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 /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\

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Micah Summers-Petterson
Micah Summers-Petterson
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MessageSujet: /! Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!   /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\ EmptyLun 23 Sep - 20:01





Sebastian & Micah


Micah courait, s'échappait en riant au éclats, poursuivit par Sebastian. Il grimpa sur un nuage, passant une jambe puis l'autre. Rejoint aussitôt par son mari aussi nu que lui. Il lui sauta dessus et ils se laissèrent rouler ensemble dans le nuage cotonneux et léger. Allez, envole toi tapis volant, pensa Micah à cheval sur son mari, se penchant pour l'embrasser. Et le nuage se mit en route pour les emmener voir le monde. D'abord en tressaillant, puis en sursautant. L'adolescent perdit sa couronne de fleur de sa tête, et se redressa bien agrippé à son embarcation. Mais le nuage se secouait et toussait...

***

« 'rrête de bouger... » gronda Micah, d'une voix ensommeillée, en frottant sa joue contre le torse qui lui servait de coussin.

Ding dong

Mais quoi encore ? Définitivement sorti de son rêve, Micah enfonça ses doigts dans la peau de Sebastian comme un chaton de mauvais poil, mais pas décidé à bouger. « J'y vais pas. » Endormi, mais ferme. Sebastian se lèverait forcément.

« Micah... » Ça ressemblait plus à gémissement qu'à un vrai mot. Heureusement, l'adolescent avait l'habitude d'entendre son nom gémit. Ce qui ne changeait strictement rien. Il ne se lèverait pas. Gémissement ou non. « S'il te plait, vas y. » Cette fois Sebastian se mit à tousser. Du côté de Micah affalé sur son torse, c'était un véritablement mini-tremblement de terre à échelle oreiller-esque.

Ding dong

« Oh mon dieu. » Est-ce que le monde entier avait soudainement décidé de se liguer pour l'emmerder ? Parce que autant être honnête, Micah n'avait pas mérité ça ! Il s'était levé tôt – et avait au passage laissé son mari dormir comme un loir – avait préparé le petit déjeuner pour lui et Sam, l'avait conduite à l'école et seulement après tout ça, il était retourné se coucher.

C'était son premier jour de congé depuis la fin de son voyage de noce. Et quelqu'un – il ne savait pas encore qui, mais Sebastian avait un complice – avait décidé de lui pourrir.

A contrecœur, Micah se dégagea des bras de son époux et hissa sa carcasse en position assise. Il se leva et attrapa de quoi s'habiller au passage. Un pantalon de pyjama. Trop large, tiens il était à Sebastian celui-là. Et une chemise, qui semblait être à lui. L'adolescent étouffa un bâillement en fermant deux boutons. Et si une chose devait le frapper là maintenant, c'est que la maison était GRANDE. Non vraiment. Avant il sortait de la chambre et hop, il était à la porte d'entrée. Là il en avait pour des jours. Micah ne savait pas si c'était une taille normale pour une maison, ou si Sebastian comptait élever tout un orphelinat ici et avoir des dizaines d'enfants.

Déjà qu'ils allaient en avoir deux. Des jumelles. C'était étrange l'effet d'une telle nouvelle. Comme une bombe, mais sur plusieurs jours. Micah avait été tellement heureux, et pourtant une partie de lui était terrifiée.

Le bordel dans l'entrée tira le jeune homme de ses pensées. Carpette et Cachou s'agitaient et aboyaient, ce qui aurait été plutôt efficace si la personne dehors était un voleur matinal. Qui sonnait à la porte avant de cambrioler, histoire de prévenir.

Il poussa la grosse tête de Cachou et ouvrit la porte à... un livreur.

Un livreur et des cartons. Des tas de cartons. De toutes les tailles. Sérieusement, l'un d'eux lui arrivait à la taille et était au moins aussi large que haut. Pour l'amour du ciel, qu'est-ce qu'il pouvait bien y avoir là-dedans ?

« Une peluche. » expliqua le livreur, parce qu'il devait avoir l'habitude de traumatiser les gens en leur livrant des paquets improbables. Complètement incrédule, Micah abandonna le gros carton, et reporta ses yeux de hamster congestionné (et non, toujours pas bien réveillé) sur l'homme en face de lui. « Vous vous trompez, on a pas acheté tout ça. »

« Vous êtes bien Monsieur Summers-Petterson ? » Ça aussi c'était une chose à laquelle Micah n'était pas encore habitué. Entendre des inconnus l'appeler par son nouveau nom de famille. Il hocha la tête. « Alors c'est bien vous. » Le livreur lui montra le bon de commande au nom de SEBASTIAN Summers-Petterson, et ajouta joyeusement « Félicitation à vous et à votre femme ! »



Sa femme.

Non mais qu'est ce qui n'allait pas avec sa vie ?

« C'est qui ? J'ai froid. Micah, ferme la porte. » couina une petite voix dans l'entrée.

Complètement décomposé, Micah lança un regard à Sebastian, visiblement pas très frais et enroulé dans sa couette comme un rouleau de printemps géant. Et sexy. Comme une galette de riz vraiment ferme. Et des crevettes musclées. Hep ! Non, rien de sexy là dedans. Sebastian n'était pas sexy. C'était un comploteur. Et un dévaliseur de dieu sait quel magasin de jouets !

Le pire dans tout ça, c'est qu'il ne pouvait même pas l'engueuler ! Parce que le livreur était là et aussi parce que Sebastian avait cette petite mine qui aurait fait fondre Micah, s'il n'était pas complètement dépassé par sa vie et en générale et plus particulièrement par ce moment précis. Il se contenta donc d'ouvrir plus grand la porte et de dire au livreur le seul truc qui pouvait rendre la situation encore plus ridicule – si c'était possible.

« Voilà ma femme. »


Dernière édition par Micah B. Summers le Ven 11 Oct - 23:52, édité 1 fois
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Sebastian L. Summers
Sebastian L. Summers
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MessageSujet: Re: /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\   /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\ EmptyMar 24 Sep - 0:16





Micah & Sebastian


J’avais épousé un homme formidable.

Depuis quelques jours j’essayais de survivre à un vilain coup de froid qui me cloitrait au lit. Je vivais tel un burrito dans ma couverture, n’en sortant que pour emmener ou aller chercher Sam à l’école pendant que Micah travaillait. Mais aujourd’hui, il était de repos. Et au lieu de profiter de ce très rare congé, il s’était occupé d’elle, me laissant seul et endormi dans notre nouveau lit. Notre nouveau très grand lit. Dans notre nouvelle très grande maison. J’avais peut-être vu les choses en grand, mais ça avait été mon cadeau d’anniversaire pour Micah. C’était peut-être idiot sachant que ce n’était pas vraiment un cadeau. J’avais fait construire la maison de mes rêves dès l’instant où j’avais compris que j’aimais cet homme et que je me battrais pour qu’il accepte de partager ma vie et mon futur. C’était donc pour nous. Pour notre famille. Pour lui, moi, Sam et… les jumelles.

Les jumelles.

Micah et moi allions être les heureux parents de deux petites filles. Je ne réalisais toujours pas. On était au courant depuis une semaine peut-être, mais j’étais incapable de réaliser. J’avais mis du temps à comprendre que c’était vrai, qu’on allait être parent. Et maintenant il fallait que je comprenne qu’il n’y aurait pas un, mais deux bébés. C’était peut-être mon incompréhension qui parlait, mais j’étais l’homme le plus heureux du monde. Beaucoup aurait pris peur, et j’aurai certainement peur le moment venu, mais en cet instant, je n’y voyais que du bon. Deux bébés. Ce serait deux fois plus de bonheur, deux fois plus d’amour, deux fois plus de temps avec elles.

Mais aussi deux fois plus de choses à leur acheter. Et ça, étrangement, je l’avais vite réalisé. Ou mon esprit malade l’avait fait à ma place. Il y a quelques jours j’avais passé des heures entières sur la boutique Disney et avais acheté… à peu près tous ce qu’ils proposaient pour les bébés. Et pour les petites filles aussi pour ne pas oublier ou rendre jalouse Sam. Avec le recul je réalisais que ça n’avait pas été ma plus brillante idée. Mais nos filles seraient si jolies dans leurs tenues Minnie ! Et Micah serait parfaitement d’accord une fois qu’ils auraient les vêtements entre les mains. Mais avant j’étais quasi-certain de me faire engueuler.

En attendant, on sonnait à la porte. Et mon merveilleux époux m’avait laissé tranquillement au chaud dans le lit et était allé ouvrir sans trop broncher. La maladie me faisait probablement perdre la notion du temps, mais j’avais l’impression qu’il était parti depuis des heures. Ou c’était peut-être juste ma dépendance au garçon qui m’empêchait de survivre à plus de quelques minutes sans lui. Je m’enroulais alors de nouveau dans ma couverture verte, et avançais à pas lent jusqu’à l’entrée. Notre maison était parfaite pour notre famille, mais elle était grande. Trop grande lorsque le moindre pas était un véritable supplice pour son corps.

J’entendais Micah discuter au loin mais ne percevais aucun mot. Je continuais alors ma route, manquant de trébucher sur l’un des chiens qui avait décidé de venir jouer dans mes pattes. J’arrivais dans l’entrée après une lutte acharnée. « C'est qui ? J'ai froid. Micah, ferme la porte. » lâchais-je d’une petite voix et m’approchant un peu plus de mon époux. Je resserrais la couette autour de moi lorsqu’il ouvrit la porte en grand pour révéler un livreur et d’innombrables paquets. « Voilà ma femme. » Pardon ? « Son mari. Je suis son mari. Sebastian. » expliquais-je avec ma voix enrouée. Je scrutais le livreur, attendant une réaction quelconque. Il semblait surpris. « Ah. C’est donc vous. Et vous êtes… » commença-t-il en posant son regard sur Micah. « Si je suis son mari, ça veut dire qu’il est le mien aussi. Logiquement. » Un certain silence s’installa entre nous trois, et ce n’est qu’après un moment que le livreur se racla la gorge pour reprendre : « Ah bah oui. C’est logique. » Il sortit une petite tablette de sa veste et la tendit vers moi. « Une petite signature s’il vous plait. » Je m’exécutais aussitôt. Quelques minutes plus tard, l’homme avait fait glisser la tonne de carton dans l’entrée et s’en était allé.

Planté au bout milieu de l’entrée, le regard figé sur les cartons, j’essayais de trouver une excuse pour expliquer leur nombre. Je crois que je n’avais pas réalisé lors de mes achats qu’il y en avait autant. « Je peux t’expliquer ! » Je me tournais pour faire face à mon mari. « Tout d’abord, je tiens à te rappeler que je suis malade et que mon cerveau n’est pas au mieux de sa forme. » Je marquais une petite pause pour essayer d’interpréter l’expression sur le visage de Micah. Sans succès. « Ensuite… j’ai du mal à savoir comment gérer l’annonce des jumelles. J’avais… je crois que j’avais envie de marquer le coup. » J’avançais d’un pas hésitant vers mon époux, réduisant la distance entre nous de sorte que je puisse l’enrouler dans ma couverture avec moi. « Alors l’autre jour, je suis tombé sur la boutique Disney et j’ai pas réussi à me décider sur quoi acheter. Donc j’ai fait le plein. » Je jetais un coup d’œil rapide vers les paquets comme pour appuyer mes propos. « Mais tu verras, tout est adorable. Il y a des vêtements, des peluches, des objets de décoration. J’ai aussi pris des cadeaux pour Sam ! » Je serrais mon étreinte emmitouflée autour de Micah et lui souriais tendrement. « M’en veux pas s’il te plait. Je sais que c’est démesuré et que j’aurais dû t’en parler mais… c’est pour nos filles. » Un immense sourire se glissa sur mon visage lorsque j’avais prononcé ces derniers mots. « Nos filles. On va être parents de deux magnifiques petites filles. » réalisais-je à voix haute. « Et je veux ce qu’il y a de mieux pour elles. » Elles auraient déjà les parents les plus aimants du monde, mais de jolis pyjamas ne faisaient pas de mal non plus.
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Micah Summers-Petterson
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MessageSujet: Re: /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\   /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\ EmptyMer 25 Sep - 4:34





Sebastian & Micah


Micah observait les cartons entassés dans l'entrée, un sourcil circonspect arqué et les bras croisés sur son torse. Il avait l'air en colère dans cette position alors que non. En vrai, il avait failli tomber dans les pommes en apercevant la facture du coin de l'œil, alors il assimilait l'étendue des dégâts. Bon – okay, pas les dégâts financiers, parce qu'il avait fallu du temps mais l'adolescent avait fini par accepter son nouveau statut de non-pauvre – mais les dégâts d'un coup de froid sur le bon sens de son mari.

« Je peux t’expliquer ! » s'exclama tout d'un coup Sebastian comme un gosse pris la main dans le paquet de bonbons. Micah pivota lentement sur ses talons pour lui lancer un regard suspicieux. « Tout d’abord, je tiens à te rappeler que je suis malade et que mon cerveau n’est pas au mieux de sa forme. » C'est bien pour ça que Micah projetait silencieusement d'embarquer le pc avec lui en allant bosser. Sebastian, maladie et internet ? Définitivement un mauvais combo. « Ensuite… j’ai du mal à savoir comment gérer l’annonce des jumelles. J’avais… je crois que j’avais envie de marquer le coup. »  

Aïe. On arrivait en terrain miné. Quelque chose s'assombrit dans le regard de Micah. Il n'avait pas la force d'aborder le sujet maintenant. Pas avec des piles de cartons remplis d'affaires pour bébés. Pas avec Sebastian malade. Pas pendant qu'il l'entrainait contre lui dans sa couette.

Docile, le jeune homme déposa ses mains à plat sur le torse de son mari. Il était un peu trop chaud. Peut-être à cause de la fièvre, ou de la couette. Lentement, Micah remonta ses doigts sur les épaules de Sebastian. Il sentait son parfum, il sentait ses muscles et il sentait son regard. Sebastian était rassurant. Sa présence était rassurante. Quelle que soit la situation ou le foutoir dans la tête de Micah.

Apaisé dans ses angoisses, Micah avait retrouvé assez de contrôle sur lui-même pour ne pas sourire ouvertement à l'évocation de la boutique Disney.

Sebastian avait dévalisé une boutique Disney. Micah était tellement fier d'avoir épousé cet homme aussi taré que lui.

L'étreinte autour de lui se resserra. Le jeune homme se laissa volontairement piéger sans aucune résistance. « M’en veux pas s’il te plait. Je sais que c’est démesuré et que j’aurais dû t’en parler mais… c’est pour nos filles. » En un clin d'œil, Sebastian était passé de la moue coupable à ce sourire capable d'illuminer un petit pays tout entier. « Nos filles. On va être parents de deux magnifiques petites filles. Et je veux ce qu’il y a de mieux pour elles. »

Micah observa son mari sans rien dire. Comme s'il réfléchissait à la meilleure réprimande. « Tu sais quoi ? » Il se dégagea de leur cocon. Le froid vint mordre sa peau échauffée, le faisant frissonner, mais Micah attrapa un carton sans y faire attention. « Tu vas prendre ça et remonter dans la chambre. » décida t-il en le fourrant dans les bras de Sebastian. « Moi je vais nous préparer quelque chose de chaud à boire, et je te rejoins. »

Là-dessus, il poussa son mari vers la chambre et s'en alla dans la cuisine. Le restant de pancakes du matin accompagna les boissons sur un plateau, et l'adolescent rejoignit Sebastian dans leur chambre encore plongée dans une semi pénombre.

« Tiens. » dit-il, en lui tendant une tasse fumante. « C'est du thé vert. Pas de café, c'est ta punition pour m'avoir rien dit. Et puis c'est sain, et bon pour toi. Pour ta santé en général, vu qu'apparemment, elle se dégrade aussi mentalement quand t'es malade. » Une œillade mesquine accompagnait la fin de sa phrase. Micah déposa le plateau sur la table de chevet et attrapa la bouteille de sirop qui trainait là. « Je t'ai aussi apporté à manger. Mais d'aboooord... » Il sautilla sur le lit, et s'assit en tailleur tout près de Sebastian. Puis il versa du sirop dans la cuillère en plastique qui accompagnait la bouteille et lui colla devant la bouche. « Fais aaah. »

Une fois le sirop avalé, Micah récompensa Sebastian d'un bisou sur le nez, et fit un saut par la salle de bain pour rincer la cuillère. Il traina un peu, volontairement, et décida de se laver les dents pour gagner quelques minutes. Micah savait de quoi il voulait parler, c'est juste qu'il n'avait aucune idée de l'ouverture exacte...

Depuis l'annonce des jumelles, ils n'avaient pas vraiment discuté ou décidé de quoi que ce soit pour préparer leur arrivée. Comme la chambre, prévue initialement pour un bébé, qui attendait encore de savoir si ça serait une fille ou un garçon avant de peindre les murs et de faire la déco. C'était récent, ils savaient depuis même pas une semaine. Ce qui leur laissait un peu moins de six mois pour faire la chambre. Et Micah savait qu'il aurait du être heureux. Non. Il était heureux. C'était seulement – soudain. Et effrayant. Micah avait précautionneusement construit sa vie autour de Sebastian. Tellement qu'il avait failli faire marche arrière et mettre un frein géant à leurs projets juste à cause de la certitude terrifiante qu'il se briserait à tout jamais s'il le perdait. Il avait reprit le dessus, mais l'adolescent était encore fragile. Il avait toujours du mal à se séparer de Sebastian pour aller travailler. Ajouter un enfant là-dedans, c'était un bouleversement. Positif. Mais un bouleversement quand même. Micah était prêt, il avait confiance en lui, en eux. Mais deux enfants ? Qu'est-ce que ça allait être quand il devrait se séparer de Sebastian et de leurs deux enfants ? Est-ce qu'il serait seulement à la hauteur ?

Ses doutes se dissipèrent en revenant dans la chambre. Sebastian farfouillait dans le carton ouvert, et avait des petits pyjamas étalés sur les genoux. Des étincelles se glissèrent dans les yeux de Micah, et il se faufila entre les draps, tout contre son mari. Sans rien dire – ce qui ne lui ressemblait pas – il admirait les tous petits vêtement que Sebastian tirait du carton. Puis il attrapa deux chaussons minuscules, un au bout de chaque doigt et murmura fasciné. « C'est teeellement adorable. » La curiosité et l'enthousiasme affluaient dans ses veines de nouveau. Et peut-être... peut-être qu'il avait eu tort. Peut-être qu'il n'avait pas besoin d'avoir peur. Si tout ce qui l'attendait, c'était un mari atteint de fièvre acheteuse, et deux petites bouilles habillées en Disney, auxquelles il s'amuserait à chercher des traits communs avec Sebastian. « Et ça c'est quoi ? Un pyjama Minnie ? Me dit pas que t'as tout acheté en double pour les habiller pareilles. » Il était certain qu'il l'avait fait. « Je te préviens, il est pas question qu'on appelle nos filles Minnie et Daisy ! J'ai toujours trouvé que Daisy avait un gros cul. »
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Sebastian L. Summers
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MessageSujet: Re: /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\   /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\ EmptyMer 25 Sep - 14:44





Micah & Sebastian


Micah avait l’air en pleine réflexion, et c’était un poil effrayant. Il ne pouvait pas réellement m’engueuler parce que j’avais acheté des affaires pour nos enfants ! En plus j’étais malade. On ne peut pas hurler sur un homme affaiblit par la maladie. Surtout quand l’homme en question a une mine de chien battu et ressemble à un nem. « Tu sais quoi ? » dit-il en se détachant de moi et mon nem. « Quoi… ? » demandais-je d’une toute petite voix, resserrant la couverture autour de moi. « Tu vas prendre ça et remonter dans la chambre. » Il prit l’un des cartons dans les mains, et me les fourra dans les bras. Je m’y accrochais comme je pouvais malgré le tissu, et acquiesçais d’un petit signe de tête. « Moi je vais nous préparer quelque chose de chaud à boire, et je te rejoins. » Je n’avais pas le temps de lui répondre « D’accord. » qu’il me poussait en direction de notre chambre. J’y retournais alors sans rien dire.

J’étalais ma couverture sur notre lit, et déposais le carton dessous. Je me faufilais sous les draps, et m’asseyais en tailleur pour accéder à la boite. Je me démenais avec le scotch qui le refermait, et réussissais (mais difficilement) à l’enlever. C’est au même moment que j’étais rejoint par Micah. « Tiens. » dit-il en me tendant une tasse de… « C’est quoi ? »« C'est du thé vert. Pas de café, c'est ta punition pour m'avoir rien dit. Et puis c'est sain, et bon pour toi. Pour ta santé en général, vu qu'apparemment, elle se dégrade aussi mentalement quand t'es malade. » Je fis une moue désapprobatrice, déçu de ne même pas avoir droit à ma tasse de café matinale. Je reniflais le breuvage, et y trempais les lèvres. C’était… pas du café. Mais ça ferait l’affaire. « Je t'ai aussi apporté à manger. Mais d'aboooord... » Je relevais le regard vers Micah qui s’asseyait près de moi, cuillère et bouteille de sirop entre les mains. « Fais aaah. » J’ouvrais grand la bouche. « Aaah ! »

Sirop avalé, bisou sur le nez, Micah m’abandonna quelques minutes. Je me réchauffais avec la tasse entre mes mains avant de me reconcentrer sur mon carton. Le thé atterrissait sur ma table de chevet, et je plongeais les mains dans les affaires de bébé. J’en sortais un pyjama. Puis un second. Puis un troisième. Je les déposais sur mes cuisses, et les admirais un instant. Un sourire attendri se glissa sur mon visage. Mes doigts vinrent caresser le tissu machinalement. Dans six mois, l’un de nos bébés le porterait. Et elle sera le plus adorable de bébé avec.

Je refaufilais mes mains dans le carton, admirant le reste de mes achats. Micah sortit de notre salle de bain au même moment. Je jetais mon regard sur lui et lui lançais un petit sourire heureux. Il vint se glisser sous les draps avec moi, et je continuais de sortir des vêtements, les alignant tout autour de nous. Je découvrais des petits chaussons, et les admirais un instant. C’était probablement la chose la plus mignonne du monde. Je les reposais à côté de moi, et vis Micah s’en emparer. « C'est teeellement adorable. » Au moins, on était d’accord. Je riais, et continuais ma découverte. Cette fois-ci, je ressortais de la boite un pyjama tout rose. « Et ça c'est quoi ? Un pyjama Minnie ? Me dit pas que t'as tout acheté en double pour les habiller pareilles. » Je jetais un regard à l’intérieur du carton et y voyais le second pyjama Minnie. « Pff. Pas du tout. » lâchais-je offusqué en haussant les épaules. « Je te préviens, il est pas question qu'on appelle nos filles Minnie et Daisy ! J'ai toujours trouvé que Daisy avait un gros cul. » La remarque de Micah m’arracha un rire. Je tournais mon visage vers mon mari, et le regardais plein de malice. « Ah oui ? Et t’as réfléchi à d’autres prénoms que tu voulais pas qu’on leur donne ? » J’attrapais le carton dans mes mains, et venais les déposer par terre, à côté du lit. Je pouvais ainsi me coucher sur celui-ci et faire face à Micah allongé contre moi. « Ou des prénoms que tu veux qu’on leur donne ? »

Micah tenait toujours les petits chaussons entre ses doigts. J’y portais mes miens, enfermant sa main dans la mienne. D’un revers de pouce, je caressais sa peau douce et le tissu. « On pourrait les appeler comment sinon… Thelma et Louise ? Anastasie et Javotte ? Clochette et Wendy ? » proposais-je avec ironie. Je me rapprochais de Micah, enfermant nos mains et les chaussons entre nos torses collés. Je déposais un baiser sur ses lèvres avant de reculer un peu. « Pardon. Je sais pas comment m’y prendre. La seule fois où j’ai dû choisir le nom de quelqu’un, c’était quand j’ai adopté Carpette. Et regarde avec quoi il doit vivre. » Je lâchais la main de Micah et la portais à son visage, caressant sa mâchoire du bout des doigts. « Je crois… je crois qu’il leur faudrait un prénom court. Quelque chose de simple. Elles vont déjà s’appeler Summers-Petterson. Ce sera assez difficile comme ça à caser dans tous les papiers administratifs. » Je marquais une pause. C’était bien beau d’avoir ce principe pour un prénom. Ça l’était encore plus d’avoir un prénom. Il fallait peut-être qu’on achète des livres. Ou qu’on regarde sur internet. Comment les autres parents arrivaient à faire un tel choix ? Et si Micah et moi n’arrivions pas à nous mettre d’accord ?

Ma toux me reprit, et je m’éloignais de Micah. Je me tournais de l’autre côté du lit, et crachais mes poumons dans mon coin. J’attendais que ça passe, au moins un peu, et attrapais ma tasse toujours chaude sur la table de chevet. J’en buvais quelques gorgées avant de retrouver une respiration à peu près normale. « Pardon. »  m’excusais-je d’une petite voix avant de me retourner vers mon époux. Je venais me coller à lui, posant mon visage sur son torse, et mon bras sur son ventre. Mon regard se posa sur tous les pyjamas étalés sur les draps. Plus particulièrement sur celui qui avait fait début un peu plus tôt. « Rose. » murmurais-je contre mon mari. Ce prénom avait un gout délicieux sur ma langue. « Rose. » répétais-je un peu plus fort en me décollant du corps du Micah. Je me surélevais d’un bras, et baissais mon regard jusqu’à son visage. « Qu’est-ce que t’en penses ? Rose ? Je dis pas de prendre une décision définitive, mais est-ce que ça te plait ? » Mon regard s’aventura à nouveau sur les pyjamas. « J’aime bien Violet aussi. Mais on peut pas les appeler les deux comme ça. Sinon les gens vont croire qu’on fait pousser un jardin plutôt qu’élever des petites filles. »
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MessageSujet: Re: /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\   /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\ EmptyJeu 26 Sep - 18:06





Sebastian & Micah


« Ah oui ? Et t’as réfléchi à d’autres prénoms que tu voulais pas qu’on leur donne ? »

Micah se figea pendant que Sebastian se contorsionnait pour poser le carton au pied du lit. Qu'est-ce qu'il était censé répondre à ça ? Que lui non plus il ne savait pas comment gérer l'annonce des jumelles ? Que la peur avait noué sa créativité ?

« Ou des prénoms que tu veux qu’on leur donne ? »

Penaud, l'adolescent se coucha contre son mari revenu dans le lit. Dans sa tête, les idées de prénoms fusaient déjà. Mais il n'avait aucune idée de ce qui pourrait plaire à Sebastian, ni de qui lui plaisait vraiment à lui. « On pourrait les appeler comment sinon… Thelma et Louise ? » Micah ouvrit de grand yeux scandalisés. « Les deux meurent à la fin du film ! »  « Anastasie et Javotte ? » « Elles sont méchantes ! Qui voudrait avoir le nom de la sœur méchante et moche de Cendrillon ? » « Clochette et Wendy ? » Cette fois-ci, l'adolescent plissa les lèvres, puis arbora un petit sourire complice. « Clochette c'est cool ! »

Contre toute attente, Sebastian le prit dans ses bras. Sa main prisonnière et les petits chaussons écrabouillés entre leurs torses. Micah se demandait un peu ce qui se passait, mais se pressa davantage contre lui. Tout devait aller bien puisque Sebastian l'embrassait. « Pardon. Je sais pas comment m’y prendre. » s'excusa Sebastian. Et le câlin devait être pour ça. Un câlin repentant pour avoir des idées de noms aussi nulles. « La seule fois où j’ai dû choisir le nom de quelqu’un, c’était quand j’ai adopté Carpette. Et regarde avec quoi il doit vivre. » Le jeune homme gloussa, mais évita d'en remettre une couche en rappelant que Carpette, c'était un peu comme Cachou, sauf que Cachou était un nom choisi par une fillette de quatre ans. « Je crois… je crois qu’il leur faudrait un prénom court. Quelque chose de simple. Elles vont déjà s’appeler Summers-Petterson. Ce sera assez difficile comme ça à caser dans tous les papiers administratifs. »

Occupé à savourer les caresses légères sur son visage, Micah fronça les sourcils et chassa la main de Sebastian d'un petit coup sec. « Dis tout de suite que Sebastian Summers-Petterson ça rentre pas dans les cases ! » reprocha t-il, tout près à lui sauter dessus pour faire valoir son avis sur la question à coup de partie de catch dans le lit. Sebastian était malade, il avait une petite chance d'avoir le dessus !

Mais son adversaire auto-proclamé se remit à tousser. Les humeurs joueuses de Micah se mirent à fondre comme neige au soleil. Il effleura son dos du bout des doigts, pour faire sentir qu'il était là et laissa Sebastian revenir se blottir contre son torse en s'excusant.

« Arrête de t'excuser. » réprimanda doucement Micah en lui caressant les cheveux. « Tu sais, on est mariés maintenant. Pour le meilleur et pour le pire, dans les épreuves et la maladie, ou une connerie du genre. Bref, tes microbes sont les miens. »

Il y eut un silence, et Micah cru que la conversation allait s'arrêter là. Que Sebastian allait s'endormir sur lui et qu'ils allaient se rendormir ensemble, comme tout à l'heure, juste en changeant lequel roupillait sur l'autre.

« Rose. »

L'adolescent échappa un « Hmm ? » interrogateur. « Rose. » répéta Sebastian en gesticulant pour venir ancrer son regard dans le sien. « Qu’est-ce que t’en penses ? Rose ? Je dis pas de prendre une décision définitive, mais est-ce que ça te plait ? J’aime bien Violet aussi. Mais on peut pas les appeler les deux comme ça. Sinon les gens vont croire qu’on fait pousser un jardin plutôt qu’élever des petites filles. »

Micah étouffa un petit rire innocent. « Rose. » dit t-il à son tour. « Ça me plait. Et je m'en fous de l'avis des gens sur notre jardin. Mais ça sera tes filles. Tu sais ? Imagine si elles font comme toi, et qu'elles planquent leur petit ami. » Micah lui offrit sa plus belle moue moqueuse au souvenir de leurs premiers mois cachés à cause des ragots des autres justement, et reprit. « En plus, ça sera tes filles au sens où tout le monde t'adore en ville – même si okay, t'as ptêtre perdu quelques points en m'épousant – alors tout le monde va les adorer. Ça va être deux petites stars de Town Square ! Il leur faut des noms qui en jettent ! »

Des noms qui en jettent, et courts. « On a droit à combien de syllabes ? » demanda Micah, en se redressant contre la tête de lit. « Une seule ? Pas plus ? » Il baissa les yeux sur le visage de Sebastian et ouvrit les bras pour l'inviter à revenir contre son torse. « Tu crois qu'on pourrait leur aménager un petit coin au Morning Coffee ? Pas dans la salle forcément, mais ya pas une petite pièce pas utilisée ? Elle pourraient y faire leur sieste ou quelque chose comme ça. Tu pourrais les emmener, et ça t'obligerait pas à arrêter complètement de travailler. J'sais bien que le café est important pour toi. »  

Micah fit une pause. Ses doigts parcouraient à nouveau les cheveux de Sebastian. Maintenant que le sujet était lancé, des tas de questions fourmillaient dans son esprit. C'était mieux que le brouillard de crainte qui prenait toute la place avant, mais ça le condamnait aussi à un tas de blabla sans précédent. Peut-être que Sebastian allait vraiment s'endormir sur lui ?

Se concentrer. Il fallait qu'il se concentre. Micah et ses problèmes de focalisation. Toujours à dévier du sujet de base pour partir dans tous les sens.

« Winnifred. » dit-il tout à coup. Et ce n'était pas hors-sujet ! Il se remettait sur le rail, tout seul, comme un grand ! « Ça respecte pas la clause ''court'' du contrat, mais ça en jette. Rose et Winnifred Summers-Petterson. On pourrait la surnommer Winnie. Ou Fred, mais c'est moins bien. »
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Sebastian L. Summers
Sebastian L. Summers
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MessageSujet: Re: /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\   /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\ EmptySam 28 Sep - 23:42





Micah & Sebastian


« Rose. » Le prénom sonnait tout aussi bien sur ses lèvres. Je pouvais facilement imaginer Micah appeler notre fille, lui demandant de venir vers lui pour la prendre dans ses bras et simplement lui dire qu’il l’aimait. Rose. Rose Summers-Petterson. Ce serait parfait. « Ça me plait. » Un sourire illumina mon visage. Il aimait. « Et je m'en fous de l'avis des gens sur notre jardin. Mais ça sera tes filles. Tu sais ? » Nos filles, pensais-je tellement fort que Micah l’avait certainement entendu. « Imagine si elles font comme toi, et qu'elles planquent leur petit ami. » Je fronçais du nez lorsqu’il évoqua ce détail de notre relation. « En plus, ça sera tes filles au sens où tout le monde t'adore en ville – même si okay, t'as ptêtre perdu quelques points en m'épousant – alors tout le monde va les adorer. Ça va être deux petites stars de Town Square ! Il leur faut des noms qui en jettent ! » J’écoutais attentivement mon mari. Il n’avait probablement pas tort. Je me fichais assez des avis que la société pouvait avoir sur lui et moi, nous étions assez grands pour passer outre. Mais les filles, j’ignorais les mentalités qu’auront les gens dans quelques années, mais avoir deux pères ne sera peut-être pas facile. Elles seront aimées plus que n’importe qui, ne manqueront de rien, mais elles risquaient d’être jugées. Ou du moins, elles risquaient d’en entendre parler. Alors si mon nom pouvait aider d’une manière ou d’une autre à prouver que nos enfants grandissaient dans une famille aussi (voire plus) aimante qu’une autre, et bien soit. Pour une fois, j’acceptais que ce que mes parents avaient construit me serve vis-à-vis des habitants. Je voulais que nos enfants soient heureux. C’est tout.

Micah me sortait de mes pensées en me demandant : « On a droit à combien de syllabes ? Une seule ? Pas plus ? » Il se redressait et ouvrait les bras pour que je vienne me lover contre lui. « Mh, deux ? » répondais-je en me repositionnant sur son torse. Je posais l’une de mes mains contre celui-ci également, et le caressais lentement, songeur. Je cherchais de nouveaux prénoms, ce qui pourrait devenir l’identité de l’une de nos filles d’ici quelques mois. Mais Micah avait d’autres préoccupations en tête. « Tu crois qu'on pourrait leur aménager un petit coin au Morning Coffee ? Pas dans la salle forcément, mais ya pas une petite pièce pas utilisée ? Elle pourraient y faire leur sieste ou quelque chose comme ça. Tu pourrais les emmener, et ça t'obligerait pas à arrêter complètement de travailler. J'sais bien que le café est important pour toi. » Je réfléchissais un instant, me lançant bercer par les doigts de mon mari dans mes cheveux. « J’imagine que c’est possible. » murmurais-je. On pouvait toujours aménager l’étage du Morning Coffee. Mes parents avaient toujours rêvé en grand, espérant pouvoir un jour agrandir le café. Ils ne l’avaient jamais fait. Pas par manque d’argents, de temps, ou de motivation. Non. Ils avaient juste toujours refusé de fermer l’endroit quelques semaines afin de mener à bien leurs travaux. Quelques mois plus tôt j’en aurais surement été incapable aussi. Mais c’était pour nos filles. Et pour elles, tout était possible. « Ce serait même une très bonne idée. » reprenais-je, plus sûr de moi.

D’un autre côté, je n’étais pas sûr de l’avenir du café pour les mois à venir. Ou plutôt, de mon avenir dans le café. Charlie et Stella nous avaient annoncé lors de nos quelques jours à New York après le mariage qu’ils comptaient revenir à Town Square. Définitivement. Et même si l’idée n’avait été posée que sur un coin de table, ma belle-sœur semblait décidée à s’investir dans le Morning. Et tel que je connaissais mon frère, il y passerait le plus clair de son temps lorsqu’il ne serait pas occupé à régler les problèmes de couple des habitants de la ville. Leur retour allait surement me libérer d’une bonne partie de mes tâches là-bas. Et…  je pourrais peut-être faire autre chose. Au moins en partie. Comme travailler à la maison. Et m’occuper de nos filles. C’était… c’était une image attirante. Ma famille au MC, comme elle y avait toujours été. Et moi partagé entre mes passions, mes proches, et le café. C’était ce dont j’avais toujours rêvé. Si en plus Micah se décidait à…

« Winnifred. »

« Mh ? » J’étais plongé dans mes pensées. J’aurais probablement pu m’endormir bercé par le flot d’idées dans ma tête. Mais Micah me sortait de mes songes en se faisant entendre. « Ça respecte pas la clause ''court'' du contrat, mais ça en jette. Rose et Winnifred Summers-Petterson. On pourrait la surnommer Winnie. Ou Fred, mais c'est moins bien. »« Rose et Winnie. » testais-je voix haute. C’était… mignon. « Winnifred. » répétais-je. J’avais du mal à me faire une idée. Je n’arrivais pas à être complètement pour ou contre. « C’est… long ? Et j’ai peur qu’elle passe toute son enfance à être comparée à un gros ourson qui se gave de miel.» Les enfants sont parfois cruels. « Mais c’est adorable. J’arrive pas à complètement m’y opposer. » m’expliquais-je calmement, ma main caressant toujours le torse de mon époux. « Et si… Pourquoi on le mettrait pas en second prénom ? » Je me redressais à nouveau pour pouvoir faire face à Micah. Je me couchais à moitié sur son ventre, de travers, mon visage posé sur mon bras accoudé au lit. « Rose Winnifred Summers-Petterson, ça pourrait être joli. Ou autre-prénom Winnifred Summers-Petterson. » Je menais une main sur le torse de mon mari pour le caresser tendrement. « Ça me plairait bien. » avouais-je, le sourire aux lèvres.

J’admirais quelques secondes le magnifique homme en face de moi. J’étais en train de discuter des prénoms de nos futurs enfants avec l’homme de ma vie. Je vivais un rêve éveillé. Dans mes rêves je n’étais pas malade, et des pyjamas d’enfants n’essayaient pas de s’immiscer entre nous, certes. Mais ça restait un moment idyllique. C’était le genre d’instant que j’espérais un jour raconter à nos enfants. Un instant que j’aurais aimé conter à mes parents lorsqu’ils nous demanderaient « Alors ! Vous avez décidé des prénoms ? ». Et même s’ils n’étaient plus là, j’avais bien l’intention de leur raconter lors de ma prochaine visite au cimetière. Ils auraient voulu entendre parler de ces moments dans ma vie.  Et je voulais le faire, même s’ils n’étaient plus là pour réellement les apprécier.

Je me redressais et sans rien dire, déposais un baiser sur les lèvres de mon époux. Je retrouvais ma position, toussais discrètement contre mon épaule, et retournais mon regard vers le sien. Ma main courait le long de son torse, et mes doigts venaient s’accrocher à son col. « C’est fou, mais parler prénom me donne envie de te toucher un peu partout. » Je marquais une pause, réalisant ce que je venais de dire. « Enfin, encore plus que d’habitude. Si c’est vraiment possible. » Je faisais sauter un premier bouton de sa chemise. Puis un second. « Tu sais quoi ? Tu devrais continuer de lister des prénoms pendant que je te déshabille et profite de ton corps. » proposais-je avant de venir déposer un baiser sur le haut de son torse découvert. Je finissais d’ouvrir la chemise, et descendais mes baisers jusque son nombril. « Mh… » commençais-je contre son ventre. « J’ai une autre idée. Liste moi des prénoms… pendant que je te masse. » J’étais remonté jusqu’à son visage, et lui volais un baiser tandis que mes mains empoignaient les deux côtés de son col pour lui faire enlever son vêtement ouvert. Je faisais voler les couvertures sur nous deux, et lançais : « Tourne toi mon amour. ». Il ne se fit pas attendre, et je grimpais à califourchon sur le bas de son dos, presque sur ses fesses, mes mains commençant déjà à parcourir les muscles de son dos. « Je t’écoute… » murmurais-je en me baissant quelque peu sur son corps pour venir masser sa nuque et ses épaules.
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Micah Summers-Petterson
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MessageSujet: Re: /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\   /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\ EmptyMer 2 Oct - 15:53





Sebastian & Micah


Il n'arrivait pas complètement à s'y opposer. C'était le non le plus gentil qu'on lui ai jamais servi de sa vie. Et ce n'était pas complètement un non. Un semi-non. Et donc, un semi-oui ! Micah pouvait totalement se contenter d'un deuxième prénom. Les compromis. C'était important dans un couple. Il avait lu ça dans un Cosmopolitan. Juste après l'article sur les penis cookies. Dans la salle d'attente du médecin. Pas qu'il ai bien le choix. Après son deuxième accident et son aveux sur son asthme, Sebastian l'y aurait trainé de force lui-même quoi qu'il arrive, juste pour être sûr que tout était bien remis en place. Et la lecture sur place était intéressante.

« C’est fou, mais parler prénom me donne envie de te toucher un peu partout. »

Micah se figea. Puis contempla Sebastian avec un mélange d'attention et de stupeur. Qu'est-ce que c'était que ce changement radical de sujet ?

« Ouais enfin – c'est plus une loi de la nature qu'autre chose. » répliqua t-il, parce que c'était complètement fou, d'accord. Mais c'était loin d'être la première fois. « A chaque fois qu'on parle bébés, tu me sautes dessus comme si – tu pouvais me faire ledit bébé. Toi même. Ce qui, je dois le rappeler, est techniquement impossible. »

Lire un magazine pour filles dans la salle d'attente du médecin, ne le rendait pas moins viril. Et ne le dotait pas non plus d'un vagin. Nope.

Toujours est-il que dans le subconscient primaire de Sebastian, l'idée avait l'air de faire son chemin. Car il le déshabillait. Ses doigts pressants sur les boutons de sa chemise. « Tu sais quoi ? Tu devrais continuer de lister des prénoms pendant que je te déshabille et profite de ton corps. » Oh mon dieu. Il allait lui faire l'amour. Encore et encore. Jusqu'à ce qu'un spermatozoïde victorieux (ou alien) s'installe dans le non-utérus de Micah. C'était mal. Sebastian était malade. Il devait se reposer. Et lui, en bon mari attentionné, il devait le repousser. Alors... pourquoi ses mains s'agrippaient à ses cheveux pour le ramener plus près de son corps ?

Traitresse d'hormones. Micah arqua son dos contre le matelas malgré lui, rejeta la tête en arrière alors que Sebastian glissait sa langue dans le creux de son nombril. Un petit rire se bloqua entre les lèvres entrouvertes de l'adolescent. L'envie de se tortiller se mêlant à la chaleur qui lui nouait doucement l'abdomen. « Mh… » gémit Sebastian, son souffle comme une caresse brûlante sur sa peau. « J’ai une autre idée. Liste moi des prénoms… pendant que je te masse. »  

Micah écoutait sans faire attention aux mots. Il savait juste que Sebastian remontait l'embrasser, que ses lèvres étaient douces et sa langue tellement chaude. Ses bras s'enroulèrent systématiquement autour de son cou en réponse, pour le garder à lui et pour l'embrasser encore et se gorger de son goût dans sa bouche.

Il se contorsionnait vaguement pour l'aider à enlever sa chemise, lorsque Sebastian s'écarta et le coupa tout net dans son élan. « Tourne toi mon amour. » Micah papillonna des yeux, et se concentra sur le visage de son sale traitre de mari. Son cerveau était passé hors ligne, et il avait du manquer quelque chose, parce que c'était trop tendre ou – Micah ne savait pas. Peut-être qu'il était trop habitué à se faire malmener par les pulsions sexuelles de son mari et que c'était devenu trop rare qu'il lui demande avec des mots de se retourner quand il voulait vraiment faire l'amour, au lieu de le retourner lui même comme sa poupée gonflable personnelle. Et – ewww... mauvaise comparaison.

Lentement, Micah se retourna avec la sensation d'être une souris qui se tourne volontairement dos à un très gros chat, très affamé. Rembobiner. Réfléchir. Il devait lui donner des prénoms. Sebastian n'attendait sans doute pas qu'il soit apte à penser à des prénoms pendant qu'il lui faisait l'am –

Un massage ! Il voulait le masser ! Sceptique, Micah fronça les sourcils. En direction de l'oreiller qu'il entourait de ses bras. Mais Sebastian avait l'air très zen, à cheval sur son bassin. Pas du tout frustré sexuellement, ou quoi que ce soit. « Je t’écoute… »

« Depuis quand tu me proposes un massage quand t'as une autoroute pour t'envoyer en l'air ? » questionna l'adolescent un rien dubitatif. Sérieusement, c'était... la toute première fois que Sebastian lui proposait un massage ! Ce n'est pas qu'ils avaient une politique anti massage. Juste qu'ils avaient mieux à faire quand ils étaient au lit, et passablement dénudés. Et Micah était très cool avec ça. Parce que si son destin était de zapper tous les massages du monde pour s'envoyer en l'air à la place, il l'acceptait sans broncher.

« Ça ressemble à une arnaque pour me piquer mon chocolat chaud. » maugréa t-il en enfonçant son visage dans l'oreiller. « Tu boiras ton thé et juste ton thé. Et je veux pas entendre que ce qui est à moi est à toi, parce que – ah ! »

Quelque part sous la peau de sa nuque, un muscle se tendit juste là où Sebastian creusait de ses doigts. Micah remua faiblement pour l'inciter à continuer, jusqu'à ce qu'il se relaxe entièrement et – « C't'nue » s'entendit-il souffler. Ses yeux se brouillaient sous la sensation de bien-être, à mesure que Sebastian dénichait chaque petite zone perpétuellement sous tension et l'apaisait. Le corps de Micah était un véritable champ de bataille. Pas seulement parce qu'il avait souffert des blessures graves. L'adolescent était une pile électrique toujours en mouvement. Il ne faisait pas exprès. Il s'ennuyait vite si rien ni personne ne captait son attention au bout de trente secondes, et ses nerfs étaient toujours survoltés, sur le qui vive. Sebastian était un bon remède d'une manière générale. Micah pouvait passer un temps considérable à l'admirer silencieusement, et quand ça ne suffisait pas, il venait se lover dans ses bras pour y chercher le calme qu'il ne trouvait pas dans sa tête.

Au fond de lui, il savait qu'il était fatigant. Il se fatiguait lui-même. Sauf qu'il n'avait jamais prit conscience que tout son corps subissait son rythme effréné.

Un ronronnement d'abandon pur lui échappa. Une partie de lui regrettait vaguement de ne pas avoir investit dans de l'huile de massage. L'autre savait qu'il était censé réfléchir à des prénoms, mais c'était vraiment trop d'efforts. « Mmph.. »  marmonna t-il en tournant le visage de l'oreiller. « Si c'est un exercice pour me torturer c'est vraiment – oh mon dieu... » Il se cambra sous les mains de Sebastian glissant dans le creux de ses reins, suppliant avec son corps comme un chat. « Vraiment cruel. C'est impossible de réfléchir pendant que tu me fais ça. Et si un jour tu te demandes quelle partie de ton corps je préfère. J'sais que tu penses que je préfère de loin ce que t'as entre les jambes et – je croyais aussi. Mais je retire tout, j'adore tes mains. »


Dernière édition par Micah B. Summers le Jeu 3 Oct - 2:14, édité 1 fois
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Sebastian L. Summers
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Micah & Sebastian


« Depuis quand tu me proposes un massage quand t'as une autoroute pour t'envoyer en l'air ? »  Un jour, Micah comprendrait que j’aimais autant caresser son corps que lui faire l’amour. Bon. Presque autant. Mais j’adorais sentir la douceur de la peau de mon mari sous mes doigts. Je frémissais en sentant ses muscles se contracter ou se décontracter sous mon contact. Je pouvais passer des heures à simplement laisser parcourir mes phalanges sur son corps, ne réclamant rien de plus. Et en cet instant, alors qu’on parlait de nos enfants, de nos filles, du prénom qu’elles porteraient toute leur vie… j’avais envie de ressentir cette tendresse avec Micah. Je ne voulais pas être emporté par quelconque pulsion sexuelle, même si je risquais d’y céder très rapidement. Pour au moins quelques minutes, je voulais que mon époux me parle, berce mes oreilles avec de jolis prénoms pendant que je le massais, que j’appréciais ses détails de son corps pendant que lui se relaxait. « Oh mais j’ai bien l’intention de te faire l’amour aussi. » murmurais-je à son oreille que je mordillais gentiment. Les mains continuaient de masser sa nuque et le haut de ses épaules, sentant des muscles qui n’avaient pas lieu d’être noués dans un tel moment. « Mais pour l’instant détends toi. » murmurais-je à nouveau, cette fois ci en déposant un baiser derrière son oreille.

Micah ne semblait pas encore très intéressé par mes caresses, et enfouissait son visage dans l’oreiller. Ça ne me donnait qu’envie d’y mettre plus d’intensité, de pénétrer sa peau le plus possible.  « Ça ressemble à une arnaque pour me piquer mon chocolat chaud. » marmonna-t-il. J’étais malade, mais je ne réalisais pas encore des plans incroyables pour simplement piquer le chocolat chaud de mon mari. C’était si ahurissant que ça de vouloir masser son époux ? « Tu boiras ton thé et juste ton thé. Et je veux pas entendre que ce qui est à moi est à toi, parce que – ah ! » Ah. Voilà qu’il succombait enfin à mes doigts de fée. « Mh, ça te plait mon amour ? » le taquinais-je, sans vraiment attendre de réponse en m’occupant de cette zone que je sentais, était en train de le faire fondre sous moi.

« C't'nue » Il me semblait décrypter un « continue », alors je m’exécutais, satisfait de voir que Micah s’était vite fait à mes massages. Lui qui criait au complot moins d’une minute plus tôt semblait avoir totalement oublié ce qui m’avait donné envie de profiter comme ça de lui. Pour l’instant, je laissais couler. Je m’hypnotisais moi-même par les mouvements que mes mains effectuaient le long de son dos. Sa nuque, ses épaules, sa colonne vertébrale. Je redescendais désormais dans ses reins, y effectuant une pression qui arracha à un franc « Mmph.. » à mon mari. Un sourire de satisfaction apparut aux coins de mes lèvres, et je jouais de cette nouvelle zone qui semblait tant plaire.

Le visage de Micah se tourna pour lui permettre de se faire mieux entendre. « Si c'est un exercice pour me torturer c'est vraiment – oh mon dieu... » Je restais dans le creux des reins, descendant petit à petit pour venir frôler de temps en temps la bordure du pantalon qu’il portait. « J’aime tellement te voir comme ça. » remarquais-je dans un semi-grognement alors qu’il cambrait ses hanches, forçant ses fesses à se frotter contre mon érection naissante qu’il ne semblait pas remarquer. « Vraiment cruel. C'est impossible de réfléchir pendant que tu me fais ça. Et si un jour tu te demandes quelle partie de ton corps je préfère. J'sais que tu penses que je préfère de loin ce que t'as entre les jambes et – je croyais aussi. Mais je retire tout, j'adore tes mains. » Sur ses mots, je laissais courir mes mains sur le long de son dos, retournant s’ancrer dans sa nuque tandis que mon corps suivait la même descente. Je venais déposer mes lèvres sur la joue de Micah, puis rejoignais ses lèvres plus difficilement. Je lui volais un baiser maladroit mais dont j’avais tellement besoin. « J’ai toujours cru que c’était ma bouche que tu préférais. » Je ponctuais ma phrase en donnant en léger coup de langue sur ses lèvres. « C’est grâce à elle que je peux t’embrasser. » Un nouveau baiser. « C’est grâce à elle que je peux te répéter encore et encore combien je t’aime. » avais-je soufflé contre son oreille avant de rediriger mes lèvres sur le haut de sa colonne vertébrale. Je la longeais à coup de baiser, traçant la même ligne du bout des doigts jusqu’à arriver jusqu’au tissu du pantalon. J’embrassais un moment le creux de ses reins, là où mes mains avaient amoureusement caressé sa peau. Je craquais facilement, et faufilais mes phalanges sous le vêtement et le faisais glisser le long de ses fesses, puis ses jambes sans trop grande difficulté. Je pouvais désormais admirer l’homme que j’aimais sous moi, complètement nu et tellement demandeur de… n’importe quoi. Réclamant seulement d'être touché.

Mes mains retrouvaient le bas de son dos, provoquant ses reins avant de finalement descendre sur ses fesses que je massais avec envie. Je laissais parfois un doigt provocateur se faufiler entre elles, caressant à peine son intimité. Je la frôlais, me retenant d'aller plus loin, d'y porter ma bouche. Je m’arrêtais seulement lorsque les gémissements de Micah se faisaient plus entendre, et je remontais masser le dos de mon amant. Ce n’était pas tant pour le frustrer que pour m’éviter d’en finir si tôt. J’avais simplement envie d’ouvrir le tiroir de la table de chevet et d’en sortir du lubrifiant. Je voulais me débarrasser du peu de vêtements qui me restait et je voulais faire l’amour à mon mari. Mais il y avait encore tant de choses que je voulais faire ou dire. Je m’allongeais alors à nouveau sur lui, ne manquant tout de même pas l’occasion de placer mon érection vêtue contre les fesses de Micah. J’entamais un léger mouvement de va-et-vient, m’offrant le peu de contact que mon corps réclamait. J’enfouissais mon visage dans le cou de mon époux et l’une de mes mains dans ses cheveux. « J’ai tellement envie de toi. Tu me rends fou. » soufflais-je contre sa peau, l’embrassant au passage. « Mais tu n’as pas encore proposé un seul prénom depuis que j’ai commencé à te toucher. » Mes phrases étaient entrecoupées de gémissements et de légers essoufflements. « Faisons un petit jeu. Chaque prénom te rapprocha un peu plus de mh – moi… te faisant l’amour. »
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Sebastian & Micah


Toute cette conversation sur la bouche de Sebastian avec ladite bouche actuellement collée à la sienne, et sa langue en bonus, et des ''je t'aime'' sensuels murmurés aux creux de son oreille perturbaient très sérieusement la relaxation musculaire délicieuse à laquelle Micah s'adonnait. Avec force de petits couinements sexuels qui n'avaient rien à faire là, certes. Mais quand même. Relaxation.

« Tu sais bien que j'adore tout ton corps. » ronchonna t-il. A moitié. Parce que son échine ployait sous la myriade de frissons provoqués par les baisers de son mari. « Je pourrais pas passer une journée sans t'embrasser. Ou sans sentir tes mains sur moi. Ou – ou... » Micah était assaillit par des élans contraires. Ses reins essayaient de se souder au matelas, comme pour... rester sous son contrôle, ou pour échapper à Sebastian. Il ne savait pas. Sa libido voulait succomber, prendre les commandes et quémander bien plus que des caresses. Mais tout le corps de Micah se détendait sous les mains expertes de Sebastian – et c'était tellement bon. Il ne savait pas quelle était la pire torture.

Sebastian fit glisser son pantalon de ses cuisses. Micah émit un bruit, qui aurait pu être un « mmh continue » ou un « qu'est-ce que tu fais là au juste ? » s'il était capable de décrypter ses propres pensées.

Ses mains retrouvèrent son dos. L'adolescent soupira de contentement, puis grogna. Parce que Sebastian descendait sur... sur ses fesses. Il – il les pétrissait, profondément, comme si il les voulait. Comme si le massage était définitivement passé au second plan, et Micah ouvrit la bouche pour protester.

Sebastian frôla l'entrée de son corps.

Micah poussa un jappement de surprise. « Sebastian... » appela t-il faiblement. Sa résolution vacillante, à mesure que son mari titillait son orifice sensible. Micah se mordit la lèvre pour contenir ses gémissements. C'était trop de sensations soudaines. Et il voulait se retourner pour regarder Sebastian mais ses paupières étaient résolument closes. Parce qu'il savait. Il savait ce qu'il y verrait. Le désir luisant dans les yeux de Sebastian. Carnassier, fixé sur son corps exposé comme un prédateur en chasse.

« J’ai tellement envie de toi. Tu me rends fou. » murmura Sebastian, sa voix basse et profonde. Micah ouvrit la bouche pour se laisser embrasser, plia un coude sous lui pour essayer de redresser son corps prisonnier de son époux. Un coup de rein brusque le fit choir à nouveau contre le matelas. L'érection de Sebastian frottait impitoyablement contre ses fesses. Tellement dure. Micah voulait la sentir en lui toute entière. Que Sebastian le possède jusque dans son corps. « S'il te plait... » souffla t-il, baissant finalement les armes. Tant pis pour le massage. Il voulait que son mari lui fasse l'amour sans jamais le relâcher, il voulait l'accueillir en lui, il –

« Mais tu n’as pas encore proposé un seul prénom depuis que j’ai commencé à te toucher. » Quoi ? « Faisons un petit jeu. Chaque prénom te rapprocha un peu plus de mh – moi… te faisant l’amour. »

Un petit jeu ? Non mais attendez là. Non ! « Hey ! » s'écria Micah avec toute la vigueur de l'adolescent frustré en plein rush hormonal. Il ne pouvait même pas bouger pour le fusiller du regard ! « Et mon massage alors ? » Micah avait totalement craqué du côté sexuel de la force il y a moins de deux secondes, mais foutu pour foutu ! « Je sais très bien que si on fait l'amour tu vas t'endormir après ! Et ce que tu me faisais avec tes mains c'était trop parfait pour que t'arrête déjà ! C'était comme...un orgasme ! Mais avec le dos. Et tu peux totalement me donner plusieurs orgasmes ! J'ai rien contre les orgasmes. Au pluriel. »

Il bougea un peu. Seigneur – le membre de Sebastian calé entre ses fesses prenaient vraiment beaucoup de place. Ou alors c'était juste l'esprit déviant de Micah qui déformait les tailles proportionnellement au sadisme du sale type qu'il avait épousé. Avec tout l'autorité dont il était capable dans son état, le jeune homme délogea un bras de sous l'oreiller et claqua des doigts en persifflant « Massage ! »

Un mot c'était bien. De toute façon, il n'était pas certain de pouvoir se permettre plus avec un Sebastian occupé à se frotter de tout son corps contre lui.

Voyant que son mari n'était pas coopératif pour un sou, Micah laissa tomber son front contre le matelas en poussant un petit soupir. « Jean. » dit-il après trois secondes règlementaires de réflexion et de concentration pour retrouver son vocabulaire. « Comme Jean Grey ! Phoenix, dans X-Men. » précisa t-il au cas ou. « J'espère que tu connais tes classiques, parce que sinon ça craint. Mais Jean, c'est court, et elle a trop la classe ! » Il avait relevé la tête et se dévissait le cou pour observer la réaction de Sebastian. Peine perdue. Il n'avait pas des supers pouvoirs de mante religieuse avec rotation du cou à 380° incluse. « Ou Robin. Comme dans Batman. Sauf que c'est un garçon, mais c'est mixte ! » Il marqua un petite moue et ajouta d'un ton solennel. « Ya pas de raison que je sois le seul de la famille à porter un prénom mixte. »

Il fit une pause là-dessus et hasarda un bras un arrière. « Viens... » demanda t-il d'une petite voix en échouant ses doigts dans la nuque de son époux, le tirant plus près de son visage pour lui voler un baiser. « J'veux pas être tout seul à proposer des trucs. » se plaignit-il en frottant sa joue contre la sienne. « Et je sais même pas ce que tu penses des prénoms mixtes monsieur Sebastian Lysandre Summers-Petterson. T'aimes le tien au moins ? J'avais jamais connu de Lysandre avant. »
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Sebastian L. Summers
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MessageSujet: Re: /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\   /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\ EmptyMar 8 Oct - 21:04





Micah & Sebastian


Mon idée de petit jeu ne semblait pas ravir Micah. C’était bien dommage par lui, parce que je comptais bien le jouer. « Et mon massage alors ? » ronchonna-t-il tandis que je déposais des petits baisers dans son cou et sur son épaule. « Je sais très bien que si on fait l'amour tu vas t'endormir après ! Et ce que tu me faisais avec tes mains c'était trop parfait pour que t'arrête déjà ! C'était comme...un orgasme ! Mais avec le dos. Et tu peux totalement me donner plusieurs orgasmes ! J'ai rien contre les orgasmes. Au pluriel. » Je relevais le visage pour pouvoir regarder mon époux. « T’as fini de râler oui ? Depuis quand tu refuses que je te fasse l’amour ? » demandais-je outré, mais amusé. « Et je suis malade, j’ai parfaitement le droit de m’endormir après. Faut que je reprenne des forces pour te refaire l’amour encore plusieurs fois plus tard. J’avais bien prévu de te donner des orgasmes au pluriel ! » C’était ça de l’habituer aux bonnes choses ! Je le massais quelques minutes, et voilà que le reste de mon corps ne lui suffisait plus. Seules mes mains pétrissant son dos semblait lui importer. « Et j’ai jamais dit que j’en avais fini avec les massages. » remarquais-je finalement alors que Micah gesticulait sous moi. Je m’en détachais à peine pour qu’il puisse faire… ce qu’il essayait de faire.

Il claqua des doigts.

Pardon ?

« Massage ! »

Il venait de claquer des doigts pour que je le masse. J’étais passé de mari à majordome prostitué en… bah, en un claquement de doigt. J’écarquillais les yeux et donnais une légère tape sur son honteuse main. « Non mais. » J’agitais la tête négativement, les sourcils froncés mais un sourire amusé sur les lèvres. Je connaissais assez Micah pour ne plus être choqué par des réactions de ce genre, mais je l’étais tout de même pour qu’il puisse penser que ça pouvait marcher. A l’inverse, ça me donnait envie d’arrêter toute caresse et de juste rester coucher sur lui. Mon corps en réclamait bien plus, mais lui aussi devrait attendre. Je tenais à ce que la langue de Micah se délie.

Il laissa retomber son front sur l’oreiller et sembla enfin se mettre à réfléchir. Je tapotais des doigts sur son omoplate, en attente. Après quelques secondes, j’entendais un simple « Jean. » J’esquissais un nouveau sourire en attendant cette première proposition. « Comme Jean Grey ! Phoenix, dans X-Men. J'espère que tu connais tes classiques, parce que sinon ça craint. » précisa-t-il comme s’il me croyait ignorant. Evidemment que je connaissais. Je n’avais pas vécu dans une cave loin de la télévision ou d’internet les presque vingt-cinq ans avant de le rencontrer. « Mais Jean, c'est court, et elle a trop la classe ! » Je me relevais quelque peu et commençais à caresser le dos de mon amant du bout des doigts. « Ou Robin. Comme dans Batman. Sauf que c'est un garçon, mais c'est mixte ! » Ou comme Robin Scherbatsky dans How I Met Your Mother. Qui est une fille. « Ya pas de raison que je sois le seul de la famille à porter un prénom mixte. » Ma main remontait dans son dos pour atteindre sa nuque. Je la massais tendrement avant de répondre. « Jean et Robin me plaisent beaucoup. »

Je lâchais la nuque de Micah quand le mienne fut agrippée par ses doigts. « Viens... » m’appela-t-il en avançant mon visage vers le sien. Il me vola un baiser avant de dire : « J'veux pas être tout seul à proposer des trucs. ». Je me laissais attendrir par le frottement de sa joue contre la mienne, et en oubliais de lui répondre. « Et je sais même pas ce que tu penses des prénoms mixtes monsieur Sebastian Lysandre Summers-Petterson. T'aimes le tien au moins ? J'avais jamais connu de Lysandre avant. » reprit-il, curieux. Je déposais un baiser au coin de ses lèvres avant de répondre. « C’était le prénom de mon grand-père. Il était encore très en vie quand mes parents me l’ont donné, mais ils se disaient qu’à un moment où un autre ce serait bien un hommage à lui. » Plus j’avais pensé à leur explication, et plus je trouvais ça horrible. Mais ils sont comme ça, mes parents. Ou étaient, plutôt. « Et j’adore les prénoms mixtes. » J’embrassais tendrement mon mari avant de murmurer contre ses lèvres : « Il suffit de voir comme j’aime le tien. Micah… » Je donnais un léger coup de langue joueur sur sa bouche. « Nos filles ne pourront que porter aussi fièrement que leur père un prénom mixte. »

Un dernier baiser volé, et je m’asseyais à nouveau dans le bas de son dos. Mes mains reglissaient sur celui-ci, s’attardant sur le haut de ses épaules que je massais fermement. « Qu’est-ce qu’on peut trouver d’autres comme prénoms mixtes ? » réfléchissais-je à voix haute sans m’arrêter de détendre mon mari. « Evan ? Riley ? Taylor ? Mh… Dylan ? » Je laissais mon corps redescendre quelque peu, mon érection retrouvant sa place entre les fesses de mon amant. Je roulais un peu mon bassin et baissais mes mains jusque dans le creux de ses reins, espérant lui faire bientôt oublier sa lubie du massage. « Ou… Micah Junior ? » proposais-je ironiquement.

Je me reculais de plus en plus, atterrissant rapidement assis au niveau des genoux du garçon. Mes mains avaient suivi ma descente et caressaient désormais le haut de ses cuisses et ses fesses. Je feignais de le masser, profitant plutôt de la situation pour faire grimper son excitation en glissant mes doigts entre celles-ci. J’ouvrais la bouche pour me faire entendre à nouveau, mais un toussotement  décida de remplacer mes paroles. Je me raclais la gorge et retentais de parler. « Toujours pas décidé à ce que je te fasse l’amour ? » demandais-je, faussement innocent, avant de me baisser et de venir poser un baiser sur l’une de ses fesses. « Parce que j’en ai très envie. » continuais-je en embrassant la seconde. De l’un de mes doigts, je vins provoquer son entrée, le faisant frissonner sous le contact. « Et j’ai comme l’impression que toi aussi. » Sur ces mots, je me redressais de nouveau, reprenant mon massage juste sur le haut de ses cuisses, glissant mes mains entre ses jambes pour les écarter quelque peu. « Mais je peux continuer de te masser pendant que tu cherches d’autres prénoms. Si c’est vraiment ça que tu préfères. »
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Micah Summers-Petterson
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Sebastian & Micah


« C’était le prénom de mon grand-père. Il était encore très en vie quand mes parents me l’ont donné, mais ils se disaient qu’à un moment où un autre ce serait bien un hommage à lui. »

En un mot : glauque. Faire des plans-hommages basés sur la mort d'un grand-père, c'était juste – mal. Dans tous les sens du mot mal. Bon sang, Micah n'osait même pas imaginer sa réaction future. Ou non-future, parce que ça n'arriverait pas. Si l'une des ses filles appelait son enfant Micah en souvenir de lui pour quand il serait mort.

Glauque. Juste, glauque.

Et pourtant, ça ne l'étonnait pas plus que ça. Sans doute parce que Sebastian l'avait habitué à un certain niveau de non-logique d'une manière générale. Ce qui faisait de lui le digne fils de ses parents. Ça devait être génétique.

Ce qui voulait dire qu'il y avait de bonne chances pour qu'une de ses files décide d'appeler un de ses enfants Micah en hommage à sa mort prochaine.

Bien, personne n'est parfait.

Du reste, Sebastian avait des talents cachés de masseur qui rattrapaient efficacement son côté flippant en général. Ou le côté flippant de sa famille. Même combat.

« Qu’est-ce qu’on peut trouver d’autres comme prénoms mixtes ? » dit-il après avoir largement complimenté Micah sur son propre prénom. Sebastian savait lui faire plaisir et comment le caresser dans le sens du poil. L'adolescent ronronna de satisfaction et le laissa travailler tout seul comme un vrai futur papa responsable et concerné. « Evan ? Riley ? Taylor ? Mh… Dylan ? » proposa t-il finalement... en roulant son bassin trop fort contre Micah. Trop fort, parce qu'il pouvait sentir son érection compressée contre ses fesses et – à quel moment il avait pu associer son pervers de mari au label ''futur papa responsable et concerné'' ?

« Ou… Micah Junior ? » Micah poussa un grognement de mépris – ou de plaisir, mais plutôt se faire arracher la langue que de l'avouer. Quand on parle des effets désastreux de la génétique. Ce n'était pas ses filles qui aurait sa peau avant l'heure. Sebastian avait des années lumières d'avance pour s'occuper de son cas. « Comme ça, ça sera un hommage à ma merveilleuse personne à un moment ou un autre. » répliqua t-il. « Peut-être que j'aurais du épouser tes mains, et attendre avant de dire oui au reste de ton corps. »

Sebastian se recula. Ce qui était bien, parce que son érection massive n'essayait plus de s'introduire entre les fesses de Micah. D'un autre côté ce genre de descente ne pouvait vouloir dire qu'une chose : son dos pouvait dire adieu à toute forme de massage.

Effectivement, ce que Sebastian faisait à ses fesses et ses cuisses n'avait plus rien d'un massage. C'était juste une séance de pelotage en règle. Avec la façon dont ses doigts s'enfonçaient dans sa peau, s'infiltraient impudiquement entre ses fesses, comme pour le torturer, ou quémander l'autorisation d'aller plus loin. Micah émit un « Hmm... » totalement contre son gré. Sebastian avait eu sa chance et il l'avait coupé pour avoir ses putains de prénoms juste quand Micah était tout prêt à céder à ses avances ! Il n'était tellement pas question qu'il craque maintenant.

Il s'enfonça résolument le visage dans l'oreiller pour taire tout bruit sexuel non désiré. Quelque part derrière lui, il entendit Sebastian tousser (non, il ne tournerait pas la tête pour voir si tout allait bien) puis : « Toujours pas décidé à ce que je te fasse l’amour ? »

Le sale bâtard. Micah marmonna quelque chose d'inintelligible dans son oreiller. Puis un petit rire étouffé se glissa hors de sa gorge lorsque Sebastian se mit à lui embrasser une fesse. « Parce que j’en ai très envie. » Un second baiser. Micah remua faiblement son fessier pour chasser l'intrus, mais Sebastian n'était rien sinon têtu quand les fesses de Micah étaient en jeu, et l'adolescent sentit un doigt se faufiler tout contre sa peau sensible.

Micah se contracta et il – il ne pouvait pas empêcher son corps de se cambrer, de s'accommoder à ses phalanges pressées sur son orifice. Comme si son échine fondait, ou allait craquer sous le poids du désir que Sebastian attisait outrageusement.

D'ailleurs, il parlait. Bonne chance pour que Micah discerne les mots ou donne du sens à ce qu'il disait, en revanche il se rendait très bien compte que Sebastian lui écartait les cuisses. « Mais je peux continuer de te masser pendant que tu cherches d’autres prénoms. Si c’est vraiment ça que tu préfères. »

Il y eu un moment de silence. Sans doute dédié à la perte de la dignité de Micah.

Lentement, il écarta ses jambes de sorte à se libérer de l'emprise de Sebastian et qu'il se trouve entre elles. Puis l'adolescent s'étira langoureusement en relevant le bassin à la manière d'un chat. S'exhibant sans aucune gène sous le nez de son mari.

Le reste de son corps suivit, d'abord à quatre pattes, Micah se recula lentement pour venir s'asseoir sur les cuisses de Sebastian. « T'as gagné. » se plaignit-il faiblement, en épousant de son dos le torse de son faux masseur. Il saisit ses poignets. « Regarde ce que tu m'as fait. » chuchota t-il en glissant la main de Sebastian sur son nombril, le long de la courbe de ses hanches, puis entre ses cuisses, avant d'enrouler ses doigts autour de son membre dressé. Micah fit un petit bruit, tout ses muscles détendus se crispaient de nouveaux sous l'assaut du plaisir.

« Tu sens comme j'ai envie de toi ? » Ses doigts joints à ceux de son amant, il entama un mouvement lent. Ses hanches s'animèrent au même rythme, pressant avec provocation ses fesses contre l'érection que Sebastian lui avait sournoisement fait sentir. « J'ai envie de la sentir en moi. » soupira Micah, un peu haletant. De son autre main, il guida celle inoccupée de Sebastian contre son torse, échappa un petit cri de plaisir en effleurant un téton déjà sensible, puis remonta le long de sa gorge. La position n'était pas vraiment idéale, il ne pouvait pas bouger comme il le désirait, ni le serrer contre lui ou sentir le goût de sa bouche contre sa langue. Mais Sebastian le tenait et Micah se sentait bien, à sa place, contre lui, à lui. Son pouls battait frénétiquement sous la paume de son amant. Le jeune homme rejeta la tête en arrière et tourna le visage. « Embrasse moi. » gémit-il, suppliant, ses mains prises l'empêchant de chercher la nuque de Sebastian pour forcer le baiser, prisonnier dans cette position.

Et pourtant, il n'était pas le seul prisonnier, songea l'adolescent dans le chaos d'extase de leur baiser. Il lécha les lèvres de Sebastian avec langueur. Un petit sourire naissant au coin de ses lèvres. « Tu pourrais me faire jouir juste avec tes mains. » susurra t-il, à bout de souffle. « Pour – pour te punir de me faire chercher des prénoms alors que... » Il se mordit la lèvre, ses yeux se fermant sous un coup de reins plus intense, plus demandeur malgré le tissu qui recouvrait toujours la virilité de Sebastian. « – j'avais déjà tellement envie de toi. »
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MessageSujet: Re: /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\   /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\ EmptySam 12 Oct - 16:49





Micah & Sebastian


« T'as gagné. » Voilà des mots que j’aimais entendre. Surtout lorsqu’ils venaient de mon mari, nu, assis sur mes cuisses. Il m’arrivait souvent de comparer (intérieurement) Micah à un chat. Et c’était en le voyant se relever comme l’animal, exhibant presque sous mon nez ses fesses, que je décidais que c’était sans le moindre petit doute la plus parfaite des comparaisons. Il aurait probablement pu rester comme ça des heures que je ne me serais jamais lassé de la vue. Mais sentir son corps épousé parfaitement le mien alors qu’il s’emparait de mes poignets pour diriger l’une de mes mains sur son bas ventre n’était pas mal non plus. « Regarde ce que tu m'as fait. » chuchota-t-il comme une plainte. Mes doigts parcouraient son ventre, ses hanche, et venaient enfin s’enrouler autour de son érection. J’émis un long gémissement en sentant son poids dans ma paume, et mes lèvres se dirigèrent immédiatement dans le cou de mon amant que j’embrassais tendrement, comme pour étouffer les autres bruits obscènes qui ne demandaient qu’à sortir de ma bouche. « Tu sens comme j'ai envie de toi ? » demanda-t-il en forçant ma main à caresser son membre dans un mouvement de va-et-vient. J’acquiesçais par un nouveau gémissement, oubliant ce qu’était la parole lorsqu’il commença à rouler ses hanches au rythme des va-et-vient de mon poignet.

Mon érection hélas toujours vêtue avait trouvé sa place entre les fesses de mon amant, et je ne pouvais m’empêcher de rouler mon bassin à l’unisson avec le sien. « Tu sens comme c’est réciproque ? » demandais-je en donnant un coup de rein un peu plus sec pour appuyer ma question. « J'ai envie de la sentir en moi. » fut sa réponse. Ou du moins c’est ce qu’il répliqua presque aussitôt. J’ignorais si ça faisait vraiment écho à ma demande, mais je m’en contentais. J’avais terriblement envie qu’il me sente en lui aussi.

La main qui n’était pas occupée à caresser Micah fut dirigée sur son torse. L’un de ses tétons passa sous mes phalanges, et je me promettais intérieurement de le suçoter entre mes lèvres dans un futur très proche. En attendant, mon mari redirigeait ma main jusque sur son cou. Je le caressais quelque peu, mais surtout, en profitais pour le maintenir contre moi. Il était libre de se dégager dans mon emprise, mais lui comme moi aimions ce sentiment d’appartenir à l’autre. Son poids sur moi m’empêchait de véritablement bouger, et mes bras contre lui avaient le même effet sur son propre corps. Et c’était parfait.

Micah jeta son visage en arrière, m’ordonnant ou me suppliant de l’embrasser. Comme si je pouvais dire non. Malgré l’angle et la position, je prenais possession de ses lèvres dans un baiser animal. Mes pulsions me disaient de le dévorer, de faire rougir ses lèvres comme le reste de son corps. Mes ongles se plantèrent dans son cou, y laissant probablement une marque. Je libérais sa bouche, le laissant lécher la mienne comme le chat qu’il était décidemment. Je souriais discrètement à cette pensée. « Tu pourrais me faire jouir juste avec tes mains. » remarqua-t-il, haletant. « Ah oui ? » demandais-je, amusé et surpris, donnant un nouveau coup de rein un peu plus sec pour lui rappeler mon érection qui ne demandait qu’à ce que j’enlève le tissu qui la recouvrait pour enfin vraiment profiter des fesses de mon amant. « Pour – pour te punir de me faire chercher des prénoms alors que... j'avais déjà tellement envie de toi. » finit-il avec difficulté, ses yeux se fermant comme pour lui permettre de rester concentré.

Les va-et-vient de ma main sur sa virilité se firent plus lents, comme pour le torturer. « Oh je pourrais. Je pourrais te faire jouir simplement comme ça. Tu sais combien j’aime te voir fondre avec seulement l’aide de ma main. » Je traçais une ligne de baisers le long de son cou, descendant jusque sur son épaule. « D’autant plus que d’ici j’ai une magnifique vue. » remarquais-je, baissant les yeux pour voir mes doigts enroulés autour de son membre. « Mais tu n’as pas dit que tu voulais la sentir en toi ? » murmurais-je en roulant mon bassin pour qu’il me sente encore un peu plus sous lui. « Tu ne veux pas que j’utilise mes mains plutôt… » Je lâchais son érection et enfouissais ma main plus profondément entre ses cuisses, juste assez pour pouvoir caresser son entrée du bout des doigts. « … comme ça ? » finissais-je dans un gémissement. Je laissais mon index provoquer quelque peu son orifice, le pénétrant à peine, juste assez pour lui donner envie de plus.

Je l’avais laissé gémir quelques instants avant de poser mes deux mains sur ses hanches pour qu’il se repousse en avant, se retrouvant à quatre pattes devant moi. Je ne perdais pas la moindre seconde avant d’écarter ses fesses et d’y enfouir mon visage, ma langue retrouvant aussitôt sa place contre son entrée. Je la dévorais, la léchais, essayais d’y pénétrer sans grande réussite. Je profitais de mes mains inoccupées pour enfin faire voler les vêtements si inutiles qui me restaient. Une fois aussi nu que mon amant, je me détachais de lui pour aller chercher du lubrifiant dans la table de chevet à côté. J’en déversais sur mes doigts, et les portais immédiatement à mon érection délaissée. Je lâchais un long gémissement, comme si c’était le contact que j’avais attendu toute une vie.

Je m’asseyais de nouveau derrière Micah, et de ma main non lubrifiée, l’attrapais par ses hanches pour qu'il vienne de nouveau chevaucher mes cuisses, son dos plaqué contre mon torse. Nos lèvres se retrouvaient comme des aimants, et entre deux baisers, je murmurais : « Tu m’en voudras pas, j’aimais vraiment beaucoup cette position. ». Je glissais de nouveau ma main entre les cuisses de mon amant, et après avoir caressé sur le passage son érection, retrouvais l’anneau de chair que je pénétrais doucement d’un doigt lubrifié. De ma main libre, je caressais le torse de Micah, en profitant pour le maintenir contre moi alors qu’il ne cessait de gesticuler sous l’emprise de son plaisir. « Mon amour… » gémissais-je à son oreille tandis qu’un second doigt rejoignait le premier. Je sentais mon érection près de ma main, ne demandant qu’à remplacer mes doigts en lui. « Micah… » grognais-je presque. « J’ai envie qu – que tu me chevauches comme ça. Tu peux faire ça pour moi ? » reprenais-je, à bout de souffle, mon esprit embué par tout le désir qui pouvait grimper en moi en ce moment. « S’il te plait… »
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MessageSujet: Re: /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\   /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\ EmptyLun 14 Oct - 22:46





Sebastian & Micah


« Oh je pourrais. Je pourrais te faire jouir simplement comme ça. Tu sais combien j’aime te voir fondre avec seulement l’aide de ma main. »

Les yeux clos, Micah frissonna à tous les souvenirs – et pour certain très récents – de ce que Sebastian était capable de lui faire avec sa main. Un chemin de baisers dans son cou lui fit incliner docilement le visage sur le côté pour s'offrir encore un peu plus à ses lèvres. « D’autant plus que d’ici j’ai une magnifique vue. » Hmm ? Il ouvrit les yeux pour observer le visage de Sebastian baissé sur son corps. L'adolescent rougit. Comme si Sebastian ne l'avait vu dans des positions bien plus débauchées que celle-ci. Ce n'était pas tant la position que l’ascendant que Sebastian avait sur lui d'une manière générale. Il était capable de reprendre le dessus sur Micah en quelques mots. C'était à la fois scandaleux et foutrement excitant.

« Mais tu n’as pas dit que tu voulais la sentir en toi ? » Micah exhala un soupir, vaincu, libéra sa main qui se détachait de son érection, tout en susurrant de sa voix suave à son oreille. « Tu ne veux pas que j’utilise mes mains plutôt… comme ça ? » Un petit cri de plaisir lui répondit. Micah avait tressaillit, crié malgré lui. Il avait senti les doigts de Sebastian tâtonner entre ses cuisses, chercher l'emplacement qu'il connaissait par cœur, y exercer juste cette pression.

Sa propre main s'accrocha inutilement aux draps. Et il gémissait, se tordait pitoyablement à mesure que Sebastian jouait avec lui, le pénétrait à peine. Tout juste une phalange. Et il le maintenait étroitement contre lui. Micah bougeait. Essayait. Voulait s'enfoncer lui-même sur ses doigts –

Sebastian le repoussa tout à coup en avant. Micah se rattrapa sur ses mains. Il écarta ses jambes instinctivement, parce que, sérieusement, qu'est-ce qu'il pouvait faire d'autre ? Son corps était programmé pour avoir ce genre de réponse à Sebastian-qui-le-malmenait-dans-un-contexte-sexuel. Ce qui était profondément humiliant en y pensant. Mais il n'y avait pas de honte dans le sexe, et Sebastian le récompensait toujours de ses doigts – Non. Ce... ce n'était pas ses doigts qui le touchaient, c'était, c'était...

Oh mon dieu, c'était sa langue –

Micah haleta.Parce que Sebastian le tenait, lui écartait largement les fesses comme si... comme s'il n'y avait plus rien que Micah ait à cacher. Comme s'il lui revenait de plein droit jusque dans les parties les plus exposées de son corps.

« S- s'il te plaît... » s'entendit-il geindre. Il ne savait même pas ce qu'il voulait. Sebastian le léchait voracement, comme un animal affamé. Et Micah – Micah savait qu'il supplierait pour qu'il lui fasse l'amour dans les secondes à venir. Mais là tout de suite, il avait tellement envie de sentir sa langue contre son orifice. Que Sebastian le lèche encore et encore, qu'il l'ouvre juste pour lui, qu'il frotte la peau rugueuse de son menton, de ses joure, contre la sienne délicate. Et c'était exactement ce qu'il était en train de faire – et Micah l'entendait respirer bruyamment. Chaque inspiration mêlée aux bruits humides de ses coups de langue.

Et la langue de Sebastian pressait et pressait contre son  anneau de chair, essayait d'entrer en lui.

C'était tellement obscène – tellement bon...

Il allait jouir. Seigneur... il sentait son membre tellement dur, qu'il lui mouillait le ventre. Micah leva une main pour soulager son érection insoutenable, mais Sebastian le redressa brusquement.

Okay. Pas d'orgasme. Pas encore.

En désespoir de cause, Micah retrouva les lèvres de son amant. « Tu m’en voudras pas, j’aimais vraiment beaucoup cette position. » Non, mais il allait lui en vouloir s'il ne remplaçait pas très vite sa langue par sa virilité que Micah sentait comprimée contre son fessier.

Comme s'il avait entendu, Sebastian glissa un doigt en lui. Seulement un doigt. Micah remua, poussa un jappement de protestation. « Mon amour… » murmura Sebastian à son oreille, intime, apaisant. Mais Micah ne pouvait pas se calmer. Il était si écarté à l'intérieur, si humide, si prêt.

Un deuxième doigt le fit gémir. L'adolescent bougea ses hanches, mais Sebastian le maintenait plaqué contre son torse, le privant de la plus petite marge de manœuvre, grognant son prénom. « J’ai envie qu – que tu me chevauches comme ça. Tu peux faire ça pour moi ? S’il te plait… »

L'adolescent planta profondément ses ongles dans le bras de son époux. Il tremblait, il – il adorait le chevaucher. Micah avait un tas de déviances et certaines plus présentes que d'autres, et cette position était un savant mélange de deux de ses petites faiblesses. Parce qu'il ne pouvait pas bouger, et il aimait ça. Il aimait quand Sebastian le maintenait immobile, le pressait contre le matelas et que Micah ne pouvait rien faire. Rien à part accepter ses coups de reins.

Et il aimait le chevaucher. Griffer son torse en contrôlant leur rythme. Même si, l'adolescent n'était pas très doué en contrôle. Il avait du mal à se contrôler lui-même. Le plaisir avait rapidement raison de lui, et il ne savait pas si ça faisait de lui un bon ou un mauvais coup, mais Micah était ainsi. Spontané et dénué de retenue.

L'adolescent leva son corps et glissa une main sous lui. Ses longs doigts fins se refermèrent sur la chair douce et lisse de l'érection de Sebastian. Il le caressa tendrement, l'écoutant gémir en frottant sa joue contre la sienne. Difficilement, parce que Sebastian était tout contre lui, et que – hello, ça allait être sport de le chevaucher dans ses conditions, Micah se positionna contre son membre, il sentait son entrée humide, trempée d'un mélange de salive et de lubrifiant.

Enfin, il se laissa pénétrer. Tout son corps cambré, son autre main hissée derrière la nuque de Sebastian. Pendant une seconde, il oublia de respirer. La douleur le prenant par surprise. Il émit un petit bruit blessé, qu'il étouffa en embrassant Sebastian.

Son amant l'entourait de ses bras, le plaquait serré contre lui. Micah sourit, comblé et amoureux. Parce que Sebastian, Sebastian. Sebastian. Puis il bougea, malgré leurs épidermes soudés. Il feula, de douleur, de plaisir, et de la sensation enivrante d'appartenir à Sebastian. « C'est bon... » gémit-il. Ses doigts se serrèrent convulsivement contre sa nuque.

Il n'attendait que ça. Le sentir enfin en lui. Micah poussait, capturait le membre de Sebastian, l'avalait entièrement. Chaque descente brûlante et acérée. « Ah ! »

La main de Sebastian enroulée autour de son membre lui fit perdre toute pensée cohérente. Micah criait, jusqu'à ce que ça gorge rêche lui fasse mal, jusqu'à ce qu'il se presse contre lui encore et encore, jusqu'à ce que sa peau rougisse.

C'était – c'était tellement bon –

Micah plongeait, comme s'il pouvait s'enfoncer plus profondément sur Sebastian. Il frissonnait alors qu'il mourrait de chaud. La sueur perlant sur sa peau, glissant au creux de ses reins pour se perdre entre ses fesses. C'était – animal, comme si il était quelqu'un d'autre. Comme si ce n'était pas son corps qui était juché sur celui de Sebastian, haletant, grognant sauvagement, une main crispée dans la cuisse de son mari si fort que ça lui laisserait une marque douloureuse.

Et quelque part entre l'incendie qui lui dévorait les reins et sa respiration arrachée à ses poumons, il se sentit jouir – brutalement, éclaboussant son torse. Et Sebastian le rejoignit immédiatement dans l'orgasme, retenant Micah contre lui, ses ongles pressé sur sa gorge, là où Micah avait encore mal de la griffure qu'il lui avait laissé plus tôt. L'adolescent s'entendit gémir, comme un petit animal épuisé et ravi de se sentir rempli de la semence chaude de son époux.

Sa respiration erratique sifflait dans sa gorge. Il avait envie de parler, mais il savait qu'il allait juste croasser un truc incompréhensible s'il essayait. Alors Micah saisit la main de Sebastian entre les siennes. Il la porta à sa bouche, et lécha paresseusement les long traits laiteux qui lui ceignaient le dos de la main, puis suçota langoureusement ses doigts, l'un après l'autre, comme pour s'excuser de s'être encore laissé emporter par son manque catastrophique de contrôle.
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Sebastian L. Summers
Sebastian L. Summers
staff → les habitués du café
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MessageSujet: Re: /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\   /!\ Twin Babies, twice shopping ! Wait... What ? ▽ Micastian /!\ EmptyJeu 17 Oct - 23:23





Micah & Sebastian


Micah ne perdait pas de temps. J’aurais pensé qu’il s’amuserait (si c’était vraiment le bon mot) avec mes doigts pendant encore quelques instants. Mais à la place, je prenais son gémissement pour un « D’accord. » et dégageais ma main entre ses cuisses lorsqu’il y glissa la sienne. Je venais poser mes doigts sur sa hanche, m’y agrippant alors qu’ils enroulaient les siens autour de mon érection. « Micah… » murmurais-je dans un léger grognement lorsqu’il dirigeait mon membre entre ses fesses. Je sentais cette humidité, cette chaleur, contre son entrée. Et c’était parfait. Je voulais m’y enfoncer, sentir sa peau s’écarter pour me laisser lui procurer ce plaisir qu’il demandait tant. Mais pour l’instant, j’essayais de me concentrer sur la caresse de Micah sur ma joue. La position ne nous laissait pas une grande marge de manœuvre, mais j’appréciais sentir son visage contre le mien. J’essayais d’embrasser sa peau rougie sous l’effet des frottements de ma barbe. Mes baisers maladroits s’arrêtèrent rapidement lorsque Micah commença à se laisser pénétrer, tournant son visage pour que je l’embrasse passionnément.

Nos gémissements étaient étouffés par nos bouches collées l’une à l’autre.  Et j’oubliais de respirer quelques secondes. Ce qui était mal. Mais mon corps oubliait de fonctionner correctement lorsque mon mari l’utilisait ainsi. L’idée me traversait l’esprit de ne rien faire, de juste reculer à peine pour admirer le spectacle. Le corps de Micah s’appropriant mon érection pour se donner du plaisir, ses gémissements rythmant chacun de ses mouvements. J’ignorais s’il y avait plus belle scène. Mais je préférais tout de même sentir son corps collé au mien. Et c’était probablement réciproque, parce que la main de mon amant venait s’ancrer dans ma nuque, mais maintenant contre lui. Je gardais mon bras plaqué contre son torse, mes doigts griffant à nouveau sa gorge. « C'est bon... » gémit-il en se laissant pénétrer toujours un peu plus. J’embrassais le creux entre son cou et son épaule, essayant de lui apporter un peu de douceur dans toute cette scène si animale. « Ah ! » cria-t-il alors que je pouvais me sentir presque entièrement en lui. Ce petit cri amena avec automatisme ma main autour de sa propre érection.

Je la caressais vivement, accompagnant les va-et-vient que mon époux commençait à opérer. Mes reins mimaient ses mouvements, amplifiant chacun d’eux. Je ne pouvais pas faire grand-chose, mais je pouvais encore remuer mon bassin pour qu’il me sente toujours plus. Plus. Plus. Les gémissements de Micah me rendait encore plus fou que je ne l’étais déjà. Cette position. Cette envie qu’il avait d’être rempli par moi. Cette violence bestiale. C’était tellement bon. J’aurais voulu que ça dure des heures. Mais j’avais aussi tellement envie de jouir, et de le faire jouir. J’accélérais alors mes caresses sur son membre et serrais un peu plus mon emprise sur lui. J’entendais Micah grogner. « Mh, les bruits que tu fais mon amour. » commentais-je, ne remarquant même pas ses ongles dans ma chair. Mon plaisir me faisait oublier toute douleur. Je m’en rendrais certainement compte plus tard. En attendant, je menais mes lèvres jusqu’à son oreille et mordillais son lobe avant de le suçoter. « Jouis pour moi Micah. Montre-moi combien tu aimes me sentir en toi. » murmurais-je contre son oreille, essayant de reprendre quelque peu le contrôle en donnant quelques coups de reins plus violents.

Ces quelques mots avaient eu l’effet recherché, et je sentais mon mari jouir entre mes doigts. Ses gémissements, son corps qui se contractait contre moi, sa semence qui coulait entre mes phalanges, toute cette vision et ces sons me menèrent presque aussitôt à l’orgasme. Dans un dernier coup de rein, je me sentais jouir à l’intérieur de mon amant. Un long gémissement accompagna ma jouissance, et je m’accrochais un peu plus à son corps. Celui-ci risquait d’être marqué de mes ongles à bien des endroits, et je prendrai le temps plus tard d’embrasser chaque trace une à une pour me les faire pardonner. En attendant, j’appréciais encore quelque instant la chaleur de mon mari. Lui non plus ne semblait pas prêt à bouger. A la place, il se saisissait de ma main qu’il menait à ses lèvres. La main qui était recouverte de sa propre semence. Il la léchait comme le petit chat qu’il était, n’en perdant pas la moindre goutte. J’étais hypnotisé par cette vision. Je reprenais quelque peu contrôle de ma main pour tourner le visage de mon amant et me permettre ainsi de l’embrasser. Je pensais le sentir dans sa bouche, et récupérais ce que je pouvais du bout de la langue.

Après de longs baisers, je portais mes deux mains sur les hanches de Micah, l’incitant à venir se recoucher sur le lit. Il se mettait sur le dos, les jambes écartées pour me laisser glisser entre elles. Je léchais les restes de sa jouissance sur son membre, et remontais sur son bas ventre pour faire de même. Comme je me l’étais promis plus tôt, je portais mes lèvres sur ses tétons et la suçotais tendrement avant de les rediriger dans son cou. J’y portais quelques doux baisers, laissant mes doigts glisser le long de son torse. Je caressais sur le passage les marques que j’avais pu porter sur son corps, les caressant pour les apaiser. Mes baisers remontèrent jusqu’au visage de mon époux et j’embrassais lascivement sa joue. « Je t’aime. » lui confiais-je tout contre sa peau. « Et j’aimais beaucoup cette position. Il faudra recommencer. Et pas seulement quand je suis malade. » continuais-je, amusé, sans cesser de recouvrir son visage de baisers.

Je ne me détachais de Micah que pour me retourner et attraper ma tasse de thé qui m’attendait toujours. J’y trempais les lèvres une toute petite seconde avant de la reposer. « C’est froid. » remarquais-je, déçu. Je venais oublier ma peine en me recollant à mon époux, enfouissant mon visage dans son cou. J’y restais silencieux quelques instants. « Tu sais… » commençais-je, simplement. « Je crois que personne ne s’était occupé de moi comme ça depuis… très longtemps. » Je relevais le visage pour pouvoir faire face à celui de Micah. « J’étais pas souvent malade petit. Mais quand je l’étais ma mère bouleversait toute sa vie pour s’occuper de moi. Elle me faisait toutes les soupes du monde. Elle me racontait des histoires. Me faisait couler des bains bouillants. » Un sourire ému se glissa sur mon visage. Même lorsque j’étais parti de la maison elle s’assurait toujours par téléphone de ma santé. Si elle avait pu voler à travers tout le pays pour me faire ses fameuses soupes, elle l’aurait fait. « C’était probablement les seuls moments où elle oubliait complètement le café et le reste du monde. C’est peut-être égoïste mais j’aimais bien ces moments. » Je riais bêtement avec moi-même. « J’essaye pas de dire que je te vois comme une figure maternelle ou quoi que ce soit. Ce serait… déplacé. Mais – c’est agréable de savoir que j’ai à nouveau quelqu’un pour s’occuper de moi quand ça va pas. » Je venais déposer un petit baiser sur les lèvres de mon mari. « Alors… merci de pas avoir peur de mes microbes et d’être là. » Je l’embrassais à nouveau brièvement, et me redressais d’un coup sur le lit, à genoux. « Et maintenant j’aimerais donner un coup de jeune à une de mes vieilles habitudes d’enfant malade. » J’attrapais les mains de Micah dans les miennes, et le forçais à se redresser à son tour. « J’ai envie d’un bon bain chaud… avec toi. »

Autant dire que les bains de mon enfance n’avaient jamais été aussi chauds que celui-ci.
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