Je m'appelle Parker Milton Breston et je suis né(e) à Town Square le 18 mars 1984. Donc si vous savez compter, ça veut dire que j'ai 30 ans. Je suis d'origine italienne, et j'ai deux soeurs et un frère. J'aime les femmes et je suis actuellement divorcé. Dans la vie de tous les jours, je suis au chômage et je fais partie des café renversé. J'ai un projet dans la vie : retrouver ma place de flic. Mais surtout, mon rêve c'est de retrouver l’espère d’ordure qui est responsable de l’échec de mon mariage….

Comment définirais-tu ton caractère ?
« C’est rien qu’une brute ! » « Mais non. Il a un cœur d’or. Il a juste du mal à le montrer ! » « Bien sûr que tu le défends, c’est ton frère, mais il n’empêche que j’ai pas confiance en lui. Il me fait peur… » C’est pas nouveau après tout. Mes sœurs, mon frère, sont les seuls à réellement savoir qui je suis. Avec eux, il m’est facile d’être moi-même et de ne pas agir comme un idiot. Malheureusement avec le reste des gens, c’est beaucoup plus compliqué. De prime abord, ils ne m’aiment pas beaucoup. Probablement à cause de ma tronche de sale môme. Ou simplement parce que j’ai tendance à envoyer chier les gens. Qui sait… En tout cas une chose est sûre, j’inspire pas confiance et je m’en moque. Ce n’est pas une carapace que je porte, je me suis toujours comporté comme ça. C’est pas toujours facile d’être l’ainé après tout. L’héritier du grand flic Matthew Breston. « Quand je pense à son père, ce héros, lui qui était aimé de tous… Comment son fils peut être un déchet ? Je n’arrive pas à le croire… » Toujours à me mettre dans les bennes à ordures. Au lycée déjà, j’étais celui qui voulait se faire passer pour un rebelle, avec sa magnifique moto et sa veste en cuir. Au final, je n’ai pas tellement changé depuis cette époque. Toujours un rebelle, toujours à essayer de cracher sur les autres, juste pour me sentir moins minable. C’est pitoyable, je sais, mais je ne connais pas d’autres façons d’exister. Il aurait été bien plus simple d’être le fils parfait, mais je n’y arrive pas. Peut être parce que je me mets la pression tout seul. « Et puis franchement j’arrive pas à croire que Cara ait pu tomber amoureuse de lui. Enfin… Ca s’est terminé comme tout le monde pouvait le penser… D’ailleurs il paraît qu’il l’a trompé… » Ils m’énervent, à prétendre tout savoir sur mon mariage. La tromper… C’est pas mon genre d’être infidèle. Je ne peux pas. Tromper une femme, c’est une trahison et si j’ai bien des défauts, l’infidélité n’en fait pas partie. Mon mariage, il s’est terminé à cause de mon obstination, à cause de cette foutue affaire qui m’a bouffé de l’intérieur, tant je voulais mettre ces gens sous les verrous. « Allez tous vous faire foutre… ! » Ca c’est moi… Franc et clair dans mes paroles. J’aime pas être poli, alors je suis vulgaire… Et je suis sûr que tout le monde me comprend…

Parle-nous de ton métier :
« Parker Milton ? C’est pas le fils de Matthew ? Le plus vieux je crois, une vraie bourrique ce gamin… » qu’ils disent souvent, lorsqu’ils se décident à parler de moi. Faut dire que mon père était un monument dans la police et que la plupart des gens le connaissent bien. « Il paraît qu’il s’est fait renvoyé de la police, une honte pour son pauvre père, il doit se retourner dans sa tombe. » Ils croient tous que j’ai fait exprès. Que je n’étais dans la police que pour suivre les traces de mon père. Beaucoup ont cru que je n’avais pas l’étoffe. Les autres savaient que je ne remplirais pas les bottes de mon père. Les derniers ont essayé de croire en moi, mais au final, une seule chose compte… Je ne suis plus policier. Et je ne le serais probablement plus jamais… « J’ai entendu dire qu’il a tabassé un pauvre gamin pour obtenir des aveux. Une vraie brute. » Ce pauvre gamin hein ? S’ils savaient, tous autant qu’ils sont, ce qu’il a fait, ils ne seraient probablement pas aussi catégoriques. Je n’ai fait que mon boulot… « De toute façon ce n’était qu’une question de temps avant qu’il ne se fasse renvoyer. Toujours à franchir les limites de toute façon. » Les règles… Je n’ai jamais été friand de règles. Mon père nous en imposait beaucoup trop. Du coup quand j’ai passé les 18 ans, j’ai arrêté de suivre les règles. Ouais, c’est ce qui m’a coûté mon job, ma carrière. Bordel, j’aimais mon boulot pourtant…

Raconte-nous quelle est ton aspiration dans la vie :
Aspirations hein ? Foutre en taule ce connard une bonne fois pour toute. Malheureusement, je ne peux pas vraiment faire ça, maintenant que je ne suis plus policier. Du coup, je me contente de faire ce que je fais le mieux. A savoir emmerder le monde et essayer de me calmer. J’ai retrouvé ma vieille moto, je l’ai remis à jour et j’ai rejoins ce groupe de motards. Ils m’aiment bien. Ils savent tous que je suis un ancien flic, j'ai préféré les prévenir dès le début, pour ne pas avoir trop d'emmerdes. La pilule a eu un peu de mal à passer et puis ils se sont rendus compte que j'étais pas si différents d'eux... Ils m'ont donc accepté. C’est assez bizarre en vérité, mais je ne me plaindrais pas. De flic, je suis devenu un mauvais garçon… Enfin, pas vraiment. Ce n’est pas un gang de criminels, des fauteurs de troubles, oui, mais pas de vrais criminels… Et puis au final, j’ai une piste pour retrouver mon ancien job… Même si c’est pas gagné.




Pseudo Senia Prénom Lily. Fille ou garçon Girl Age 25 ans Pourquoi vous êtes-vous inscrit sur MC ? L’odeur du café m’a attiré.  Comment l'avez-vous connu ?  C’est quelqu’un qui m’a donné le lien. Qui devrait arriver normalement. Fréquence de connexion 5/7j. Avatar Shiloh Fernandez Pourquoi cet avatar parce qu’il a ce côté un peu bad boy que je recherchais MAIS… qu’il fait pas trop vilain non plus et qu’il peut tout autant passer pour un flic. Il fait peut être un peu jeune mais au final, il a bien 29 ans donc c’est juste qu’il a une tête de plus jeune eheh !  Statut inventé. Lien du scénario y’en a paaaas Voulez-vous être parrainé ? Non. Code du règlement Cinnamon Cappucino (ou si y’en a pas, Cinnamon Mocha) *-*.

Code:

[color=IndianRed][b]SHILOH FERNANDEZ[/b] ●[/color] Parker M. Breston

   

   

« Tu vas pas aller au bal avec ce connard ? Tu sais qu’il veut juste te baiser ? » « Et alors ? C’est exactement ce que je veux de toute façon. Je compte pas entrer à la fac en étant vierge. » « Viens pas te plaindre si tu choppes des morpions ou pire, un morpion géant. M’appelle pas quand tu seras dans la merde ! » « Fais pas genre Park. On sait tous que si elle choppe des morpions, t’ira casser la gueule à Shane. Et si elle choppe un morpion géant comme tu le dis si bien, tu seras probablement derrière lui jusqu’à ce qu’il la demande en mariage. Joue pas les gros durs, nounours ! » « Va chier ! » Elles me tirent la langue en un parfait ensemble. Moi, boudeur, je me replonge dans la lecture de mon bouquin, non sans jeter un coup d’œil de temps en temps à ma plus jeune sœur, qui se prépare pour son bal de promo… et à perdre sa virginité. Cette idée me met hors de moi. C’est ma petite sœur après tout… mais je ne peux pas y faire grand-chose. Je voudrais les protéger, elle et sa sœur, pour toujours des types dans mon genre, mais c’est impossible. Nous n’avons pas beaucoup d’écart, ma sœur ayant un an de moins que moi, mon frère deux ans et la plus jeune trois ans. Un bébé tous les ans, voilà l’idée d’une belle famille pour ma mère. Et nous sommes une belle famille… Quelqu’un frappe à la porte soudain et j’entends ma plus jeune sœur crier… « Oh mon dieu ! Oh mon dieu ! Oh mon dieu ! » Je soupire et me lève… Mon père étant absent, c’est mon rôle d’accueillir le stupide coq qui va dépuceler ma frangine. J’ouvre la porte, mais ce n’est pas un jeunot en costume derrière, mais des membres des forces de l’ordre. Le meilleur ami de mon père et sa partenaire. « MAMAN ! » que j’hurle, un peu trop mal pour faire autre chose. Je sais pourquoi ils sont là. Il ne peut y avoir qu’une seule raison à leur présence ici… « Parker je t’ai déjà demandé de ne pas… » Son regard s’est posé sur eux et elle a flanché, presque aussitôt. Elle aussi elle sait. Et je parviens à la rattraper avant qu’elle ne touche le sol. Mon regard est désespéré, pourtant j’essaye de faire bonne figure. Ma mère dans les bras, les genoux au sol, je remonte mon visage vers les deux flics, qui semblent vraiment touchés eux aussi. Ma langue passe sur mes lèvres, je prends une bonne  respiration pour calmer les battements désordonnés de mon cœur et enfin je parviens à sortir quelques mots. « Entrez… Je m’occupe d’elle mais est-ce que vous pourriez… leur dire. » Oui, je suis un peu lâche. Je ne veux pas affronter le regard de ma petite sœur lorsqu’elle apprendra que son père est mort et qu’elle ne peut donc pas aller au bal de promo. Je ne veux pas affronter celui de mon frère, lorsqu’il se rendra compte que son héros est décédé. Je ne peux pas affronter ma plus grande sœur lorsqu’elle saura que son père ne la mènera pas jusqu’à l’autel… Pour l’instant. J’ai besoin de quelques secondes, minutes, pour affronter le mien, lorsqu’enfin je comprendrais qu’il ne verra jamais ma surprise… et mon tout nouvel uniforme !



« Oh tu m’emmerdes ! Cette affaire est bientôt terminée. Après on déménagera à Town Square de nouveau et je prendrais moins d’affaires. Je te l’ai déjà dis ! » « C’est trop tard ! Je rentre à Town Square, toute seule. Et dans l’enveloppe là, sur la table, y’a les papiers du divorce. J’en ai marre de t’attendre le soir. Tu vas finir par te faire tuer, comme ton père et j’attendrais pas d’avoir la visite de ton équipier pour m’annoncer ta mort. Toi et moi, c’est fini… » Elle avance vers la porte, sa valise prête à la suivre. Et je sais que ses cartons sont prêts aussi, je les ai vu quelques minutes plus tôt. Mes yeux sont posés sur elle, presque hargneux mais je ne peux détourner le regard. « Et ça n’aurait jamais du commencer. J’ai jamais autant regretté quelque chose de toute ma vie. » « C’est con d’avoir gâché 7 ans de ta vie chérie ! » C’est tout ce que je trouve à dire alors qu’elle s’éloigne finalement et passe la porte. Une seconde passe. Deux secondes. Trois secondes… Et je balance mon verre contre le mur. Les objets volent autour de moi, je sens une fureur, une terreur et une tristesse infinies s’emparer de moi et je ne peux pas m’empêcher de tout balancer ici et là. Cette situation dure quelques minutes et finalement, je n’ai plus rien à jeter, plus rien à balancer violemment. Je n’ai plus que des larmes à verser. Soudain amorphe, je m’écroule de nouveau dans le canapé et ramène mes genoux à ma poitrine et mes bras viennent les entourer. J’ai pris cette position pendant des heures lorsque mon père est décédé… Probablement serais-je resté aussi longtemps cette fois, si mon portable n’avait pas sonné. Mon équipier justement. Ils ont retrouvé un des complices de notre bête noir. Ce foutu trafiquant qui nous échappe depuis si longtemps…

« C’est inacceptable Breston. Vous avez complètement perdu les pédales. Je ne commande même pas un rendez vous chez un psy. Je m’arrangerai pour que vous ne portiez plus jamais un insigne de votre vie. Vous êtes la honte de la police. Et une honte pour votre défunt père. Une honte… » « Vous devriez le répéter encore une fois. Je suis sûr que la sexy petite dame là bas ne vous a pas entendu ! » « » Sortez de là ! » Je me comporte comme un imbécile. Encore… Ca arrive dès que je suis contrarié, dès que je suis coincé dans une situation importante. Lorsque ma femme m’a quitté, j’ai pété un câble et tabassé un dealer de drogue. Là, mon chef, ami de mon père, m’engueule et je ne peux m’empêcher de tendre le bâton pour me faire battre. J’essaye vraiment de me comporter de façon civilisée, mais je suppose que ce n’est pas si facile…Sans rien ajouter, je quitte finalement le bureau… Probablement est-ce temps pour moi de rentrer à la maison. A Town Square.



Je traîne avec ces motards maintenant. Ma famille n’a pas trop aimé mon retour en fanfare. Ils n’ont pas trop apprécié le fait que je traîné le nom de Breston dans la boue avec mes conneries. Et puis ils aimaient bien Cara… Du coup, ils ne voulaient pas vraiment que je revienne parmi eux. Inconsciemment, j’ai donc cherché une nouvelle famille et ces gars là, avec leurs motos, sont les seuls qui m’ont accueilli. Bien sûr, mon passé ne les a pas franchement rassurés mais ils savent que je ne suis plus vraiment le flic que j’ai pu être. La rancœur que j’éprouve envers mon ex-femme, envers mes anciens collègues, est bien réelle et au fond, c’est ça qu’ils perçoivent le plus… Même s’ils ne savent pas que j’espère retrouver mon insigne un jour…

Le troisième membre du trio Ca en fait des histoires de flic tout ça Tout est parfait dans ta fiche, tu peux désormais commencer à jouer sur Morning Coffee

Pour bien commencer ton aventure parmi nous, voici une liste des endroits que tu devrais visiter, ou des choses que tu devrais faire :
→ Aller lire le GUIDE DU NOUVEAU FOU DE CAFE et la DESCRIPTION DE TOWN SQUARE.
→ Recenser ton MÉTIER, créer tes fiches DE LIENS, DE SUJETS, et ouvrir tes TÉLÉPHONE, FORMSPRING, TWITTER.

Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff.

Tout l'équipe te souhaite un très bon jeu sur Morning Coffee