Je m'appelle Eliott Weston et je suis né à Auckland le 24 Mai 1979. Donc si vous savez compter, ça veut dire que j'ai 39 ans. Je suis d'origine néo-zelandaise, et j'ai un frère et une sœur. J'aime les femmes et je suis actuellement divorcé. Enfin, elle est morte entre temps, mais ça ne fait pas de moi un veuf, si ?. Dans la vie de tous les jours, je suis inspecteur de police et je fais partie des Cafés Crèmes. J'ai un projet dans la vie : Réussir mon installation à Town Square. Mais surtout, mon rêve c'est de de reformer une famille avec ma fille..

Comment définirais-tu ton caractère ?

Eliott a un tempérament qu'on pourrait qualifier de typiquement Néo-Zélandais. Il est très calme, vraiment très calme, il faut véritablement franchir les limites pour le pousser à la colère. Il aime les choses simples et pour lui bonheur rime avec famille. Il est généreux, et aime aider et protéger son prochain, d'où son choix de profession. Hélas, il est peut être un peu trop emphatique. Il a tendance à prendre tout le malheur du monde sur ses épaules, ce qui est sa plus grande faiblesse. C'est d'ailleurs cela qui l'a poussé vers la bouteille lors de ses années noirs de flic. On peut dire qu'il souffre du syndrome du héros mais qu'il a du mal à résister à une trop forte pression. C'est un romantique et il respecte énormément la femme. En revanche, il est très vieux jeu, notamment en ce qui concerne sa fille, Debra. Il est sincère mais aime éviter le conflit lorsque cela est nécessaire. Il a en effet, horreur des disputes. Il est très organisé et méthodique mais montre parfois les symptômes du rêveur maladif. Il ne manque pas de courage et d'audace mais possède aussi un petit côté donneur de leçons, parfaitement horripilant.


Parle-nous de ton métier :
Aussi loin qu'il se rappelle, Eliott a toujours voulu être policier. Bien entendu, quand il était gamin, ses motivations étaient moins sérieuses que maintenant, mais il a toujours eu cette volonté de faire respecter l'ordre et la loi. Sans parler du fait de protéger les plus faibles. Gamin, il était le premier à se lancer dans des bagarres contre les brutes de la cour de récréation pour protéger les plus jeunes. En grandissant, il n'a jamais pu envisager une autre carrière, surtout que les études le barbaient particulièrement. C'est donc tout naturellement qu'il est entré à l'école de police d'Auckland. Il est sorti dans les premiers de sa promotion et sa carrière a connu une ascension fulgurante dès qu'il en est sorti. A vrai dire, lui même n'avait imaginé qu'il irait aussi loin. Il se voyait simple flic, pas lieutenant aux stupéfiants, puis à la criminelle. Toutefois, ce succès s'est teinté de désillusions. Le métier n'est pas aussi idéal que la représentation qu'il s'en était faite. La corruption et le danger sont partout, le stress et les affaires vous poursuivent. C'est dur de faire la coupure quand on rentre à la maison le soir. D'ailleurs, un beau jour, il n'a plus été capable de la faire, la coupure et a entaché sa carrière d'une tâche indélébile. Aujourd'hui, il est simplement reconnaissant de pouvoir continuer à exercer ce métier, qui est plus une vocation, une partie de lui même qu'une simple profession.

Raconte-nous quelle est ton aspiration dans la vie :
Eliott n'a jamais été très ambitieux. Il a toujours souhaité le bonheur simple. Maintenant qu'il l'a connu et perdu, il souhaite tout simplement s'en sortir. Il tient à rester sobre, à éviter les tentations de la bouteille cette fois-ci. Il voudrait enfin trouver le pardon pour les erreurs qu'il a faite, du moins auprès des personnes qui sont encore en vie. Pour les autres, et bien, il aimerait cesser d'être hanté par elles. Mais son plus grand vœu est sans doute de pouvoir recommencer à zéro avec sa fille, Debra. Il souhaite ardemment son pardon et une opportunité de se rapprocher réellement d'elle. Il ne voit pas l'intérêt de commencer une nouvelle vie sans l'amour et l'approbation de sa raison de vivre.  Les choses s'annoncent compliquées mais Eliott est un croyant. Par contre, professionnellement et amoureusement parlant, il considère que c'est plus prudent de ne rien attendre. Dans ces deux matières, il s'est montré trop passionné et s'en est brûlé les ailes. S'il y a au moins quelque chose qu'il a appris, c'est de ne pas recommencer deux fois, les même erreurs.






Pseudo BlackBook. Prénom Justine. Fille ou garçon Fille. Age 21 ans. Pourquoi vous êtes-vous inscrit sur MC ? Pour surveiller Deborah ! Non ben on cherchait un bon petit fo pour notre histoire et celui là nous a tapé dans l’œil. Comment l'avez-vous connu ? Par Deborah. Fréquence de connexion Pour le moment, je ne serai là que le week-end mais je RP la semaine hors connexion et la situation devrait vite s'arranger. Avatar Pedro Pascal. Pourquoi cet avatar J'avais envie de le jouer depuis longtemps et il collait bien à mon papa presque quinqa. Statut inventé. Lien du scénario [url=LIENDUSCENARIOICI]scénario[/url] Voulez-vous être parrainé ? Oui. Code du règlement Macchiato.

Code:

[color=IndianRed][b]PEDRO PASCAL[/b] ●[/color] Eliott T. Weston

« Alors maintenant, tu vas me donner le fric que tu me dois avant que je m'énerve. Et je crois que personne ici n'a envie que je m'énerve. » Eliott regarda la parodie de gangster qui lui faisait face avec un sourire narquois. Tout se déroulait presque trop bien, c'était louche. Celui qui se la jouait caïd en puissance n'avait même pas vérifié la présence de micro et enchaînait les allusions susceptibles de l'incriminer. C'était déstabilisant. Toutefois, il était un homme d'action et peu porté sur le doute. Il sortit son flingue et le pointa sur le type. « La seule chose que je te devrai, c'est vingt cinq ans de taule. Police d'Auckland, connard. » Il eut à peine le temps de savourer l'expression incrédule de son interlocuteur que ce fut l'explosion. De partout, on dégaina. Mais c'était trop tard pour les trafiquants de drogue, les collègues du lieutenant avaient déjà fait irruption partout dans la pièce. On passa les menottes à ces messieurs avec une satisfaction non dissimulée. Cette bande agissait depuis de nombreux mois sans qu'on puisse parvenir à la coincer. La police avait dû fournir un travail de longue haleine pour ne serait-ce que les localiser. Sans compter que faute de preuves, Eliott avait plus ou moins du passer en infiltration à titre officieux. Si l'opération avait échoué, les conséquences auraient pu être sérieuses pour sa carrière, car il avait enfreint pas moins de trois lois fédérales. Heureusement, comme toujours, les choses finissaient bien pour lui. Il venait de coincer nul autre que le bras droit du chef de la bande. Et bientôt, pontes et journalistes se joignirent à la fête. « Félicitations, Weston ! C'est ce qu'on appelle un bon coup de filet. Auckland dormira mieux sans ces mecs dehors. Et la presse va adorer, les jeunes flics, c'est toujours apprécié ! » Le grand patron en personne venait de le féliciter ! Toutefois, l'attention de Eliott était toute entière portée sur son patron et mentor à lui, le lieutenant Delgado qui lui faisait des signes frénétiques depuis la fin des opérations. Interloqué, il se rapprocha de lui, contournant le chef des polices avec un sourire désolé. A peine fut-il vers lui, que Delgado lui administra une tape qui n'avait rien d'amical derrière les oreilles. « Abruti, est-ce que je t'ai appris à une quelconque moment à te jeter dans la gueule du loup sans couverture sérieuse ? Tu aurais pu te faire tuer. Alors oui, ça finit bien mais franchement... J'espère qu'il ne te donneront pas une promotion. Tu es peut être doué mais tu n'es qu'un freluquet insubordonné. » Eliott n'eut pas d'autre choix que de lui adresser un pâle sourire. Il ne pouvait pas dire que son plus vieux collègue avait tort. Il agissait un peu en tête brûlée ces derniers temps, plus désireux de faire ses preuves que jamais. Et même s'il grimpait les échelons, la gloire n'était pas ce qui l'intéressait. Voyant, sa mine contrite, son mentor se radoucit. « Enfin, ce n'est pas pour t'engueuler que je t'appelais. L'hôpital a appelé, Keira a accouché. Tu es papa, mon vieux. Félicitations. » Une joie immense emplit Eliott, qui ferma les yeux, un instant submergé par l'émotion. Puis une vague de terreur le saisit tandis que son collègue le prenait dans ses bras pour le féliciter. « Oh putain, elle va me tuer ! J'avais promis que je serai là... »

Dix huit minutes plus tard, après ce qui fut une course effrénée dans la charmante ville d'Auckland, il franchissait la porte de la chambre de sa femme, à bout de souffle. Il se précipita vers sa femme, qui allongé dans le lit d'hôpital avait l'air fatiguée mais heureuse, pour lui déposer un baiser sur le front. « Je suis désolée, mon amour. J'étais sur un gros coup. Où est le bébé ? Fille ou garçon ? » Keira pinça les lèvres et comme prévu, il dû essuyer une véritable tempête. La volcanique photographe qui lui servait de femme n'avait apparemment pas perdu toutes ses forces dans l'accouchement. « Oh tu es désolé, Eliott Weston. Pas autant que moi figure toi. Tu crois que tu peux te pointer la bouche en cœur et simplement me dire que tu es désolé ? J'ai passé huit heures sur la table d'accouchement à t'appeler. Où tu étais ? Je n'en ai rien foutre de tes missions. Tu es toujours sur quelque chose. Qu'est-ce que j'aurais fais moi si tu t'étais fait tué ? J'aurai donné naissance à une orpheline ? Il va falloir faire preuve d'un peu plus de constance si tu veux faire parti de la vie de ta fille, je te préviens. Fille ou garçon ? Et tu ne me demandes même pas comment je vais, moi ? » Un large sourire vint éclairer le visage du principal intéressé. « C'est une fille ? » Elle allait avoir envie de lui donner des claques mais c'était bon signe, il était ainsi sûr qu'elle et ses poumons se portaient parfaitement bien. Certes, il était fâché d'avoir raté l'accouchement mais c'était la première fois qu'il était père, et rien ne semblait pouvoir gâcher le sentiment d'euphorie qui l'avait étreint depuis que Delgado lui avait annoncé la nouvelle. Il entendit soudainement un léger vagissement tandis qu'une infirmière passait le seuil de la porte avec un nourrisson dans les bras. Il la reconnut aussitôt comme sa fille et une vague d'amour infini l'envahit.  Elle était magnifique, ses minuscules poings s'agitant dans les airs avec énergie tandis que ses grands yeux sombres se posaient sur lui. Il s'en empara littéralement et ne put détacher son regard d'elle. Désormais, tout son univers tournerait autour de ce petit être.


.

« Comment vous sentez-vous, Eliott ?» « Très viril, vraiment. » Il croisa les jambes et porta une main paresseuse en dessous de sa tête pour s'installer plus confortablement sur le divan. Vraiment, il avait toujours considéré que les interminables séances chez le psy étaient pour les ménagères névrosées. Et puis, ça le mettait mal à l'aise d'être allongé ainsi, il se sentait vulnérable. Il aurait préféré une bonne discussion face à face avec son psychologue, qui loin de lui déplaire, l'avait réellement aidé au cours des mois qui avait suivi ce qui serait à jamais le drame de sa vie. « Bien, vous faites des blagues, c'est que vous allez mieux ! Puis-je vous demander quel a été le résultat de votre audience ?» Quoique, cette politesse était légèrement horripilante. Eliott n'avait pas le choix de répondre à la question, puisque c'est que de cette séance que dépendait l'aval du psy' pour qu'il puisse reprendre ses fonctions. Il ne se gêna d'ailleurs pas pour lui faire remarquer. « Et bien à condition que j'obtienne votre accord, je ne serai pas radié de la police définitivement. Je serai rétrogradé, muté dans un trou et sans doute plus jamais gratifié d'un quelconque honneur mais je pourrai continuer à être flic. Je m'en sors plutôt bien quand on considère que j'ai tué un autre flic. » Même sans avoir de visuel sur son visage, Eliott pouvait sentir le bon docteur hausser les sourcils d'un air désapprobateur. « Eliott, nous avons déjà parlé de la culpabilité et de vos erreurs. Ce n'est pas vous qui avez tué votre coéquipier». Il se garda bien de répondre et de contredire le brave homme. Après tout, il le voulait désespérément cet aval. Mais pour lui, les faits étaient immuables. Il y avait un peu plus d'un an, son coéquipier et lui avaient mené une intervention dans un squat de junkies. Eliott avait été censé couvrir son partenaire mais quand un homme armé avait ouvert le feu sur eux, il avait été incapable de viser juste et de les défendre pour la simple et bonne raison qu'il avait un taux d'alcool considérable dans le sang. Le psy ré-attaqua d'ailleurs sous cet angle. « Vous avez obtenu votre badge de sobriété ? Racontez moi comment vont les choses aujourd'hui. Je dois être certain que les troubles qui vous ont fait basculer dans l'alcoolisme ont disparu pour vous donner mon feu vert.» Le précieux petit morceau de métal tournait déjà entre les mains du principal intéressé. Il mit cependant quelques instants avant de répondre, désireux de ne pas faire de gaffes. Ce psy avait beau être très amical, il ne lui faisait pas pour autant confiance. Qui plus est, il n'était pas forcément facile pour lui de mettre des mots sur l'état actuel de sa vie. ça ne lui rappelait que trop ce qu'il avait perdu, ce qu'il avait détruit. « Oui, j'ai eu le badge... Je dois le reconnaître, même si je ne voulais pas m'y rendre, ce groupe de parole était exactement ce qu'il me fallait. Les gens, là-bas, ils m'ont montré que je n'étais pas le seul à vivre ainsi. Ils m'ont aidé à avoir moins honte de ma faiblesse, à l'admettre pour pouvoir la combattre...  Je continuerai à en fréquenter un, même si je quitte la Nouvelle-Zélande. » Il supposait que c'était là ce que voulait entendre son auditeur mais à vrai dire, il le pensait. Aller aux alcooliques anonymes avait sauvé les derniers vestiges de sa vie. Longtemps, il avait cru que l'alcool avait été la solution à tous ces problèmes, maintenant, il savait que ce n'était pas vrai. « Vous envisagez de quitter la Nouvelle-Zélande ? »  Oui, il rêvait de tout laisser derrière lui, même si c'était peu courageux. Bien que ses démons étaient sans frontière. «  Ils proposent un programme d'échange avec les américains, je pensais me porter volontaire. Debra et moi, nous avons besoin d'un nouveau départ, je pense. Le problème, c'est que pour le moment, elle me déteste. Elle est persuadée que je me réjouis de la mort de sa mère. Elle a refusé que je la touche à l'enterrement...   » La pointe de souffrance habituelle le traversa à l'idée que sa propre fille ne pouvait plus supporter de le regarder. Il s'était juré à sa naissance qu'elle serait sa priorité, sa raison de vivre. Mais sur ce point comme sur beaucoup d'autres, il avait échoué. Sa carrière l'avait tenu éloigné de sa fille, lui faisant rater les moments phares de sa vie. Elle était une championne d'escrime, mais il avait raté la moitié de ses triomphes. En direct du moins, car même si personne ne le savait, il possédait un enregistrement de toutes ces performances... « Ne vous formalisez pas trop. Nous savons tous les deux combien votre divorce avec Keira a été houleux. Largement de quoi traumatiser l'enfant qu'elle était à l'époque. Surtout que vous ne vous êtes pas beaucoup vus ces trois dernières années. » Eliott serra subitement les poings à la mention de son ex-femme. Il n'était pas homme à blâmer les autres, mais il pouvait remercier Keira pour avoir instiguer sa descente aux enfers. Elle lui avait tout pris. Ses rêves, sa dignité et surtout sa fille. «  Parce que Keira faisait obstruction. Comment je pouvais garder un lien avec ma fille en la voyant un samedi sur deux pendant trois misérables heures ? Son décès n'efface pas le mal qu'elle a fait. Elle a engagé Debra dans notre divorce et je ne lui pardonnerai jamais. Après, je ne suis pas pour autant content que ma fille soit privée de mère. Surtout que je n'ai pas la moindre idée de comment m'y prendre avec elle...   » Un excès de franchise qu'Eliott eut peur de regretter mais il sembla plaire au psy. La séance se déroula, longue et pleine d'introspection. Rien ne lui fut épargné, quand il dut revenir sur cette période sombre de sa vie. Celle où l'amour de sa vie l'avait quitté, le privant de sa fille et de sa famille tandis que les jours au boulot devenaient plus moroses et plus sanglants les uns que les autres. Il s'était mis alors à boire. Au début, un petit peu pour se donner le courage de continuer mais les choses étaient vite devenues hors de contrôle. Jusqu'à ce terrible jour où il avait été le responsable indirect de la mort de son coéquipier. Ils reparlèrent aussi du décès de Keira, des erreurs de Eliott avec Debra, de la place que sa carrière avait prise dans sa vie... Rien ne lui fut épargné. Mais cet effort douloureux fut récompensé car à la fin, le psy lui donna l'aval tant espéré. Une nouvelle vie était sur le point de commencer. 

Pas de souci ! Peter c'est joli aussi, je comprends que t'aies hésité Tout est parfait dans ta fiche, tu peux désormais commencer à jouer sur Morning Coffee

Pour bien commencer ton aventure parmi nous, voici une liste des endroits que tu devrais visiter, ou des choses que tu devrais faire :
→ Aller lire le GUIDE DU NOUVEAU FOU DE CAFE et la DESCRIPTION DE TOWN SQUARE.
→ Recenser ton MÉTIER, créer tes fiches DE LIENS, DE SUJETS, et ouvrir tes TÉLÉPHONE, FORMSPRING, TWITTER.

Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter ton parrain quand tu l'auras ou alors un membre du staff.

Tout l'équipe te souhaite un très bon jeu sur Morning Coffee