des lèvres pulpeuses et bien roses, une peau diaphane, un peu comme la Blanche-Neige du Conte de Perrault. Ah ça oui, il aurait carrément pu. C'est pour ça que lorsqu'il l'avait vu, pour la première fois, il s'était presque demandé si elle n'était pas une hallucination trop réaliste, frappante comme il avait pu en avoir ces dernières années. Mais non. Non. Leurs disputes avaient été vraie, ils s'étaient répondus mutuellement. Sur un ton dur, certes, mais vrai. Alors que lors de ses vision, Oz n'était jamais en mesure d'intérargir avec l'homme ou la femme qui apparaissait devant lui, sans prévenir, comme si c'était lui qui se trouvait sur leur chemin et non le contraire.

Pourquoi en étaient-ils venus à s'engueuler déjà ? Pour une histoire d'arbre. Un arbre mon dieu... c'était d'une absurdité risible. Ca ne l'avait pas été sur le moment pourtant. Cet arbre là, ce grand saule pleurer était très spécial pour Oz. Pendant des années avant son entrée en Hôpital Psychiatrique, il était venu ici pour écrire. Pour réfléchir. Et parfois juste pour être seul et pleurer loin du regard de sa petite soeur adorée. Ou de celui de son tortionnaire à qui il refusait de montrer ses faiblesses.
C'était là une cachette idéale, les feuillages plongeaient jusqu'au sol et cachait donc quiconque se trouvait appuyé contre le tronc, comme un rideau que la nature elle même avait créé. Aussi lorsqu'il avait écarté les branches souples, il avait été surpris de découvrir la jeune femme assise là, un bouquin sur les cuisses. Il fronça les sourcils, la détestant immédiatement de se trouver dans son havre. Nul à ses yeux n'avait le droit de partager son mur des lamentations. Il s'était raclé la gorge pour signaler sa présente et bien que les yeux de la jeune femme le troublèrent sur le champ, un long argumentaire avait suivi pour déterminer lequel d'entre eux avait ici la présence la plus légitime. Ils en étaient même venus aux insultes. « Vous n'êtes vraiment qu'une pute ! » lui avait-t-il craché au visage, sous le coup de la colère. C'était son arbre, nom de dieu, ne pouvait-elle pas juste le comprendre ? Elle avait alors battu des cils et répondu presque naturellement « Non, moi je ne fais pas payer. » Et cette provocation éhontée, cet air narquois et audacieux fît naître soudainement en Oz une drôle de pulsion. Il leva la main, comme pour la frapper, mais au lieu de l'abattre sur l'expression hautaine de la jeune femme, il l'avait plaqué dans cette nuque frêle et blanche pour la rapprocher violemment de lui. Et il l'avait embrassé douloureusement, à en perdre haleine. Il n'avait que rarement été dans un tel état lors d'un baiser, fébrile, et les muscles tendus d'envie. Elle l'énervait, l'agaçait au plus haut point, et l'attirait tellement pourtant.

Ce qu'il firent ensuite laissa Oz perplexe durant des jours. Ils avaient quitté cet arbre, l'un comme l'autre, ensemble. Abandonné le combat et étaient allés chez lui, dans son appartement pas très loin d'ici, les mains entrelacées, fébriles, le coeur battant à tout rompre. Et ils avaient consommé cette pulsion de désir inopiné dans une nuit folle de luxure et de violence.
Le lendemain, elle était partie. Elle avait quitté le lieu du crime sans demander son reste. Aussi quand il franchit cette fois là les branchages sans aucun espoir de la revoir, il pinça les lèvres, retenant un soupir de soulagement, en la trouvant assiste comme la première fois. Elle était donc réelle. Belle et bien réelle. « Vous le faîtes exprès, pas vrai ?! » lança-t-il pour annoncer son entrée. Elle était encore plus belle, et les émotions de Oz n'en furent que plus intenses et déconcertantes alors que des bribes de leur nuit revenaient à sa mémoire. « Je vous explique que c'est MON arbre, que c'est important pour moi d'être là mais vous vous pointez encore ! » Il la provoquait, sans savoir pourquoi, sans comprendre pourquoi à nouveau il était énervé de la trouver ici.


Dernière édition par Oz C. Ohlsson le Mer 21 Nov - 6:55, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: SNOW & OZ « L'amour est réel si chaque seconde qui le crée le remet en cause. » / HOT /   SNOW & OZ « L'amour est réel si chaque seconde qui le crée le remet en cause. » / HOT / EmptyMar 13 Nov - 22:56

Je restais troublée par ma récente rencontre. Un homme au prénom étrange, au regard noir. Ozcar ou plutôt Oz, une appelation que je ne pouvais m'empêcher de relier à ce roman pour enfant relatant un monde magique. Je me retrouvais sur mon lit, perdue dans mes pensées, dans mes souvenirs, cherchant à me remémorer la moindre petite seconde de cette étrange rencontre et ce qui en avait résulté. Une sorte de passion incompréhensible nous avait habités alors que notre rencontre ne s'était pas vraiment faite sous les meilleurs hospices. Nous nous étions haïs dès le premier regard, ne supportant pas l'un l'autre que l'on vienne troubler notre quiétude. Mon arbre, mon refuge, depuis que j'étais arrivée à Town Square semblait être partagé avec un autre. J'en aurais certainement eu rien à faire si il n'était pas arrivé à un moment où je m'y trouvais. J'aurais pu partir, lui laisser le champ libre pour méditer à son tour ou lire tranquillement, comme je le faisais alors, mais il était arrivé avec son air courroucé et rien qu'en croisant son regard, j'avais décidé de jouer avec ses nerfs. Il semblait de ces personnes à s'énerver rapidement et ces personnes étaient très certainement les plus distrayantes. Alors je l'avais cherché, taquiné, dragué même : il était là tendu, avec une fureur qui se révélait attirante, ses yeux noirs me foudroyaient. Cet homme je le voulais sans pour autant le savoir. Il était une sorte de jeu, de distraction malsaine. Je me savais joueuse et charmeuse mais il semblait que je n'avais absolument aucune limite pour tenter d'obtenir un homme qui me détestait. Au fur et à mesure de notre rencontre, son ton montait, mon sourire s'élargissait. Je répondais de manière calme et ironique devant sa fureur, cherchant à le faire sortir de ses gonds. Et je réussis, mais je n'avais absolument pas prévu ce genre de réaction. Sans que je comprenne vraiment comment, alors que je tentais presque de me protéger de la main que je pensais s'abattre sur moi, je retrouvais ses lèvres violemment plaqués contre les miennes. Je pouvais sentir sa colère à travers son baiser et de part ses bras qui me retenaient avec fermeté contre lui. J'aurais pu le repousser, j'aurais du le repousser, j'avais beau ne pas être la fille la plus sage de la ville, il était évident que quelque chose clochait chez lui. Mais je n'en eu pas la force. Je fus rapidement emporté dans le tourbillon de sentiments aussi contradictoire les uns que les autres et finissaient chez lui à combler cette passion dévorante.
Les yeux perdus dans le vide je me relevais avant de me poster devant mon miroir. J'enlevais mon teeshirt et regardais encore une fois mon corps à la fois surprise et fascinée. Ci et là apparaissait des tâches sombres sans pour autant que j'ai le moindre souvenir qu'il ait été trop loin dans ses gestes, tout ce que j'en retirais était une nuit où j'avais été comblée. Une nuit étrange certes mais qui avait mérité d'être vécue. Je contemplais les bleus dans la glace à la fois heureuse, car je n'avais pas inventé toute cette histoire, et à la fois effrayée par cet homme. Et pourtant, au fond de mes tripes, je ressentais ce besoin de le revoir, comme une sorte de curiosité morbide. Parce que depuis l'accident, malgré tout ce que j'avais fais et tenté, je ne m'étais jamais sentie aussi vivante et heureuse que dans ses bras. Au bout de quelques minutes, je pris une étrange résolution celle de retourner à cette arbre aussi souvent que possible dans l'espoir de le revoir, et il ne m'en fallut pas plus pour m'habiller, attraper un bouquin et me diriger à toute allure vers le saule pleureur.
Les jours passèrent sans que je ne le vis, je commençais à désespérer, à abandonner l'espoir de le voir un jour. Et je me surprenais à le traiter de tous les noms, à le détester plus encore, comme si il m'avait laissé tomber alors que je savais très bien qu'après notre nuit si spéciale c'était moi qui était partie le lendemain sans un bruit. Comme une voleuse. Car au fond c'était dans mes habitudes, les hommes je les consommais et les jetais. Mais cette fois je me trouvais bien étrange de courir ainsi après un souvenir... car je doutais presque de l'existence de cet homme tant il différait de toute réalité.
Ce fût au bout du 5 ème jour que mon acharnement porta enfin ses fruits. A peine entendis-je le bruissement des feuilles que je relevais la tête de mon livre. Je retenais un sourire soulagé de se former sur mes lèvres et le jeune homme m'y aida sans le vouloir en me balançant « Vous le faîtes exprès, pas vrai ?! Je vous explique que c'est MON arbre, que c'est important pour moi d'être là mais vous vous pointez encore ! » Je ne pu empêcher pourtant un éclat de rire en entendant ses mots si ridicules. Un sourire moqueur se forma sur mon visage et j'arquais un sourcil. « Je crois que vous n'avez toujours pas remarqué que je suis toujours la première ici et que, par conséquent, c'est vous qui vous pointez ! » Je passais une mèche derrière mon oreille avant d'afficher un sourire malicieux « De toute façon vous voyez très bien que cet endroit est important pour moi aussi vous savez pour ... lire » Je montrais mon livre du doigt et feintais de retourner profondément dans ma lecture. « Je bougerais pas si c'est ce que vous attendez. Il est peut être temps de vous trouver un nouvel endroit. » Je marquais la page où j'en étais rendue dans mon livre avant de fouiller dans mon sac et d'en sortir une cigarette que j'allumais avant de reposer mon regard sur Oz. « A moins que tu sois là pour revivre ce que nous avons fais la dernière fois » Je l'avais tutoyé volontairement, cherchant à le pousser un peu plus dans ses retranchements, je lui parlais de notre soirée observant les réactions sur son visage tandis que j'expirais la fumée de ma cigarette. Je finissais par hausser les épaules comme si je ne comprenais pas ses agissements. « Enfin si ce n'est que ça, tu n'as qu'à demander pas besoin de camoufler tes envies derrière un faux prétexte et, surtout, de me déranger en pleine lecture. »
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MessageSujet: Re: SNOW & OZ « L'amour est réel si chaque seconde qui le crée le remet en cause. » / HOT /   SNOW & OZ « L'amour est réel si chaque seconde qui le crée le remet en cause. » / HOT / EmptyMer 14 Nov - 7:23


Oz & Snow
« L'amour est réel si chaque seconde qui le crée le remet en cause. »


Il s'en souvenait encore… Il se souvenait de ses mains sur sa peau d'albâtre dont la douceur l'avait transcendé. Il se souvenait avoir encadré ce visage parfait de ses mains pour l'embrasser encore et encore. Il se souvenait encore du contact de leurs bouches brûlantes de désir se dévorant mutuellement. Il se souvenait ses dents mordant cette lèvre inférieure pulpeuse, cette épaule frêle ou même ce sein charnue qu'il avait palpé sans pouvoir s'en empêcher avec son camarade. Il se souvenait de chaque détail de sa peau, de chaque grain de beauté sur son ventre. Il se souvenait du goût laissé par son épiderme sur sa langue. Parfois tout était flou pourtant. Il voyait cette personne, cette personne portant le masque de son propre visage planté ses doigts violemment dans sa peau, maltraité ce corps divinement bien galbé, emprisonné ses poignets trop fort et soudain fusionner avec elle avec une violence qui le rendait malade. Et puis les sensations lui appartenaient à nouveau, il était de nouveau en lui et ne regardait plus ce monstre lui faire du mal. Il n'avait plus la nausée mais juste la fièvre la plus ardente dévorant son corps alors qu'il avait dévasté, souillé ce corps d'une perfection troublante avec ses coups de rein. Il se souvenait de l'orgasme qui l'avait frappé de plein fouet, rendant les battements de son coeur irréguliers. Puis de son arythmie à elle lorsqu'il avait senti autour de lui chaque muscle de la nymphe se crisper et puis… plus rien. Il s'était alors endormi… c'est du moins ce qu'il supposait. Car si quelque chose était arrivé entre cet instant de pure consécration et son réveil, il n'en avait plus souvenir. Car lorsqu'il avait ouvert les yeux sur sa chambre baignée de lumière, il était seul. Il avait alors tourné son visage en direction du coussin dans lequel se creusait encore le fantôme du poids crânien de la créature mystique qui avait un moment partagé sa couche. Il en avait frôlé le tissus, comme s'il s'était agit de sa peau et était venu niché son visage dans l'oreiller moelleux, en soupirant. Y respirant un moment le semblant de parfum peut-être imaginaire de la belle, il avait rouvert les yeux et s'était redressé. Entre ses lèvres s'étaient immiscé un cheveu. Unique et long mais qui sonnait comme une preuve et une pointe d'espoir quant à la réalité de cette rencontre. Il l'avait exposé aux rayons de l'astre diurne et pinça les lèvres en le découvrant long et brun, comme la crinière sombre de cette beauté mystérieuse. Il l'avait alors enroulé autour de son doigt et avait soupiré, fixant son reflet dans le miroir qui s'étendait sur le pan de mur face à lui. Blafard et les yeux cernés, il faisait peur à voir. Et pourtant ses traits avaient semblé détendus… Peut-être parce qu'il se sentait étrangement bien.

En la voyant ce jour là, repoussant les branches du saule pleureur, une profonde colère le prît, violente et viscérale. Premièrement, et ce malgré leurs disputes, elle se trouvait à nouveau sous l'arbre dont il lui avait exposé l'importance à ses yeux, mais en plus… elle était toujours divinement belle. A la limite du surnaturelle. Et il lui en voulait alors. Il lui en voulait d'être partie. D'avoir quitté sa chambre sans l'ombre d'un regret. Sans un mot, un bruit, un signe qu'elle reviendrait peut-être ou même… qu'elle avait apprécié ce moment. Et le monstre en Oz voulût l'étrangler, la tuer sur place. Mais il n'en fît rien. Il n'en fît rien car cette vision réveillait à nouveau en lui un désir ardent. Pourquoi diable avait-elle quitté les lieux du crime sans même un avertissement ? Avait-elle pris peur ? Est-ce que le côté sombre d'Ozcar l'avait effrayé au point qu'elle ne veuille pas en voir d'avantage ? Si tel était le cas… c'était tout à fait compréhensible. Car les démons d'Oz étaient loin d'être des plus plaisant à côtoyer. Il en savait quelque chose tant il était effrayé lorsqu'ils leurs faisaient face. Mais il y avait un moment maintenant que ça ne lui était plus arrivé. Aussi le monstre qu'il avait pu entrapercevoir cette nuit là n'était que lui en réalité. Lui, perdant totalement pied et toute faculté mentale et se livrant encore à ses pulsions sadique. Il devait à présent se l'avouer, l'inquiétude excitée qu'il avait lu dans les yeux de Snow l'avait rendu plus fou encore qu'il ne l'était déjà.

Il s'indigna, une nouvelle fois de la trouver là. C'était intolérable qu'elle ose encore se présenter sur les lieux où… tout avait commencé. Et cette peste lui rît au nez. Il n'en fulmina que plus, serrant les poings et la fixant les yeux remplis d'éclair. « Je crois que vous n'avez toujours pas remarqué que je suis toujours la première ici et que, par conséquent, c'est vous qui vous pointez ! » Il ne répondît pas à sa réplique, le fait même d'admettre qu'elle ait raison était au dessus de ses forces. Tout comme détourner les yeux de son visage. « De toute façon vous voyez très bien que cet endroit est important pour moi aussi vous savez pour ... lire » Lire.. en voilà une drôle d'idée ! Il y a tellement d'autre endroit pour le faire. Pourquoi fallait-il qu'elle choisisse exactement le même lieu que lui pour satisfaire sa curiosité littéraire ? Il y avait des bibliothèques pour ça Nom de Dieu ! « Pour moi, ce lieu est bien plus important. Je ne m'y adonne pas à ce genre de futilité. J'y réfléchis moi, j'y pense. Parce que c'est un lieu calme et que j'ai besoin de ce calme pour penser à… à… » A elle ? C'est ce qui avait failli lui échapper. Et troublé par cette presque révélation, il n'en trouva pas d'autre excuse, et se perdît dans les limbes floues de sa perplexité. Elle s'était en attendant reconcentrée sur son livre et Oz en hoqueta, offusqué et s'approcha un peu plus. « Je bougerais pas si c'est ce que vous attendez. Il est peut être temps de vous trouver un nouvel endroit. » Comment osait-elle seulement lui dire une telle chose ? Savait-elle depuis combien de temps cet arbre lui servait de lieu secret ? Hein ?! Ah ça non, ça ne lui viendrait même pas à l'esprit de demander, cette petite insolente. « Et pourquoi est-ce que VOUS ne chercheriez pas un autre endroit ? Est-ce que vous savez depuis combien de temps je fréquente ce parc et plus particulièrement la place que vous vous accaparez ? Le savez vous ? Plus de dix ans. Alors s'il y a bien quelqu'un ici qui doit se trouver un autre endroit, c'est bien vous ! » Ils auraient tout simplement pu arrêter de se disputer cette fameuse place et décider de la partager, mais Oz était trop fier pour ça. Et trop enclin à cette fureur dévastatrice. De plus.. il mentait. S'il ne comptait pas les 8 années en clinique, cette place ne lui avait pas même appartenu trois ans. Mais jamais il ne l'admettrait devant elle. Non, jamais.

« A moins que tu sois là pour revivre ce que nous avons fais la dernière fois » Cette réplique lui coupa littéralement le sifflet. D'où est-ce qu'elle sortait ça ? Est-ce que quoi que ce soit dans son expression avait trahi son désir ? Il en fronça les sourcils s'approcha encore plus d'elle, la regardant de haut, la toisant l'air mauvais. « Tu ferais mieux de la fermer… » la menaça-t-il. Qu'allait-il lui faire au fond si elle continuait de parler ? Quoi ? Elle avait en plus sortit une cigarette et sa manière de la fumer lui donnait encore plus de désinvolture et de provocation dans l'expression, ce qui rendît Oz plus… tendu et excité que jamais. Il ferma un instant les yeux alors qu'elle soufflait la fumer, ajoutant ostensiblement pour le provoquer « Enfin si ce n'est que ça, tu n'as qu'à demander pas besoin de camoufler tes envies derrière un faux prétexte et, surtout, de me déranger en pleine lecture. » Et d'un coup de pied il envoya valser le livre en question. Il tomba à genoux à côté d'elle et agrippa son visage entre ses doigts et son pouce, le tournant vers lui. « Si tu veux un conseil… ne joue pas à ça avec moi. Ca pourrait mal finir. » Et sans pouvoir attendre plus longtemps il lui arracha la cigarette des mains, la ruinant contre le tronc et la plaqua au sol, durement. Elle devait certainement avoir mal à la tête, le coup contre la terre dure avait dû être plus fort qu'il ne l'aurait voulu mais il n'y pensait même pas à cet instant. Il recouvrît son corps du sien et fondît sur ses lèvres qu'il saisit entre ses dents. Et lorsqu'il l'entendît réagir à la douleur, il passa en consolation sa langue sur cette bouche rougie et meurtrie, écrasant son bassin contre celui de la brune prisonnière entre lui et le sol. Mon dieu qu'il la détestait et en même temps… qu'est-ce qu'elle le rendait fou. Il agrippa ses cheveux et tira dessus pour pencher sa tête en arrière et dégager la peau de son cou. Et sans attendre plus il y planta ses dents à nouveau et le dévora de ses incisives et de sa langue, de ses baisers humides. Dieu que sa peau était douce et chaude. Dieu qu'elle était parfaite sous sa langue et ses lèvres. Et Dieu qu'il aurait voulu ne jamais devoir arrêter. Et comme pour la prévenir, il souffla contre cette peau maltraitée « Méfie-toi de moi... » sur un ton pourtant doux.
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MessageSujet: Re: SNOW & OZ « L'amour est réel si chaque seconde qui le crée le remet en cause. » / HOT /   SNOW & OZ « L'amour est réel si chaque seconde qui le crée le remet en cause. » / HOT / EmptyMer 14 Nov - 17:17

Je jouais avec le feu, Oz était pareil à une flamme éclairante, brulante. Salvatrice et destructrice. Me sortant de ma torpeur de ces quelques mois passés à Town Square mais ravageant mon corps et le peu de moral que j'avais. La violence transperçait de chacun de ses regards et de chacun de ses muscles jusqu'à la tension que je discernais dans ses poings serrés aux jointures blanches. Je ne connaissais pas encore ses limites mais ne doutais pas un instant qu'il puisse me réduire à néant. Et pourtant j'étais telle une accro à l'adrénaline, me sentant revivre sous l'effet des risques que je prenais, sentant mon corps se réveiller tandis que je détaillais le sien que j'avais si bien connu en l'espace d'une nuit. J'étais certainement une folle à tendance masochiste. J'aurais du le fuir après avoir contempler mon corps meurtri dans la glace, fuir cet endroit où je le savais errer de temps en temps plutôt que d'y courir telle une perdue, telle une droguée en manque de sa dose. Chaque petite partie de mon cerveau semblait me conseiller de laisser tomber, de retourner chez moi, d'abandonner cet homme aux airs dangereux et pourtant la moindre parcelle de mon corps se tendaient irrémédiablement vers lui, souhaitant sentir encore une fois ses doigts s'enfoncer dans ma peau, ses bras me tenir fermement contre lui, ses dents mordillés mon cou. Je voulais ressentir la douleur de nouveau car au moins s'était signe que je sentais quelque chose, que mon esprit n'était pas totalement embué et stoïque devant la moindre parcelle de ma vie. Car c'était ainsi que je me voyais, sorte de fantôme qui voguait ci et là, se foutant de tout, ne prêtant attention à rien. Après l'accident plus rien ne comptait, j'avais même abandonné l'idée d'écouter de la musique, refoulant chaque petite chose de mon quotidien qui pourrait me faire penser que je pourrais être entrain de danser en ce moment même dans les plus beaux pays du monde. Mais parfois l'envie me prenait, j'allumais le coeur battant la chaine d'où finissait par s'échapper quelques notes et je fermais les yeux. Mon corps semblait alors vouloir m'échapper jusqu'à ce qu'il soit bien vite rattrapé par une douleur fulgurante dans mon genoux gauche. Je ne pouvais donc que me réveiller de ma torpeur et m'assoir tremblante avant de relever mon pantalon et d'observer avec une rage profonde la cicatrice infâme qui venait barrer ma jambe. « Et pourquoi est-ce que VOUS ne chercheriez pas un autre endroit ? Est-ce que vous savez depuis combien de temps je fréquente ce parc et plus particulièrement la place que vous vous accaparez ? Le savez vous ? Plus de dix ans. Alors s'il y a bien quelqu'un ici qui doit se trouver un autre endroit, c'est bien vous ! » Sa voix forte et assassine me sortit de mes réflexions. Je le regardais sans vraiment prendre en compte ce qu'il disait. Je me fichais bien de savoir depuis combien de temps il trainait ici. C'était ma place. C'est tout. Et surtout si ça pouvait me permettre de le revoir et de le faire sortir de ses gonds. J'haussais donc les épaules, agissant comme si tous ses arguments ne comptaient pas à mes yeux. Au fond il avait certainement raison, cette place lui revenait de droit de part son ancienneté mais honnêtement je n'étais pas encore prête à dire au revoir à ces yeux furibonds quitte à agir comme la plus insupportable des filles de la terre. Je ne pu m'empêcher de le provoquer par la suite, remarquant déjà la tension qui émanait de son corps. Je ne savais si c'était du désir que je voyais dans ses yeux ou une incroyable envie de me tuer, dans tous les cas ils brillaient d'un éclat incomparable et je ne pouvais m'empêcher d'y perdre mon regard. Une cigarette dans la bouche j'avais emprunté ma voix la plus doucereuse, ma voix la plus énervante pour lui demander si il était là pour revivre l'expérience de l'autre jour. Je ne pu empêcher mon cerveau de me remémorer des éclats de l'autre nuit : de ses hanches à la cadence insoutenable mais qui ne m'empêchait pourtant pas de penser "plus vite, plus fort". Je voulais le sentir plus, qu'il me serre plus fort, qu'il me détruise, me réduise à néant. Et c'est un peu ce qu'il avait fait. Je m'étais réveillée meurtrie, courbaturée, des bleus recouvrant mon corps. Puis je m'étais enfuie, un peu choquée par l'expérience, préférant réfléchir autre part, m'éloigner de cet homme que je craignais et désirais à la fois. Mais fuyais pourtant plus par habitude que par véritable frayeur.
Je le vis se rapprocher de moi, plus tendue, l'air plus mauvais que jamais. Le regard pareil à celui d'un assassin qui n'hésiterait pas une seule seconde à mettre à mort sa victime. Je sentais un délicieux frisson de peur me parcourir l'échine et m'en délectait. « Tu ferais mieux de la fermer… » Je ferais mieux, un sourire se forma sur mes lèvres sans que j'en eu vraiment le réflexe. Le chantage n'avait jamais vraiment marché avec moi et Oz le découvrirait assez vite. Loin de me la fermer je continuais donc ma provocation éhontée, tirant sur ma cigarette, expirant avec un air hautain la fumée blanchâtre dans sa direction. « Enfin si ce n'est que ça, tu n'as qu'à demander pas besoin de camoufler tes envies derrière un faux prétexte et, surtout, de me déranger en pleine lecture. » Je n’eus à peine le temps de réagir qu'Oz tirait un coup de pied violent dans mon livre, il avait au moins réussis à me contrarier. Je supportais mal qu'on puisse maltraiter un bouquin. Je fronçais les sourcils et le fusillais du regard. Ce dernier pendant ce temps là vint s'agenouiller à mes côtés. Ses doigts tournèrent violemment mon visage vers lui. Mais au dela de ça, je ne pouvais que penser à ses lèvres si proche. J'avais envie de lui demander de m'embrasser, de le supplier même. Mais ma fierté m'en empêchait. « Si tu veux un conseil… ne joue pas à ça avec moi. Ca pourrait mal finir. » Et dans un geste d'une violence inouïe, il me plaqua par terre et ma tête heurta le sol. Je ne pu empêcher un gémissement de douleur de s'échapper de mes lèvres et ma vision en fût troublé un court instant m'empêchant la moindre réaction quand il vint se poster au dessus de moi. Je le haïssais de m'avoir fait si mal, ma tête semblait envahi d'un vrombissement insupportable. Il n'avait pas le droit d'agir ainsi. J'avais mes limites. Je n'étais pas sa chose. Je me rendais compte que j'avais cherché cela, que j'avais cherché cette violence, sa réaction excessive. Et maintenant que j'étais emprisonnée sous lui, maintenant que je ressentais de nouveau la douleur. Je souhaitais m'en échapper. Je tentais de me débattre, de le repousser en vain. Mais il vint saisir ma lèvre entre ses dents, je gémis de nouveau en ressentant une douleur perçante et le gout écœurant du sang dans ma bouche. Je tentais de me débattre de plus belle, de repousser ce bassin collé au mien. Et pourtant, tous mes efforts furent réduits à néant quand je sentis sa langue doucement glisser contre ma lèvre meurtrie. Je me tendais, me haïssant d'être à ce point faible, de le désirer autant malgré la douleur. Ses doigts se faufilèrent, saisissèrent mes cheveux, les tirais me forçant à tendre ma nuque et il enfouissait son visage dans mon cou. Mordant, embrassant chaque partie de ma gorge. Je sentais mon corps lutter, se réveiller. « Méfie-toi de moi... » et son souffle chaud s'écrasa contre ma peau. Le ton de sa voix douce était à l'opposé de ses gestes. De ma main libre, je dégageais sa main de mes cheveux et approchait son visage du sien. Mes lèvres frôlant presque les siennes je répondais. « J'ai pas peur de toi » Et je venais prendre possession de ses lèvres violemment, refusant d'être seulement celle qui subirait. Je mordais sa lèvre, griffais son cou de ma main qui était venu se plaquer contre sa nuque. Mais au fond de moi, je savais que ce que je lui avais dis était faux. J'étais terrifiée par lui. Terrifiée à l'idée qu'il puisse encore me blesser, terrifiée à l'idée de sentir de nouveau le goût du sang sur ma langue. Et pourtant, j'étais là à l'attirée contre moi comme si j'avais ce besoin intarissable de le sentir contre moi. J'en voulais plus, toujours plus.
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MessageSujet: Re: SNOW & OZ « L'amour est réel si chaque seconde qui le crée le remet en cause. » / HOT /   SNOW & OZ « L'amour est réel si chaque seconde qui le crée le remet en cause. » / HOT / EmptyMer 21 Nov - 6:54


Oz & Snow
« L'amour est réel si chaque seconde qui le crée le remet en cause. »


Elle l'avait cherché. Elle l'avait poussé à bout. L'avait invité expressément à être violent, à la violenter, à lui faire mal. Alors comment pourrait-il, devrait-il seulement se sentir coupable du résultat de leurs entrevue ? La dernière fois déjà, n'avait-elle pas joué exprès avec ses nerfs ? Bien sûr que si. Alors ne récoltait-elle pas ce qu'elle semait ? Soit le trouble... ? Elle méritait punition. Et c'était un met délicat que d'en être l'auteur. Il la blessait, heurtait sa sensibilité, lui infligeait de la douleur... et dans cet affront à son corps délicieux, il y trouvait un plaisir immense, intense qui le consumait divinement. C'était comme si à chaque gémissement de douleur qu'elle prononçait, l'envie grimpait. L'envie de lui faire l'amour tout comme de lui faire mal. Il n'aurait su expliquer ce qu'il trouvait de si jouissif en la souffrance d'autrui et la sienne mais il était ainsi fait. L'érotisme d'un tel moment était poussé à son comble seulement quand la douleur entrait en compte. Etait-il seul dans ce cas là ? Il n'en était pas sûr. Car la jeune femme sous son corps alourdi par l'envie s'était certes débattue un moment mais avait vite cédé. Il la sentait tendue et il savait qu'il y avait dans cette crispation non pas que de la nervosité dû à la peur, mais aussi un sombre désir pour sa personne. Alors il l'attirait n'est-ce pas ? Il lui faisait de l'effet ? C'était tout ce qu'il souhaitait. Désespérément tout ce qu'il attendait d'elle. Qu'elle le trouve à son goût, qu'elle aussi soit troublée quand leurs corps entraient en contact. Qu'elle aussi en veuille plus. Qu'elle aussi soit déjà accro à cette relation étrange et démesurément malsaine. Avait-elle senti ce lien se créer presque immédiatement entre eux ? Comme si chaque once d'électricité quand leurs yeux se croisaient créait un fil cousu d'or et de sang entre eux, fragile et pourtant si fort, presque palpable.

Il l'avait mordu à sang et avait léché cette eau rouge au goût de fer. Et si la chose avait été possible il aurait alors joui sur le coup. Elle le rendait complètement fou, elle faisait de lui une masse mouvante aux sens aiguisés, ne sachant plus où donner de la tête. Il avait parcouru sa peau encore blanche de sa langue et de ses lèvres. Sa peau glacée par la brise de la journée et semblant pourtant si chaude sous ses attentions. Et il lui avait soufflé comme en menace mais aussi en prévention de se méfier. De lui... de ses "moi" multiples, de tous ses visages plus ou moins dangereux. Il y avait le Oz tendre, celui qui embrassait chastement son épiderme en fusion, le Oz passionné qui semblait vouloir ancrer son bassin dans celui de Snow même à travers les vêtements et puis le Oz sadique, celui qui tirait sur ses cheveux et faisait saigner ses lèvres rougies par le froid et maintenant par ses baisers. Dans un accès de fougue et de courage sûrement, elle vînt agripper la nuque du blond et le rapprocha violemment. Leurs lèvres.. elles étaient si proches et si loins à la fois. Oz en trembla de frustration. Il ne voulait qu'une chose, pouvoir la dévorer, mordre dans cette chaire sensible et pulpeuse. C'était tout ce qu'il désirait à l'instant même alors qu'elle lui murmurait « J'ai pas peur de toi » et un frisson de tous les diables lui parcourut l'échine, le faisant se crisper juste avant qu'elle ne fonde sur sa bouche à coup de langue et de dents, le faisant doucement râler de désir. Il haleta, sentant les ongles de la jeune femme dans son cou et sourît, ravi. Il aimait ça. Il aimait cette souffrance brève, vive et tellement excitante de son point de vue. Il se redressa d'un coup, à genoux entre ses cuisses et la fixa, passant une main dans ses cheveux bouclés, un sourire apparaissant au coin de ses lèvres. « Tu devrais.. tu devrais me craindre. Dieu seul sait, s'il existe, de quoi je suis capable en ta présence. » En sa présence oui, sa présence dévastatrice. Sa présence dévorante qui lui inspirait tous les déboires possibles, et bien d'autres encore qu'il n'aurait jusqu'alors jamais imaginé. Il la voyait déjà ligoté aux barreaux de sa tête de lit, le corps nu, l'expression apeurée. Et il se voyait déjà créer un espace entre ses belles jambes fines et s'y immiscer sans une once d'hésitation. Puis la prendre, de ses coups de rein durs, violents. Jusqu'à l'orgasme.

Mais là ils n'avaient pas de lit à disposition. Juste le sol herbeux et sec de cette fin de novembre. Mais il avait avec lui l'accessoir principal, son corps à elle. Il agrippa ses cuisses en collant et n'hésita pas à griffer le nylon qui se déchira aisément, laissant des fils sous ses ongles et des marques rouges sur la peau de sa victime. Puis il remonta à ses hanches et souleva, glissant un bras dans son dos et la redressant face à lui, la collant à son torse. Il la regarda dans les yeux et frôla délicatement la joue émaciée de la jeune femme. Il vînt embrasser le bout de son nez, dans une douceur qu'il n'avait que dans de rares occasions, particulièrement avec sa soeur. Mais ce bref instant tendre ne dura que peu et il glissa ses grandes mains sous la jupe de la brune, allant agripper ses fesses à travers la culotte. Il la regarda dans les yeux et souffla chaudement, les yeux noirs comme « Ton corps m'appelle... » Il l'appelait à la débauche, à la luxure. Si l'homme en avait été capable, il l'aurait baisé, encore et encore. Aussi horrible et vulgaire ces termes pouvaient être, ils n'en étaient hélas que véridiques. « Est-ce que tu le sens ? » insista-t-il en donnant un coup de bassin pour lui faire comprendre de quoi il parlait. Et la bosse dans son jean était plutôt conséquente. Oz n'aimait pas. Alors il ne faisait pas l'amour. Le jour où il emploierait ces termes, Snow devrait alors s'inquiéter plus encore de leur situation. Car il n'en serait certainement que plus fou. Car la possessivité et la jalousie viendraient mordre son coeur et son esprit de leurs venin abrutissant. Et il lui rendrait la vie impossible. Pour le moment, il se contenterait de quelques instants seulement et non pas de tout son temps.

Une de ses mains se faufila, aventureuse dans le sous-vêtement et alla palper une des fesses lisses et douces comme celle d'un bébé que la jeune femme possédait. Quel âge avait-elle ? Il ne le lui avait même pas demandé. Et son prénom ? Quand le lui avait-elle dit ? Il n'avait même pas réellement discuté. En auraient-ils été capable. Son visage s'était perdu dans le creux de son cou, qu'il dévorait par alternance de sa langue, ses baisers et ses dents. Et il la maintenant fortement contre lui de sa main libre, pressé de ne faire qu'une chose, la mettre nue pour la prendre de toute sa ferveur. Mais il ne pouvait pas.. il ne pouvait pas le faire ici, en pleine nature. Il faisait froid. Il avait bien trop peur de sortir l'attirail et de le perdre par congélation immédiate. Et il ne voulait pas risquer non plus qu'elle tombe malade... C'était étrange... il voulait sa douleur, il voulait la voir souffrir et n'en était que plus excité. Mais ce qu'il ne voulait pas c'est qu'un autre que lui ne lui inflige quelque mal. Il ne pouvait en être que l'unique source. C'était ainsi et pas autrement. « Je te veux. Et je veux... » commença-t-il dans un souffle contre son oreille avec laquelle il jouait joyeusement. « Je veux que tu cries.. pour moi. » Et il griffa cette fesse si pâle comme pour lui donner des couleurs. Mais surtout pour l'entendre, elle geindre et lui demander de recommencer. Parce qu'elle le demanderait... Il le fallait. « Gémis... pour moi. » implora-t-il presque en la rallongeant et en couvrant son corps du sien à nouveau, lui offrant un baiser désespéré, ses mains glissant entre ses cuisses pour les écartées lentement et soulever la jupe. Il avait envie d'elle... et plus que tout, il avait envie qu'elle le désire. Et pour ce faire il passa sa main dans le sous-vêtement de Snow et frôla de son majeur l'intimité magique de cette nymphe.
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