Je m'appelle Alysson P. Harrington et je suis né(e) à Mapleton dans l'Utah le 3 Janvier 1993. Donc si vous savez compter, ça veut dire que j'ai 21 ans. Je suis d'origine Américaine, et j'ai 4 frères et trois sœurs. J'aime les hommes jusqu'à preuve du contraire et je suis actuellement célibataire. Dans la vie de tous les jours, je suis étudiante en droit et serveuse dans un restaurant et je fais partie des café corsé. J'ai un projet dans la vie : réussir mes études.. Mais surtout, mon rêve c'est de venger le meurtre de mon frère, en jetant en prison son assassin..

   Comment définirais-tu ton caractère ?
   Aly, c'est une fille simple. Peu superficielle, elle n'est pas du genre à attacher une importance prépondérante au physique. Elle est d'ailleurs rapidement indisposée par les personnes la jugeant sur sa plastique. Pas totalement idiote, elle préfère être remarquée pour son intelligence que pour la longueur - interminable - de ses jambes. D'un naturel très enjoué, elle n'hésite pas à rire de tout. Même lorsqu'il ne le faudrait pas parfois. Son énergie et son humour débordant cachent cependant son manque de confiance en elle avec plus ou moins de succès selon votre capacité à lire en elle. Mais aussi sa sensibilité qu'elle n'aime pas dévoiler à tous, il est en effet plus facile de rire d'une situation que de montrer à quel point elle vous touche. Malgré ses 21 ans, elle est très indépendante et mature, vivant seule depuis près d'un an à présent. De plus, elle n'est pas du genre à abandonner. Jamais. Que se soit ses proches, ou ses idées. Quand elle a quelque chose en tête, elle s'obstine. Cette détermination se transforme bien souvent en obstination, et elle se fiche bien d'être traitée de tête de mule tant qu'elle parvient à accéder à son objectif.

   Parle-nous de ton métier :
   Aly étudie le droit depuis qu'elle a quitté le lycée. Initialement, son parcours a été influencé par son désir de justice. La mort de son frère aîné ayant été l'élément déclencheur. Aujourd'hui encore, cela ne cesse de la motiver pour obtenir des résultats. Toutefois, il faut avouer que le temps passant, elle s'éprend de plus en plus de ses études et de son futur métier. Plaider, trouver les failles, se sortir de situations dites impossibles à l'aide d'outils législatifs cela l'intéresse de plus en plus. En outre, cela reste en accord avec son sens de la justice. Même si elle est bien consciente qu'à ses débuts elle n'aura peut-être pas toujours le choix de ses clients, et que les cas commis d'office seront compliqués pour sa morale.

   Raconte-nous quelle est ton aspiration dans la vie :
   L'aspiration d'Alysson est de parvenir à devenir avocate et d'être une avocate efficace et juste. Comme à son habitude lorsqu'elle se fixe un objectif, elle n'a pas pour but de se laisser distancer, ou de baisser les bras. La difficulté ne l'effraie pas, au contraire, elle se surprends parfois à aimer cela. Jamais elle n'a souhaité être une mère au foyer, car son image de la famille n'est pas tout à fait juste. Ayant eu un foyer parental assez particulier, sa priorité n'est pas de fonder une famille. Cela lui fait même un peu peur. Elle a peur que la parentalité soit tout de même légèrement inscrite dans les gènes et préférerais ne pas avoir d'enfants si c'est pour devenir un parent comme les siens.

   

   
   Pseudo Mia. Prénom Samira. Fille ou garçon Fille. Age 22 ans. Pourquoi vous êtes-vous inscrit sur MC ? Cela fait un petit moment que je cherche un forum sympa où je pourrais m'intégrer et rp tranquillement, je pense être arrivée à bon port   . Comment l'avez-vous connu ? Par des partenaires, ou le top, je sais plus j'ai jeté un œil à pas mal de forums... Fréquence de connexion 7/7j. Avatar Victoria Justice. Pourquoi cet avatar Il allait avec le scénario, puis je trouve que ça va bien avec la description d'Alysson. Statut Scénario. Lien du scénario scénario Voulez-vous être parrainé ? Oui, même si j'ai un peu peur avec ce que j'ai lu sur la box . Code du règlement Honte sur moi, je préfère le thé noir.

   

Code:

[color=IndianRed][b]VICTORIA JUSTICE[/b] ●[/color] Alysson P. Harrington

   

   

   Une fois mes valises dans le coffre, je me tourne vers la maison et me contente de la fixer en silence. N’importe qui serait probablement plus ému que moi à l’idée de quitter le domicile familial. Le lieu où on a supposément ses plus doux souvenirs d’enfance. Je ne me sens pas triste, pas le moins du monde. Et cela est parfaitement normal. Un sourire désabusé sur le visage, je referme le coffre de l’auto et gagne rapidement le siège passager. Néanmoins, je ne peux m’empêcher de jeter un dernier coup d’œil à la vitre du salon. Les rideaux sombres restent scellés. Jusqu’au dernier moment, j’y aurais cru. Au fait que nos parents nous aimaient au fond, vraiment au fond. Mais aucun d’eux ne regarde leur dernier né quitter le nid familial de façon définitive. Masquant ma déception, j’allume l’autoradio de Jayleen – ma sœur aînée – et la regarde, souriant de toutes mes dents. « Que l’aventure commence ! » je lui lance enjouée, même si une partie de moi continue de penser à la paire de rideaux qui est restée fermée. Puis, je regarde ma sœur et ne peut m’empêcher de me sentir rassurée. Souvent, je me suis dit que c’était ce que l’on devait ressentir auprès de sa mère. Cela n’a jamais été le cas. Distante, absente, c’est ainsi que je pourrais le mieux caractériser ma génitrice. Jayleen a été une véritable mère pour moi, elle l’est une fois de plus aujourd’hui. Son sourire toujours tendre lorsqu’elle a un regard pour moi, est un peu fané. Et cela me fait me sentir mal. Je m’éloigne de la majeure partie de mes frères et sœurs.

  Il y a quelques mois, j’ai fait ce choix qu’ils ne comprennent pas tous. Quitter notre ville de naissance. Pour être honnête, ce qui m’a toujours laissée perplexe, c’est qu’eux ne le fassent pas. Nous n’avons aucune attache ici, si ce n’est les uns les autres. Et pourtant, alors qu’ils sont tous responsables et indépendants, ils ne quittent la région que pour affaire ou les vacances. Je ne vais pas mentir, les avoir près de moi tout ce temps m’a été grandement salvateur. Mes frères et sœurs sont tout pour moi. Personne n’a jamais pris aussi bien soin de moi qu’eux. J’ai une confiance en eux que je ne pourrais avoir pour personne d’autre. Et il n’y a que pour eux que je serais prête à tout. On pourrait se demander comment je peux avoir de telles valeurs alors que mes parents n’ont aucun esprit de famille. Il faut probablement remercier Jayleen et son altruisme sans fin. Mais le mérite revient aussi à Aiden. Premier né de la famille, mon frère était un modèle pour nous tous. Il nous a éduqué avec beaucoup plus d’amour que quiconque. Hélas, j’ai perdu ce héros, ce modèle masculin très tôt, trop tôt. Et alors que l’on n’a pas une dizaine d’années, on ne comprend pas pourquoi celui qui nous lit des histoires pour que l’on parvienne enfin à s’endormir ne rentre pas à la maison. Surtout lorsqu’il est policier et qu’il vous semble tout bonnement invincible.

  A partir de ce jour, les choses ont changées à la maison. Je ne pouvais dire pourquoi à l’époque. Mais j’ai compris avec le temps que c’était parce qu’Aiden avait les choses en main. Chacun d’entre nous entretenait une relation spéciale avec lui. Et on se sentait tous spéciaux en sa compagnie. Après que l’on ait perdu Aiden, c’est Mathéo que l’on a fini par perdre aussi. D’une façon bien moins tragique certes, puisqu’il a quitté la maison, mais tout de même. J’avais l’impression que mes frères ne m’aimaient pas, et qu’ils ne souhaitaient pas rester avec nous car nous n’en valions pas la peine. Avec le temps Bryan m’a rassurée, mais je n’ai jamais perdu cette angoisse. Même si je sais aujourd’hui que mes parents sont responsables de la défection de mon frère, je tente encore de refaire l’histoire lorsque je ne trouve pas le sommeil parfois.

  En dépit du contexte familial désastreux, j’ai eu une enfance plutôt heureuse. Kate, Bryan et moi avons toujours été proche comme notre écart d’âge n’est pas bien grand. A l’école ou en dehors, ils étaient toujours là pour moi, pour me protéger ou me taquiner, si bien que je n’avais jamais le temps de me sentir seule. Et en arrivant à la maison, Logan et Jayleen étaient toujours attentif à mon parcours scolaire à ce que j’apprenne la valeur des choses. Je pense pouvoir dire que sans eux je ne serais pas qui je suis, et ma reconnaissance à leur égard est éternelle. Le fait d’être entourée m’a également aidé à l’adolescence, car si le décès d’Aiden m’a décidée très tôt à faire carrière dans le droit, il n’a cessé de me tourmenter à cette époque. Le pire était probablement le refus de tout le monde à la maison de parler de lui. Aujourd’hui encore, je me demande comment ils font pour ne pas penser à lui, pour ne pas tenter d’obtenir justice pour ce frère qui a toujours été plus un père qu’autre chose pour nous autres. C’est à cette époque que la colère de Mathéo envers le fait que tout le monde se fiche de la mort de notre frère m’est revenue en tête. Et alors que j’avais 17 ans, je savais qu’il me faudrait un jour retrouver ce frère qui nous avait quittés. Pas seulement pour livrer justice à Aiden, mais aussi parce que notre ainé n’aurait pas aimé que l’on soit séparés ainsi.

  Gardant cette idée en tête, je poursuivais mon adolescence. L’époque des premières fois en toutes sortes, qu’elles soient agréables ou bien moins. Plus rapidement que je n’aurais pu l’imaginer, je me retrouvais en études supérieures follement emballée par mes cours. Je me découvris alors plus carriériste que je le pensais, mais ne négligeait pas mes frères et sœurs avec lesquels je suis toujours en contact. Un jour, au détour d’une rue, alors que j’avais dû sortir de la ville pour récupérer des livres d’occasion, je croisais Mathéo. Mes résolutions adolescentes raisonnant dans ma tête auraient dû me donner le courage nécessaire pour aller à sa rencontre. Hélas, je n’ai pas pu. J’ignore pourquoi. Peut-être par peur de sa réaction envers une petite sœur qu’il ne connait plus, et dont il n’a sûrement rien à faire.

  Après coup, cette rencontre m’a obsédée en quelques sortes. Et j’ai décidé de le retrouver, pour renouer avec lui. Parce que qu’il le veuille ou non, il est mon grand frère, et au fond il est le seul à probablement ressentir les mêmes choses que moi vis-à-vis d’Aiden. Cela n’a pas été chose aisée de le retrouver. J’ai dû pour cela me faire aider d’un petit génie de l’informatique que j’ai déniché dans l’école d’ingénieurs en face de ma faculté. Mais j’ai trouvé où il habitait, Town Square. Ce n’était pas la porte à côté. Au départ, je pensais tenter d’y aller pour les vacances, jusqu’au jour où je suis tombée sur la publicité de leur fac de droit. Mieux côté que la mienne. Etant plutôt brillante, j’ai tenté une demande de transfert. Quelques mois plus tard, j’entrais dans la voiture de Jayleen et quittait le domicile familial alors que mes parents n’avaient pas un regard pour moi.

  Cela fait pratiquement un an que je vis dans la même ville que mon frère, à présent. Chaque jour, je me lève et me dit qu’il faut que j’aille à sa rencontre, que je dois au moins essayer. Et chaque soir, je finis par m’avouer vaincue. La vie ici n’est pas si mal. Ma fratrie me manque, bien sûr, mais ce changement d’air m’a fait grandir, et être indépendante c’est plutôt appréciable. Même si j’ai connu quelques galères. La pire, ce fut il y a quelques jours. Lorsque mes charmants colocataires ont décidé, après un vote démocratique, que je n’étais plus la bienvenue. J’ai tenté le côté légal, mais cela n’a rien changé, d’autant plus que ce n’était qu’un mouvement de pur bluff. Finalement, à bout de nerfs, j’ai fait mes valises et je les ais insultés copieusement en leur disant leurs quatre vérités. Car mettre quelqu’un à la porte car elle refuse qu’il y ait des fêtes dans l’appartement tous les soirs de la semaine, c’est juste totalement idiot. Enfin, comme me le répétait souvent Jayleen, tout le monde ne peut pas être intelligent. Une fois à la porte, j’ai pensé à lui téléphoner. Elle m’aurait envoyé de l’argent, ou serait venue dans les plus brefs délais. Et je déteste être assistée. Alors je me suis installée dans un motel miteux histoire de pouvoir me retourner.
  J’eus de la chance, quelques jours plus tard, alors que j’aidais une grand-mère avec ses courses, nous avons fini par sympathiser et je me retrouvais à lui louer une de ses chambres. En dépit de son originalité Rita est une femme généreuse et qui devait probablement trouver sa grande demeure trop calme, en dépit de la présence de son petit-fils. Reconnaissant sans doute en elle la grand-mère que je n’ai jamais eue, je lui ai accordé ma confiance sans trop me poser de questions. Et me voilà ainsi à vivre avec une grand-mère, son petit-fils, et son singe. Cette famille m’a l’air quelque peu étrange, mais ils sont une famille, avec un singe comme animal de compagnie, mais une famille tout de même. J’ai comme l’impression que l’avenir me réserve un tas de choses loufoques…

Ton histoire est sacrément agréable à lire, c'est ton créateur qui doit être content Tout est parfait dans ta fiche, tu peux désormais commencer à jouer sur Morning Coffee

Pour bien commencer ton aventure parmi nous, voici une liste des endroits que tu devrais visiter, ou des choses que tu devrais faire :
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Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter ton parrain ou ta marraine, ou alors un membre du staff.

Tout l'équipe te souhaite un très bon jeu sur Morning Coffee