Je m'appelle Duke Hamilton et je suis né(e) à New York le 15 avril 1986. Donc si vous savez compter, ça veut dire que j'ai 28 ans. Je suis d'origine américaine & irlandaise, et j'ai un petit frère. J'aime les femmes et je suis actuellement célibataire. Dans la vie de tous les jours, je suis celui qui vous fait veiller toute la nuit, le DJ de la boite et je fais partie des café au lit. J'ai un projet dans la vie : Bosser dans un club à Vegas. Mais surtout, mon rêve c'est de jouer un match avec les Sharks de San Jose.

   Comment définirais-tu ton caractère ?

   La première chose que l'on doit savoir sur moi, est que je ne prends pas vraiment les choses au sérieux. Je n'aime pas vraiment me prendre la tête pour des trucs débiles, alors j'ai toujours eu l'habitude de faire des blagues et d'utiliser le sarcasme. Surtout niveau sentimental, je tente de le cacher le mieux que je peux. Rares sont les moments où vous allez me voir me morfondre sur moi-même. Seulement quand je suis seul et encore là... Il reste que je suis quand même impulsif, donc oui, ça m'arrive de me fâcher. Je ne suis pas parfait non plus, on s'entend! Par contre, quand je me fâche, j'ai un peu de mal à contrôler ma colère. Je ne sais pas comment l'expliquer, mais c'est comme si j'entrais dans une sorte de transe. Même qu'il m'arrive d'avoir des envies violentes. Je ne me mets pas à tabasser tout le monde quand même, seulement ceux qui me cherchent assez pour que mon poing parte tout seul dans son visage. Je suis le gars qui aime être en contrôle. Dans une équipe, je veux être le capitaine et je ne baisse pas les bras jusqu'à ce que je le sois. Je suis un homme têtu et orgueilleux, que voulez-vous! Je suis un hyperactif, donc je me dois de bouger. Rester assis toute la journée à ne rien faire, ce n'est pas mon truc. C'est pourquoi mes parents m'avaient inscrit au hockey, pour me calmer un peu. Fiable ? Oui et non. Disons que j'arrive souvent en retard, mais on peut quand même compter sur moi (de temps en temps). Certaine personne pourrait croire que je suis narcissique, mais ce n'est pas le cas. Je ne passe pas trente minutes devant le miroir à placer mes cheveux. Par contre, je suis confiant et déterminé. Quand je veux quelque chose, je fais mon possible pour l'obtenir. J'adore les femmes et je ne manque pas l'occasion d'en séduire une, c'est peut-être une des raisons pour laquelle je ne suis pas en couple. Pas assez sérieux encore. Le jour où les femmes seront prêtes à partager leur petit-ami, je me ferai un plaisir d'être en couple! Sinon, je suis un homme assez simple. Ça ne sert à rien de se compliquer la vie!

   Parle-nous de ton métier :

   Si j'aime mon métier ? Laissez-moi y penser un peu... Me donne accès à des party et des événements gratuitement. Je dois rester fêter avec les gens jusqu'à quatre heures du matin. Je suis en contrôle de la soirée. Les filles viennent tout le temps se coller à moi - et même si elles sont bourrées, on s'en fout! Euhh... OUI, j'adore mon métier. Ce n'était pas mon premier choix, mais étant donné que j'ai dû faire une croix sur celui-là, je devais me trouver autre chose. Pourquoi devenir DJ ? Déjà, je n'ai pas continué mes études après le lycée et je n'avais pas vraiment envie d'y retourner. Trop ennuyant pour moi et je n'étais pas vraiment un génie non plus. Il fut un temps où je n'avais rien à faire de ma vie et j'ai trouvé un mec qui vendait sa table tournante à bas prix. Pourquoi pas? J'ai donc pris du temps pour regarder plein de tutoriel et s'est ainsi que j'ai appris à mixer. C'était un petit passe-temps et il faut dire que je suis heureux de l'avoir fait, car selon moi, j'ai un des boulots les plus cool.

   Raconte-nous quelle est ton aspiration dans la vie :

   Vivre pour moi-même et pas pour les autres. C'est ma vie et pour être heureux, je dois faire ce que je veux. Je ne suis peut-être pas un PDG, un avocat, un docteur, mais l'important c'est que je fais ce qui me plait. Si on fait de notre vie celle d'un autre, on passe à côté des plus belles choses. Dans la vie, c'est ça l'important. Je suis heureux comme je suis et le jour où je ne le serai plus, je vais tenter de trouver mon bonheur. Certaine personne me déteste, je m'en fous! Moi, je m'aime! Faut profiter du moment présent, parce que le futur nous réserve des surprises. On va peut-être mourir demain, qui sait? Passer du temps avec ceux qu'on aime et faire ce que l'on désire. Vaut mieux mourir comblé que borné, non ?
   

   
   Pseudo Pakam. Prénom Pakam. Fille ou garçon woman. Age 20 ans. Pourquoi vous êtes-vous inscrit sur MC ? parce que le forum est magnifique *_* et me semble sympa . Comment l'avez-vous connu ? top site. Fréquence de connexion 4/7j. Avatar Chace Crawford. Pourquoi cet avatar Parce que j'avais déjà joué mes autres choix de vava haha. Statut inventé. Lien du scénario [url=LIENDUSCENARIOICI]scénario[/url] Voulez-vous être parrainé ? Non, merci Code du règlement café vanille française (a)

   

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[color=IndianRed][b]CHACE CRAWFORD[/b] ●[/color] Duke Hamilton

   

   

   

   New York, la ville qui fait rêver! C'est là où ma vie débuta. Fils de riche, bien entendu, ma famille est très connue aux États-Unis. Lorsqu'on est un Hamilton, on n'est pas n'importe qui. En effet, mon arrière-arrière-grand-père, James Hamilton, était l'un des propriétaires de la compagnie des montres Hamilton. Encore à ce jour, la compagnie continuer d'être célèbre à travers le monde et mon père en est maintenant le propriétaire. Tandis que ma mère n'est seulement qu'une femme au foyer. Mon père est très vieux-jeu et croit encore que la femme se doit de rester à la maison à faire le ménage, s'occuper des enfants et préparer le dîner. Cependant, elle ne l'a pas toujours été. Sa famille vient de l'Irlande et ses parents ont migré aux États-Unis avant la guerre civile de 1922. Née aux US, ma mère s'est trouvé un job comme comptable et c'est la qu'elle a rencontré mon père. Ils étaient assez vieux lors de leur rencontre. Donc, je ne suis pas un enfant né alors que mes parents étaient toujours au lycée. Cette époque était même déjà loin derrière eux. Quasiment élevé que par ma mère et l'argent de mon père, car ce dernier n'était pas vraiment présent, j'ai quand même eu une enfance normale. Mes vieux m'avaient donné le choix entre l'école à la maison ou l'école privée. Apparemment, c'était les écoles publiques étaient mal vues. Enfin, mon père voulait plutôt montrer qu'il avait de l'argent et non pour nous donner une meilleure éducation. Contrairement à mon petit frère - qui n'a seulement que deux ans de différence avec moi -, je n'étais pas l'enfant prodige de la famille. À vrai dire, j'avais du mal avec la concentration, ce qui affectait beaucoup mes travaux scolaires. J'avais été diagnostiqué un trouble du déficite de l'attention, ce qui avait vraiment fâché le paternel. Pourquoi ? Aucune idée. Ce n'était pas une maladie, ce n'était rien de grave. Juste qu'il fallait que je travaille un peu plus ma concentration tout en prenant les médicaments recommandés. Cela voulait aussi dire que je devais être transféré dans une école publique - moins stricte - et heureusement ! Entre les deux, il y avait une grosse différence et je préférais de loin l'école publique. Les jeunes étaient déjà plus aimables et les enseignants étaient plus patient ! C'est aussi en quatrième que je vécus mon premier amour, madame Appleton. Amour impossible, mais ce fut une des raisons qui me fit passé mon année.

Le medecin spécialisé que je devais rencontrer au moins deux fois par mois avant conseiller à mes parents de m'inscrire à un sport. Cela pouvait aider mon hyperactivité et me calmer un peu. J'avais neuf ans quand mon père m'inscrit dans une équipe de hockey. Lui semblait s'en foutre un peu, c'était plutôt son frère qui venait me porter à mes pratiques et mes matchs. Parfois, je souhaiterais être le gosse de mon oncle Sam. N'étant pas l'aîné de la famille, il n'a pas complètement hérité de l'entreprise des Hamiltons. Contrairement à mon père, il avait du temps pour moi. De plus, il portait un intérêt pour le hockey et s'est graçe à lui que j'en développais à mon tour. Ce sport devint ma vie et ma passion. Je savais que c'était ce que je voulais faire plus tard. Cependant, mon futur était déjà tracé. Je suis l'aîné et je dois prendre en main la compagnie de mon père. Comme tous les autres aîné Hamilton ont fait. Cela signifiait aller à l'université et étudié encore... Je n'avais pas encore parlé à mon père de ce rêve de jouer dans la ligue nationale de hockey, car je ne pensais pas que cela allait arriver. Mais apparemment, la chance était de mon côté. À la fin du lycée, la ligue junior - qui est l'étape avant la nationale - m'offrait un poste de défenseur au sein de l'équipe de New York, les Apple Core. Je ne pouvais pas refuser l'offre, alors sans même en parler à mon père avant de prendre ma décision, je dis oui! Après tout, pourquoi mon père prendrait la décision à ma place ? C'est ma vie, non ? Je vous mentirais si je disais que je n'ai pas eu de problème à l'annoncer à mon père. Je crois que je n'ai jamais été aussi stressé qu'à ce moment de ma vie! Au début, il n'était pas d'accord. Enfin, il ne l'a jamais été, mais bon... Notre dispute dura environ une semaine, mais je ne renonçais pas à mon rêve. J'en avais marre que mon vieux dirige ma vie comme si c'était la sienne. Après avoir passé la semaine en froid avec lui, il "accepta" finalement le fait que je ne veuille pas faire partie de la compagnie. « Tu peux aller gâcher ta vie, mais ne vient pas pleurer à mes pieds lorsque tu auras besoin d'aide. » Ce n'était pas ses plus belles paroles, mais j'avais vu pire! Mon frère était celui qui allait prendre sa place et moi j'avais enfin la paix. Je pouvais faire ce que j'aimais le plus, jouer au hockey.

Étant seul à m'embarquer dans ma nouvelle carrière, même si ce n'était pas vraiment considéré une carrière au niveau où j'étais, j'avais trouvé un petit boulot dans une boutique de sport. Je connaissais déjà bien la marchandise et j'avais des rabais pour mon équipement. J'aurais bien aimé avoir l'aide de mon oncle, mais ce dernier avait déménagé en Oregon. Du coup, je devais vraiment faire face à la situation seul. J'avais toujours un toit, mais je devais payer ma voiture, mes déplacements et tout. Avec un petit boulot, je pouvais y arriver. Ce n'était pas si facile, mais l'important était que j'y arrivais. Après trois ans dans la ligue junior, j'eus finalement une offre d'une équipe nationale. Les Nashville Predators. Du moins, ils étaient intéressés! Ce n'était pas la meilleure équipe, mais tout ce que je voulais s'était entré dans la ligue. Donc, durant les derniers match de la saison, il y avait des recruteurs de l'équipe intéressée qui analysaient les joueurs et ensuite décidaient qui ils choisissaient. Je n'avais pas droit à l'erreur et afin de "mieux" jouer, je ne pris pas mes médocs comme j'étais censé faire. Je voulais être moi-même et avoir plein d'énergie! Le seul problème est que lorsque je ne prends pas mes médocs, je deviens un peu plus irritable, impulsif... Lors d'une partie, un des joueurs me cherchait. Il venait toujours me rentrer dedans, me mettre son bâton entre les jambes et pendant les pauses, il m'insultait à l'insu des arbitres. Rendus à la dernière période, j'en avais vraiment marre, il avait atteint ma limite de patience. J'attends seulement l'occasion pour lui en coller une. Il vint près de moi pour me pousser contre la bande et se fut pour moi le moment. D'un coup, je me suis retourné pour l'agripper par le collet et vint lui en mettre une sur le nez. J'aurais bien pu arrêter, mais j'avais perdu le contrôle. Mon poing s'écrasait contre son visage à plusieurs reprises et même lorsque les arbitres essayaient de nous séparer, je ne les laissais pas faire. L'autre joueur était maintenant sur le sol avec moi au-dessus, mes coups continuaient jusqu'à ce que les arbitres réussissent à m'arrêter. Mes mains tremblaient encore, j'avais du sang sur les jointures et à la vue de cela, je baissais mon regard vers ma victime. Il semblait inconscient, ses yeux fermés, sang plein le visage, on ne le reconnaissait plus. Lui quitta l'aréna en ambulance et moi sur le banc arrière d'une voiture de police. C'était la fin de ma carrière avant même d'avoir pu réaliser mon rêve. Cette histoire avait fait beaucoup parlé et puisque ce n'était pas de bonnes nouvelles, mon père avait payé ma caution, mais avait décidé de me jeter dehors. Je n'étais plus la bienvenue dans la maison. Une honte pour la famille selon lui. Où suis-je allé me réfugier ? Chez mon oncle, à Town Square en Oregon. Malgré ce que j'avais fait, il était là pour me soutenir. Une fois par semaine, j'avais rendez-vous chez le psychologue et j'étais obligé de prendre mes médicaments tous les jours. J'avais 22 ans et je devais me trouver un nouveau métier. Mon oncle avait des contacts et j'avais réussi à me trouver un boulot en tant que charpentier, mais ce n'était pas mon truc. Pour le moment, c'était tout ce que j'avais.

Et puis, un jour, un mec vendait une table tournante et je décidais de l'acheter. De quoi me divertir un peu. Qui sait ? Ça pourrait me servir ! C'est ce que je me disais à cette époque. J'avais eu raison. Mes soirées passées à regarder des tutoriels et apprendre un peu plus à mixer la musique m'avaient finalement servis. Tout à commencer dans une petite fête improvisée où j'avais joué pour un ami. Rien de mieux pour me faire de la publicité. Après cette soirée je reçus des demandes pour que je vienne jouer à leur anniversaire ou autres événements. Je m'étais fait un nom dans le milieu. Je bossais toujours dans la charpenterie, mais ce n'était qu'une question de temps avant que la boîte m'approche pour que je devienne leur DJ permanent. Apparemment, j'avais été référé par je-ne-sais-qui, étant donné que leur DJ avait démissionné pour aller à L.A.. C'est ainsi que je devins le DJ de la boite à Town Square. De temps en temps, je joue encore dans des party privées, mais ma place est maintenant au club. J'ai pu me trouver un joli loft au centre-ville, il était temps que je quitte la maison de mon oncle. Je l'aime bien, mais je voulais mon chez moi. Au début, New York me manquait, mais je me suis attaché à cette petite ville. Après six ans, il faut bien !

Je suis presque triste de pas avoir entendu parler de caravane hippie et de boule disco Pauvre Duke qui peut plus jouer au hockey Bon, il l'a un peu cherché mais ça reste triste En tout cas, tout est parfait dans ta fiche, tu peux désormais commencer à jouer sur Morning Coffee

Pour bien commencer ton aventure parmi nous, voici une liste des endroits que tu devrais visiter, ou des choses que tu devrais faire :
→ Aller lire le GUIDE DU NOUVEAU FOU DE CAFE et la DESCRIPTION DE TOWN SQUARE.
→ Recenser ton MÉTIER, créer tes fiches DE LIENS, DE SUJETS, et ouvrir tes TÉLÉPHONE, FORMSPRING, TWITTER.

Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff.

Tout l'équipe te souhaite un très bon jeu sur Morning Coffee