Je m'appelle Adrian Dawkins. Mais mes proches m'appellent souvent Iago, mon deuxième prénom (ça fait un peu plus baroudeur héhé) et je suis né(e) à Rio de Janeiro le 6 juin 1982. Donc si vous savez compter, ça veut dire que j'ai 32 ans. Je suis d'origine brésilienne et anglaise, et j'ai 2 soeurs. J'aime les hommes et les femmes et je suis actuellement célibataire. Dans la vie de tous les jours, je suis steward de l'air et je fais partie des café Macchiato. J'ai un projet dans la vie : faire perdurer les soirées "poker" (ou strip poker mouhahaha) entre amis. Mais surtout, mon rêve c'est de rester stable et peut-être agrandir le cercle d'amis avec une petite famille?.

Comment définirais-tu ton caractère ?
Je suis un vrai petit (grand) filou. A croire que mon cerveau est resté en mode enfant. Pas à ce point-là, mais j’avoue que j’aime m’amuser, rigoler, plaisanter, créer plein de rebondissements qui font qu’une journée veut la peine d’être vécue. Le monde est parfois si triste qu’il faut accrocher un sourire sur ses lèvres et l’embellir comme on peut. J’aime rencontrer les gens, les soutenir et les taquiner ! En amitié, je suis fidèle au poste, j’ai une très bonne épaule sur laquelle pleurer et j’ai fait le plein de mouchoir et d’alcool et de glace, au choix. Je suis le premier à organiser un barbecue – même si je ne sais pas en allumer un. Néanmoins, mon comportement est parfois mal compris et je ne suis donc pas pris au sérieux. Certaines personnes me reprochent de ne pas un peu plus penser à mon avenir, de ne pas m’investir dans un futur stable. Cependant Je ne suis pas quelqu’un qui s’éparpille ni en batifolage, je sais généralement ce que je veux. J’avoue que j’aime ne pas savoir de quoi sera fait demain mais ce n’est pas pour autant que je fais n’importe quoi. Au contraire, côté sentimental, je suis loyal et même si la tentation est parfois dure, je résiste. Mais de là à planifier le mariage, faut pas pousser.
Mes quelques défauts seraient mon impatience, ma jalousie et ma curiosité. Je suis parfois pire qu’un détective privé, mais je me calme !
Je suis une personne assez créative et passionnée. Il est rare quand j’abandonne quelque chose, j’use d’ailleurs de mon imagination afin d’arriver à mes fins.

Parle-nous de ton métier :
J’ai toujours aimé voyager. Peut-être était-ce les oiseaux de Rio qui me donnaient envie de m’envoler vers d’autres horizons. Ou peut-être le fait que depuis tout petit, j’ai pris l’avion Rio-Londres/Londres-Rio à ne plus savoir compter… Je ne sais pas, mais en tout cas j’étais prédestiné à atterrir (roh le jeu de mots !)  comme steward dans un avion. Enfant, je m’amusais à recopier leur petite « danse » avant chaque décollage. Je n’aurais jamais deviné devoir être LA personne qui le montre aux autres passagers. Ce métier m’attirait étrangement. Mon don pour les langues et mon caractère altruiste ont séduit les employeurs et tadaaa… Je suis le meilleur steward qui soit.
Plus sérieusement, j’adore mon métier. Grâce à lui, j’assouvis ma soif de voyage. De plus, j’adore m’occuper de mes passagers, je suis aux petits soins avec eux. J’essaie de réconforter les plus anxieux, de redonner le sourire à ceux qui quittent leur terre natale, de divertir les enfants impatients, de subir la lourde drague des mamies en mal d’amour. J’aime tous les aspects que peut m’offrir mon job. Cependant, je ne vis pas pour lui mais il m’aide beaucoup à entretenir mes amitiés de part le monde.

Raconte-nous quelle est ton aspiration dans la vie :
Les amis d’abord. C’est une sorte de credo. Les amis sont votre deuxième famille, pour moi, c’est MA famille. Les Dawkins resteront importants à mes yeux mais il est tellement facile de se sentir seul lorsque votre famille vous rejette. Alors que les amis vous ont choisi pour ce que vous êtes et vous laisseront rarement tomber. Les miens sont ma vie, j’ai des amis dans un peu près chaque destination où j’ai atterrit par mon métier. C’est comme une très grande famille ! Je me sens bien avec eux.
Bien sûr que j’aspire à fonder ma petite famille un jour. Cependant, ce n’est pas ma priorité absolue. Je souhaite avant tout rester en contact avec toute ma bande de canards boiteux et ensuite, si l’amour se présente, les inclure dans les réunions hebdomadaires du dimanche ou que sais-je.
Ma famille s’est tellement déchirée que je n’en garde pas une image modèle d’une belle petite famille. Les familles cachent souvent des secrets, c’est pourquoi j’ai du mal à avoir confiance en un lien familial.





Pseudo Ma'. Prénom Manon. Fille ou garçon fille. Age 21 ans. Pourquoi vous êtes-vous inscrit sur MC ? Car je cherchais un forum assez fréquenté et qui semblait convivial. Puis le design est avenant!. Comment l'avez-vous connu ? par PRD. Fréquence de connexion 6/7j. Avatar Zachary Quinto. Pourquoi cet avatar Parce que Zac est trop sex et que c'est mon dieu vivant   . Statut  inventé. Voulez-vous être parrainé ? Oui. Code du règlement Frappuccino caramel.

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[color=IndianRed][b]Zachary Quinto[/b] ●[/color] Adrian I. Dawkins

Je marchais d’un pas paisible, ma main droite tenant la petite main gauche de ma nièce. Ma sœur était de passage en ville avec sa charmante petite fille de 6 ans. Elle avait un rendez-vous important, c’est pourquoi je lui avais proposé de m’occuper de sa progéniture. J’aime les enfants, leur petite bouille toute mignonne et leurs réparties à deux balles ! C’est trop mignon. Je me suis toujours juré que j’en aurai un jour, ça doit faire un choc de connaître la paternité. Je ne peux en aucun cas mourir sans l’avoir connue.
Cependant, à ce moment-même, j’avais juste envie de crever sur le champ, de m’évanouir, d’être assassiné par un pigeon, je m’en fous mais je ne souhaitais que disparaître. D’accord, je vous l’accorde, c’est un peu extrême comme réaction. Cependant, j’avais mes raisons. Et la plus horrible de toutes était que je me dirigeais vers le cinéma afin d’assister à la projection de Rio. Le cinéma de la ville avait organisé cette séance dans le but que les enfants puissent le revoir ou le découvrir pour la toute première fois alors qu’il était sorti il y a bien des années. Stupide.
J’avais ce film en horreur. Tous ces oiseaux heureux et chantants allaient me narguer pendant une heure et demie. Ces paysages de Rio de Janeiro me rappelleraient à quel point mon enfance avait été un pur bonheur dans ce lieu hors du commun jusqu’à ce que mes parents décident de se séparer pour une raison qu’ils ne m’ont jamais expliquée.

Je suis né là, à Rio. J’y ai découvert la nature, la ville, les vagues, les merveilleux oiseaux, les repas bien brésiliens en famille, les tongues et bien plus encore. Nous étions heureux, mais pas cela ne convenait plus à mes parents. Ma mère est retournée dans son pays natal, l’Angleterre. Elle avait exigé que nous la suivions à Londres, mes deux sœurs et moi. Mon père était tellement dévasté qu’il était dans l’impossibilité de s’occuper de nous. C’est alors que j’ai quitté Rio pour Londres.
L’intégration y fut difficile vu que nous ne connaissions pas l’anglais. A Rio, notre mère nous parlait de temps en temps dans sa langue maternelle, cependant c’était très différent de l’entendre d’une autre bouche. La météo était aussi dure à subir, les nuages étaient omniprésents et le soleil était resté au Brésil.
Grace à mon caractère, je me suis vite fait de bons amis, mais la nostalgie de notre pays était impossible à enfouir au fond de notre cœur. Dès lors, notre mère nous autorisa à retourner à Rio pendant les vacances scolaires. Nous étions des habitués des aéroports, on connaissait les procédures par cœur, on était des as des portails de sécurité. Bref, nous étions les trois mousquetaires de l’air !
J’ai d’ailleurs connu ma vocation de steward lors de cette période. J’admirais ces hommes et femmes qui voyageaient à longueur de journée tout en s’occupant des gens. Et puis leur uniforme était top.
D’ailleurs, cette perspective d’avenir m’aidait à garder la tête hors de l’eau pendant ma scolarité. J’étais complètement nul en tout sauf en langue et en pitrerie, ce qui désespérait mes parents. Néanmoins, j’ai survécu à ça ! J’ai ensuite pu commencer ma formation de steward.

Assis confortablement dans nos sièges, le film avait commencé. Je regardais tendrement ma petite voisine qui dévorait son pop corn. Ma sœur avait de toute évidence réussi une chose dans sa vie. D’une main, je descendis mes lunettes qui se trouvaient dans ma chevelure sur mon nez et tentais de me concentrer sur le film.

J’avais appris à aimer Londres, sa culture, ses looks vestimentaires, les taxis et évidemment les anglais ! J’en ai d’ailleurs ramené plus d’un à la maison. Ma mère s’était faite à l’idée que j’aimais les hommes mais mes sœurs avaient un peu plus dur. Elles ne comprenaient pas et je m’en amusais. Je tentais même de m’approprier leurs copains. C’était amusant jusqu’au jour où je réussis. Je ne m’y attendais pas du tout, ça avait été plus un jeu qu’autre chose mais ce jour-là, j’avais gagné. D’habitude, j’aimais être le vainqueur mais dans ce cas-ci, j’étais plutôt honteux et dégoutté de moi-même. Honteux d’avoir blessé ma sœur. C’est pourquoi j’ai tout de suite arrêté et ai tenté ma chance avec les femmes. Ça a très bien marché aussi. Finalement, pourquoi ne s’en tenir qu’à un seul genre quand on peut avoir les deux ?
Ma vie sentimentale n’a jamais été un parcours sans embuches. Je pouvais me faire un coup d’un soir comme une relation sérieuse. J’avoue que je ne savais pas trop ce que je cherchais. D’ailleurs, maintenant non plus. Je ne m’inquiète pas pour ça, je me laisse vivre. L’amour est tellement compliqué que ça ne sert strictement à rien de se prendre la tête à vouloir maîtriser les choses.

La petite a rit, bon signe car moi je ne suis absolument rien. Ce film me retourne en entier, tout me rappelle un souvenir, une personne, un lieu…

Les employés me connaissent, ils savent qu’on ne peut pas m’oublier comme ça. A force de côtoyer les différentes destinations, on fait forcément des rencontres.  Le gars du Starbuck Coffee de l’aéroport de Brussels Airport, la jolie vendeuse à la boutique souvenir de l’aéroport de Barcelone, le mec sexy de la librairie de l’aéroport de Vancouver et j’en passe. J’ai mes petites habitudes par-ci et par-là. Ça fait toujours plaisir de parler entre deux vols avec la femme de ménage ou le papy qui s’occupe des valises.
Je me souviendrai toujours de mon premier vol pour Town Square. « C’est quoi cette ville paumée ? » avais-je lâché.  Bah c’était devenu mon coup de cœur.  J’avais pris le temps de visiter la ville et de m’imprégner de l’ambiance si conviviale.
Cette ville était devenu mon petit havre de paix. Elle me plaisait tellement que j’avais décidé d’y emménager. Loin de ma famille un peu barge, loin de mes anciennes habitudes. Je ne souhaitais pas spécialement recommencer à zéro, je voulais juste prendre une longue bouffée d’air frais. J’y suis désormais depuis environ sept ans et je m’y plais toujours autant.

Le générique de fin défile à toute allure, la petite me tire la manche. Elle s’impatiente et veut sortir. Sur le chemin du retour, la nostalgie de Rio de Janeiro refait surface. Je me dis alors qu’il faudrait peut-être que j’aille voir Rio 2. Sacré thérapie ce dessin-animé.

Quel vilain frère d'avoir volé le mec de sa sœur ! Et tu peux me jeter des cailloux mais quand j'ai lu Iago j'ai rigolé bêtement avec cette image en tête Bon j'arrête de t'embêter, tout est parfait dans ta fiche, tu peux désormais commencer à jouer sur Morning Coffee

Pour bien commencer ton aventure parmi nous, voici une liste des endroits que tu devrais visiter, ou des choses que tu devrais faire :
→ Aller lire le GUIDE DU NOUVEAU FOU DE CAFE et la DESCRIPTION DE TOWN SQUARE.
→ Recenser ton MÉTIER, créer tes fiches DE LIENS, DE SUJETS, et ouvrir tes TÉLÉPHONE, FORMSPRING, TWITTER.

Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter ton parrain quand tu en auras un, ce qui ne saurait tarder !

Tout l'équipe te souhaite un très bon jeu sur Morning Coffee