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 Never thought tonight could ever be this close to me Ҩ Andreas

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MessageSujet: Never thought tonight could ever be this close to me Ҩ Andreas   Never thought tonight could ever be this close to me Ҩ Andreas EmptyJeu 21 Aoû - 20:20

Only once in your life, I truly believe, you find someone who can completely turn your world around.
aubrey et andreas
Il était quatre heures de l'après–midi lorsqu'Aubrey se décida à se lever du canapé dans lequel elle était enfoncée depuis l'heure du déjeuner pour se rendre à la fenêtre. En ce bel après-midi ensoleillé, nombreux étaient les habitants de Town Square qui étaient sortis profiter un peu du soleil. Aubrey aurait fait la même chose si elle en avait eu le courage, mais l'appel de son canapé moelleux et de Grey's Anatomy l'avaient obligé à rester cloîtrée entre les quatre murs de son salon. Si elle n'avait pas été de sortie ce soir, elle aurait sans aucun doute culpabilisé de ne pas profiter de l'été. Mais elle devait se rendre chez des amis ce soir, alors pourquoi s'inquiéter d'une petite après-midi passée à glandouiller sur le canapé du salon ?

Les personnes qui l'avaient invités étaient un couple d'amis qu'elle connaissait depuis des lustres, elle avait été à l'université avec eux et ils s'entendaient à merveille. Le seul petit hic, c'est qu'ils avaient tendance à s'occuper un peu trop de sa vie amoureuse, quitté à mettre la pauvre Aubrey dans l'embarras. Elle espérait que ce ne serait pas le cas ce soir et qu'elle pourrait profiter un peu de sa soirée, même si ce n'était pas gagné. De toute façon, avec un peu de chance, sur la dizaine d'invités présents, il y aurait bien quelques célibataires. Sa copine Romy par exemple. Elle pourrait toujours essayer de dévier la conversation sur les amours de Romy, étant donné que la jeune femme passait toujours son temps à en parler pendant des heures.

Aubrey termina de se préparer sur les coups de sept heures et demi. Elle avait troqué son pyjama contre une petite robe noire fluide et des escarpins de la même couleur, puis avait assorti le tout d'un pendentif argenté que sa sœur lui avait prêté quelques jours plus tôt, en dédommagement des nombreuses affaires qu'elle lui avait pris sans jamais lui rendre. Ses cheveux étaient quand à eux détachés et descendaient en boucles le long de ses épaules et de son dos. Elle était prête. Après une dernière vérification dans le miroir de l'entrée, Aubrey se mit en route. La maison de ses amis ne se trouvait pas très loin, à peine dix minutes en voiture. Mais l'heure était peu propice aux trajets, les routes étaient pleines de gens sortant du bureau et elle se retrouva bien vite coincée dans les embouteillages. Quelques minutes plus tard, elle garait sa voiture dans l'allée de la jolie maison familiale de ses amis. Ce fut Alice qui l’accueillit à la porte d'entrée, un grand sourire sur les lèvres. « Salut, ma belle. Je suis contente de te voir. Viens, entre ! Tu es la deuxième. » « Salut, toi. Dis-moi, est-ce que Romy sera là ? » Aubrey avait tâché de paraître normale, mais son ton était plein d'espoir. Elle fut quelque peu soulagée lorsque son amie lui répondit par l'affirmative, et elles entrèrent toutes les deux à l'intérieur de la maison.

Le mari d'Alice, Thomas, était occupé à discuter avec la première invitée, une jeune femme dont Aubrey ne se souvenait plus le nom. Elle l'avait déjà croisé une fois ou deux sans jamais savoir qu'ils avaient des amis communs. Trop plongée dans sa conversation, elle n'entendit pas la sonnette de la porte d'entrée retentir et le troisième invité faire son apparition dans le salon. Ce n'est qu'en entendant une voix chaleureuse dans son dos qu'elle se rendit compte de sa présence. Lentement, Aubrey fit volte face et sentit son cœur louper un battement lorsqu'elle réalisa qu'il s'agissait d'Andreas. Andreas, qui avait une bouteille de vin à la main et les yeux posés sur elle.

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MessageSujet: Re: Never thought tonight could ever be this close to me Ҩ Andreas   Never thought tonight could ever be this close to me Ҩ Andreas EmptyVen 22 Aoû - 1:17

Only once in your life, I truly believe, you find someone who can completely turn your world around.
aubrey et andreas
Andreas avait passé toute sa journée avec sa fille. Cette dernière était encore en vacances et en ayant la rentrée qui s’approchait de plus en plus, c’était l’occasion ou jamais, de passer encore plus de temps avec Lizzie. Aussi, il avait ainsi donc pris sa journée, n’allant pas travailler. D’ailleurs, c’est ce qui lui eut valu quelques regards réprobateurs de sa femme, qui, elle, s’en allait avec lassitude pour son lieu de travail où elle vaquerait entre les patients telle l’infirmière qu’elle était. Ce fut la petite Elizabeth qui dicta à son père le programme très simple de la journée. Elle était une de ses petites filles qui ne s’attendait pas à aller dans des endroits plus que grandioses, non loin de là. La simple présence de ses parents, ou de l’un des deux la suffisait amplement. Elle aurait d’ailleurs aimé que sa mère se joigne à eux, Andreas l’avait bien ressenti. Mais il lui avait fait comprendre avec douceur et surtout tact que sa mère devait travailler, même si elle aurait voulu elle aussi être à leurs côtés. A vrai dire, sur la deuxième partie, Andreas avait quelque peu enjolivé. Certes, sa femme aurait aimé être avec leur fille, mais sa présence avec eux deux, il n’était pas si sûr que cela l’enchante beaucoup. Après tout, les tensions entre eux ne s’étaient pas dissoutes, loin de là même. C’est ainsi donc qu’Andreas et sa fille de six ans s’embarquèrent pour une journée principalement située au parc, où course et jeux de ballon étaient au programme. Mais comme nous disons souvent, les bonnes choses ont souvent une fin, sinon comment pourrait-on les apprécier à leur juste valeur non ? Surtout qu’Andreas n’oubliait pas que ce soir, il était de sortie. Oui, un couple d’ami l’avait invité à passer une soirée avec eux et quelques autres personnes que Andreas connaissait ou non. Il se réjouissait d’avance de cette soirée, après tout, il adorait autant retrouver ses amis que passer une journée toute entière avec sa chère fille. D’ailleurs, il savait d’avance que cette dernière ferait des pieds et des mains pour ne pas le laisser s’en aller comme ça. Effectivement, il était prévu que la petite reste avec sa mère ce soir. De toute façon, Andreas doutait fortement que cette dernière accepte de venir avec lui à une soirée, et il ne pouvait décemment pas emmener Lizzie avec lui. Premièrement car elle était bien trop petite, et deuxièmement, car Andreas avait simplement besoin d’un petit break comme tous les parents du monde. C’est ainsi que quand sonna dix-sept heures, il s’arracha à sa partie de cartes avec sa fille sous les yeux avisés de la mère de cette dernière en train de préparer à diner pour se préparer. Il ne mettait pas longtemps à se préparer. Il était de ces hommes qui ne passaient pas des heures à se regarder dans le miroir. Loin de là. D’ailleurs, il s’habilla que très sobrement avec un pantalon noir et une chemise de couleur blanche. Simple, classique et efficace vous me direz. Faisant le tour mentalement de ce qu’il avait à emmener, il passa par la case parfum et il était fin prêt. Néanmoins quand il retourna dans le salon pour saluer sa fille, cette dernière boudait, assise sur sa chaise pour manger. Il se pencha et l’embrassa sur le front. « Ne te couche pas trop tard, Lizzie. » La petite fit une petite moue. « Pourquoi je ne peux pas venir avec toi avec maman ? » demanda-t-elle pleine d’espoir. Andreas coula un regard vers son épouse qui elle secoua négativement la tête tout en faisant mine de terminer à servir sur la table le repas. « Tu sais, ce n’est pas une soirée très intéressante et tu te serais sans aucun doute ennuyée. Et puis, apparemment, ils auraient de gros chiens. » Apparemment, il venait tout juste de trouver l’argument fatal. Effectivement, la petite Elizabeth avait une réelle phobie canine. Ainsi donc, elle décroisa les bras et tourna le visage vers son père. « Et Maman ? » Andreas sourit à sa fille. « Il faut bien que quelqu’un veille sur toi en mon absence non ? Et puis tu sais, je suis sûr que tu vas adorer le film qu’elle t’a choisi. » Effectivement, quand Andreas était de sortie ou encore certains soirs, sa femme avait pour habitude de choisir un film familial et où exceptionnellement, leur fille regardait, blottie contre un ou ses parents. Sans ajouter quelque chose, il tourna la tête vers sa femme et en voyant cette dernière de dos plongée dans les fourneaux, il choisit ce moment pour s’éclipser. Le trajet entre la maison familiale Hensley et celle du couple d’ami était vraiment moindre. D’ailleurs, Andreas connaissait la route par cœur et aurait pu s’y rendre les yeux fermés. Effectivement, c’était lui, il y a maintenant des années, qui avait fait acheté à Alice et Thomas leur maison actuelle. C’était d’ailleurs ainsi qu’ils s’étaient connus tous les trois. Quand il sonna la porte ne mit pas longtemps à s’ouvrir. Ce fut la jolie et enjouée Alice qui l’accueillit, Thomas était sans doute avec les invités probablement déjà arrivés. « Andreas ! Ravie que tu aies pu venir, malgré tes obligations familiales. Mais viens, entre. Fais comme chez toi. » Evidemment, le blond avait bien sûr senti la plaisanterie dans sa première phrase. « Tu sais que je serais toujours là pour une soirée entre amis, Alice ! » Il entra donc avec le sourire, pour faire écho à celui de la jeune femme, mais avant qu’il ait pu faire ou dire quoi que ce soit, cette dernière l’interrompit. « Avant que je ne retourne à la cuisine, tu peux amener ça à Thomas ? Il y a déjà des invités d’arrivés. » A peine dit, à peine la tornade Alice retourna dans la cuisine après avoir déposé délicatement la bouteille de vin dans les mains d’Andreas. Ce dernier se dirigea alors tout simplement dans le salon. Il reconnut là, l’hôte de ce soir, en train de discuter avec deux jeunes femmes. Il s’exclama à l’adresse de Thomas quand ce dernier eut apparemment fini un sujet de conversation. « Hey Thomas ! Bonsoir Mesdemoiselles. Alice m’a donné du travail pour toi. » Sur ces mots, il lui tendit la bouteille de vin. Après qu’il l’ait récupéré, son ami lui tendit la main. Mais Andreas ne le remarqua à peine. Son sourire toujours sur les lèvres, comme à son habitude, il venait tout juste de remarquer que l’une des invités n’était pas si inconnue que cela. Aubrey. Cette jeune femme avec qui il avait sympathisé tout de suite, et qu’il n’avait jamais recontacté jusqu’au jour de la réunion, même si cette rencontre était totalement dû à un pauvre hasard. D’ailleurs, il n’avait jamais pu se la retirer de la tête. C’est fou comme certaines personnes peuvent vous rester à l’esprit, comme ancrée. Il fallait dire que la jeune femme était tout à fait attirante et était fort sympathique. Andreas avait tout de suite aimé sa personnalité, on ne peut que l’avouer. Sa raison, petite rabat-joie qu’il aimerait bien faire taire lui cria alors de fermer sa bouche et de s’enfuir rejoindre Alice en cuisine par exemple. Mais trop tard, il s’était déjà lancé. « Je vois que tu es en charmante compagnie. Alice devrait se faire du soucis. » Plaisanta-t-il alors avec un petit rire en direction de l’homme en face de lui. Il ne connaissait pas la jeune femme qui était aux côtés de Thomas. Peut-être une collègue à l’un des deux ou encore une amie d’enfance. Qui sait ? Mais une chose était sûre était qu’il voulait en savoir un peu plus sur la petite blonde un peu en retrait, malgré que la morale et la raison ne fassent pas taire l’attractivité qu’il éprouvait pour elle.


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MessageSujet: Re: Never thought tonight could ever be this close to me Ҩ Andreas   Never thought tonight could ever be this close to me Ҩ Andreas EmptyVen 22 Aoû - 17:37

Only once in your life, I truly believe, you find someone who can completely turn your world around.
aubrey et andreas
Aubrey n'était pas d'un naturel timide. Elle ne l'avait jamais été. Mais à ce moment précis, probablement pour la première fois de sa vie ou presque, elle eut envie de rentrer sous terre. Elle ne s'était pas du tout attendue à revoir Andreas aujourd'hui, à cette soirée et il lui aurait fallu un minimum de préparation psychologique avant de pouvoir se retrouver face à lui, en toute normalité. D'un autre côté... elle n'était pas tout à fait certaine qu'elle aurait acceptée la proposition d'Alice et Thomas en sachant qu'Andreas serait lui aussi l'un des invités. Depuis qu'ils s'étaient revus à l'école primaire, Aubrey s'était efforcé de se le sortir de la tête. Ils n'avaient pas échangés un seul mot lors de cette fameuse réunion, mais leurs regards s'étaient sans cesse croisés pendant qu'elle présentait l'année scolaire à venir aux parents de ses futurs élèves. Déjà à ce moment-là, la sensation de son regard posé sur lui l'avait mise mal à l'aise et elle avait eut beaucoup plus de difficultés que d'habitude à faire sa présentation.

Mais ce n'était rien comparé à ce qu'elle ressentait à présent. Andreas était là, à quelques pas seulement, et il n'y avait pas un rempart de parents d'élèves pour la protéger, cette fois-ci. Juste Thomas et l'invitée. Aubrey savait qu'elle devrait lui adresser la parole à un moment ou à un autre et cela la rendait extrêmement nerveuse. « Je vois que tu es en charmante compagnie. Alice devrait se faire du soucis. » La chaleur de sa voix rappela toute une série de souvenirs à la jeune femme, qui dût détourner momentanément les yeux. Elle s'en voulait d'agir comme une adolescente puérile, mais croiser son regard une minute de plus lui était impossible. Et cette fichue sensation de malaise qui s'insinuait en elle comme un serpent... Si le nouvel arrivant avait été quelqu'un d'autre, elle se serait empressée d'aller le saluer avec un grand sourire sur les lèvres. Mais c'était Andreas, et face à lui, elle perdait tous ses moyens. Thomas, qui la connaissait bien depuis le temps, dût s'étonner de cette réserve car il lança d'un ton enjoué : « Aubrey, tu connais Andreas, pas vrai ? Vous vous étiez déjà rencontrés il me semble ? ».

Et merde. Aubrey se confectionna un sourire encourageant et ouvrit la bouche, cherchant ses mots, mais son cerveau bouillonnait et elle était incapable de sortir le moindre son. S'ils se connaissaient ? Mon pauvre Thomas, si tu savais, songea-t-elle. Finalement, elle fit un pas pour se rapprocher du petit groupe et prit son courage à deux mains pour regarder Andreas dans les yeux. Ce n'était pas si compliqué de regarder quelqu'un dans les yeux, pas vrai ? Même s'il s'agissait du type avec qui elle avait couché des semaines auparavant. Et qu'il était le père de l'un de ses futurs élèves. Après s'être discrètement raclé la gorge, Aubrey sourit à Andreas. Il ne fallait pas qu'elle se laisse démonter ainsi. Elle devait rester elle-même et naturelle. Comme la Aubrey qu'elle était d'habitude.

« En effet, on se connait. » « Vous aviez même bien sympathisé, si mes souvenirs sont bons ». Et voilà, Thomas s'y mettait déjà. Aubrey lui aurait bien arraché son petit sourire taquin et son sourcil haussé. Pourquoi fallait-il qu'il fasse toujours ça ? Heureusement qu'il n'était pas au courant de leur nuit passée ensemble, sinon elle n'aurait jamais fini d'en entendre parler. La voix d'Aubrey était un peu plus aiguë que la normale lorsqu'elle reprit : « Oui, c'est vrai. Alors, euh, quoi de neuf Andreas ? Toujours agent immobilier, hm ? » Elle ne réfléchissait pas vraiment à ce qu'elle était en train de dire. Les mots sortaient tous seuls de sa bouche. Elle écouta distraitement la réponse d'Andreas, mais pour être tout à fait honnête, elle était plus concentré sur lui que sur ses paroles. Depuis qu'il était entré dans le grand salon, il n'avait pas arrêté de l'observer, hormis lorsqu'il avait échangé une poignée de main avec Thomas. Aubrey ne savait qu'en penser. D'un côté, son regard lui procurait une chaleur étrange et réconfortante au creux de l'estomac, et de l'autre il lui donnait envie de s'enfuir en courant comme une dératée dans la rue.

Alice revint bientôt de la cuisine, les bras chargés de plateaux remplis d'apéritifs. Aubrey s'empressa de venir l'aider à les porter, soulagée d'échapper à la conversation. Mais Alice étant tout aussi cruelle que son mari, voire même encore pire, elle lui laissa à peine le temps de disposer les apéritifs sur la table avant de demander d'une voix un peu trop chantante : « Oh, Aubrey, tu as retrouvé ce cher Andreas. Vous vous entendiez si bien lors de cette soirée, je ne sais plus chez qui d'ailleurs... » A croire qu'ils s'étaient mis d'accord pour les faire tourner en bourrique. Aubrey finit par se tourner vers la dernière personne qui pouvait encore lui sauver la mise : l'invitée de Thomas. « Andreas, est-ce que tu connais... » Bon sang. Lauren ? Louise ? Ludmila ? Elle avait beau fouiller dans sa mémoire, le nom de la fille ne lui revenait pas. Pourtant, elles s'étaient quand même croisées quelques fois et avaient souvent papoté ensemble. Une minute de silence gênant s'installa dans le salon, jusqu'à ce que la fille finisse par dire d'un air qui se voulait compréhensif, mais il aurait fallu être aveugle pour ne pas voir qu'elle était vexée : « Lucy ». « C'est ça ! Est-ce-que tu connais Lucy ? Lucy est... attends, je l'ai sur le bout de la langue... ». « Infimière » répondit Lucy d'un ton franchement agacé cette fois-ci. Si Aubrey n'avait pas été la principale concernée, elle aurait sans doute trouvé la situation comique. Mais elle l'était, et elle ne savait plus où se mettre. Elle hocha la tête, incapable de relever la tête pour regarder Andreas et affligée par la bêtise dont elle venait de faire preuve. Au moins, avec un peu de chance, la conversation allait se diriger vers Lucy et non pas vers elle.

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