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 Hello you! /Mayfair

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Adrian I. Dawkins
Adrian I. Dawkins
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MessageSujet: Hello you! /Mayfair   Hello you! /Mayfair EmptyMer 3 Déc - 13:10

Mayfair ∞ Adrian
Je pense que le début d’après-midi pointait le bout de son nez lorsque j’émergeai difficilement de mon sommeil. La cause était la sonnerie de mon portable, posé sur ma table de nuit. Cette sonnerie signifiait que je venais de recevoir un texto. Je tentai de tendre péniblement mon bras vers mon smartphone afin de voir qui m’avait réveillé. J’aurai pu l’éteindre me direz-vous, cependant, j’aimais être tenu au courant si quelqu’un avait un soucis ou si le boulot m’appelait. Je n’aimais pas être exclu du monde, même pendant mon sommeil.
J’avais assuré un vol de nuit, c’est pourquoi j’avais postposé ma nuit de repos au petit matin. J’ouvris mes yeux, malgré le fait qu’ils n’étaient pas très contents de devoir se réveiller à leur tour. C’était Mayfair. J’eus un petit sourire, ce mec était bien particulier et j’avoue qu’il ne me laissait pas indifférent. Il était vraiment différent, ça changeait des nazes qu’on pouvait croiser en ville, surtout en soirée. May était quelqu’un qui vaut la peine de connaître, il est sympa, compréhensif, totalement ouvert d’esprit et sexy. Mais chuuut.
Son message me disait de venir à sa caravane. Oui, voilà un autre élément que j’aimais, sa caravane. Je trouvais sa petite maison amusante et créative. J’avais eu l’occasion d’y entrer alors qu’il venait de faire un malaise dans la rue. J’admirais une vitrine d’un commerce et pouf, ce gars est tombé dans mes bras. Heureusement que mes bras ont réagi car mon cerveau s’était presque évanoui de surprise. J’avoue que ce n’est pas tous les jours qu’un homme vous tombe dans les bras, c’est surement un signe ! Je l’avais donc installé sur une banquette d’un café tout proche afin qu’il reprenne ses esprits et lui avait offert un bon café et une pâtisserie sucrée pour que son corps s’en remette. Je l’avais ensuite reconduit à sa caravane où il m’avait proposé d’entrer. Nous avions pu faire plus ample connaissance. Ça avait été une après-midi sympa, peut-être moins pour lui vu son état. Bref, cet épisode commence tout doucement à dater, cela maintenant depuis quelques mois que nous nous voyons, pour discuter, s’amuser et partager des intérêts communs.

Je tentai de faire obéir mon corps, mon torse se redressa et je m’assis sur le bord de mon lit. Je pris le temps de répondre à Mayfair comme quoi j’arrivais. Je n’avais aucune idée de la raison, cependant je n’avais pas besoin d’excuse pour aller rendre visite à mon ami.
Je me débarbouillai avec un peu d’eau froide dans le but d’être un peu plus réactif qu’un zombie. J’avalai un bol de céréales, enfilai un jeans, un bon gros pull et ma doudoune car il faisait un froid de canard dehors. Je cherchai mon portefeuille pour ne pas être un sans papiers, lorsque je me souvins que je ne l’avais plus. Je crois que je l’ai paumé en ville, comme j’ai déjà perdu mes clés. Ou peut-être qu’il a été volé ? Je n’en sais rien. J’ai cependant averti la police au cas où ils en retrouveraient un. Ce qui était le plus embêtant était le fait d’entamer toutes les petites procédures afin de refaire ses papiers, permis,…
Sans portefeuille, je me mis en route et arrivai rapidement à la caravane de Mayfair. En m’approchant de sa « porte d’entrée », je pus m’apercevoir dans les reflets de sa caravane que j’avais oublié de me coiffer. Je comprends mieux les regards des gens qui me dévisageaient. Je tentai de dompter un peu ma crinière même si je savais que c’était peine perdue, je resterais ébouriffé.
Je frappai légèrement à la porte tout en imaginant pourquoi il m’avait demandé de venir.
code by Silver Lungs
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Invité
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MessageSujet: Re: Hello you! /Mayfair   Hello you! /Mayfair EmptyMer 17 Déc - 0:33

Mayfair tournicotait le portefeuille entre ses doigts, tout en fronçant les sourcils et en se mordillant nerveusement les lèvres. Il venait de trouver l'objet dans les affaires de Bran et il savait très bien comment elle se l'était procurer. Ce n'était pas comme s'il s'agissait de la première fois. Sauf que May avait regardé à qui appartenait le portefeuille et s'était aperçut qu'il connaissait le propriétaire. Et même plus, il l'appréciait. Adrian Dawkings. Adrian Iago Dawkins si l'on en croyait son permis de conduire. L'homme dans les bras duquel il était littéralement tombé quelques jours après être arrivé à Town Square. C'était peut être d'un cliché ridicule comme première rencontre mais les circonstances l'étaient beaucoup moins. Il se souvenait de ce jour comme s'il était arrivé hier et non près de quatre mois plus tôt.

Le jeune tsigane était en plein jeûne semi volontaire et secret -jamais il n'avouerai à Bran qu'il s'affamait pour qu'elle puisse manger à sa faim- en train de se promener et de découvrir cette nouvelle ville, tout en évitant les magasins et vitrines proposant de quoi manger afin d'éviter de céder à la tentation et de dépenser les maigres sous qui lui restaient dans quelque chose d'aussi inutile, quand il avait commencé à se sentir mal. Reconnaissant de suite les symptômes de ce qui lui arrivait, le blond avait fait quelques pas dans la direction d'un banc avant de perdre connaissance brusquement. Quand il avait rouvert les yeux quelques instants plus tard, il était tombé sur le visage magnifique et les yeux sombres et inquiets d'un inconnu, qui en plus de cela, le tenait fermement entre ses bras, lui ayant visiblement évité une chute douloureuse sur l'asphalte du trottoir. Mayfair s'était sentit rougir sous ce regard scrutateur, embarrassé par son évanouissement ridicule et par son sauveur digne d'un conte de fée. Et contrairement à ce qu'aurait pensé le jeune instituteur, ce dernier ne s'était pas sauvé une fois sa bonne action achevée. Au contraire, il l'avait aidé à s'en remettre et lui avait même offert un café et une pâtisserie, s'assurant tout du long du bien être de May qui ne savait pas comment le remercier, surtout qu'il ne cessait de lui dire qu'il n'avait pas à le remercier. Ils avaient ensuite fait plus proprement connaissance et sans savoir comment, s'étaient retrouvé à parler pendant des heures pour au final, s'échanger leur numéro de téléphone respectifs avec la promesse de se revoir rapidement.

Et ils s'étaient effectivement revus, leurs rapports prenant très vite un tour très amical. Et de fil en aiguille, Mayfair s'était sentit de plus en plus attiré par le stewart, se surprenant à penser souvent à lui et à rêver de passer sa main dans la chevelure brune de Adrian, abondante, sauvage et à l'air si douce. Et voilà qu'il venait de découvrir que sa sœur lui avait fait les poches. Et May savait qu'il devait lui rendre son portefeuille et donc avouer le délit de Bran, ce qui non seulement pouvait causé du tord à la jeune femme mais aussi à leur amitié encore si neuve. Adrian avait accepté le statut de tsigane de May avec un naturel déconcertant mais cela ne voulait pas dire qu'il en serait de même après avoir été volé, donnant ainsi foi à certains préjugés. Mayfair aurait voulu pouvoir consulter les cartes à ce sujet mais il savait que ce n'était pas assez important pour faire appel au Don, dont il ne devait pas abuser. Mais il devait agir. Aussi, après avoir prit une grande inspiration, il lui téléphona.

***

Lorsque Adrian frappa enfin à la porte quelques temps plus tard, May avait eu le temps de ranger un peu sa caravane, ayant surtout empilé la multitude de dessins d'enfants et de projets artistique à noter pour sa classe dans un coin, et s'était rassuré en caressant Kali, sa vipère blanche-argent, qui était enroulé autour de son cou et de son bras gauche, profitant de sa chaleur humaine, tout en arrangeant quelques coucous parmi la multitude d'objets d'horlogerie qui était accroché à son mur, toutes émettant le tic-tac familier à une allure différente, créant une sorte de bruit de fond qui May était bien le seul à trouver réconfortant et non pas énervant.

Avec un sourire nerveux mais heureux, Mayfair alla ouvrir à l'autre homme qu'il invita à entrer, notant au passage comment il parvenait à remplir le petit espace de sa caravane et c'est avec un sourire un peu plus large que le blond le mis en garde contre le plafond. Puis il l'invita à s'asseoir et à prendre une tasse de thé ou de café, dans la mesure où on était en décembre, dans l'Oregon et qu'il commençait à faire froid. Puis, désirant mettre fin à la tension qui le rongeait depuis qu'il avait découvert le larcin de sa sœur, il tendit le portefeuille à Adrian.

-Voilà, en fait, je ne t'ai pas fais venir simplement parce que j'avais envie de te voir … même si c'est le cas, j'en avais même très … envie. Le blond se mit à rougir sans pour autant parvenir à arrêter de babiller. En fait, j'ai trouvé ton portefeuille dans les affaires de ma sœur. Et je pense pas que tu l'est perdu.

Il déposa l'objet devant lui sur la table et se mit à se triturer les mains férocement avant de reprendre la parole d'une seule traite alors que Kali lui caressait la joue de sa langue fourchue comme pour le réconforter.

-Je suis désolé pour ça, vraiment et je comprendrais que tu ne veuilles plus jamais me revoir mais s'il te plaît, s'il te plaît ne porte pas plainte contre Bran. C'est juste qu'il arrive qu'on est du mal à joindre les deux bouts et … je sais que je n'ai pas le droit de te demander ça mais s'il te plaît. Ne va pas à la police.
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